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05/01/2015

Le bonheur à multiples facettes

0.jpgCette semaine, le VIF a sorti un dossier sur les "Pistes pour trouver le bonheur". Quelques personnalités connues ou moins connues, ont donné leur avis sur la manière dont elles concevaient le bonheur. Ce qui m'a valu parfois quelques surprises en faisant la relation entre ce qu'elles faisaient dans la vie et leur conception de ce bonheur.

La Belgique et la France se disputent la première place des pays d'Europe dans lequel le sentiment de pessimisme se retrouverait au zénith.

La société est anxiogène. On croyait qu'avec l'abondance des possibilités apportées dans les magasins, dans les possibilités de se soigner, ce ne serait plus le cas. Je suis en permanence sur Agoravox.fr et ne peux que constater cet esprit négatif.


 

0.jpgJ'ai été plus étonné de le lire pour la Belgique. La belge, Amélie Nothomb a écrit la "Nostalgie heureuse" qui pouvait faire penser au contraire.  

Il y avait le français, Attali dont j'avais parlé dans l'article de fin d'année "Des idées plein la tête", qui persistait et signait en apportant sa contribution pessimiste pour 2015 tout en prévoyant catastrophes naturelles, épidémies, guerres, attentats et explosion de bulles financières.

Il y avait aussi ce billet français "2015, la France s'enlise dans un monde incertain" qui en rajoutait une couche. 

Le Vif parlait d'une alternative pour 2015 qui serait un début de renaissance. Le fameux changement de paradigme, j'en avais parlé. 

Le Forum de midi parlait du "Bonheur des Belges" avec des invités de tous les horizons.

podcastpodcastpodcast
Mais revenons au Vif.

Alex Vizorek Je commence par lui parce qu'il m'a fait souvent rire dans ses Cafés serrés de mon pré-déjeuner et fait rire les foules dans des shows dans lequel il se disait une "oeuvre d'art avec la belgitude" comme porte-bagages. Il avait été sur la page de couverture du magazine Psychologies dans lequel il "osait enfin dire qu'il était humoriste". Je sais que les cordonniers sont les plus mal chaussés. Mais quand on l’interroge sur le bonheur, sa réponse a été "Je ne crois pas au bonheur" avec un logo à valoir être heureux cela veut dire, trouver ce que l'on a insuffisant. C'est un problème de civilisation que de chercher à combler un manque de bonheur qui devrait être trouver en soi en se contentant de ce qu'on a. Dirigeants, artistes sont des gens malheureux pour faire avancer les choses, pour garder un moteur. Si l'animal se contente de trouver son bonheur en mangeant, il me faut en plus une bouteille de vin et une bonne andouillette. Ma condition de mortel me donne un bonheur relatif. Ma seule solution est de ne pas se poser de questions et en étant boulimique du boulot. Plus il y a d'échéances, moins je me pose de question et moins je prends de risques".

Alex, j'ai appris à le connaitre. Il est tout comme moi un dévoyé. Lui, de la fibre intello numérique à celle de l'humour, moi de la fibre scientifique à celle de la technologie. Il faut être opportuniste et monter dans un train qui est encore l'arrêt et non pas quand le train roule déjà à vive allure.  

Eric Domb du parc d'attraction Pairi Daiza dit savourer l'instant en y trouvant le bonheur.

Bruno Colmant trouve dans le bonheur une sorte d'élévation intellectuelle qui tend à participer à l'édification de l'humanité.

Delphine BoëlLe bonheur est une réussite de ma famille et la mienne artistique. Elle ajoute rester résolument optimiste.

Eric de Beukelaer: Il faut que le bonheur aie un sens comme un besoin qui sans lui serait un manque. 

Jacques Leconte, le prophète de la psychologie positive, ajoutait des idées.  

Des exemples pris au hasard mais qui déterminent la personnalité de ses ayant-droits ... au bonheur. 

Dimanche, j'assistais au Vivement dimanche de ZAZ. De ZAZ, j'en ai déjà parlé dans "Le triomphe des gentils". J'avais agrémenté mes articles par ses chansons "Je veux","On ira", "La fée"..   

Cette jeune a une énergie qui dépasse l'entendement. Elle a osé aller partout là où on l'invitait pour chanter sans se poser trop de questions. La vie et l'optimisme comme promoteurs.

Que peut on dire de 2015? Une évolution des événements de 2014 mais pas de révolutions mondiales, même si le monde est devenu un village avec Internet.

Contrairement à ce que pourraient laisser croire les idées qui se creusent à l'unisson, Internet pour beaucoup de personnes est resté un minitel plus évolué.  

Aujourd'hui plus de CDI. Une remise en question à chaque échéance est demandée.

Rien ne sert de jalouser ou de simplement envier la carrière de quelqu'un d'autre, de ce qu'on n'a pas ou rêver d'avoir.

C'est espérer pouvoir rire de tout en passant la main au suivant en quittant sa vie active ou sa vie tout court.

C'est chercher à trouver un travail qui remplit son temps et devient un hobby.

Cela peut passer par une recherche d'exotisme dans les relations et vivre au besoin plusieurs vies. Dire "JE" avant de prononcer le "NOUS" qui, bien que solidaire, n'apporte parfois qu'une fausse idée des réalités rencontrées dans le monde.

Cela ne veut pas dire qu'il faille chercher à être aimé par tous mais rester pragmatique devant l'énormité de la tâche. C'est ne pas croire que l'on reste un modèle pour ses enfants. C'est surtout rester ouvert aux autres, écouter et absolument pas imposer ses vues à l'autres comme si elles étaient un nième évangile. C'est de pouvoir parler de tout sans avoir peur. 

