16/08/2025
Les croyances ne cherchent pas la paix
Quelles soient religieuses ou politiques, les croyances revendiquent la paix, mais la leur.
Le livre "Guerre et Paix", publié en feuilleton entre 1865 et 1869 dans Le Messager russe,, narre l'histoire de la Russie à l'époque de Napoléon Ier, notamment la campagne de Russie en 1812. Léon Tolstoï y développe une théorie fataliste de l'histoire, où le libre arbitre n'a qu'une importance mineure et où tous les événements n'obéissent qu'à un déterminisme historique inéluctable. Alors qu'il fut considéré comme un roman majeur de l'histoire de la littérature, Léon Tolstoi s'attendait à ce que cette œuvre passât inaperçue. Il a seulement engendré un nouveau genre de fiction en cassant les codes du roman de son époque.
Il peut être comparé aux blogs et forums de discussions d'aujourd'hui.
Ce billet est une réponse rapide à "Stop et/ou encore"
"Il faut battre le fer quand il est chaud", dit-on.
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Tout le monde connait les résultats de la rencontre du 15 aout entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Chacun des deux ont exprimé leur ressenti. Cette rencontre va encore susciter plusieurs réactions et commentaires.
Poutine et Trump verrouillent l’avenir de l’Ukraine : paix sous chantage, omerta et déni démocratique à l’échelle globale (*)
Ce billet ne va pas aller au sommet de ce genre de confrontation.
Je l'ai relié à une autre confrontation plus particulière et plus intime, celle que j'ai eu avec Arthur alias Willy pour les plus intimes.
Arthur a donc donné une définition de "L'enfoiré" et de "Allusion" dans l'article de samedi "Stop et/ou encore" informations qu'il a puisé dans mon "A propos". Je n'y reviendrai donc pas.
J'ai toujours été solitaire. Quelqu'un qui n'avait pas besoin d'avoir des instructions pour gérer un groupe dans une entreprise et qui a été nommé manageur en 1990.
Etre manageur, c'est resté seul, motiver son équipe et parfois faire rire quand c'est possible.
Pour ce faire, j'ai reçu des cours de managements en plusieurs phases. Des jeux de rôles en cas de conflits, de la détermination que l'on devait choisir pour résoudre de multiples problèmes entre urgents et importants à "Priority management". Ces cours devraient être donné dès l'entrée dans la vie professionnelle et pas uniquement pour entrer en fonction sur la première marche entre le marteau et l'enclume. Si j'ai eu des rêves, je n'ai jamais eu de fantasmes. Mais c'est une autre histoire.
Retraité en 2006, à l'âge de 59 ans, à la suite d'arrangement financés pour atteindre l'âge de 65 ans d'une retraite normalisée par un package octroyé par l'entreprise américaine dont le but était d'éliminer les anciens et de nettoyer les cadres. J'ai continué à avoir une foule de contacts avec Willy par écrit dont je possède encore les emails. Willy était encore là. Je l'ai aidé a supporté ses difficultés avec l'entreprise dans le secteur de l'IT qui disparaissait. Les machines nous avaient échappées localement, les programmes qui avaient suivi le mouvement en étant centralisés et dont les hommes avaient été cédés à une entreprise indienne. Plus d'IT. Willy était un collègue proche avec lequel j'ai partagé une partie de ses préoccupations professionnelles très spécifiques pendant que pour moi, elles en comportaient d'autres. Mon job était devenu comme un hobby et j'y consacrais beaucoup de temps.
En janvier 2005, lors d'un nouvel an, une réunion s'est produite avec la visite d'un ponte américain, j'avais senti que nos jours étaient comptés et j'ai commencé ce que je n'avais eu l'occasion ni le temps d'écrire un blog. Ma seule résistance dans cette réunion à dire que nous perdions le "know how" en faisant cela, n'a évidemment pas servi. Le quiproquo des relations dans le club d'échecs de Willy n'était relative qu'à sa demande de sang neuf à moi qui n'en a rien à foutre des échecs est plutôt une anecdote amusante dans laquelle je me suis plié à esquivant les points ELO des échecs, puisque j'étais bien top impulsif pour faire un bon joueur d'échecs et n'étant en plus pas un fan des jeux de société..
Les débuts de ma confrontation avec lui, remontent en juin 2019, avec l'article "Un autre monde est possible" dans lequel je reprends quelques personnages que j'ai rencontré réellement ou virtuellement par l'intermédiaire d'internet. J'avais répondu qu'il y a tellement de mondes possibles et qu'un article n'y suffirait pas.
