27/11/2020
Tant que le courant passe
Du XVIIIe siècle et au début du XIXe, en Angleterre, au Pays-Bas, aux États-Unis, en France et en Italie, on découvre des physiciens comme Isaac Newton, Francis Hawkesbury, Pieta Van Musschenbroek, Benjamin Franklin, George Louis Leclerc, Thomas-Francois Dalibard, Henry Cavendish, Luigi Aloisio Galvani, Alessandro Volta pour retracer l'invention du générateur d'électricité statique, du paratonnerre, de la pile voltaïque, pour revenir à l'utilisation commerciale de l'électricité avec la première lampe à arc de Humphry Davy et de l'arrivée de la voiture électrique.
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Histoire de l'électricité
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Son invention au 18ème siècle
Ce 18ème siècle est une période d'inventions dans beaucoup de domaines scientifiques encore à cheval sur des envies de trouver des réponses aux phénomènes naturels par les uns et que cette acceptation ne peut être que surnaturelle et donc divine.
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Ses premières utilisations au 19ème siècle
On entre dans l'époque des Lumières sous toutes ses formes. Le magnétisme est le corollaire à l'électricité pour obtenir du mouvement. Le mouvement des informations en fait partie. La puissance résultante d'un signal (Watt) est désormais calculée en multipliant la résistance appelée tension de l'électricité (Volt) et son intensité (Ampère). Mais c'est l'intensité qui reste la maîtresse. La recherche du meilleur matériau pour la faire passer a commencé en courant continu (Thomas Edison) ou en alternatif (imaginé par Nicolas Tesla et George Westinghouse), polyphasé mais plus dangereux... Les exécutions de condamnés à mort peuvent désormais se mettre à attendre dans le couloir de la mort... A la fin de sa vie, Tesla en deviendra peut-être fou schizophrène et pauvre.
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Ses extrapolations dans les télécommunications au 20ème siècle
La relation entre les ondes et la matière s'éclaircissent progressivement pour arriver aux théories et aux pratiques de l'information.
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Conclusion
Parus en 2011, ces trois épisodes sont obsolètes, un quatrième serait nécessaire pour mettre à jour la situation actuelle. Le problème, c'est que dès sa sortie, ce nouvel épisode serait à son tour dépassé avec l'évolution exponentielle.
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Une BD comme entrée en matière au sujet des suites engendrées par l'électricité
"Un travail comme un autre", d'Alex Inker
Roman avec un garçon qui aime l'électricité et la science:.
« On naît avec quelque chose dans les veines, pour mon père, c’était le charbon, pour Marie, c’est la ferme, pour moi un puissant courant électrique. »
"Alabama, 1920, Roscoe T Martin est fasciné par cette force plus vaste que tout qui se propage avec le nouveau siècle : l’électricité. Il s’y consacre, en fait son métier. Un travail auquel il doit pourtant renoncer lorsque Marie, sa femme, hérite de l’exploitation familiale. Année après année, la terre les trahit.
Pour éviter la faillite, Roscoe a soudain l’idée de détourner une ligne électrique de l’Alabama Power. L’escroquerie fonctionne à merveille, jusqu’au jour où son branchement sauvage coûte la vie à un employé de la compagnie…
La cellule d’un pénitencier, la décomposition d’un mariage, la terre impitoyable… Une fable humaniste en résonance avec les questions économiques et sociales actuelles".
Non, ce n'est pas un travail comme un autre. C'est une manière d'effacer des esprits tous les autres événements, toutes les guerres et toutes les catastrophes du monde pour contourner les problèmes et pour combler les rêves et les envies des humains en ouvrant la boîte de Pandore.
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Les points négatifs de l'électricité
1. "La face cachée des énergies vertes". L'électricité est considérée comme l'énergie de demain pour résoudre tous les problèmes alors qu'on oublie que toutes les activités humaines créent de la pollution.
