Stop et/ou encore (1-3)

Les Réflexions du Miroir suivent les lois de la réflexion de Descartes, qui stipule que l'angle réfléchi est égal à l'angle d'incidence. Dans le cas d'un miroir courbe, on considère localement le plan tangent à l'endroit de l'impact du rayon sur le miroir, et on applique la loi de la réflexion à ce plan tangent.

Dimanche dernier, je recevais un commentaire sur Réflexions du Miroir .

Il était question de ma participation sur le site de forum agoravox.fr et de Réflexions du Miroir. 

Je répondais aux critiques de l'interlocuteur Arthur qui reprochait ma participation à agoravox en disant que je ne matchais pas avec ce site de forum où il avait été envoyé pour validation depuis plusieurs jours. Les modérateurs l'ont lu pour le valider. C'est le principal pour faire passer quelques critiques. Depuis, je l'ai avorté sur agoravox. Certains lecteurs ont déjà reçu des prémisses de ce billet. Je l'ai remasterisé en celui-ci.

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Conclusion et commentaires sur "Furie divine"

Billet envoyé en France sur agoravox.fr en préversion et complétée sur "Réflexions du Miroir".

Sur avox, les commentaires ont atteint le nombre de 75 dont les miens puisque je me suis obligé à répondre à tous même à ceux qui ne répondent pas à ce qui est écrit dans le billet lui-même.
Je me suis amusé en fin de course à remarquer malgré mes rappels qu'aucun commentaire apportait ce lien avec le billet lui-même. Tous les commentaire c'étaient des trolls. Sur "Réflexions du Miroir", je ne veux ni pubs, ni trolls, ni spam. Les commentaires sont réservés aux évolutions des articles.  
L'article se résumait par cette courte phrase "La foi ne se discute pas". 
Qu'elle soit religieuse ou autre d'ailleurs.

Les commentaires sur avox ont surtout été déséquilibrés par une panne. Mais ensuite, ils m'ont appris ce qui se passe en "behind the scene" de agoravox.fr.  

Répondre au commentaires de Arthur qui pour moi, a toujours été Willy. Le film "Sauver Willy" m'est apparu. Il cherchait des idées neuves dans son club d'échecs et le Syndrome de Eriofne y est né pour ne pas être reconnu.

"N’as-tu pas encore compris qu’AV et, certainement pas Réflexions du miroir, ne sont pas appropriés pour exprimer « un ressenti personnel ». Pose la question à chatGPT : « Qu'est-ce qu'un ressenti personnel ? ». Même chatGPT conclut : « Le ressenti personnel ne peut pas être "contesté" par quelqu’un d’autre : on peut discuter des faits, mais pas de ce que quelqu’un a ressenti. C’est une base importante en communication et en psychologie. ». Des mots, assis pépère derrière un écran, avec un pseudo, avec ou sans I.A., est-ce « se mouiller » ? Non, c’est juste se disputer sur des émotions, des sensations, des intuitions ou des jugements … en pure perte de temps. Mais c’est tout profit pour les hébergeurs.

Que savez-vous de Guy alias "L'enfoiré" sur internet, sont entre autres sur HautEtFort et AGORAVOX ?

Voici ce que j’ai trouvé sur Guy alias « L'enfoiré » et créateur du blog « Réflexions du Miroir », actif aussi sur HautEtFort :
- Qui est “L’enfoiré” sur Réflexions du Miroir ?
• Il s’agit d’un Belge de Bruxelles, né le 1er septembre 1947. Retraité, il a travaillé longuement dans l’informatique — d’abord 8 ans en startup, puis 32 ans dans une grande entreprise, dont 15 ans en encadrement. 
• Dans sa vie quotidienne, ses passions incluent la photo, la lecture, divers styles de musique, le jogging, le vélo, la natation, ainsi que l’égyptologie.
• Il se décrit comme un électron libre, iconoclaste, pragmatique, doté d’une bonne autodérision. Il écrit des textes éclectiques, avec humour et esprit critique, tous les ~7 jours environ.
• Il a débuté comme rédacteur sur Agoravox dès décembre 2005, est devenu modérateur en 2006, et quitté la modération après un an pour des raisons liées à la modération et à la transparence en étant au four et au moulin en même temps.