Il avait déjà pris le pseudo Arthur en écrivant " Mon silence devrait être compris par une personne aussi rationnelle et seulement rationnelle que toi. Je n’ai ni le temps ni l’énergie ni l’envie d’expliquer et de réexpliquer. Certes, ce n’est pas toujours correct de retirer une phrase d’un contexte, mais, lorsque l’on connaît le contexte et la personne, et lorsqu’on lit ce genre de phrases, qui ne dépassent pas la pensée de son auteur, on se rend compte qu’il est inutile, vain, etc. de correspondre valablement. Puisque tu écris toutes tes élucubrations pour toi, il est inutile de demander à d’autres de les commenter. Personnellement, à tes blogs sans queue ni tête, sous prétexte de suivre l'actualité et de pouvoir y inclure les caricatures de Kroll et Vadot, je préfère lire des articles bien structurés avec des sources bien référencées. Tu ne connais que le « pseudo christianisme » (voir la « définition » qu’en donne Léon Tolstoï sur Wikipédia, une source parmi tant d'autres, si tu n‘as pas le temps de lire Léon Tolstoï), non pas le «vrai christianisme», celui qui a été «dénaturé» au cours des temps par l’Église catholique, particulièrement par sa hiérarchie. Tolstoï, Gandhi, Martin Luther King, Mandela, … en connaissent sur Jésus bien plus et bien mieux que toi.
Cela m'avait bien fait sourire à la lecture de cette interprétation de mes recherches éclectiques dans tous les domaines avec mes 40 catégories d'articles que composent mon site "Réflexions du Miroir".
Je suis curieux de tout. Les religions et les croyances avec Jésus, je connais.
J'ai une formation de scientifique mutée vers le numérique, mais cela n'empêche pas de rendre et d'écrire un large éventail de sujets généraux ou particuliers par l'interprétation du passé, de l'actualité en faisant des projets sur le futur.
En plus, je ne fais partie d'aucun parti politique. Je n'ai jamais assisté à des réunions de partis politiques. Don Quichotte, un autre collègue que j'ai connu grâce à l'interface d'un de mas collaborateurs de l'époque, l'a fait si je m'en souviens. Initialement, j'étais intéressé par son interprétation des faits de guerre qui s'étaient produit dans les années 90 de guerres en Yougoslavie qui s'est déchirée (L'Est dans tous ses états et L'Est ostalgique). Don Quichotte a une épouse slave d'origine et apprendre à connaitre les opinions de l'autre côté de l'occidentalisme. Je n'ai pas été en Russie mais mon billet à ce sujet m'avait poussé à y aller voir de plus près grâce à quelqu'un qui vivait à Moscou. J'y ressens une certaine froideur, mais cela n'est qu'une impression qui peut être complètement fausse.
J'ai laissé Arthur dans ses côtés mystiques en cherchant à l'éviter puisque je suis athée. J'ai interviewé plusieurs personnes en parallèle pour essayer de comprendre les croyances politiques et religieuses.
Dernièrement, avec un peu de retard à la suite de mon billet "Furie divine " Arthur repartait à l'attaque sur mon site plutôt qu'à la vue de tout le monde sur agoravox.
J'ai répondu comme toujours. dans mon dernier billet. Progressivement le contact s'est envenimé pour les mêmes raisons. La parodie et l'humour sont mes armes de combats conflictuel. Mes cours de management et mes billets sur le management me sont revenus en mémoire. Comment répondre ? Je lui donne des filons pour répondre aux attaques dont j'ai souvent dû faire preuve sur les réseaux sociaux qui sont un bonne école de résistance. J'ai essayé de renouer en lui posant des questions sur sa famille et sur son état de santé après toutes ces années. J'ai cité mes propres problèmes. En fait, j'ai essayé de le faire parler plusieurs fois en prenant plusieurs angles d'approches. Je les ai poussés jusqu'à l'extrême retranchement.
Harcèlement ? Oui peut-être avec ma question :
- Rien à dire et à répondre ? Je te pousse à répondre en étant éclectique. Tu te permets de faire le procès des autres (si moi je le fais en échos), mais tu manques d'arguments persuasifs pour n'importe qui, toi qui se dit "un quiconque parmi d'autres". Donc tu n'as jamais eu de rêve. Qu'est-ce qu'on peut faire avec si peu de rêves ?
Comme je l'ai dit, je suis un solitaire mais un solitaire a besoin de parler et de revoir les conclusions de ses cogitations avec d'autres pour en discuter sans dispute.
Dans mon billet précédent, je mettais intentionnellement la vidéo concernant la vie de Thierry Leluron.
Hier soir, sur la UNE, un podcast avec le même sujet .
La première version de mon dernier billet étaient les prémisses d'une cassure. La seconde sa révélation.
Sa dernière réponse est arrivée qui a mis le feu aux poudres. Je l'ai effacé comme toutes les autres. Je ne pouvais plus ni les lire ni les retrouver même dans mes spams.
