Julien Doré, Loïc Nottet, Mustii, Benjamin Biolay, Raphaël, Louane, Allez Allez, Noa Moon, Henri PFR, Black Wave, Charlotte, Alex Germys, Blanche, Klö Pelgag, etc sont montés sur scène sous une pluie battante.
30/09/2017
C'est la fête aux désaccords...
Le 27 septembre, c'était, une nouvelle fois, la fête de la Communauté Wallonie-Bruxelles.
Cette année, un parfum particulier de crises sournoises s'en dégage avec des grincements de dents dans une entente forcée.
Il faut une opposition à toutes idéologies.
J'écrivais récemment "Réussir ses échecs"
Alors, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur, selon la formule consacrée.
En 2010, cette fête de la Communauté française, je l'avais baptisée dans "La fête du surréalisme".
Je remettais le couvert en 2011 avec "Communauté mixtes en fête" avec une question: "N'est-ce pas une preuve que ça marche dans la durée?"
Voyons les différentes manières d'y arriver...
Le programme de cette année était-elle bien plus réaliste pour la fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles fête l’indépendance de la Belgique?
Le 27, les enfants pourront profiter d’un jour de congé, puisque toutes les écoles seront fermées. Films et concerts gratuits pendant ces cinq jours partout à Bruxelles et en Wallonie pour promouvoir le patrimoine culture.
Pour les politiques, qui n'étaient plus là, c'était plutôt la fête aux bras cassés des désaccords.
Dans un étrange concours de circonstances, la fête du 27 des désaccords se poursuivait en épisodes sur l'antenne de ARTE.
Le "28 minutes" invitait Alain Finkielkraut et Elisabeth de Fontenay à la suite de leur livre "En terrain miné" qui consacrait leur art du désaccord pendant 40 ans d'amitié et de querelles.
Échange de points idéologiques entre conservateur et progressiste, entre droite présentable et gauche de mauvaise humeur, sur l’islam, l’assimilation, l’intégration, le féminisme et le conservatisme par lettres interposées malgré leurs divergences.
Elle concluait en disant "L’amitié ne peut durer sans cette communauté éphémère du rire".
Il a fallu un livre pour dénouer les sacs de billes et cela marche.
Le même soir du 27 sur ARTE, le film "Le souper" réunissait dans un huis clos, Talleyrand, le ministre des Affaires étrangères et Fouché, ministre de la Police dans une joute verbale où se mêlait le raffinement de la dispute à la cruauté.
Tout avait commencé par un complot contre Napoléon.
Fins stratèges, chacun, rompu à toutes les manœuvres de l'autre pour servir ses propres intérêts pour décider du sort de la France en 1815.
La partie d'échecs s'est terminée par un Mat sur Talleyrand par Fouché qui a joué intelligemment profil bas.
J'ai lu le livre d'humour noir de J.K. Toole, "La conjuration des imbéciles", bien qu'écrit avant 1969, est assez dur à lire mais d'une grande modernité parce qu'il surfe tout comme un écrivain à succès Michel Houellebecq, sur une vague de la désillusion, brillant à faire désespérer du niveau culturel actuel, à se demander très sérieusement si les gens sont encore capables d'une once d'esprit critique en dépit du matraquage médiatique et des discours politiques simplistes prétendant donner une critique du monde capitaliste en s'appuyant sur la solitude moderne.
"Il s'agit d'une critique au vitriol de la société dans une peinture de l'Amérique désenchantée des années 60 en opposition complète avec le rêve américain.
Dans de petits cahiers froissés, recouverts de miettes de beignets et de traces de sperme, le livre constitue un chef d’œuvre du politiquement incorrect avec un humour ravageur qui tient au fossé qui le sépare du sérieux de la démarche d'Ignatius et de l'incohérence absurde de ses propos. Ce personnage même s'il relève du surréaliste, s'accroche avec la conviction de détenir la vérité contre tous qui plus cinglés les uns que les autres, crée sans cesse sur son passage des situations saugrenues et inextricables. L'outrance des propos faire sourire et même franchement rire.
