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Dans mon dernier billet, je disais que je ne savais pas trop ce qu'était le bien et le mal. Pour les grands, c'est une invention religieuse pour empêcher de tourner en rond et pour éviter les coins en blanc cassé. Pour les petits, c'est sous forme de conte du type "Blanche neige" qu'on leur gave tout en nuances. Le bien est aussi souvent associé aux gentils et le mal aux méchants. Je n'ai pas reçu cette éducation judéo-chrétienne.
Mon enthousiasme se reflétait dans quelques billets. De déception en déception, il s'est un peu effrité, ces derniers temps.
La lassitude demande donc un passage à vide.
Dernièrement, je lisais un article au sujet d'un interview de Catherine Frot.
- Les personnages de méchants sont-ils plus intéressants à jouer ?, demandait la journaliste.
- Je confirme, les méchants font appel aux parts de l'ombre de l'être humain qui sont enfouies en nous et c'est souvent ce qu'il y a de plus intéressant à jouer. Dans le téléfilm "La tueuse caméléon" de Josée Dayan, j'incarne une redoutable psychopathe, tueuse en série froide et calculatrice qui use du mimétisme afin de prendre la place de ses victimes. La tragédie inspirée d'une histoire vraie déroulée aux États-Unis de quelqu'un malade qui joue en permanence au mensonge. On se retrouve dans une autre dimension au-delà-de la norme", répondait Catherine Frot.
Un copain me disait avec perspicacité et humour : "L'homme, méticuleusement dépouillé de son libre arbitre, façonné par les canons de la pensée que représentent les médias et la société, a tendance à recréer où ils n'existent pas, les règles et les modes de fonctionnement les plus crétins par mimétisme.Ainsi on retrouve dans le merveilleux monde des médias alternatif, la même éditocratie, la même course à l’échalote, le cirage de pompes et la portée aux nues d'égos plus médiocres les uns que les autres. Forcément, c'est à l'échelle. Pour le dire autrement, comme il y a moins de compétiteurs, le niveau est plus bas encore que dans les médias. On finira par trouver du pétrole ou débouler dans le salon d'un Chinois".
"Le cinéma, c'est un moyen de se rendre compte que nous vivons dans deux réalités culturelles distinctes", disait, mercredi, Fabrice Grosfiley.
La nouvelle comédie "Rock'n Roll" est une auto-fiction
Elle explique en partie ce qui se passe dans la société
Interrogé pour son film, Guillaume Canet disait : "La société se recentre sur l'apparence d'elle-même pour entrer dans une norme calquée sur le jeunisme et pour chercher son réconfort sacralisé tout en se culpabilisant implicitement par des interdits et du politiquement correct".
Tout cela construit un paradoxe qui baigne dans un mensonge quotidien dans lequel les extrêmes se rencontrent.
Les "bien intentionnés" feront la moue derrière des simagrées du "faux-culisme".
Les "mal léchés", eux, se retrancheront derrière une haine des autres.
Résister c'est peine perdue en échanges de pongistes jusqu'à l'abandon d'un des adversaires.
Adopter la philosophie du maillon faible en utilisant la force de l'adversaire pour le surprendre avec humour en espérant le désarçonner et le faire revenir à la phase "raison", ça marche ou ça rate.
C'est dommage, mais c'est ainsi.
Deux coqs sur un même fumier ne parviendront pas à trouver un terrain d'entente, un des deux devra prendre ses quartiers divers.
Rester froid, cool, ça s'apprend.
L'actualité, elle, est ce qu'elle est.
Certains tweetent dans l'urgence sans rien analyser.
J'ai toujours essayé de prendre du recul pour analyser un phénomène de société et une analyse ne s'écrit pas dans un tweet.
Elle impose de s'adapter à une situation d'une façon ou d'une autre pour ne pas se laisser emporter par elle.
Réponse donnée : "Notamment en ne le laissant pas seul plusieurs heures".
Oui, mais... Pour lui dire quoi et qui serait accepté par lui ?
Les conflits d'intérêt
"Un conflit d'intérêts apparaît quand un individu ou une organisation est impliquée dans de multiples intérêts, pouvant corrompre la motivation à agir sur les autres", dit Wikipédia.