C'est aimer les critiques plutôt que les bravos. C'est assumer ses choix. Cela peut aller jusqu'au masochisme qui cherche les emmerdes surtout quand il connait les réponses pour y remédier et en sortir..

Peu de monde y parvient en tant que "the right man at the right place and at the rigtht moment". Beaucoup ne se retrouvent pas dans les bonnes chaussures ou pas à la bonne taille.

Le philosophe grec, Aristote a analysé le bonheur, il écrivait et était repris dans le VIf : "La bonheur est un principe. C'est pour l'atteindre que nous accomplissons tous, nos autres actes". Ce mot "autres" exprime le fin mot de l'histoire.

"J'ai oublié de vivre", chantait Johnny Halliday.

Le plaisir et les difficultés ne peuvent se dissocier.

Qu'est-ce qu'on doit s'emm... au paradis là où tout est luxe, calme et volupté, osais-je écrire dans la fin de mon billet billet rétrospective de 2014. 

Une phrase du Vif disait: "Mieux on se connait, plus on a de chance d'être heureux" J'ajouterai "en accord avec soi-même et pas pour le bon plaisir des autres". 

John Stiglitz a été chargé à une certaine époque de retrouver ce que pourrait être le bonheur intérieur brut. Un rapport avait été construit, que j'avais sorti sous forme de BIB. Une tâche qui parait totalement improductive par le fait qu'il y a autant de bonheurs différents que de personnes qui habitent cette planète.

Le bonheur, c'est dire tout simplement dire "oui" ou "non", de se moquer et d'être moqué sur n'importe quoi et au sujet de n'importe. Critiquer, c'est être critiqué. Niaiser, peut-être, mais sans oublier de  déniaiser ... à toutes les fois.

Une anecdote qui date de plusieurs années: "en cherchant avec un collègue la tasse de café rituelle à la machine, survint un de nos nouveaux dirigeants pris de la même envie. Il s'empressa de prendre un gobelet en plastique, mais celui-ci avait résolument décidé de ne pas rester à la disposition du premier venu. Ratage, après ratage, aucun geste de récupération de notre illustre hôte n'arriva à ses fins.

Ma réflexion enjouée fut : "Et, là, on n'est pas au cirque, ici !". Il me gratifia d'un sourire préoccupé et réussit enfin à la deuxième tentative à épancher sa soif. Au retour, mon collègue, assez étonné, me demanda si je savais à qui j'avais eu à faire.

Ma réponse fut simple et courte : "Oui, bien sûr. Pourquoi?". 

Et dire qu'il y a des gens qui croient qu'on s'amuse au bureau! S'ils savaient !".

 

Une autre anecdote?

Ce matin, après une longue discussion en parallèle à mon blog, par un flip-flop d'emails que je sentais avec une certaine impression de moisis de conceptions différentes, à sentir l'oignon du désaccord sur tous les points et en rejetant sur l'autre la faute de ce mauvais climat.

J'avais résisté, jamais en attaquant de front, mais toujours avec mes démonstrations et raisonnements par l'absurde.

"Il ne va pas rester grand monde pour te lire et pleurer de toutes tes excommunications. L’humour sans un brin de sérieux n’est pas très comique.".

Tout était dit avec cette conclusion.

Milan Kundera disait « Mais qu'est-ce que "être sérieux" ? Est sérieux celui qui croit à ce qu'il fait croire aux autres. ».

0.jpgMais j'ai téléphoné à l'intéressé pour conclure.

Il m'a raccroché au nez.

Je me suis dit "un de perdu, dix de retrouvés"?

Pourquoi l'ai-je dit? Parce qu'il y a une foule d'idées dans le monde.

Des "pros" et des "contres" et s'infiltrer entre les deux est toujours pavé d'embûches.

Je ne pouvais en rester là.

Petit parmi la foule, je reste sans aucun complexe.

Je compte les points positifs et négatifs de toutes les idéologies, points que je prends en valeur absolue, c'est à dire en perdant le signe.

Si j'ai des idées à l"emporte-pièces" comme il le disait c'était dans le sens donné par wiki "Un emporte-pièce est un outil mécanique à frapper ou à serrer utilisé pour découper une forme, pas nécessairement ronde, dans des matières souples ou peu rigides (plastique, liège, cuir, carton, tôle d'acier mince, etc.). Il est constitué d'une lame d'acier tranchante mise en forme par cintrage ou usinage.".

0.jpgUne habitude des forums citoyens, probablement m'était mieux connue depuis près de dix ans avec une volonté d'être éclectique et généraliste jusqu'au bout des ongles. Une habitude d'être jugé sur pièces ou d'avoir à évaluer les autres pièces dans un passé plus ancien. 

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<- Deux caricatures de Vadot parmi ses impubliables ->

J'ai voulu introduire ce billet entre les chapitres de la publication de mon livre "Veux-tu une autre vie?", parce qu'il est aussi question de ce même phénomène de disparités et de dysfonctionnements ressentis dans ses choix de vies.

Aujourd'hui, je suis parmi les vieux schnocks, les inactifs. Cela ne veut pas dire que l'on ne peut plus relever des défis en challenge pour soi-même. 

Alors, quand cela ne va pas bien du côté du chapeau, je presse un bouton.

Vous ne savez pas lequel?

Le bouton qui me fait sortir de la musique de radio Nostalgie, de sa boîte à rêves et je me mets à accompagner les paroles qui se sont incrustées quelques part dans ma mémoire.  

 

Mise à jour du lendemain 6 janvier:

Si personne n'a ressenti dans cette dernière anecdote, un cas de figure, dites le moi.

La nuit porte toujours conseil, faire mon "mea culpa".

Quelles sont mes erreurs?