Le magazine #Investigation de la RTBF du 18 novembre repris lors du Thema de ARTE du 24 novembre présente la face cachée des énergies vertes en la présentant comme "L'écologie, un truc de riches?".
Les technologies vertes qui ont pour parties, des panneaux solaires, des éoliennes, des voitures électriques sont déployées à grande échelle pour prendre soin de notre planète qui se détériore à cause du réchauffement climatique. Respectueuses de l'environnement, ces énergies vertes nécessitent pourtant beaucoup de métaux rares avec d'énormes effets pervers des solutions propres pour parvenir à la transition énergétique dans sa production. Délocalisation des saletés et recyclages parfois impossibles dans une transition économique avec la mode de l'électricité. En Amérique latine et en Asie, des pays miniers souffrent pour permettre à l'Occident de mieux respirer et d'être "clean".
Non, la vie en vert n'est pas rose partout...
L'électricité, l'énergie la plus propre à la consommation, la plus impropre à la production avec la question annexée: comment la conserver une fois produite?
Sur ARTE, deux autres reportages suivaient: "Lithium, un enjeu européen". Le lithium, l'"or blanc", métal de plus en plus convoité que l’Europe importe à 86% de sa consommation alors que ses sous-sols en contiennent comme notamment au Portugal... et les défis de la transition écologique avec « ll est temps d'agir » pour que l'être humain préserve le climat et amorce la transition vers une cohabitation respectueuse avec la nature, au lieu d'une domination destructrice qui crée parfois des apprentis sorciers du climat qui s'évertuent de diminuer les émissions de CO2 par des moyens plus ou moins fantaisistes de la géo-ingénierie. Imiter l'effet des éruptions volcaniques en pulvérisant des particules refroidissantes dans la stratosphère, solution qui séduit les milieux conservateurs qui nient le lien entre le réchauffement climatique et l'activité humaine. Cette solution évite de se mettre les industries polluantes à dos, d'imposer de nouvelles taxes, de changer nos modes de vie, et crée du business tandis que les scientifiques prédisent des effets dévastateurs en cascade comme l'augmentation des pluies, la suppression de la mousson et la désertification.
Pendant la période des fêtes de fin de 2010, et dans le même cadre d'idée, le billet "Chéri, ni parfums, ni or, mais des terres rares" exprimait déjà l'idée d'investir en elles pour éviter que l'Occident ne se fasse étrangler un jour par la Chine.
2. La pollution lumineuse surtout dans les villes. La présence nocturne anormale ou gênante de lumière et les conséquences de l'éclairage artificiel nocturne sur la faune, la flore, le règne des champignons, les écosystèmes ainsi que les effets suspectés ou avérés sur la santé humaine. L'éclairage LED inquiète les scientifiques. Depuis l'espace, la planète Terre n'a jamais été aussi scintillante. La lumière est partout, toujours plus puissante. Moins énergivore, le LED révolutionne l'éclairage public. Sur nos routes, les lampes au sodium oranges sont progressivement remplacées par un faisceau lumineux bien plus proche de la lumière du jour avec des conséquences sur le sommeil des humains et le rythme biologique des animaux et des végétaux. De 2012 à 2016, l'éclairage planétaire a augmenté de 2% chaque année. Inondé de lumière, on estime qu'un tiers des terriens ne voit jamais les étoiles. On s'est rendu compte de ce phénomène dans les années 80 à la suite de la vision d'un ciel vide d'étoiles alors qu'une myriade d'étoiles est visible dans une nuit noire dans un désert comme j'ai pu le voir en traversant l'Egypte en pleine nuit. Finalement, aujourd'hui, le spectacle est bien plus impressionnant depuis l'espace qui attire de nouveaux spectateurs.
3. En 2008, je sortais le billet "L'éconologie, rêve ou réalité?" dans lequel je tentais de relier l'écologie et l'économie dans un but commun.
En 2018, le billet "Le dieselgate et l'addiction de l'auto" parlait déjà de des problèmes de choix de carburation qui font appel à l'électricité. Celle-ci pourra-t-elle prolonger l'existence de la voiture?