Ce personnage Ignatus est tellement odieux, buté, grotesque, misanthrope, qu'il se heurte à un autre personnage du livre, Myrna Minkoff, dans une conversation épistolaire régulière dans laquelle est condamné tout ce que l’autre représente avec des actions simplement vouées à impressionner l’autre.
De nos jours, dans les dialogues dans la vie réelle et surtout virtuelle sur Internet, il y a de ça.
Pas question de conciliations et d'autodérision dans ce genre situation ubuesque.
Pas de solution profitable pour personne n'en sortira sans une relation du masochiste qui rencontre un sadique.
En automne, on mélange tout avec masochisme à se demander quand on libèrera les les légumes et les fruits...
En Allemagne, la tant aimée, Mutty, subissait une réussite en demi-teinte aux élections de dimanche dernier et avait d'autres chats ou chattes à fouetter.
Son temps s'est érodé sur ses bases avec les années.
Elle n'a peut-être plus totalement l'âge d'exciter les papilles dans une obsolescence programmée comme pour les engins électroniques d'aujourd'hui...
Et en Flandre...
Il y a quelques jours, un des ténors de la politique en Flandre, le ministre-président Geert Bourgeois, disait que tout n'avait jamais été aussi bien en Flandre du côté de l'économie. (Chronique vue de Flandres) alors qu'il avait été chahuté devant des étudiants de l'UCL.
D'après lui, depuis l'année 2016, la croissance économique de la Flandre s'est accélérée, le nombre de chômeur a baissé, les exportations ont dépassé un nouveau cap symbolique et surtout le budget flamand est en équilibre.
L'enseignement, les soins de santé et la mobilité seront arrosés par les excédants de 15 millions d'euros sans nouvelles taxes.
Il n'a pas encore dit que la santé et l'éducation seraient gratuits.
Il s'agit seulement d'un "équilibre structurel" dans lequel 1,2 milliards n'ont pas été comptabilisés. La réforme de l’État et la loi du financement sont mis en cause tandis que la mesure pour contrer le seuil de pauvreté a à peine baissé de 1% en dix ans.
Tour de passe-passe de la communication, dont on oublie toujours certains points négatifs.
En 2016, je sortais "J'aime les Flamands" à la suite de la fête nationale flamande, pour remuer cette fibre de conscience relative au pragmatisme flamand.
Tout est toujours dans tout et son contraire.
Le peuple flamand commence à se sentir plus chez lui en Belgique que les Francophones.
A Mechelen, où je me promenais la semaine dernière, je découvrais avec étonnement de petites affichettes "#THISISBELGIUM" collées sur les vitrines des magasins qui revendiquaient de vendre des produits belges.
Plus question de la phrase de 2010, “On est demandeur de rien“, prononcée par Joëlle Miquet alias “Madame Non”.
Du coup, des plaques "Vlaanderen" apparaissaient sur le sol bruxellois plantés par des nostalgiques passéistes.
La malice moderniste aurait été d'installer des plaques "Belflanders".
Assimiler par la fusion nucléaire plutôt que la fission en montrant ses manières de voir par l'intérêt qui existe en commun.
"En politique, il ne faut pas être malin, il faut que les gens croient que vous l'êtes", disait avec justesse, à 80 ans, avec raison, le vieux routier flamand de la politique, Herman De Croo.
La technique de la tâche d'huile francophone en inversant la crêpe dans la poêle.
Il faut être ferme mais humain pour être populaire et souvent s'accommoder avec la bêtise humaine....
L'histoire belge est pleine de ces solutions à l'amiable dans la conquête de son territoire qui fonctionnait quand l'intérêt de la raison des conquis dépassait leurs problèmes nationalistes de cœur.
Mais, ce qui a fait le buzz de la semaine avec sa complice, la pub, fut la "campagne du "sugardating".
Une «campagne abjecte», était-il dit, non exempte d'hypocrisie.
"Sugar", pour moi, c'est du "sucre".
"Dating", gogoole envoie sur des sites de rencontres et même aux rencontres pressées du "speed-dating".