  • D'avoir été pris à mon propre jeu.
  • De ne pas avoir attendu pour répondre.
  • D'avoir téléphoné ou d'avoir répondu aux mails quand il y a une opposition de concepts de vie et de société.
  • D'avoir accepté un débat de la sorte sans avoir eu des médiateurs, un ombudsman arbitre, insensible au débat. Il aurait fallu se rencontrer entre au moins quatre yeux autour d'une table comme je l'ai fait souvent quand il y avait un conflit de vision.
  • De ne pas avoir forcé le droit de réponse sous forme d'un billet qui exprimait cette autre voie et vision. 

Aujourd'hui dans l'actualité:

  • Journée de la Galette des Roi et une question: Qui aurait encore croqué la fève, aujourd'hui?
  • Celui dont j'avais parlé, Eric Zemmour est à Bruxelles. Le racisme et la xénophobie sont bien présents dans ses propos. Mais il aime la polémique mais pas avec n'importe qui ou avec n'importe quoi. Des royalties pour son livre en échange d'une autographe ne font pas défaut.
  • La crise en Europe a fait baisser l'euro. Nous assistons, peut-être, à un jeu de "à qui perd, gagne" puisque l'euro était trop fort pour assurer les exportations.
  • Le Café serré de Thomas: une autre anecdote: "les cloches et les clettes"  podcast
  • La mort du chanteur italien Pino Daniele qui était une vedette en Italie et qui pourtant était peu connu ailleurs. La chanson qui accompagnait l'annonce: "Niente e come prima" (Rien n'est comme avant)

 

7 janvier:  Attaque de Charlie-Hebdo.

Les caricaturistes du monde entier ont réagi. 

Hara qui ne rit plus et c'est tout le monde qui devient Charlie, peut-être... si dieu le veut, peut-être... si on oublie le passé et peut-être le futur... Peut-être...0.jpg

Je reprends la conclusion d'un de mes billets qui parlait du ciel pour horizon: "Moi, sur un chemin parallèle, un soir, attablé devant des mets délicieux, je contemplerai la mer, le ciel et Toi, Soleil, Toi qui, majestueux, descends rougeoyant de tous tes feux. Le frémissement de la bise comme cantique. Je saurai que Tu m'auras invité dans Ta Cène et, alors, Ta messe recommencera. Je T'aurai rencontré une fois de plus avec Akhenaton à mes côté. Alors, je prendrai photos sur photos, tout excité. Mon Dieu que je serai fier de Te montrer à mes amis ! Et je n'aurai plus jamais peur. Plus peur, car je saurai que le lendemain, au même endroit, à la même heure, Tu seras là, fidèle au rendez-vous, solennel jusqu'à la fin des temps. J'aurai trouvé ainsi mon horizon et une raison de vivre à mon époque !".

0.jpgMoi qui aime me payer un fou-rire quotidien, je me demande si le titre de ce billet ne devrait pas se résumer à une question: "Comment peut-on aimer le malheur?" en place aussi de celle que je me posais, il y a trois ans dans le billet "Tout dire, tout écrire, tout caricaturer et puis en rire" qui n'est qu'une réédition de ce qui vient de se passer

Les réactions dans le monde ont été presque unanimes.

Celle de Bertand Henne pris par l'émotion disait: "Non, ça ne va pas"

Celle de Thomas Gunzig allait-elle calmer le jeu: podcastpeut-être, qui sait?

Celle de Alex Vizorek qui avait peut-être tout compris: podcast

En tous les cas, ce fut une semaine montée en épingle de la radicalité à la terreur et qui laissera des traces aussi bien dans le fond que dans la forme sur ce qu'est la liberté (sélective) d'expression.

On aime sortir les grands moyens pour pointer les vices des autres, quant aux siens, on n'accepte que les petits flèches.

"Le rituel est toujours moins étendu dans le virtuel". Le problème, c'est l'éloignement physique qui empêche de l'étendre.

Cultiver les relations vraies demande plus que de la culture de petits pois puisqu'ils ne sont pas mis en terre..

Un nouveau futur est à déterminer où se trouve la ligne jaune et la ligne rouge dans un Grand Oral et non pas sur une voie virtuelle puisque la susceptibilité est à géométrie variable. 

Mais, pour moi qui ai dit que je riais de tout avec des idées pleins la tête, cela la fout mal et me laisse avec un mal de tête de chien.

 

0.jpg

 

L'enfoiré,

 

0.jpgCitations et proverbes dont les trois premiers sont:

  • «Le bonheur ne s'acquiert pas, il ne réside pas dans les apparences, chacun d'entre nous le construit, à chaque instant de sa vie avec son cœur», proverbe africain.
  • «Lorsque tu poursuivras ton bonheur, des portes s’ouvriront où tu ne pensais pas en trouver et où il n’y aurait pas de porte pour un autre que toi», Joseph Campbell
  • «Si tu as un but dans la vie qui prend beaucoup d’énergie, qui exige beaucoup de travail, qui engage un grand intérêt et qui est un défi pour toi, tu auras toujours hâte de te réveiller pour voir ce que le nouveau jour t’apportera», Susan Polis Schultz

Et puis, celle-ci....

  • « Je hais vos idées mais je me battrais jusqu'au bout pour que vous puissiez les exprimer», que l'on dit de Voltaire.

Commentaires

50 vérités universelles qui devraient permettre à tout le monde de réussir

Durant sa carrière, la journaliste Julie Bort s’est entretenue avec bon nombre d’hommes d’affaires, de milliardaires et de chefs d’entreprise. A partir de toutes ces conversations, Bort a rassemblé une série de 50 astuces universelles sur le plan des affaires que toutes les personnalités interrogées pratiquaient.