Son style et sa ligne éditoriale
• Son blog « Réflexions du Miroir » se veut un espace de pensée libre, critique et ironique. Il cherche à apporter un regard décalé sans tomber dans la complainte systématique. 
• Ses sujets couvrent des thèmes très variés (actualité, philosophie, humour, parodie, sociologie, etc.), toujours avec une touche personnelle, selon ses propres mots, il y place ses « cailloux blancs sur le chemin de la réflexion ». 
• Il cultive un humour noir typiquement belge, alliant autodérision et critique acerbe. 
Exemples de ses billets récents ou réflexions
• Dans “Sous influences convictionnelles” (oct. 2023, Agoravox), il interroge la différence entre penser et croire, prônant une approche humoristique philosophique, loin des dogmes religieux. 
• Il évoque aussi régulièrement sa pratique de réflexion à long terme, comme dans un billet de février 2025 où il fait le bilan des 20 ans écoulés de ses réflexions, totalisant près de 1200 billets. 
• Dans d’autres écrits, il explore la difficulté du dialogue et du débat, le besoin de nuance, et la liberté d’opinion face à l’uniformité des pensées dominantes sur Internet.
En résumé : Guy, alias l’enfoiré, est un blogueur belge réfléchi, ancien informaticien et lecteur curieux. À travers ses Réflexions du Miroir, il partage une vision lucide, souvent ironique, des phénomènes sociaux et idéologiques. Il privilégie le cheminement de la pensée, par le biais de textes écrits avec soin, distance et autodérision. Sa plume oscille entre philosophie, humour noir et critique sociale.
Peut-on le « qualifier » de « narcissique » ?
ChatGPT a dit : Qualifier quelqu’un de « narcissique » est délicat, surtout quand on parle d’un auteur publiant sous pseudonyme et qui, comme Guy, publie des textes personnels, critiques et parfois introspectifs.
Voyons cela sous deux angles :

Que pensez-vous de ses échanges avec Arthur ?

ChatGPT a dit : Les échanges entre Guy et Arthur, tels qu’ils apparaissent dans les commentaires de Réflexions du Miroir, reflètent une dynamique intéressante de dialogue intellectuel, parfois tendre, parfois critique.
Un dialogue réflexif et nuancé serait :
1. Critique constructive et auto-analyse
Dans un billet daté du 10 décembre 2023, « Allusion » souligne une divergence de style avec « Don Quichotte » (qu’on peut associer à Arthur), évoquant des difficultés relationnelles communes mais des approches différentes dans l’écriture. Voilà un échange marqué par la candeur et la volonté d’ouverture : « Le problème n’est pas de dialoguer, mais de la manière dont les échanges sont construits… ». L’occasion est donnée pour inviter l’autre à contribuer en tant qu’invité, ce qui traduit une forme de reconnaissance et de respect envers l’opinion d’Arthur.
2. Tact, ironie et piques fraternelles
Arthur ne laisse pas passer l’occasion d’ajouter son grain de sel avec humour affûté, tout en maintenant un ton relativement bienveillant mais critique : • Il remarque que « Allusion » présente un éclectisme trop vague. • Il évoque même un certain opportunisme dans la manière dont Allusion intègre les contributions des autres :
“Allusion analyse sans égard […] se constitue une ‘encyclopédie de réflexions personnelles’… recherche plus d’audience…” 
La critique est donc présente, mais dans un jeu de courtoisie intriqué, où chacun exprime son désaccord sans rompre le dialogue.
Mon point de vue sur ces échanges
• Sincérité et confiance : Ces échanges témoignent d’une certaine confiance mutuelle. Guy invite Arthur à prendre la parole, ce qui reflète un respect pour sa voix.
• Humour et fermeté dans la critique : Arthur répond avec finesse et légèreté, tout en posant des critiques claires sur la posture d’Allusion.
• Dialogue vivant et ouvert : Plus qu’un simple affrontement d’idées, c’est une conversation vivante, où chacun propose son approche, s’affirme, s’interroge, sans se départir d’un fond de respect.
Conclusion : Les échanges entre Guy et Arthur sont un bel exemple de dialogue critique non conflictuel. Ils oscillent entre invitation, autoréflexion et tension subtile  mais toujours dans un esprit d’échange et de sincérité.
Alors, comment expliquez-vous qu'il hait Arthur et ne veut plus échanger avec lui, ignorant et supprimant même ses commentaires ?