Elle était interprétée complétement sans possibilité d'y trouver un Anneau de Moebius, comme symbole de l'infini
Article qui se termine par ma sortie de la piste aux étoiles "L'anneau de Möbius en actions" en vidéo.
Allusion
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Des flashs qui claquent, deux silhouettes épaulées comme des statues dans la lumière crue de l’Alaska, un monde suspendu dans l’expectative : voilà ce qu’a offert ce sommet historique, dont l’écho fracasse déjà la tranquilité apparente du statu quo international. Vladimir Poutine, froidement impérial, Donald Trump, showman fatigué mais déterminé, viennent d’acter, devant une planète sonnée, une « entente » censée faire basculer la guerre d’Ukraine dans l’histoire. Pourtant, derrière la vitre épaisse des mots lissés, le processus dévoile ses failles : une paix annoncée sous conditions – vraie trêve, mirage ou nouvelle injustice – un avertissement martial à Kiev et à l’Europe, et une parole publique verrouillée, aucun journaliste n’ayant eu droit de questionner les Grands sur la teneur ou la sincérité du deal. La diplomatie, désormais, se fait dans le froid, les silences et les angles morts
Le chef du Kremlin s’est voulu grand conciliateur. Oui, il « espère » que l’entente conclue avec Trump apportera « la paix en Ukraine », reprenant à son compte la grammaire des pacificateurs, la gestuelle solennelle, le sourire à demi-forcé qui fait vibrer la galerie internationale. Mais qu’y a-t-il derrière ce verbe pesé ? Aucun document détaillé à présenter, aucun chronogramme affiché, aucune cession de terrain, aucune promesse réelle pour les millions de déplacés et de victimes. Juste une espérance maniée comme une arme : tant que Kiev – absent du sommet – s’incline, la paix serait à portée de main. Autrement dit, ce “rêve de réconciliation” n’a rien d’une générosité, il relève du marché imposé.
L’espoir conditionnel de Moscou : “pas d’obstacle, pas de problème”
Le cœur du message de Poutine est brutal de limpidité : si la paix doit advenir, que Kiev et les Européens ne “créent pas d’obstacles”. Le Kremlin inverse habilement la responsabilité : toute résistance du président Zelensky ou tout sursaut démocratique de l’Union européenne sera tenu comme la source exclusive de la reprise des combats – une ligne rouge rhétorique qui fait planer le chantage et coupe court à tout débat sur la légitimité de l’accord. Il s’agit d’un message aux peuples : n’attendez pas que votre voix soit prise en compte, ne comptez pas peser sur l’avenir de vos propres frontières. Le monopole de la cause et de la solution reste détenu par les puissants installés de part et d’autre de la table.
Une entente scellée dans l’ambiguïté diplomatique
Rares sont les commentateurs à oser décrire la nature d’une entente dont la principale caractéristique est l’indécidabilité. S’agit-il d’une paix gelée sur les lignes de front russes, d’un désengagement progressif ? Simple promesse d’apaisement pour grignoter l’attention médiatique ou vrai plan pour démanteler la souveraineté ukrainienne dans l’ombre des échanges ? L’accord, volontairement ambigu, réserve à chaque capitale occidentale la possibilité de se réclamer du progrès sans jamais garantir la justice.
Derrière la façade du pacificateur, Poutine orchestre la pression maximale. “Toute entrave de la part de Kiev remettra en cause le processus”, avertit-il, non sans cynisme. L’état-major ukrainien lit dans ces mots la perspective d’un choix impossible : céder sur la souveraineté, ou voir sa population continuer à mourir. Aucune mention n’est faite des crimes de guerre, aucun mot sur les territoires perdus ou annexés, pas plus d’offre pour la reconstruction, les réfugiés ou la place de l’Ukraine dans le concert européen.
L’Europe confinée à un rôle de figurant
Les capitales européennes, de Bruxelles à Varsovie, observent, débordées, la redistribution du jeu : sommées de “ne pas créer d’obstacles”, sous peine de voir l’accord partir en fumée. Paris aimerait s’inviter dans le format, Berlin redoute l’acceptation d’une paix bâclée, Varsovie pousse à la fermeté, Londres souffle le chaud et le froid en fonction du cours de ses alliances. Aucune capitale ne veut porter le chapeau de la guerre si l’accord échoue, mais toutes comprennent qu’en s’excluant de la table, elles laissent le champ libre à l’agenda moscovite.
L’injonction publique, cliquetis de menaces
Jamais depuis l’accord de Minsk n’aura-t-on vu Moscou assimiler aussi frontalement la paix à la seule absence de contestation. Le mot “obstacle” prend ici une force nouvelle : il désigne toute forme de résistance démocratique, de dénonciation journalistique, de vérification indépendante. Ce chantage posé sur la scène mondiale annule la possibilité du dialogue réel, ancre la verticalité du pouvoir sur la horizontalité des peuples.
