10/05/2015
Une semaine en nuances vert de gris
Le livre de Bruno Colmant "Cinquante nuances d'aigris" m'a inspiré. Une série de touches personnelles à revivre par l'intermédiaire de mes propres souvenirs dans un scénario parfois très similaire dans ce qu'on appelle "managment" dans la langue de Shakespeare.
Dans son livre, Bruno Colmant définit la crise comme le plus grand "krach" de l'histoire financière avec des déflagrations au ras des chiffres qui, en "shrapnels", déchirent sans tuer. Le capitalisme grimaçant de douleur a pulvérisé l'avenir espéré confortable.
Cinquante scènes croquées grinçantes, tendres ou tristes s'en sont suivies pour exorciser, apporter un espoir et une désillusion aux structures qui joignent l'utile à l'agréable, capables de dépasser les plus belles utopies.
Auto-critique d'un repenti du capitalisme comme je l'avais déduit dans un chapitre de "Débat interactif ou radioactif".
Je retrouvais des situations souvent identiques dans le monde du numérique dans la carrière d'un développeur informatique avec souvent des connotations tout aussi anglophones.
Le livre m'a évidemment fait penser à pasticher mon management entre le marteau et l'enclume avec l'aide de l'humour et des chansons...