Ce qui mène toujours le monde, c'est le pouvoir, l'agent... mais aussi, le sexe.
La campagne visait le site internet mettant des étudiantes en relation avec des hommes nantis dans une campagne de pub.
Un site présents dans 34 pays dont chaque plateforme est basée à Malte.
De Malte, j'en parlais justement la semaine dernière, un pays à 98% catholique et dont les expatriés font leur beurre à l'étranger de Malte...
Dans la cité balnéaire de Sliema, d'où tout part, capitale du jeu d'argent en ligne en Europe, de diverses sociétés de paris sportifs et jeux de casino en ligne, partage ses résidences de luxe avec les espaces aux enseignes internationales comme Zara, Bershka, Urban Jungle,... aux fast-foods comme McDonald's, Burger King, Kfc... et aux églises comme celle de Jésus de Nazareth.
Donc, rien d'extraordinaire que des événements du genre 'ruling fiscal' se bousculent si on gratte un peu.
Au fond, comme disait quelqu'un "L'important, ce n'est pas ce que l'on paye, mais ce que l'on est, et ce que l'on fait rapporte".
Alors, aimer le sucre et le fastfood, si cela peut engendrer des obésités et des diabètes, comme je l'écrivais dans l'article sur Malte quand les personnes physiques sont imposées à 0 % sur les revenus de source internationale non rapatriés à Malte, rien d'anormal.
"Sugar daddies, Girls, don't do it", témoignait Mélania Trump aux States.
Non, peut-être...
Les nouvelles courtisanes discriminées par l'argent.
Les femmes, Hugh Heffner en avait fait sa raison de vivre ... Il vient de disparaitre en espérant qu'il en retrouve plus haut...
Pour les vivants, encore un peu de patience, Samantha, le robot sexuel intelligent, au sex-appeal capable de passer du « mode sexuel » au « mode famille » en gâtant les enfants en journée et en s'occupant de papa et de maman le soir, pourrait faire perdre des clients au fournisseur de ces sites de rencontres et de folles sorties aux étudiantes...
De plus, Samantha n'est pas programmée pour les désaccords et, en cas de "panne", toutes ses pièces sont remplaçables de la tête au pied avec des mises à jour du logiciel en 2.0, 3.0, 4.0...
Ce dimanche, c'est en Catalogne que les jeux vont se faire dans des urnes réelles ou virtuelles.
Ce que j'en pensais, comme une affaire entre cœur et raison, je l'avais raconté en temps opportuns. Je n'y remets pas d'autres couches.
Il doit s'agir de la Loi des séries.
Alors, pourquoi pas une pincée de rire, puisque la grimace est plus belle?
Je recevais une pétition française dans ma boîte de courriers. dont le but est de créer un musée de l'humour en France:
"27 sept. 2017, suite à la nomination de Stéphane Bern au titre de chargé de mission de sauvegarde du patrimoine, nous croyons tout à fait opportun et nécessaire à nouveau d'attirer l'attention du plus grand nombre quant à l'absolue nécessité de préserver, de réunir et de présenter au public en un lieu qui s'y prête ce formidable et si prestigieux patrimoine que constitue l'Humour francophone sous toutes ses formes et expressions et en tous les domaines et champs où il s'est développé et continue à le faire!. Le rire, une nécessité culturelle et sociétale impérative à notre survie!".
Quel rire? Quel humour?
On ne rie pas partout et tous de la même chose.
L'humour est très spécifique à une région et parfois à une personne.
Un musée de l'humour à Buenos Aires inauguré en 2012 et un autre à Montréal ouvert en 1993, existent...
D'autres encore chez les Bulgares, les Galiciens espagnols, les Turcs, les Cubains, les Allemands, les Américains...
Le problème, c'est qu'il est souvent mal pris et que l'ambiance n'est pas à l'humour...
Un musée de l'humour ouvrira ses portes en Belgique en 2020.
On commence à se rendre compte de l'utilité de l'humour.
En France, c'est toujours pas sérieux...
On y serait plus enclin à créer un musée pour gens trop sérieux.
A Bruxelles, des humoristes ont fait du rire leur profession et cela marche quand l'humour est déjanté et pas autrement.
