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26/03/2020

Faut pas prendre les cons pour des gens (3)

0.PNGHier, je parlais d'un contact avec un autre interlocuteur par email. Mais sur les réseaux sociaux, la vie n'est pas plus un long fleuve tranquille. La vie sur Internet est un "subset" de la vie réelle où, si elle se déroule souvent avec des petits mots doux, ce n'est pas toujours le cas.
-Oui, t'as qu'à choisir tes contacts et tes amis. Tu n'as que ce que tu recherches. Et quand tu remarques que cela ne marche pas, coupe la communication et les ponts, dit une voix.
- Bien sûr, c'est une solution, mais c'est aussi une petite lâcheté que je n'ai pas. Quand je faisais partie d'un forum à part entière, j'avais pris l'habitude de répondre à tous les commentaires. Quand on écrit avec ses tripes, il faut accepter la critique. Il y a une condition à cela, c'est qu'il faut savoir un peu plus à qui on parle et aussi savoir ce qui est critiqué et dénigrer autrement que par une idée générale. Ce n'est pas non plus un livre qu'on achète en librairie. Il y a une suite à donner idée par idée.


D'après le cactus de hier matin, nous avons désormais "Un ministre des masques"podcast.
Ce qu'il faut avoir à coup sûr sur les réseaux sociaux, c'est le cœur bien accroché au gouvernement de Mam'Wilmes ainsi que le cerveau à l'écoute psychologique de ses interlocuteurs réels mais aussi virtuels que l'on ne voit pas devant soi.
Quand un critique sévère survient, des questions se posent...
Est-il en méforme quand il répond? S'est-il mal levé du pied gauche ce matin? Le confinement lui pèse-t-il?

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Hier je parlais du film "Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages".
Dans la même veine, il y a aussi un autre film de la même époque "Le cave se rebiffe" qui correspond mieux à ma réaction.
N'oublions pas que le principe de rigueur de base à ces billets quotidiens inhabituels, que c'est toujours dans l'esprit de "Faire du neuf avec du vieux" dont j'avais sorti deux épisodes (1) et (2)  
pour passer le temps.

Mais, des répliques, il y en a d'autres qui valent leur pesant de cacahuètes au cinéma


Dans les films en noir et blanc, il y a beaucoup de marques signées "Michel Audiard":
- Ça court les rues les grands cons...
- Mais celui-là, c'est un gabarit exceptionnel. Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon. Tu serais à Sèvres..
.

Je l'avais alors résumé en peu de mots bien banals ou banaux pour parler en bon français.

Le voici dans son entièreté.

Dernièrement, l'article "Les grands sensibles ont un fort désir de spiritualité" du dernier "Psychologies".
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Si vous l'êtes comme son auteur le décrit, courage, fuyez les forums et les réseaux sociaux qui ne parleraient pas de la pluie et du beau temps.
A mon interlocuteur, lui qui avait écrit certaines choses, il y a très longtemps et les avait "poubellisées", j'avais proposé à l'avenir de mêler l'actualité avec la fiction comme je l'ai fait tout dernièrement dans "Le retour du dauphin virtuel". Un eBook écrit dans la ville de Bruxelles, au même moment où les événements se déroulaient.
Cela n'a rien à voir avec l'écriture de billets que l'on propose à un forum même si dans ce cas précis, il servait également de journal d'un ancien détenu à qui on proposait de donner la liberté prématurément dans un domaine qu'il avait bien connu huit ans auparavant: les arnaques sur Internet.
Dans l'écriture d'un livre eBook de ce genre, il faut se mettre dans la peau de ses personnages et penser comme ils pourraient le faire.

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Donc, la reine Mathilde proposait donc de lire et d'écrire un journal.
L'envie d'écrire est parfois plus forte que tout et en période de confinement, elle peut devenir vraiment un challenge comme cela l'a été pour moi, il y a 15 ans.
Le journal d'Anne Frank qui était une confinée obligatoire pas, à cause d'un virus mais des nazis, j'en avais parlé dans ce billet "Un journal pas comme les autres" qui parle d'Amsterdam et dépeint la ville comme elle le pouvait au travers de ses souvenirs.
Il n'y a pas que Anne Frank qui a vécu dans cette ville.
Pour Albert Camus, l'écrivain de "La Peste', Amsterdam a été aussi une source d'inspiration pour son livre "La chute".
Une ville que j'ai très bien connu à une époque des années 80.
'Invitation au voyage' permet d'avoir une occasion de voyager virtuellement en cette période de confinement:

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En me promenant, hier matin, dans le cercle autorisé d'un kilomètre à la ronde et à marche rapide, je suis tombé sur une annonce publicitaire marquée comme "new" qui parlait du livre de Musso "La vie secrète d'un écrivain" , je donne ci-dessous un extrait de la version audio, parce qu'il y a encore des gens qui n'aiment pas lire.