Pour qu'il y ait conflits, il faut des intérêts souvent financiers.
La corruption est un mot tellement à la mode dans l'actualité...
L'épisode avec cette Québecoise pour tenter de briser les défenseurs de la Wallonie lors de la signature du CETA est une autre manière :.
La sensiblerie est une technique bien connue par de très habiles interlocuteurs.
La foire aux fausses bonnes idées deviennent contre-productives, cyniques à laver plus blanc que blanc.
Les mandats, c'est comme le vin.
Il faut les consommer avec modérations et raisons.
Ce conflit d'intérêt a même été utilisé dans l'affaire du survol de Bruxelles par la Flandre comme moyen pervers d'éliminer ce qui gêne pour soi aux détriments des autres.
Et si on inventait des avions à décollage verticale dans le le secteur public ou bien des avions hybrides qui décolleraient avec la force de l'électricité et continueraient leur route dans le ciel au Kéro de zézène en attendant le soleil pour retenir les ailes ?
Mais, les intérêts sont parfois très bien cachés même en dehors du côté financier.
Le fond et la forme que prennent les choses sont aussi une façon d'entrer en conflit.
Le savoir a une valeur non-marchande.
Il devient un pouvoir par la reconnaissance de ceux qui en sont démunis.
Il est utilisé pour ridiculiser l'autre.
De manière impérative, le chef du clan dit "faites ce que je dis et pas ce que je fais" parfois même avec une larme de crocodile dans le coin de l’œil pour émouvoir.
C'est de bon ton que le "Merci pour votre contribution" prenne les formules de politesse pour le dire en commençant par "Cher…" et en terminant par "Cordialement".
Le populisme existe de tellement de manières moins évidentes.
Le coin de l'humour
Ce n'est pas pour rien que j'introduis l'humour dans mes billets.
Psychomediarappelle qu'il y a quatre styles d'humour utilisés dans la vie de tous les jours.
Bien que les styles d'humour utilisés par une personne varient selon la situation, ils ont tendance à constituer une caractéristique relativement stable de la personnalité.
Les styles d'humour adaptatifs qui favorisent la santé psychologique et le bien être
L'humour affiliatif est utilisé pour amuser les autres. Il est bienveillant. Il facilite les relations et réduit les tensions interpersonnelles. Les gens qui utilisent ce style aiment rire avec les autres.
L'humour renforçant pour soi-même est utilisé pour voir le bon côté des situations négatives et aide maintenir une attitude positive. Il implique la capacité de rire de soi-même et de ce qui arrive d'une façon constructive et non préjudiciable. Cet humour aide à faire face au stress et à réguler les émotions. Il favorise l'estime de soi.
Ce serait le clan des gentils, les compatissants.
Les styles d'humour inadaptés sont négativement liés au bien-être
L'humour agressif est caractérisé par l'utilisation de sarcasme, de dénigrement, de taquineries, de moqueries, de critiques... au détriment des autres. Ce type d'humour ignore ou néglige souvent l'impact qu'il peut avoir sur les autres. Il peut être utilisé pour rehausser les sentiments positifs envers soi-même et améliorer une faible estime de soi.
L'humour rabaissant pour soi-même utilise trop un dénigrement de soi-même. Il est utilisé pour gagner l'approbation et l'acceptation des autres et ainsi améliorer les relations mais aux dépens des sentiments positifs envers soi-même
Ici ce serait plutôt le clan des méchants mécréants.
La revue Personality and Individual Differences par le psychologue Graeme Galloway, a montré l'existence de 4 profils :
Certaines personnes se situent en haut de la moyenne pour tous les types d'humour ;
À l'inverse certaines se situent en bas de la moyenne pour tous ces types
Certaines se situent en haut de la moyenne pour les styles adaptatifs et en bas pour les styles inadaptés ;
D'autres utilisent moins que la moyenne l'humour positif et plus que la moyenne l'humour négatif.
- Où est-ce que vous vous situez dans ce jeu humoristique de quilles ?