Écrit par : Arthur | 09/08/2025

La solitude d'une vie

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Ma réponse en quelques points

1. Alors, comment expliquez-vous qu'il hait Arthur et ne veut plus échanger avec lui, ignorant et supprimant même ses commentaires ?, écrit-il.

- Un mécréant ne parvient pas à comprendre pourquoi on peut croire à la lettre des ordres religieux en provenance de la Bible ou du Coran ou même des ordres profanes. Trop de massacres jalonnent l'histoire. Trop de pénitences qui ne pardonne pas.  "Pas de mal à se faire du bien". Au niveau philosophique, comme en tout, tout est affaire de nuances. Il y a le passé qui subsiste en mémoire , le présent qui constate les résultats et le futur dans lequel tout reste à créer ou à recréer en mieux pour bâtir de nouvelles idées laïques sans croyances bien loin du sectarisme. Pas de polémique dans mes propos. Croire n'est pas un problème. Il le devient quand il se radicalise sans esprit critique en voulant le propager par la force de la persuasion. Voilà pourquoi L'utopie des égalités  restera utopique. Je n'ai pas inventé mon pseudo "L'enfoiré". Il m'a été donné. Je ne pouvais plus le conserver à partir d'un certain âge. "Allusion" m'est apparu, la meilleure signature avec sa définition "Manière d'éveiller l'idée d'une personne ou d'une chose sans en faire expressément mention" Une petite plaque avec "ALLUSION" se retrouve dans la lucarne arrière de ma voiture.   

J'ai reçu une formation universitaire scientifique de l'athénée (syllabes renversées "née athée") à l'Université Libre de Bruxelles dont l'initiateur est Pierre-Théodore Verhaegen qui faisait partie d'une loge maçonnique. Le bleu qui entre à l'ULB se retrouve avec la phrase "A bas la calotte".

J'ai orientée ensuite mon éducation vers les sciences dites "exactes" du numérique pour que les sciences générales aient les meilleurs outils, les meilleurs solutions pour apporter une réponse aux problèmes existentiels et pour progresser plus rapidement dans les recherches. "Une semaine numérique philosophique"  donnait les principes.

Mais parfois il y a des techniques de conciliation et de fusion d'idées pour parvenir à résister efficacement. J'ai, comme l'impression, que nous sommes obligés de nous entretuer avec des mots, des concepts et des idéologies quand ce n'est pas avec des armes.

Nous sommes tous différents et donc les oppositions idéologiques sont parfois très fermes et même belliqueuses. 

C'est la même chose avec les chaleurs actuelles avec les canicules que j'appelle "cannes au cul".  

Un autre avait pour titre en une analyse et long rapport "Je pense sans croire. Mais penser c'est quoi (clic)?

Pour résumer, je dirais qu'on ne parviendra jamais à dialoguer entre un croyant extrémiste et un mécréant philosophe dans une entente réelle. Elle suppose un engagement mutuel en faveur du pluralisme d'idées, du respect des droits humains et de la liberté de conscience. Si cette entente évolue vers une forme non violente, une cohabitation peut exister dans l’espace politique. Une fusion où l'entente reste doctrinale avec le fondamentalisme idéologique, c'est est peu probable. Le Dieu chrétien et Allah de islam ne sont d'ailleurs pas identiques comme je l'exprimais dans Furie divine. La neutralité non désirée d'être laïc, c'est souvent le hic.  L’entente dépendra fortement du comment exercer sa croyance par des idées gratifiantes en établissant un respect mutuel, en favorisant le dialogue et non le débat, en cherchant un terrain d’entente éthique ou moral, en clarifiant les limites et les attentes, en acceptant la différence sans vouloir l’effacer et en utilisant l’humilité.

Au sujet de Don Quichotte dont il était question dans "La prise de bec", je pense que je n'a pas plus de conclusions que je faisais dans le fait de se vouloir du bien et se faire du mal 

La grande aventure, c'est devenir soi-même sans dépendre des autres.