1. Eprouvez de la passion pour votre travail. Si votre travail a un sens pour vous, vous ressentirez de la joie durant votre vie professionnelle.
2. Si vous n’êtes pas passionné par votre travail, soyez passionné pour les raisons pour lesquelles vous le réalisez. Pensez par exemple à l’argent et aux avantages qui permettent de garantir une existence confortable à votre famille.
3. Si des changements sont nécessaires, vous êtes le seul à pouvoir les faire.
4. Commencez petit à petit à établir ces changements.
5. Procédez d’abord aux modifications évidentes puis dirigez-vous vers ce qui est plus compliqué.
6. Si rien n’est perdu ni cassé, ne le réparez pas, améliorez seulement la situation.
7. La leçon la plus difficile à apprendre est celle de la persévérance. Entraînez-vous à déterminez le moment où vous devez vous arrêter et celui où vous devez continuer.
8. Si un résultat n'est pas satisfaisant, essayez la prochaine fois d'aborder le problème autrement.
9. Personne ne peut réussir seul.
10. Demandez de l'aide quand c'est nécessaire. Soyez précis lors de cette demande et soyez reconnaissant du soutien que l'on vous apporte.
11. Entourez-vous de personnes positives et vous obtiendrez des résultats positifs.
12. Optez pour la diversité. La meilleure façon de comprendre vos faiblesses est de choisir des coéquipiers qui possèdent des compétences différentes.
13. Chaque personne voit le monde différemment. Ne luttez pas contre cela, utilisez-le.
14. Il n'est pas nécessaire d'aimer quelqu'un pour le traiter avec respect et courtoisie.
15. Essayez de ne pas imposer vos conseils et ne laissez pas les autres le faire à votre égard.
16. Peu importe ce que vous faites et quels sont vos objectifs, il y aura toujours quelqu’un qui aura plus que vous.
17. Il y aura également toujours des personnes qui s'en sortiront moins bien que vous.
18. Quelles que soient vos facultés dans un domaine, cela ne vous rend pas meilleur ou plus intéressant qu’une autre personne. En outre, personne n’est plus intéressant que vous.
19. Si vous passez la plupart du temps à utiliser vos talents et faire quelque chose dans lequel vous êtes bon, alors vous êtes susceptible d’atteindre le bonheur.
20. Si vous consacrez la plus grande partie de votre temps à lutter pour améliorer vos faiblesses, vous aurez tendance à ressentir de la frustration.
21. L'entraînement et la pratique sont les seuls moyens pour vraiment maîtriser une nouvelle compétence. Soyez patient avec vous-même lorsque vous apprenez quelque chose de nouveau.
22. La seule manière de rester jeune est de continuer à apprendre de nouvelles choses.
23. Apprendre de nouvelles choses signifie que vous êtes un débutant et que vous serez amené à commettre des erreurs.
24. Si cela ne vous dérange pas de faire des erreurs, vous aurez plus de facilités à acquérir de nouvelles compétences.
25. Personne n'a jamais assez de ressources (temps, argent, personnes) pour le projet auquel il travaille ou pour l’entreprise qu’il met sur pied.
26. Un manque de ressources n'est pas une excuse, il s’agit d’une bénédiction déguisée qui vous obligera à faire preuve de plus de créativité.
27. La créativité et l’innovation sont des compétences que l’on peut apprendre et pratiquer grâce à l’expérimentation de domaines familiers d’une autre manière.
28. Prenez des risques calculés.
29. Lors des premières phases d'une entreprise, d'un projet ou d'une carrière, vous devrez souvent dire « oui » à beaucoup de choses. Durant les étapes ultérieures, vous devrez apprendre à dire « non ».
30. La critique négative est nécessaire, ne la rejetez pas automatiquement.
31. Si vous exprimez une critique, faites-le par rapport au travail, pas par rapport à la personne.
32. Pensez grand et rêvez grand.
33. Considérez vos rêves comme le but ultime. Vous n’êtes pas obligé de le réaliser tout de suite. La seule façon d’y arriver est de passer par de nombreuses petites étapes.
34. Si vous pensez en grand, vous serez amenés à être confronté à plus de refus que d’approbations. Toutefois, sachez que les autres ne décident pas pour vous, vous êtes le seul à en avoir le pouvoir.
35. Quelle que soit la durée nécessaire à la création de quelque chose, cette période a moins d'importance que la valeur de cette chose une fois que vous aurez abouti à sa création.
36. Communiquez vos plans et faites part de vos projets aux autres.
37. Développez votre réseau.
38. Quel que soit le secteur dans lequel vous travaillez, l'important n'est pas le produit que vous créez, mais la manière dont cette création va améliorer la vie des personnes.
39. Quelle que soit l'importance de vos succès, vous pouvez toujours connaître un échec.
40. Echouer n'est pas un problème, cela fait partie du processus
41. Les choses ne se déroulent jamais comme on s'y attend. La seule manière de ne pas en subir les conséquences est de tenir compte de ce facteur lors de votre planification.
42. Répondez « oui » au plus grand nombre de questions possibles.
43. Afin de dire « oui » le plus souvent possible, il est important de fixer des limites à votre engagement.
44. Apprenez à dire « non » d’une manière respectueuse.
45. Peu importe la richesse, la célébrité ou le succès d’une personne, l’essentiel est que cette personne est un être humain fait d’espoirs et de peurs tout comme vous.
46. Obtenir ce que vous voulez ne signifie pas que vous serez heureux. Le bonheur est l’art d’être satisfait de ce que l’on possède déjà.
47. Tout le monde doit être en mesure de collaborer avec des personnes compliquées. Soyez respectueux, faites bien votre travail et neuf fois sur dix, cette personne s’éloignera de vous.
48. Lorsque vous fréquentez cette personne, n’oubliez pas que vous n’être pas victime de la situation. Cherchez plutôt un autre emploi loin de cette personne.
49. Dès que vous pouvez prouver quelque chose, cherchez de préférence un bon sponsor ou manager qui acceptera de soutenir votre projet.
50. Concentrez-vous sur ce que vous voulez et non sur ce que vous ne voulez pas.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=50-verites-universelles-qui-devraient-permettre-a-tout-le-monde-de-russir&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 06/01/2015

Des choses que font et pensent chaque jour les personnes exceptionnelles

Les personnes qui réussissent ne sont pas fondamentalement plus intelligentes ou plus chanceuses que nous. Elles comprennent que, comme l’affirmait Aristote, « Nous sommes ce que nous faisons de manière répétée. L'excellence n'est donc pas une action, mais une habitude ».