C'est aussi la question de ce débat:
4. L'énergie que le client espère la plus verte à son distributeur, ne l'est pas toujours aussi verte que ce qu'on aurait pu penser. Podcast du Scan du 23 novembre:.
5. La marketing de la voiture Tesla n'a évidemment pas intérêt à rappeler que quand il y a un court circuit et que face à un incendie de véhicule électrique, le seul moyen de l’éteindre, c’est d’utiliser de l’eau et d'introduire le véhicule électrique dans une cuve d'eau pour mettre fin à la combustion de batteries lithium ion. Ces batteries peuvent être victimes d’un phénomène dit d’emballement thermique en cas de court-circuit notamment lors de la recharge. La température de la batterie peut alors dépasser une centaine de degrés, ce qui conduit à un embrasement spontané du véhicule. Le constructeur américain Tesla conseille aussi de vérifier pendant une période de 48 heures qu’aucun «point chaud» ne persiste dans les compartiments de batteries en utilisant une caméra thermique.
6. La suppression des centrales nucléaires est planifiée en 2025 et elle revient régulièrement en question plus on se rapproche de l'échéance. Le nucléaire a mauvaise presse à cause des risques de son utilisation par la fission nucléaire de gros noyaux atomiques et l'invité du 28', Gaspar d'Allens n'y dérogeait pas, mercredi, pour son livre "Cent mille ans". Sera-ce en fin de course, un "electricgate" comme il est dit dans le documentaire sur l'énergie verte? L'électricité se produit via plusieurs voies par la géothermie, l'éolien, le solaire, l'hydrogène et le nucléaire. La meilleure optique est peut-être de réaliser des compromis et des systèmes hybrides.
Mais il y a deux voies pour produire de l'électricité via le nucléaire.
Ce sujet, je l'ai couvert dans ce billet de 2011 "Le soleil sur Terre" qui avait été écrit en pleine crise de Fukushima. Le problème, c'est que contrairement à l'utilisation actuelle du nucléaire se produit par la fission de gros atomes radioactifs. L'exploitation commerciale de la fission nucléaire a nécessité quatre ans pour être mis en fonction. La fusion d'atomes simples comme l'hydrogène, elle, est moins dangereuse et ne produit pas ou peu de déchets (explication: ).
Reproduire l'énergie, produite par le soleil, demande une cinquantaine d'années de plus car le soleil garde jalousement ses secrets.
Icare n'as pas compris que l'énergie du soleil est la plus forte, et que penser aller lui donner rendez-vous avec des ailes de cire, c'est toujours risquer de finir par se planter à cause de la pesanteur..
Alors, un Black Friday, un Green Friday ou un Pink Friday?
En 2014, on craignait le blackout et de se retrouver dans le noir pour les fêtes dans ce billet "Du noir au feu".
Cette année, on n'en parle plus.
Le menu des contacts sera plutôt restreint autour de la table des conversations ou très seul, devant la télé, mais, avec de l'électricité.
A quoi s'attendre pour Noël?
Une pénurie d'électricité comme on le prédisait précédemment?
Tout s'éclaire quand il y a de l'électricité, enfin presque...
Jupiter ne ferait pas mieux.
Il a déjà démissionné dans la mythologie grecque.
Vacances d'hiver sans ski cette année, pas de remontée alors un cactus peut-être, .
Enfin, le courant passe entre les hommes dans le transfert des informations en utilisant les bonnes formules.
Rien de perdu sur les réseaux sociaux et les conversations électriques.
Mais au fait, pourquoi écrit-on aussi gentiment dans l'histoire quand on parle d'énergie et de son orthographe?
Allusion,
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29/11/2020: L'avion de demain?