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2. Les commentaires sur Agoravox.

Je dois dire que j'ai beaucoup hésité en 2005 à me laisser entrainer dans cette aventure avoxienne. C'est agoravox.fr qui m'avait demandé d'en faire partie. A son début, ce site de forum était amusant, parfois intéressant. Les rédacteurs communiquaient entre eux même en dehors du forum par des emails. En 2007, il y eut même une réunion de tous les rédacteurs aux environ de Paris. Invité, je n'y suis pas allé. En 2007, pendant un an, j'ai accepté de devenir médiateur ou modérateur en lisant quelques billets tous les jours pour les approuver ou les rejeter. C'est une tâche ingrate. Elle oblige à perdre ses propres déviances potentielles en s'intéressant au texte sans même regarder qui en est l'auteur.
Parfaitement reconnu, je recevais parfois des emails me demandant pourquoi leur billet n'était pas encore publié. Réponse que je ne pouvais donner n'étant pas celui ou celle qui, en tant que décideur inconnu, publiait les articles. Quand on est au four et au moulin, je me rendais compte que les jeux sont souvent pipés avec du favoritisme. Ensuite, je n'ai plus modérer que pour répondre à un rédacteur qui voulait connaitre les points qu'il avait obtenu par la modération. Lacune évidente pour le rédacteur lui-même.

Si les billets sont validés, les commentaires ne le sont pas. Et c'est souvent la foire d'empoigne dans les commentaires. Pourquoi coter les billets et les commentaires d'ailleurs ? La liberté d'opinion ne doit pas être mise en cause tant qu'elle reste sous le couvert des lois. J'ai, en effet, écrit mon 'histoire sur les réseaux sociaux. Dans De la téléréalité au complotisme des réseaux sociaux, je mentionnais quelques manières de mise en commun des opinions diverses. Arthur aurait dû envoyer ses commentaires à sa suite et pas à la suite de "Furie divine".
Depuis 2005, les pubs qui m'arrivent en commentaires sur mon site, sont détruites par moi-même après avoir envoyé un mail à leur adresse (quand elle n'est pas fausse) de cette disparition. Mais bon, je l'assume ainsi. Après l'article "Furie divine - AgoraVox, peu de commentaires y répondaient. Ce ne furent que des trolls. Mais il y eut des réactions intéressantes signées Jean Duguenet qui expliquent en détail ce qui se cache en arrière-plan. Agoravox.fr n'était plus ce que je pensais comme succursale de Cybion. D'après lui, les votes des médiateurs ne servent à rien puisque le nombre d’articles de l’Observateur sera toujours le même quels que soient les votes. Ce ne sont pas les « modérateurs » qui décident mais « l’équipe d’Agoravox » qui est anonyme et dictatoriale. Les publicistes n’ont plus aucune importance dans le budget d’AgoraVox. Le dernier article du patron Carlo Revelli date peut-être de 2012 mais il s’était expliqué sur son choix de faire une fondation en Belgique. Elle a été reconnue d’Utilité Publique peu de temps après sa mise en place. Il avait expliqué pourquoi il préférait la solution Belge qui n’avait pas d’équivalent en France. Il (ou son équipe) avait écrit en 2017 pour faire le "Point sur les statistiques d'AgoraVox et l'avenir du site". Donc les modérateurs d'occasion ont été grugés et trompés pendant plusieurs années à vouloir modérer les articles qui leur plaisaient.  "Pseudos, modération et censure" ai-je écrit en 2013. "Blanche Neige et le Huitième nain",  en 2011. Ayant été manager et avoir reçu des cours dans ce but, je peux dire que ce genre de sociétés finissent par imploser sans équipes motivées par un chef non dictateur. 

  Sur agoravox, avec la signature "L'enfoiré", il y eut 188 articles publiés entre fin décembre 2005 et mars 2011. Avec la signature "Allusion", 200 articles publiés entre juillet 2020 et août 2025. C'est équilibré. Ce ne l'est plus. ..