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Hier, on parlait du passeport sanitaire pour se déplacer dans le passé, cela a déjà existé:podcast.
Écrire en période de confinement, il n'y a pas à dire, cela fait moins de bruit et de poussière dans l'appartement que celui qui s'adonne au bricolage.

0.PNGMoi qui habite dans un environnement de cohabitants, je peux dire que je connais cette situation "des tontons la bricole".
Une petite constatation: Si avant on pouvait séparer les intellos des travailleurs manuels dans leur pratique du lavage de mains puisque le travailleur manuel les lavait avant d'aller au WC tandis que l'intello les lavait par après, aujourd'hui, il n'en est plus question, chacun le fait avant et après...
0.PNGDécidément, les polémiques et les clivages potentiels étaient à la mode sur les réseaux sociaux, en période de confinement, le phénomène peut s'inverser...

Point positif de la crise sanitaire et de son confinement : la criminalité oblige et se sont les partisans d'une certaine extrême qui s'en félicite...

L’accès aux données brutes: la nouvelle pomme de discorde avec Maggie De Block..
C
ette fois-ci, c’est le monde scientifique qui se fâche. L’accès aux données brutes, au quotidien, n’est pas disponible dans son entièreté. Comme tout le monde, les scientifiques doivent attendre le bulletin quotidien Sciensano, l’institut belge de la Santé. Cette problématique renferme une question plus large: l’accès aux données publiques en open data.

 

Le scénariste Uderzo n'est donc plus et on ressortait "Astérix chez Cléopâtre" à cette occasion parfaitement dans l'idée de faire du neuf avec du vieux avec l'humour en plus.

Le scribe philosophe appelé  Misenplis de Numérobis dit quelque chose de très important dans l'extrait: "Vous savez je crois pas qu'il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises situations. Si je devais résumer ma vie aujourd'hui, je dirais d'abord que ce sont des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main à un moment où je ne pouvais pas où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose bien faite, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face. Je dirais le miroir qui vous aide à avancer. Ce n'est pas mon cas. Moi, je dis merci à la vie. Je chante la vie. Je danse la vie. Je ne suis qu'amour. Et finalement quand beaucoup de gens me demandent comment je trouve cette humanité, je leur réponds 'c'est ce goût de l'amour à entreprendre une construction mécanique, mais demain peut-être à me mettre au service de la communauté'. Le don de soi".

L'entrée des "Coulisses du Pouvoir" commence toujours par là:podcast.0.PNG

La chronique de Bertrand Henne , cette fois confiné, disait ce matin que la Belgique est prise comme exemplaire dans Financial Times pour la manière dont nous avons pris la crise en charge du confinement (podcast. podcast)
Ce 26 mars est un jour particulier pour un proche: mon beau-frère qui a aujourd'hui 88 ans.
Cela fait plusieurs semaines, alors qu'il avait pris l'habitude de passer deux heures le dimanche chez nous. Avec le confinement, nous n'en avons, chacun, plus pris le risque.

Dans ce propos, je laisse la parole à GuyHome qui en a plus à dire que moi qui n'en a plus personnellement...


Pierre Rapsat est né en 1948 à Bruxelles et est mort, il y a 18 ans.
Un père belge néerlandophone et d'une mère dont les parents étaient des réfugiés asturiens, natifs de Gijón-Miéres, lors de la guerre civile espagnole.
A l'âge de dix ans, ses parents s'installent à Verviers, qui sera sa ville d'adoption jusqu'à sa mort en 2002.

Aujourd'hui, sa chanson, "Ensemble" est encore chantée dans tous les rassemblements où la  charité pense à la solidarité.

 

Allusion,

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