Cette semaine, PE rappelait que les Belges mettaient du temps à s'imposer ailleurs qu'en Belgique avec leurs blagues .
- Pourquoi les Belges descendent en France pour faire du ski nautique?
- Parce qu'en France, il n'y a pas de lac en pente.
Ça, on sait qu'on ne peut pas skier dans ces conditions.
Et, une fois pour toute, quand un Belge utilise le verbe "savoir" en place de "pouvoir", c'est parce qu'il se doute que le "savoir" mène toujours à une sorte d'ersatz de "pouvoir".
Thomas Gunzig revenait au niveau de la Belgique à ce que l'on voudrait en tant que belge, tout de suite temporisé par des relents moins paradisiaques
Pour Bruno Coppens, le monde n'est pas à consumer sans modération en rappelant tous les événements de la semaine:
La Belle et la Bête mérite un soupé pour une fête
dans un Yin et un Yang
Et un karaoké...
Tiens tout a changé ce matin
Je n'y comprends rien
C'est la fête, la fête
Jeunes et vieux grands et petits
On est tous amis
C'est la fête, la fête
C'est comme un grand coup de soleil
Un vent de folie
Rien n'est plus pareil
Aujourd'hui
Le monde mort et enterré
A ressuscité
On peut respirer
C'est la fête, la fête
....
Venez danser dans la rue
Ce n'est plus défendu
C'est la fête, la fête
En vérité je vous le dis
C'est le paradis
C'est la fête, la fête
C'est comme un grand coup de soleil
Un vent de folie
Rien n'est plus pareil
Aujourd'hui
On a les yeux écarquillés
Sur la liberté
Et la liberté
C'est la fête, la fête.
Eriofne,
Mise à jour 1 octobre 2017: La fête s'est terminée par un marathon
Mise à jour 2 octobre 2017: Après le coup de force de la politique espagnole, le monde est horrifié sur ce qui s'est passé.
Le Café serré de PE en parle en ces termes: "Amis séparatistes, joignez vos forces pour mieux rompre".
Mise à jour 3 octobre 2017: Jan Jambon, le nouveau médiateur catalan, le casque bleu espagnol vu par Bruno Coppens
Publié dans Actualité, Belgique, Parodie et humour | Lien permanent | Commentaires (7) | Imprimer
Commentaires
Après le coup de force de la politique espagnole, le monde est horrifié sur ce qui s'est passé.
Le Café serré de PE en parle en ces termes:
Amis séparatistes, joignez vos forces pour mieux rompre.
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/02/1820042291.mp3
Écrit par : L'enfoiré | 02/10/2017
Jan Jambon, le nouveau médiateur catalan, le casque bleu espagnol vu par Bruno Coppens
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/00/668809611.mp3
Écrit par : L'enfoiré | 03/10/2017
Le film "Le Sens de la fête"
La complainte douce d’un patron de PME version Bacri, Nakache et Toledano. Une comédie immanquable.
Max (Jean-Pierre Bacri) est traiteur depuis trente ans et a organisé des centaines de fêtes. D'ailleurs, il est même un peu au bout du parcours. Aujourd'hui, c'est le sublime mariage de Pierre et Héléna dans un somptueux château. Comme d'habitude, Max a tout coordonné et tous les ingrédients sont réunis pour que cette fête soit réussie... Mais la loi des séries va venir bouleverser un planning sur le fil où chaque moment de bonheur et d'émotion risque de se transformer en désastre. Des préparatifs jusqu'à l'aube, nous allons vivre cette soirée à travers le regard de ceux qui travaillent et qui devront compter sur leur unique qualité commune : Le sens de la fête.
https://www.youtube.com/watch?v=w81bLBWwX-I
Écrit par : L'enfoiré | 03/10/2017
Grand Oral de Davignon
https://www.rtbf.be/auvio/detail_le-grand-oral?id=2263307
Écrit par : L'enfoiré | 08/10/2017
Normal qu'une Belgique entièrement dominée par la Flandre et ses collabos wallons commence à convenir à ceux qui ne voyaient que dans la séparation le modèle de société idéal.