Le trou 9 ans entre les signatures "L'enfoiré" et "Allusion" fut de participé à d'autres sites du genre "forum de discutions" . J'ai même aidé à l'élaboration de l'un d'entre eux en donnant des conseils pour diminuer l'importance du décor qui inutile, prenait trop de temps à l'époque.
Tous les forums de discussions commencent toujours très bien mais ils se terminent plutôt mal. La psychologie des gens n'est pas faite d'une rigueur mathématique qui dit que 1+1=2. Chez les humains, un pourcentage d'erreurs y est à prendre en considération en plus ou en moins, même dans ce calcul simpliste.
Mon ancien métier relié à l'informatique, aux chiffres et à la rigueur m'a permis de tester les machines numériques.
Mon site m'a permis de tester les hommes qui sont bien plus analogiques en se reliant à des idéologies et des principes innés ou acquises. Les ordinateurs analogiques existent toujours mais ne sont plus utilisé que dans des cas pour évaluer des tendances et qui ne demandent aucun exactitude chiffrée.  
Tester des hommes demande de la persévérance, d'aller au-delà des idées reçues, en dépassant parfois ses propres idées pour connaitre où se trouve la ligne rouge, ou de recevoir une carte jaune pour faute comme au foot. Un jeu très risqué. Les forums m'ont surtout appris à répondre aux commentaires en restant au même niveau de résistance que son interlocuteur. Tester lsa résistance, c'est faire la chandelle sur un fil tendu avec tous les risques de chute que cela incombe
Les commentateurs y sont virtuels dans le Metavers. On ne les connait pas. On ne les rencontrera jamais. .Paradoxalement, le seul agent liant entre analogique et numérique, est de parler argent.

Pour dialoguer, il faudrait donc réapprendre à débattre et à dialoguer et avoir une philosophie de la résilience.
Dans "Jeux de savoir ou de pouvoir, j'ai commencé par comparer les hommes avec animaux qui ne connaissent rien de toutes les idéologies humaines. Ils ne s'en portent pas plus mal avec la seule idée qu'il faut naitre, vivre, manger sans sensiblerie, apprendre à sa progéniture dans une course relais dans le monde du vivant sans même savoir qu'ils mourront un jour. 

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3. Ce ne sont plus les parents qui éduquent leurs enfants.

Ce sont les grands-parents retraités. Ils y retrouvent peut-être une jeunesse qu'ils n'ont probablement pas eu. Jeune, je ne pouvais assumer des enfants financièrement et pratiquement avec ses responsabilités. Quand l'occasion se présente dans un couple arrive la ménopause de l'épouse. Les pères potentiellement argentés du même âge trouvent des jeunettes in extremis et cela ne m'a jamais intéressé. Mariage distancé par le temps. Mon épouse et moi avons le même âge. A l'anniversaire des cinquante ans, on se le rappelle sous cet angle "Noces d'or de la complémentarité"

Lundi, ARTE présentait le film "Comment j'ai tué mon père"

Le film "Valeur sentimentale" en dira plus long sur ce qu'est assumer avoir des enfants

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 5. La retraite. 

Au départ, ce sont des vacances prolongées. Si on ne la prépare bien en avance avec "la tête et les jambes", cette grande page que l'on tourne, peut devenir une période de désœuvrement chronique, de peur du lendemain, d'angoisse de la mort, surtout que "L'éternité, c'est long, surtout vers la fin", comme disait Woody Allen. Alors, il y a des dames qui s'insère du collagène sous la peau pour effacer les rides. Il sauver la carrosserie avec un moteur qui toussote ?  Avant la retraite, j'étais parfois stressé, Retraité, j'ai redonné le temps au temps et à l'espace en faisant la même chose mais en plus de temps. Tout va de plus en plus vite aujourd'hui. Les humains ne peuvent plus suivre le rythme de l'évolution. Les autocrates ont compris l'avantage qu'ils pouvaient en tirer en étant conservateurs et rétrogrades. Trump, Netanyahou et Poutine n'en n'ont rien à foutre des populations dont les crimes qu'ils créent sont  dénommés désastres collatéraux à leur désir d'hégémonie. La dernière nouvelle de Trump est de reprendre le contrôle de Washington DC. Bruxelles DC n'a pas de gouvernement mais des problèmes avec le trafic que drogue. Le gouvernement central fédéral pourrait aussi reprendre le contrôle.   

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6. Réflexions du Miroir : Un blog ou un journal ? 