Voici les actes et pensées quotidiens des personnes exceptionnelles, compilés par Business Insider.

1. Elles revisitent leurs objectifs
Vos buts dans la vie méritent plus qu’un examen approfondi après quelques années ou quelques mois. Les personnes qui réussissent ont tendance à réexaminer leurs objectifs à court et à long terme tous les jours. La vie est un vaste processus qui peut prendre une tournure différente à chaque instant. Revisiter vos buts, vos attentes et vos desseins quotidiennement vous permettra donc d’être prêt si le cours de votre existence en venait à changer de cap.

2. Elles s’appuient sur la logique et la raison
Les personnes exceptionnelles utilisent souvent un vocabulaire précis. Elles emploient, par exemple, des phrases comme « Voici ce que je pense » et exposent ensuite leurs idées, pensées et opinions de manière logique. Pensez à délivrer votre message de manière claire grâce à un développement en guise d’introduction qui ne se base en aucun cas sur un argument d’autorité.

3. Elles reconnaissent leurs erreurs
Personne n’est parfait. Nous commettons tous des erreurs et prenons aussi des mauvaises décisions de temps à autre. Lorsque vous vous égarez lors de décisions, soyez capable de vous en rendre compte et admettez vos fautes et maladresses. Selon les personnes qui réussissent, reconnaître ses torts vous permet de gagner le respect des autres, principalement de vos subordonnés et de vos détracteurs.

4. Elles félicitent les autres
En affaires comme dans la vie, les personnes ont davantage tendance à souligner les erreurs les faux pas plutôt que la qualité du travail d’autrui. Les louanges et les félicitations ne demandent pas beaucoup d’efforts et peuvent représenter énormément pour la personne qui les reçoit. Les personnes exceptionnelles s’efforcent de montrer aux autres qu’ils valorisent leur travail et réalisations.

5. Elles sont reconnaissantes
Bien qu’elles pensent ne mériter aucun cadeau ou bonus, les personnes exceptionnelles savent accepter les compliments de manière humble par un simple merci. Par ailleurs, elles savent aussi valoriser l’aide et le soutien de coéquipiers, collaborateurs et partenaires qu’elles ont reçus pour la réalisation de leurs objectifs, qu’ils viennent.

6. Elles reconnaissent quand elles ont besoin de plus de pratique
Lorsqu’elles se retrouvent face à un problème face auquel elles éprouvent de la difficulté, les personnes exceptionnelles reconnaissent qu’elles ont besoin de plus de formation. Savoir comment faire quelque chose est beaucoup plus profitable que savoir que faire. Cela vous sera bénéfique de deux façons : vous aboutirez à de nouvelles connaissances et la personne à qui vous demandez du soutien se rendra compte de la valeur que vous accordez à celui-ci.

7. Elles aiment l’existence
De nombreuses études ont montré que les personnes qui ont réussi témoignent d’un véritable amour pour l’existence. Elles voient les échecs comme une manière d’apprendre davantage et les obstacles comme un moyen d’apprécier quand les choses se déroulent bien. Elles essaient de vivre chaque instant intensément et pensent chaque contexte en vaut la peine.

8. Elles n’acceptent aucune limite
Les personnes qui réussissent estiment qu’elles ne sont limitées que par elles-mêmes. Les personnes qui ne dépassent pas leurs propres frontières ne sauront jamais quel est leur véritable potentiel. Afin de gravir les échelons, il faut avoir une certaine force mentale et faire preuve de volonté. Les personnes exceptionnelles pensent que chacun de nous possède ces caractéristiques. Elles sont conscientes de leurs capacités de réussite et de celles des autres.

9. Elles valorisent leur temps et leurs relations
Les personnes qui se rendent compte de la valeur de leur temps sont souvent plus accomplies que les autres. Bien souvent, les personnes se concentrent tellement sur leurs affaires qu’elles en oublient leurs relations personnelles. Pour les personnes exceptionnelles, un équilibre entre le temps personnel et le temps professionnel est primordial.

10. Elles valorisent les personnes
Les personnes exceptionnelles se concentrent sur leurs interactions avec les autres. Elles sont conscientes que ceux qui les entourent les aident finalement à réussir et elles s’efforcent de maintenir ces relations au beau fixe.

11. Elles ont un but dans la vie
Les personnes qui réussissent savent que la vie a un sens et que leurs décisions sont finalement reliées à cette signification. Des entretiens avec des survivants de l’Holocauste ont montré que la plupart d’entre eux avaient survécu car ils étaient persuadés qu’ils possédaient un objectif élevé dans l’existence.

12. Elles n’abandonnent jamais
Les personnes exceptionnelles n’abandonnent jamais la quête à laquelle elles croient. Elles font en sorte que les obstacles ne les empêchent pas d’atteindre leurs objectifs. Lorsqu’elles ne parviennent pas à leurs fins, elles s’adaptent et continuent à œuvrer pour réaliser leurs rêves.