30/11/2020: Un nouveau cactus pour donner des suggestions pour passer les fêtes avec ce qu'on peut parce que ce n'est pas essentiel mais qu'on ne peut pas faire parce que ce qui n'est pas essentiel pour certains, peut le devenir pour d'autres parce qu'il faut consommer mieux pour l’alimentation, la santé, l’eau, l’électricité, l’aménagement du logement . Les sorties, la culture et les loisirs, c'est pour plus tard? Quand est-ce "tard"?
11/12/2020: la France peut-elle se passer du nucléaire de fission ?
Mardi 8 décembre, Emmanuel Macron a tenu un discours sur la fierté française du nucléaire à Creusot, après que l’Autorité de sûreté du nucléaire a recommandé une prolongation de vie des centrales. Le président a réaffirmé la nécessité de cette énergie pour un futur décarboné, alors que les énergies vertes montrent de plus en plus leurs limites. Ce discours arrive à la suite de la publication par Greenpeace d’un document secret sur l’EPR de Flamanville, qui révèle des failles de sécurité dans les centrales. Mais dans notre combat contre le réchauffement climatique, peut-on vraiment s’en passer ? Y a-t-il des alternatives ?
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Commentaires
Une poignée de pays détient les clés de la ‘révolution verte’ européenne
Tous les 3 ans, la Commission européenne actualise sa liste des ‘matières premières critiques’. Il s’agit de métaux, minéraux et matières naturelles importants sur le plan économique et qui présentent un risque élevé de pénurie d’approvisionnement, notamment parce que la production est aux mains d’un très petit nombre de pays, voire d’un seul.
La ‘révolution verte’ initiée par le ‘Green Deal’ européen sera fortement dépendante de la production de matériaux rares et actuellement concentrée dans un nombre très restreint de pays à travers le monde. Éoliennes, panneaux solaires, véhicules électriques, ampoules LED, etc. sont autant de dispositifs plus écologiques, mais qui dépendent de matières relativement rares, aux noms méconnus comme dysprosium, néodyme, gallium, indium…
Alors que l’OCDE table sur un doublement de la demande mondiale en matières premières d’ici 2060 – de 79 milliards de tonnes à 167 milliards de tonnes – la Commission européenne établit depuis 2011 une liste des ‘matières premières critiques’. Celle-ci constitue un outil l’institution notamment dans le cadre de la négociation d’accords commerciaux, lorsqu’il s’agit de cerner les besoins en investissements, pour orienter la recherche et l’innovation ou encore pour orienter le recyclage, voire promouvoir l’économie circulaire.
30 matières premières critiques
Pour établir sa liste 2020, la Commission a procédé à l’évaluation de 83 matières différentes. L’importance économique (utilisations finales, applications industrielles…) et le risque de pénurie d’approvisionnement (concentration au niveau national de la production mondiale, gouvernance des pays fournisseurs, dépendance de l’UE à l’égard des importations…) constituent les deux principaux paramètres pris en compte pour déterminer le degré de criticité pour l’Union européenne. C’est pourquoi des matériaux relativement rares en quantité côtoient sur la liste des matières plus répandues comme le caoutchouc. Au final, il en ressort une liste de 30 matières, dont 26 étaient déjà reprises en 2017 et auxquelles 4 nouvelles se sont ajoutées.
Si l’hélium a disparu de la liste en raison d’un recul de son importance économique, il reste toutefois un sujet de préoccupation pour la Commission en ce qui concerne la concentration de l’approvisionnement. Le nickel, utilisé entre autres pour la fabrication des batteries – fera également l’objet d’une surveillance particulière de la part de la Commission à l’avenir.
La domination chinoise
De manière générale, l’approvisionnement de bon nombre de ces matières premières critiques est fortement concentré. Par exemple:
La Chine fournit 98% de l’approvisionnement de l’UE en terres rares.
La Turquie fournit 98% de l’approvisionnement de l’UE en borate.
L’Afrique du Sud couvre 71% des besoins de l’UE en platine.
Et l’UE dépend d’entreprises individuelles pour son approvisionnement en hafnium et en strontium.