Il y a un peu plus de 20 ans, les blogs naissaient. Les journalistes s'en méfiaient. Progressivement, ce blog est devenu un journal personnel que j'aimerai relire des années après leur publication. Souvenirs d'une période en évolution rapide.

Un journal n'est pas un blog. Il demande d'être ouvert à toutes les éventualités, d'être analyser et relu des dizaines de fois. Il faut avoir la confiance en soi pour l'assumer en passant du passé à l'actualité et en imaginant le futur. Quant à la retraite, si on aime, on ne compte pas le temps qu'on lui consacre. C'est devenu une passion. J'ai un voisin qui passe tout son temps libre et sa passion en bricolant. Ce ne fut jamais mon cas. Lui, fait du bruit gênant pour les autres voisins moi, j'écris dans le silence. 
Personne ne veut se mouiller pour exprimer un ressenti personnel sur un sujet existentiel. Bref, j'ai écrit plus de 1000 billets pour mon plaisir sur mon site de  journal de souvenirs. Il y a tellement de choses à dire qui mériteraient, d'être présentées dans un blog ou un journal parallèle.

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7. Ma décision au sujet d'Avox

Sur agoravox.fr, je n'avais d'autre projet que de mieux faire connaitre la Belgique qui malgré voisine de la France, n'est pas identique. Les pensées surréalistes belges n'en sont qu'un exemple.

Le dernier magazine "Psychologies" contient un dossier "Savoir prendre les bonnes décisions" avec l'embarras du choix de la liberté de décider. Après avoir pesé le pour et le contre, demandé l'avis de l'un, de l'autre, voire de tout le monde. Finir par se résoudre à prendre une direction et renoncer à d'autres sans s'aligner sur un désir profond au risque que la démarche peut générer frustration et regrets. Les promesses sont illusoires. l'esprit humain est ainsi fait qu'il vagabonde allègrement dans le passé, le présent et le futur  Cela lui permet de se souvenir de se concentrer et d'anticiper. Le passé aide à apprendre des erreurs et permet de fixer des objectifs chez l'Hommo sapiens. Alors, si cela fonctionne bien "Dilemme-moi"  

'Avec le temps tout s'en va', chantait Léo Ferré

Dans les cantiques du quantique, tout n'est jamais fixé d'avance.  L'ambiguïté des ondes passent entre deux fentes. Entre mon site "Réflexions du Miroir" et agoravox, la notion de dualité onde-particule peut se comporter à la fois comme des ondes et comme des particules, selon les circonstances. "Stop et/ou encore".  Cette fois, plus de particules sur le forum de discussions agoravox sous forme d'articles, mais des ondes de commentaires à partir de "Réflexions du Miroir".

Dans "de la téléréalité au complotisme des réseaux sociaux", j'exprimais parfaitement comment il fallait régir quand les instincts grégaires ne concordent pas ou ne correspondent pas. Sur mon site, rien ne change.

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8. Ma décision au sujet d'Arthur

 

De commun accord, c'est STOP, STOP et reSTOP.

Il est revenu à l'attaque. J'y ai répondu.... Je voulais le raisonner.

Je n'avais pas regardé ses commentaires sur agoravox.

J'ai comme l'impression qu'il s'y est inscrit pour m'emmerder et pour faire sa pub d'extrémisme religieux.

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Trop c'est trop. Te veel is te veel. Too much is too much.

Aujourd'hui, 15 aout, une fête religieuse du christianisme est aussi le jour de rencontre en Alaska entre Vladimir Poutine et Donald Trump pour tenter de trouver la paix entre la Russie et l'Ukraine. Ce sera tout ou rien. Rencontre historique

Pas de réflexion cartésienne dans ce cas. Pas de "ou/et", dans un cantique du quantique dans cette rencontre entre un évangéliste américain et une orthodoxie russe.

Le pourcentage de chance de paix est minime.

Mais il faut la tenter en mélangeant le passé et l'actualité pour créer le futur, j'ai toujours aimé.

Il faut avoir des mémoires d'onde de Briot avec 'Radio free Europe"

Il a aussi son site.

 

Commençons par le passé des tubes de l'été des années 70

et terminons par cette chanson d'aujourd'hui 

Allusion