13. Elles restent fidèles à leurs valeurs
Les personnes qui réussissent ne renoncent jamais à leurs valeurs et font constamment preuve d’éthique. Elles savent que ces valeurs ont contribué à leurs succès. Leurs objectifs sont ainsi alignés sur leurs principes. Ces derniers ont une influence sur leurs attentes qui à leur tour ont une incidence sur leurs actions.

14. Elles gèrent leur temps
La gestion du temps est un élément essentiel de la réussite des personnes exceptionnelles. Ces dernières évitent de perdre du temps et développent des stratégies pour éliminer les interruptions de leur route.

15. Elles mettent l’accent sur les petites choses de la vie
Malgré le fait que leur dessein soit grand, beaucoup des personnes qui réussissent admettent qu’elles se concentrent sur des choses minimes qui les aident à avancer dans la vie. Selon elles, les petits projets ont souvent tendance à se transformer en de grandes réalisations. Si vous n’êtes pas en mesure de vous concentrer sur de petites choses, vous ne serez jamais capable d’en accomplir de grandes.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=15-choses-que-font-et-pensent-chaque-jour-les-personnes-exceptionnelles&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 07/01/2015

Et les violences continue sans relation entre elles
http://www.lesoir.be/752316/article/actualite/france/2015-01-08/fusillade-paris-l-auteur-est-en-fuite-pas-lien-etabli-avec-l-attentat-charlie-he

Écrit par : L'enfoiré | 08/01/2015

'Je préfère mourir debout que vivre à genoux'

« Trois fous ont couru dans les rues de la capitale française en croyant avoir abattu des idées, bousillé un journal, peut-être vengé leur foi, mais ils n’ont fait que tuer des hommes et renforcer les idéaux que ceux-ci portaient », écrit Joan Condijts de l’Echo. « Car, comme il y aura, sans doute, malheureusement, toujours des fanatiques pour tenter de les assassiner, il y aura toujours des hommes pour défendre la justice, soutenir l’intelligence et préserver la lumière. »

#CharlieHebdo pic.twitter.com/15O4YC2KWg
— Ruben L. Oppenheimer (@RLOppenheimer) 7 Janvier 2015
Les évènements effroyables d’aujourd’hui rendent la question [d’une possible Réforme de l’islam] encore plus pressante », écrit The Economist, « parce des gens vont sans aucun doute dire : voici la preuve, si nous en avions besoin, que l’islam est intrinsèquement et irrémédiablement violent, intolérant, et incapable d’accepter l’idée libérale de la liberté de parole. Et si cette vision monte en puissance, beaucoup de musulmans concluront à leur tour que, face à tant d’hostilité acharnée, ce n’est même pas la peine d’essayer d’expliquer leur foi aux autres ou de chercher à s’arranger avec leurs voisins. Les enjeux sont donc très importants ».

Cartoonists show solidarity after #CharlieHebdo attack: http://t.co/8zXyCAeuWB pic.twitter.com/ij29oR0jY3

— The Telegraph (@Telegraph) 8 Janvier 2015
« L’auteur anglais, Andrew Hussey, qui vit à Paris, a publié l’année dernière un livre appelé « L’Intifada française », dans laquelle il a décrit la France comme « la capitale mondiale de la liberté, de l’égalité et de la fraternité… attaquée par les héritiers dépossédés du projet colonial français furieux », rappelle Tony Barber du Financial Times.
« Les meurtres à Paris soumettent le défi aux politiciens et aux citoyens français de se lever pour défendre les valeurs fondamentales de la République et vaincre la violence politique sans pour autant succomber aux chants des sirènes de l’extrême droite ».

Banksy's response to the #CharlieHebdo Shooting http://t.co/LoWKhA5cju pic.twitter.com/qpHaGEyCnM

— 9GAG (@9GAG) 8 Janvier 2015
«La religion, une forme médiévale de déraison, peut devenir une vraie menace pour nos libertés, lorsqu’elle se combine avec l’armement moderne », a déclaré Salman Rushdie, l’écrivain qui fait l’objet d’une fatwa depuis 25 ans en raison de son ouvrage « Les versets Sataniques ». « Ce totalitarisme religieux a provoqué une mutation mortelle au cœur de l’islam, et nous en voyons les conséquences tragiques aujourd’hui à Paris.
Je me tiens aux côtés de Charlie Hebdo, comme nous devons tous le faire, pour défendre l’art de la satire, qui a toujours été une force pour la liberté et contre la tyrannie, la malhonnêteté et la stupidité. « Le respect pour la religion » est devenu le mot de code pour « la peur de la religion ». Les religions, comme toutes les autres idées, méritent la critique, la satire, et, oui, notre manque de respect intrépide ».

Charlie Hebdo. Nooit opzij. pic.twitter.com/MJwGKPQ8jU

— Joep Bertrams (@joepbertrams) 7 Janvier 2015
Enfin, le blog New Republic rappelle que le dernier numéro de Charlie Hebdo était consacré au dernier ouvrage de Michel Houellebecq, « Soumission », dans lequel l’auteur décrit une France de 2022 gouvernée par un parti islamiste. Ce roman a suscité une forte controverse en France, beaucoup accusant Houellebecq d’islamophobie. « La plus récente cible de la satire de Charlie Hebdo n’était pas l’Islam. C’était l’islamophobie », titre le blog. « L’une des grandes ironies de cet attentat est qu’il s’est produit le même jour que la parution chez les libraires français, de « Soumission », et du numéro de Charlie Hebdo qui s’en moquait. Ce qui s’est passé chez Charlie Hebdo est une attaque épouvantable menée par des islamistes radicaux cherchant à faire taire la publication. Mais alors que la conversation avance, il est important de se souvenir que les journalistes et les dessinateurs de Charlie Hebdo ne combattaient pas seulement le fondamentalisme islamique, mais aussi d’autres formes de pensée intolérantes et dogmatiques ».