Quand, après un ballet médiatique savamment orchestré, Trump et Poutine s’assoient devant la presse mondiale, un silence magistral s’empare de la salle. Pas de questions, pas de contestation, rien pour troubler le programme. Déclarations lisses, sourires figés, minutes comptées : les chefs énoncent ce qu’ils veulent, évitent la contradiction et laissent la communauté internationale face à une énigme stratégique. Les journalistes, frustrés, filment une scène muette, une victoire du storytelling sur le débat démocratique.
Le refus du débat, une méthode d’enfumage assumée
Dans une époque saturée d’opinion et d’information, choisir de conclure le sommet sans se soumettre à la rivalité des questions est un signal fort. Il s’agit de couper court à toute contestation sur les points d’achoppement, les zones grises du compromis, la place manquante de l’Ukraine. La communication, tenue à distance, permet de scénariser la paix sans jamais exposer l’arrangement aux critiques du réel.
La société civile partout absente, l’opacité comme risque
Le refus d’expliquer, de justifier, de se confronter à la presse renforce la perception d’un accord “par-dessus la tête” des peuples. Associations, ONG, mouvements de réfugiés, mais aussi simples lecteurs ukrainiens, polonais ou français se retrouvent privés de toute possibilité de questionner la transformation géopolitique en cours. C’est la victoire de la communication verticale sur le pluralisme, du récit imposé sur la vérité partagée.
Les chancelleries tablent désormais sur une accalmie temporaire : suspension des principaux bombardements, promesse d’accès humanitaire, échanges de prisonniers. Mais la “paix”, dans l’état actuel des choses, reste un mot flou, réservé à ceux qui l’énoncent. Tous attendent la réaction de Kyiv, la capacité de la société ukrainienne à accepter une trêve vue comme imposée. Les territoires occupés restent sous contrôle, les réfugiés hésitent à rentrer, les hommes politiques locaux oscillent entre résignation stratégique et colère muette.
Le piège du statu quo, la tentation de la revanche
S’il est entériné dans ces conditions, l’accord risque d’injecter au cœur de la région un ressentiment plus toxique que la guerre – une blessure mal pansée, ferment d’éventuelles nouvelles tensions. L’Ukraine réduite au silence, l’Europe lésée dans l’acte, l’accord risque d’accélérer le retour du nationalisme exacerbé, alimentant ceux qui rêvent d’une revanche, d’un “printemps des peuples” contre les décisions volées.
La négociation sans mémoire collective, outil d’une paix illusoire
Ce chapitre, où seules les images, les signatures et les postures sont relayées, fait fi de la nécessité de réinventer le tissu social d’après-guerre. Tant que l’accord ne sera ni débattu, ni voté, ni incarné dans les territoires concernés et dans la diaspora, il restera un écran de plus, fragile, devant la lente avancée du ressentiment et de l’injustice.
Un processus vulnérable à la moindre provocation
Toutes les parties savent que le moindre incident sur le terrain pourrait faire voler en éclats la “nouvelle paix”. La défiance, la multiplication des initiatives locales incontrôlées, la méfiance entre les armées et les populations, rendent tout retour à la normale aussi incertain qu’une trêve de Noël dans une tranchée trop sanglante. L’histoire récente de la région abonde en accords précaires, détruits par des explosions marginales, des provocations contrôlées ou non.
L’usure du réel, la convalescence d’une société laminée
Pour qu’une vraie paix advienne, il faudra des années de justice, d’écoute, de cohabitation, de débats féroces et de gestes réparateurs. Imposer une “fin de la guerre” sans le chantier démocratique qui accompagne les vrais compromis, sans reconstruction, sans justice pour les victimes, c’est préparer la prochaine implosion.
Un équilibre dangereux entre cynisme et espoir
La scène de l’Alaska, sous ses atours solennels, incarne moins la sortie d’un tunnel qu’une suspension : une parenthèse de calme construite sur l’assurance que rien ne peut échapper au contrôle des Grands. Mais l’expérience du passé, trop souvent jetée sous le tapis, invite à la méfiance : si la parole confisquée ne retourne pas à ceux à qui tout est demandé, la page ne se tournera pas – elle brûlera.
De ce sommet d’Alaska, il ne restera peut-être que l’image de deux hommes qui signent en se taisant, une promesse gelée dans le brouillard de l’absence d’explication. La paix, faute d’inclusion, demeure précaire, soumise à la tentation de l’autorité, de la fuite en avant, du déni de vérité collective. Les véritables obstacles à la paix ne sont pas toujours posés par ceux qu’on accuse. Tant que la parole ne circulera plus librement que dans les salles verrouillées, il sera impossible de clore vraiment la blessure de l’Ukraine – et du monde.
Publié dans Actualité, Histoire, Intelligences, Parodie et humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
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