- Dans les deux, Sergent... D'abord, je sens que vous valez la peine de m'intéresser à votre cas. Ensuite quand vous prenez des airs de dictateur en disant que je joue votre partition. Là, la résistance m'amuse un certain temps.
- Un certain temps ? Que voulez-vous dire?
- J'ai bien retenu votre leçon, Sergent. Ne me dites plus que je suis une andouille. C'est le même temps qu'il faut au fut du canon pour se refroidir.
Guillermo Guiz disait qu'il y a des victimes de règlement de compte moins bétonné que les textes à "OK Corral" .
Bruno Coppens, lui, remarquait que s'appeler "Michel centime" quand on est vice-président d'un milliardaire, cela fait plutôt paradoxal .
Mike Pence qui a joué le gentil shérif était-il le faux-cul qui oubliait les préceptes édictés par son patron, Trump pour se retrouver en premier sur la liste de successeurs ou était ce pour amadouer ses hôtes?
Thomas Gunzig commençait par l'auto-dérision et terminait par une gifle au créationnisme et au racisme
Cela fait beaucoup de prétendants à la deuxième place.
Quand on n'est pas manchot de la parole, il s'agit de justifier ses actions et de trouver les bons arguments pour appuyer ses thèses pour éviter le chaos.
Quand on est un manchot physique,
le comique prend tout son sens avec Ben & Arnaud Tsamere
Quelqu'un m'a dit un jour, "Tu ne cherches pas la bagarre mais elle n’est pas pour te déplaire".
Cela doit être vrai puisque sinon je serais sorti des forums de discussions qui frisent parfois l'insulte ou le ridicule de circonstance.
Mais parfois, il y a des choses intéressantes à lire et à apprendre et cela compense.
La dérision se meurt.
Poussée par toute une série d'événements locaux ou internationaux, la dérision et l'autodérision se sont ternies.
Les gens tirent la gueule.
Entre faux gentils ou gentils virus dans un rôle théâtral plus ou moins clair mais toujours emprunt de ses racines et de ce qui fait son entourage qu'on construit son humeur du jour.
Le cynisme et le machiavélisme s’intensifie dans une bataille de l'information et de la désinformation.
Je suis heureux que des choses de la vie changent. J'étais enthousiasme pour cela.
On apprenait cette semaine que la génération Y ne désire pas trop monter dans la hiérarchie du management mais qu'ils aiment fonder l'exercer dans leur propre entreprise: .
Je les comprends parce que avoir un mauvais coucheur au dessus de soi ne permet plus d'exercer une profession pour laquelle le jeune a été formé et qui a trouvé un boulot à force de patience.
Dans le monde du virtuel d'Internet, j'ai joué les impromptus depuis douze ans.
J'ai appris à m'armer l'esprit contre toutes les tentatives de putsch de la pensée des autres.
Comme chacun est différent, cela se construit parfois dans une déconfiture inimaginable.
La société évolue par à-coups quand elle se sent obligée de le faire.
La résistance est un mouvement temporaire lié à des émotions.
Dans la suite, la raison prend le dessus pour ne pas perdre l'avantage de l'expérience négative et pour rebondir.
Quand la psychologie entre en fonction .
L'édito de la rédac en chef du dernier "Psychologies" disait : "Depuis le début de l'humanité, nous avons bâti des hiérarchies imaginaires entre hommes et femmes, entre couleurs de peau différentes, entre riches et pauvres, entre croyant et non-croyants, entre Occident et autres parties du monde. Classer la population et diviser le monde en catégories fictives freine la transition nécessaire vers plus de solidarité et d'ouverture aux changements. Nous nous sabotons à être parfaits, forts, rapides, empathiques, opiniâtres. Le besoin actuel est de croire en nous et en notre capacité de résoudre ensemble les problèmes ardus pour vaincre le mal-être ambiant.".
Bon édito auquel il faudrait ajouter:
La fiction se retrouve parfois à la recherche d'un "mieux vivre" dans un flux d'informations qui se veut représentatifs de vérités.