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=je-prefere-mourir-debout-que-vivre-a-genoux&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 08/01/2015

Les Anonymous vengeurs reviennent

Le groupe de hackers a par ailleurs publié sur le site Pastebin une liste de comptes Twitter qu'il considère comme djihadistes. Il va plus loin encore en invitant les internautes à les signaler auprès du réseau social.
Si l’intention peut sembler louable, elle n’est pas sans risque…
Pour Olivier Bogaert, commissaire de la Computeur Crime Unit de la police fédérale, une telle opération de piratage pourrait en effet s’avérer dommageable pour l’enquête. « L’appel à la vengeance d’Anonymous cadre avec l’idéologie du groupe qui milite pour un internet libre. Mais en s’en prenant aux sites qui diffusent des discours et des opinions, ils font eux-mêmes la démonstration que la liberté d’expression sur le net doit être limitée », analyse Olivier Bogaert qui précise que, pour l’heure, son équipe n’a pas été sollicitée dans le cadre de l’affaire « Charlie Hebdo ».
« Par ailleurs, poursuit-il, en s’attaquant au serveur, les pirates d’Anonymous risquent de bloquer des données ou de faire disparaître les traces d’accès aux sites par les criminels. Traces qui pourraient être utilisées pour identifier d’autres terroristes ».

http://geeko.lesoir.be/2015/01/09/anonymous-aux-assassins-de-charliehebdo-nous-allons-vous-detruire/?_ga=1.70608720.170648839.1417337909

L'enquête choc d'une journaliste qui s'est glissée «dans la peau d'une djihadiste»
Pendant un mois, Anna Erelle s'est fait passer pour une jeune fille désireuse de partir faire son djihad. Aujourd'hui menacée par l'Etat islamique, la journaliste a décidé de raconter son enquête dans un livre publié ce jeudi.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/01/08/01016-20150108ARTFIG00005-l-enquete-choc-d-une-journaliste-qui-s-est-glissee-dans-la-peau-d-une-djihadiste.php

Écrit par : L'enfoiré | 08/01/2015

'Je ne suis pas Charlie': La compagne de Charb dénonce l'hypocrisie de la France après l'assassinat de son compagnon

La chaîne française d’actualité TF1 a reçu hier Jeannette Bougrab, la compagne du dessinateur Charb (de son vrai nom Stéphane Charbonnier) qui a été assassiné mardi au cours de l’attaque menée dans les bureaux du journal satirique Charlie Hebdo. Observant que tout le monde s’unissait autour de Charlie Hebdo, elle a déploré que la société n'ait rien fait quand son compagnon et les autres victimes étaient accusés de racisme et d'islamophobie, et continuellement menacés de mort: Quand vous recevez des messages de haine sur internet, sur les fils, de manière anonyme, bien sûr, ou sur Twitter. (…) Ils étaient obligés de faire appel à la générosité des lecteurs pour pouvoir survivre. (…) On les a stigmatisés en leur disant que c’était eux, les racistes. (...) La république est coupable. Ils étaient systématiquement protégés par la police. Des messages de haine sans que personne, dans l’indifférence, se lève pour les défendre. C’est la réalité. On aurait pu éviter ce massacre, on aurait pu éviter ce massacre et on ne l’a pas fait. Alors on doit s’interroger pour savoir pourquoi on ne l’a pas fait. »
«Je l'aimais pour ce qu'il était. C’était quelqu'un qui était prêt à mourir pour ses idéaux. Est-ce que vous connaissez des gens qui sont capables de mourir pour leur idéaux aujourd’hui? Non. » (…) « Je ne veux pas chercher d’excuses à ces… à ces …. Je ne veux pas connaître le passé de ces gens. Ce sont des bourreaux qui assassinent des innocents et des combattants ».
« Charb savait qu'il allait mourir. (…) Je lui disais que nous devions quitter la France. J’étais convaincue que nous étions dans une époque insurrectionnelle et que notre sécurité n’était pas garantie (…). Il ne riait pas de ces menaces, ce n’est pas vrai. C’était un combattant de la liberté, il était attaché à cet idéal républicain. Il vivait avec la peur, il savait qu'il allait être un jour assassiné. On se le disait ensemble, il est ce qui aurait pu être un Theo Van Gogh, qui est ce réalisateur hollandais qui a été assassiné aux Pays-Bas», a dit Bougrab, qui était secrétaire d'État dans le gouvernement de François Fillon. «Quand on vit avec une épée de Damoclès au dessus de la tête, on ne vit pas sereinement».

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=je-ne-suis-pas-charlie-la-compagne-de-charb-denonce-lhypocrisie-de-la-france-apres-lassassinat-de-son-compagnon&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

http://blog.marcelsel.com/2015/01/07/je-ne-suis-pas-charlie/

Écrit par : L'enfoiré | 09/01/2015

Le dessin "Je suis Charlie" en réponse à l'attaque de Charlie Hebdo est sans doute le meilleur

Le magazine américain The New Yorker a publié ce qui est peut-être le meilleur dessin après l'assassinat de 12 personnes dans les locaux de la rédaction du magazine satirique Charlie Hebdo à Paris.
Ce dessin de Michael Shaw remonte à... 2006.
En 2012, il avait été de nouveau publié par l’un des dessinateurs du magazine, Bob Mankoff, pour illustrer un article évoquant la difficulté de publier des dessins portant sur des sujets religieux, sans offenser quiconque.
Depuis mercredi, ce « cartoon » est plus visionnaire que jamais ...

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=ce-dessin-en-reponse-a-lattaque-de-charlie-hebdo-est-sans-doute-le-meilleur&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Personnellement, ce ne sera pas trop difficile de l'appliquer puisque c'est mon 3ème prénom.