Tous matériaux confondus, l’Union européenne est dépendante de la Chine à hauteur de 44% de ses approvisionnements. Loin derrière, on retrouve la Turquie comme second fournisseur avec seulement 6% des parts de marché.
Cette concentration est le fruit d’une répartition inégale et d’un accès variable à ces matières premières à travers le globe. A titre d’exemple, le sous-sol chinois renfermerait 29 des 30 matières premières critiques à l’UE et le pays détiendrait 66% de l’ensemble de ces ressources, peut-on lire sur le site du journal français Les Echos.
L’Afrique du Sud profiterait, elle, d’un quasi-monopole sur les métaux du groupe des platines: iridium (92%), platinium (71%), rhodium (80%), et ruthénium (93%). Le Brésil possèderait 92% des parts de marché pour le Niobium. La République Démocratique du Congo abriterait 59% des réserves mondiales de cobalt, etc.
https://fr.businessam.be/une-poignee-de-pays-detient-les-cles-de-la-revolution-verte-europeenne/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter_du_matin_la_maison_blanche_prioritaire_pour_le_vaccin_trump_contredit_son_porte_parole_lockdown_party_les_amendes_sont_trop_faibles_ia_taxis_sexe_voici_a_quoi_ressemblera_le_monde_en_2050&utm_term=2020-12-14
Écrit par : Allusion | 14/12/2020
Répondre à ce commentaireLe coût caché (et exorbitant) du boom des voitures électriques
Pour atteindre ses objectifs climatiques, l’UE table sur une multiplication par environ 50 du nombre de véhicules électriques sur les routes européennes d’ici 2030. Mais pour recharger toutes ces voitures, des investissements massifs seront nécessaires pour installer des millions de points de chargement.
Dans le cadre de ses efforts visant à réduire d’au moins 55% ses émissions de CO2 d’ici la fin de la décennie (par rapport aux niveaux de 1990), l’Union européenne espère franchir la barre des 30 millions de voitures électriques en circulation à l’horizon 2030.
Une politique qui nécessitera un grand coup d’accélérateur sur ce segment puisqu’en 2019, l’UE ne dénombrait encore que 615.000 véhicules de ce type sur ses routes.
Et des investissements massifs seront également indispensables en termes d’infrastructure.
80 milliards d’euros
En effet, on recense actuellement moins de 250.000 points de rechargement pour véhicules électriques à travers toute l’UE. Ce nombre devra passer à 3 millions au cours des dix prochaines années, ce qui nécessitera des investissements à hauteur de 80 milliards d’euros, fait savoir ce mardi l’association sectorielle Eurelectric, rapporte l’agence Reuters.
Selon un rapport rédigé par cette organisation, qui représente les intérêts de l’industrie électrique au niveau européen, et le cabinet Ernst & Young (EY), l’extension de l’infrastructure de recharge nécessitera 20 milliards d’euros pour les chargeurs publics et 60 milliards d’euros pour les chargeurs privés.
Et le déploiement est actuellement ‘bien en deçà de l’objectif’, précise le rapport.
Véhicules utilitaires
Eurelectric ajoute que d’ici 2030, l’UE comptera 10,5 millions de véhicules électriques exploités par des entreprises ou des entités publiques. À l’heure actuelle, on ne dénombre que 420.000 véhicules de ce type sur une flotte totale de 63 millions.
Mais l’essor de l’e-commerce devrait donner un nouvel élan au développement des véhicules utilitaires (camionnettes, camions, etc.) 100% électriques, alors que peu de modèles sont actuellement disponibles sur le marché.
https://fr.businessam.be/le-cout-cache-et-exorbitant-du-boom-des-voitures-electriques/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter_du_matin_le_vaccin_russe_aux_portes_de_leurope_les_ultra_riches_americains_en_danger_jeff_bezos_va_quitter_son_poste_de_ceo_d_amazon&utm_term=2021-02-03
Écrit par : Allusion | 03/02/2021
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