Les vérités se retrouvent dans les raisons énoncées chez ceux qui nous ressemblent comme un bagage initial auquel on ne peut déroger sous peine de sanction par la société dans lequel on vit.
Le bonheur se traduit avec le bien pour effacer son malheur et avec un mal pour cacher son bonheur.
Michel Onfray, dans son dernier livre "Décadence", voit dans la décadence de la civilisation judéo-chrétienne, la mort de l'Occident :.
Pour développer une philosophie de l'Histoire, une réflexion sur la longue durée qui retrace la naissance, la croissance puis la sénescence par la déliquescence et la dégénérescence de la civilisation judéo-chrétienne (et il répond aux critiques).
Dans la nature de l'homme, rien ne vient tout seul. Il y a une logique qui dit que toutes les civilisations naissent, grandissent, vieillissent et disparaissent.
Dans un "enfer spirituel", ceux qui sortent du lot, sont ceux qui s'adaptent à l'évolution bousculée du temps.
Trouver des solutions les plus simples aux problèmes complexes et faire la balance entre les aspects positifs et négatifs est affaire de raisonnement.
Les références ne sont qu'une base de départ, mais une maigre consolation quand le succès n'est pas au rendez-vous en fin de parcours.
Engager du personnel et l'intégrer dans une équipe, cela a fait partie de mes attributions dans les temps anciens sur une première marche de la hiérarchie.
Je me suis quelques fois retrouver entre le marteau et l'enclume.
"La technicité n'est plus seule, l'expérience du terrain prime plus souvent qu'on le pense pour déterminer celui ou celle qui s'intégrera le mieux dans l'équipe déjà en place.
Le talent est plus à trouver dans l'imagination et le potentiel de l'intégration d'un candidat qu'avec le support des qualifications et des diplômes qui les accompagnent.
La connaissance de rudiments de la psychologie évite les catastrophes.
Quelques notions intéressantes sur le sujet se retrouvent dans le lien ci-dessous:
De nombreuses ‘personnes exceptionnelles’ adoptent certaines habitudes qui expliquent leur succès. Nous sommes ce que nous répétons tous les jours.
"L’excellence n’est alors plus un acte mais une habitude”, disait Aristote.
Déterminez vos objectifs à long terme. Pour réussir dans la vie, vous devez savoir où vous allez. Consacrer quelques minutes de réflexion par jour à propos de vos objectifs, vous aidera à prendre des décisions stratégiques.
Élaborez un plan au quotidien. Tout le monde a des tâches à accomplir quotidiennement. Demandez-vous si elles contribuent vraiment à la réalisation de vos objectifs sur le long terme.
Demandez de l’aide. Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse. Personne n’est capable de réaliser de grandes choses seul. Faites preuve de politesse lorsque vous demandez de l’aide et n’oubliez pas de montrer votre reconnaissance à la personne qui vous a aidé.
Ayez un mentor et soyez-en un pour autrui. Cela ne doit pas être une personne bien définie, mais donner et recevoir des conseils appropriés au quotidien est l’occasion de recueillir et de transmettre beaucoup d’informations.
Pardonnez-vous vos erreurs. Même les personnes exceptionnelles sont humaines. Rester trop centré sur vos erreurs ne rend pas service à votre estime de soi. Apprenez de vos erreurs et allez de l’avant, personne n’est parfait.
Tenez un journal de bord. Il est bon de faire tous les jours le point, même brièvement, de ce que vous avez accompli. Cela aide à voir les choses avec plus d’objectivité et à suivre l’évolution.
Construisez votre confiance en soi. Même les plus grands leaders ont peur de l’échec. Des solutions à ce problème ? Demandez conseil à vos mentors (voir le point quatre) et apprenez de vos erreurs.
Remerciez et complimentez. Il n’y a rien de plus efficace que de faire un compliment ou de remercier quelqu’un pour le travail qu’il a accompli afin de donner un coup de pouce à sa confiance en soi. Et si vous le faites, vous verrez que vous recevrez encore davantage en retour.
Mettez l’accent sur les autres. Sachez que vous laissez une impression de vous-même à chacune de vos rencontres. Il y a de nombreuses personnes que vous ne verrez qu’une seule fois dans votre vie. Essayez donc tout le temps de vous voir à travers le regard des autres et veillez à ce que cette image soit positive.