Écrit par : alain sapanhine | 13/10/2017
Ça Trump ne parvient pas à comprendre que la diplomatie, même si elle peut-être hypocrite, est plus intéressante pour résoudre des différences d'opinions dans certains compromis.
La Belgique, un tout petit pays, à la croisée des chemins, occupé successivement par tous ses voisins au cours de son histoire, a compris que seul une fédération pouvait mettre de l'huile dans les disparités.
Le côté économique, l'attraction de l'argent et du commerce, ont toujours aiguisé les appétits.
Je vais plus souvent en pays flamand qu'en Wallonie. Je constate et je teste les progressions dans chaque sens.
La langue reste toujours une barrière qui privilégie les frontières.
C'est ce qu'avait compris Zamenhof et qui l'a poussé a tenter le coup avec son langage artificiel, l'esperanto.
Son côté artificiel est son boulet.
Le français est trop complexe dans son écriture, trop alambiqué dans son orthographe pour prendre sa place.
( http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/279583454.4.JPG )
Je connais ton aversion vis-à-vis de l'anglais, mais c'est un fait indéniable, cette langue est devenue universelle pas par son nombre de locuteurs mais par une stratégie moderniste de l'espace virtuel d'Internet.
Le chinois (le plus souvent mandarin) n'arrivera pas à rattraper l'anglais avant longtemps, malgré 850 millions de locuteurs.
Écrit par : L'enfoiré | 13/10/2017
Une nouvelle ère : le robot sexuel devient un produit de masse
La poupée sexuelle en silicone Samantha, un robot doté d’intelligence artificielle, est actuellement en vente à Londres. Ses concepteurs cherchent maintenant à produire massivement la poupée au Pays de Galles afin de répondre à la demande croissante.
Samantha est pourvue d’un vagin totalement fonctionnel qui inclut un point G. Lorsqu’elle correctement stimulée par le toucher humain, la poupée est capable d’imiter un orgasme via un réseau de capteurs, placés sur les hanches, les épaules, le vagin et dans la cavité buccale.
Outre le mode « sexy », Samantha peut également adopter une fonction « famille ».
Production de masse
Commercialisé à Londres depuis cet été, la demande pour le robot a atteint des sommets. Dès lors, ses créateurs cherchent maintenant à le produire en masse. « Nous avons tellement de commandes que nous luttons pour répondre à la demande », affirment l’ingénieur Arran Squire et l’inventeur Sergi Santos. « Nous cherchons actuellement à produire en masse la tête et le réseau électronique du crane de Samantha. »
Dans un futur proche, Samantha devrait être équipée d’un « code moral » qui modifiera sa libido. Selon Santos, la poupée sera dorénavant plus excitée par les personnes qui la traitent avec respect.
Dans deux ou trois mois, le robot serait également en mesure d’entretenir une conversation et de juger le caractère de son interlocuteur.
Par ailleurs, les poupées sexuelles pourraient également être capables d’avoir des enfants avec leurs propriétaires, augurant d’un avenir où les humains et les machines se marieront et utiliseront la technologie afin de créer une progéniture, affirme Sergi Santos.
Il suffira de fusionner les caractéristiques et croyances du partenaire humain au robot, explique-t-il. Pour ce faire, un logiciel informatique sera utilisé pour créer un nouveau cerveau d’intelligence artificielle pour l’enfant basé sur les informations fusionnées et des schémas d’impression 3D serviront à la conception du corps.
Santos prévoit de programmer un génome afin que le cerveau de son robot soit doté de valeurs morales, de concepts de beauté, de justice et de valeurs humaines. « Ensuite, créer un enfant avec ce robot sera extrêmement simple. Je ferai un algorithme de ce que je pense de ces concepts et je le mélangerai avec ce que le robot pense et ensuite, j’imprimerai le tout en 3D. »
https://fr.express.live/2017/11/06/nouvelle-ere-robot-sexuel-devient-produit-de-masse/
Écrit par : L'enfoiré | 07/11/2017
Les commentaires sont fermés.