Faites du sport. Cela vous rendra physiquement et mentalement plus fort.
Renoncez à toutes les choses que vous essayez depuis longtemps mais qui n’ont pas porté leurs fruits, même si vous avez déjà investi beaucoup de temps et d’énergie.
Contrôlez les détails. Il est évident que vous devez savoir déléguer si vous souhaitez atteindre de grands objectifs. Mais en examinant de temps en temps un détail du travail accompli, vous vous assurez que les personnes qui travaillent pour vous respectent vos normes.
Riez, surtout de vous-même. Vous devez poursuivre vos objectifs avec passion, mais cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas occasionnellement vous permettre de relativiser grâce à une dose d’humour. Cela prévient de nombreux drames et tragédies.
Dormez suffisamment. Dormir moins de sept heures est la raison pour laquelle 95 % de l’humanité perd en performance. Ne privez donc pas votre corps de ce besoin.
Restez curieux. Quelle que soit la forme que prend cette curiosité, assurez-vous de poursuivre votre apprentissage tout au long de votre vie. S’arrêter, c’est reculer.
Cultivez des intérêts autres que le travail. Personne n’est plus ennuyeux que quelqu’un qui ne sait parler que de son travail, même si ce travail est fascinant.
Partagez ce que vous trouvez intéressant.
Avez-vous mis les conseils précédents en pratique ? Bravo, vous êtes déjà une personne d’exception. Permettez maintenant aux autres de profiter de vos expériences exceptionnelles en en parlant, sinon personne ne saura à quel point votre vie est fascinante.
Arrivera-t-on un jour à comprendre l'autre et à se supporter soi-même ?
Reculer dans le temps, la décadence annoncée, c'est un peu ce que font certains blogs en partageant leurs expériences mais dans des processus différents.
Extrait de "La sagesse de nos colères" de Marc Pistorio:
Le dixième anniversaire du blog de Paul Jorion
Hier, Paul Jorion fêtait le dixième anniversaire de son blog.
Dans les deux interprétations pour corriger la même situation, ce furent pris comme du blabla en textes ou en paroles pour les uns et une recherche d'un moyen de sortir de la situation de crises à répétition pour d'autres.
C'est le sort de tous ceux qui tentent parfois vainement de rechercher l'origine de notre actualité.
Des contacts se font et se défont dans un tel laps de temps.
On ne peut pas plaire à tout le monde que ce soit par la forme ou par le fond.
Dans sa vidéo ci-dessus, Paul faisait le bilan de ces dix années.
"Le blog est en perte de vitesse. Tout n'est pas négatif mais il y a encore beaucoup de choses à dire et à faire", disait-il.
Pour moi, mon blog, c'est un journal personnel que je laisse lire si cela intéresse, sans plus.
Il y a aussi une régression de la fréquentation.
Les blogs n'ont plus la cote.
La fréquentation a augmenté sur les réseaux sociaux bien connus. Cela ne prend pas de temps pour cliquer sur le bouton "J'aime".
Sur les forums, les billets des rédacteurs ne sont souvent qu'un prétexte pour commenter un mal-être qui ne se trouve dans le billet.
Donneur de leçons par mes billets ?
Absolument pas. Receveur de leçons. S'il y a leçons, elles sont plutôt égocentriques.
Avec humour, je dirais que mes billets ne sont pas faits pour être lus mais pour être relus pour m'apercevoir dans ce journal ce qui tient ou non encore la route dans l'actualité du moment.
En candide mécroyant mais pensant, je reste ouvert et en phase d'apprentissage à l'écoute avec intérêt.
Une lassitude devant les critiques gratuites s'est installée.
Cette fois, j'ai besoin d'un mois sabbatique pour me remonter les bretelles.
Synopsis: Dans le département du Pas-de-Calais, Pauline est une jeune infirmière libérale qui doit en permanence tout concilier : son métier où elle croise la misère sociale, ses enfants qu'elle élève seule, et son père ancien métallurgiste à la retraite dont elle doit s'occuper. Souhaitant profiter de sa popularité dans son quartier, des dirigeants d'un parti extrémiste, le Bloc patriotique, lui proposent d'être leur candidate aux prochaines municipales. Bien qu'elle ait grandi dans la culture communiste, Pauline se laisse séduire par les discours d'Agnès Dorgelle, la présidente de ce parti nationaliste qui affirme se préoccuper du sort des ouvriers. Elle accepte donc la proposition et se met à battre campagne dans sa ville. Toute sa vie en est alors chamboulée car beaucoup de gens de son entourage commencent alors à se détourner d'elle.
Banalisation d'un discours extrémiste, raciste et antisémite...
Je m'en voudrais de ne pas parler du livre de Jacques Lecomte "Le monde va beaucoup mieux que vous ne le croyez".
Attentats, chômage, crise économique, crise écologique, etc. l'impression générale est que tout va de plus en plus mal, et que le monde serait devenu une poudrière. La réalité est toute autre : ces quinze dernières années, sur l'ensemble du globe, la pauvreté, l'analphabétisme et les maladies n'ont jamais tant reculé. Quant à la violence, elle connaît, depuis plusieurs siècles, un inexorable déclin. Dire que le monde va mieux que nous ne le pensons ne signifie pas que le monde va bien. Mais le réalisme, c'est aussi de mesurer le chemin déjà accompli. L'optiréalisme désigne ce double regard à la fois positif et lucide : le vrai optimisme a besoin de réalisme pour ne pas tomber dans l'illusion, mais la forme la plus appropriée de réalisme consiste à être un optimiste actif.
Les catastrophistes sont contre-productifs et mènent à l'immobilisme et à sa soumission à une politique autoritaire
Commentaires
Le film "Chez nous" de Lucas Belvaux
Synopsis: Dans le département du Pas-de-Calais, Pauline est une jeune infirmière libérale qui doit en permanence tout concilier : son métier où elle croise la misère sociale, ses enfants qu'elle élève seule, et son père ancien métallurgiste à la retraite dont elle doit s'occuper. Souhaitant profiter de sa popularité dans son quartier, des dirigeants d'un parti extrémiste, le Bloc patriotique, lui proposent d'être leur candidate aux prochaines municipales. Bien qu'elle ait grandi dans la culture communiste, Pauline se laisse séduire par les discours d'Agnès Dorgelle, la présidente de ce parti nationaliste qui affirme se préoccuper du sort des ouvriers. Elle accepte donc la proposition et se met à battre campagne dans sa ville. Toute sa vie en est alors chamboulée car beaucoup de gens de son entourage commencent alors à se détourner d'elle.
Banalisation d'un discours extrémiste, raciste et antisémite...
http://www.rtbf.be/auvio/detail_coupe-au-montage?id=2189413
Écrit par : L'enfoiré | 27/02/2017
Je m'en voudrais de ne pas parler du livre de Jacques Lecomte "Le monde va beaucoup mieux que vous ne le croyez".
Attentats, chômage, crise économique, crise écologique, etc. l'impression générale est que tout va de plus en plus mal, et que le monde serait devenu une poudrière. La réalité est toute autre : ces quinze dernières années, sur l'ensemble du globe, la pauvreté, l'analphabétisme et les maladies n'ont jamais tant reculé. Quant à la violence, elle connaît, depuis plusieurs siècles, un inexorable déclin. Dire que le monde va mieux que nous ne le pensons ne signifie pas que le monde va bien. Mais le réalisme, c'est aussi de mesurer le chemin déjà accompli. L'optiréalisme désigne ce double regard à la fois positif et lucide : le vrai optimisme a besoin de réalisme pour ne pas tomber dans l'illusion, mais la forme la plus appropriée de réalisme consiste à être un optimiste actif.
Les catastrophistes sont contre-productifs et mènent à l'immobilisme et à sa soumission à une politique autoritaire
http://www.babelio.com/livres/Lecomte-Le-Monde-va-beaucoup-mieux-que-vous-ne-le-croyez/923344
Écrit par : L'enfoiré | 27/02/2017
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