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Al -Qaïda menace la France de nouvelles attaques

Dans une vidéo, un responsable d’Aqpa met en garde : « Vous ne serez pas en sécurité tant que vous combattrez Allah ».
Dans ce message, Harith al-Nadhari, une autorité en matière de charia, la loi islamique, au sein d’Aqpa, s’adresse aux Français en ces termes : « vous ne serez pas en sécurité tant que vous combattrez Allah, Son messager et les croyants », selon une retranscription fournie par SITE.
Le dignitaire n’a toutefois pas revendiqué au nom de l’organisation les attaques survenues à Paris.
« Des soldats qui adorent Allah et Ses messagers sont venus parmi vous. Ils ne craignent pas la mort, ils cherchent le martyr au nom d’Allah », poursuit ce responsable, dans une référence implicite aux auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo, Chérif et Saïd Kouachi, qui a fait 12 morts.
Chérif Kouachi, qui s’est dit missionné par Aqpa, et son frère, qui aurait suivi au Yémen un entraînement au maniement des armes avec Al-Qaïda, ont été abattus vendredi par les forces de l’ordre, après s’être retranchés dans une imprimerie au nord-est de Paris.
Un proche, Amedy Coulibaly, a été tué dans l’assaut d’un magasin casher de la capitale où il retenait plusieurs personnes en otages. Il s’était revendiqué du groupe État islamique.

http://www.lesoir.be/754312/article/actualite/france/2015-01-10/al-qaida-menace-france-nouvelles-attaques

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

En 2005, j'écrivais

"Identifiez-vous"

http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2005/07/09/identifiez-vous.html

Est-ce Allah le responsable ou son nom?

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Ni Dieu ni maître et encore moins d'un prophète.

Ce coup-ci, les Muslims vont devoir faire leur examen de conscience ...et je pense qu'ils vont refuser de le faire car on leur apprend que Dieu est à craindre.
Seuls les Juifs pensent qu'ils sont de la race élue, puisque leur Dieu à eux n'est pas encore arrivé.
Bien sûr que cela fait du ramdam ici aussi. J'étais tout à l'heure avec le Ministre de la Culture, le Directeur du Patrimoine, l'Ambassadeur du Laos en France et le responsable du CNRS, nous devions discuter du projet Louang Prabang. Ce fut fait bien sûr, mais l'essentiel de la conversation a porté sur l'attentat contre la liberté qui a eu lieu à Paris.
J'ai analysé un tas de commentaires dans plusieurs journaux et en retire que la majorité des gens veulent ne pas répondre à la vengeance par la vengeance. J'en retire que si les associations musulmanes ne s’élèvent pas également et vigoureusement contre cette lâcheté, il n'y aura pas de problème majeur. Dans le cas inverse, ce sera comme le dit le proverbe '" qui ne répond consent ".
Je suis aussi en profond désaccord avec ceux qui veulent exclure le FN des manifestations pour le soutien à la République car il y a des valeurs fondamentales qui dépassent les clivages politiques.
De toute manière, il va y avoir des traces durables.
Il faut que nos sociétés se décident à jeter dehors TOUS ceux qui prêchent un islam violent. TOUS sans exception doivent être exclus de notre société;, qu'ils aient la nationalité ou pas.
Il faut crever l'abcès. A nouveau, la réponse est aux mains de nos musulmans...
En fait, je crains le pire.
Ne me dis pas que les renseignements généraux ne sont pas parfaitement au courant de qui prèche quoi. En foutant direct tous ces zouaves dehors, les autres saisiront qu'ils ont tout intérêt à la fermer avec leur violence de prosélytes qu'au moindre hiatus, ce sera également la porte
Il faudrait également en profiter pour changer les lois sur la nationalité...
Bien sûr, on ne les prendra pas tous, mais il ne faut pas oublier que fondamentalement, ils sont lâches. S'ils gueulent si fort, c'est d'abord parce qu'on les a laissés faire.
Bon, cette fois, on ne les laissera plus faire...
Sinon ce sera la guerre entre eux tous et nous, mais chez nous, c'est dorénavant clair. Je ne sais pas si tu as appris qu'en Algérie hier, il y a eu des manifestations monstres pour saluer le geste de ces deux tueurs...
La si brillante civilisation égyptienne est préalable à l'arrivée de l'Islam... Souvent les Egyptiens ne connaissent même pas leur propre histoire, d'après ce que j'ai lu de ton article sur l'Egypte.
Toujours est-il que cela risque de barder dans les jours qui viennent !

Écrit par : alain sapanhine | 10/01/2015

"...jeter dehors TOUS ceux qui prêchent un islam violent"

Bien d'accord avec tout ce que tu as dit avec la seule réserve de la question : comment les détecter?
Le plus souvent, tu peux vivre avec un extrémiste sans le savoir, parce qu'ils sont très gentils en apparence.
Ce sont des eaux dormantes, jusqu'au moment où...

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Au sujet de l'anecdote n°2, je vais en faire un dialogue de bonne année qui s'est terminé en dialogue de sourds (après avoir supprimé les formules de circonstances).
Je commence:

- Contrairement à beaucoup je n'ai aucune conviction. Un jour je peux dire blanc et un autre noir puisque à mes yeux c'est au milieu des deux couleurs (ou manque de couleur, photographiquement parlant) que se trouve une solution potentielle. Nous devons nous faire avec nos contradictions à chercher à les confirmer ou à les infirmer. Contrairement à beaucoup de personnes, je ne lis pas toujours ce qui me fait plaisir et ce qui est dans mes "con-victions" et j'ai choisis des interlocuteurs de convictions différentes.

- Il me semble prétentieux de ta part d’utiliser le terme "JE" vous ai choisis comme interlocuteurs ». Tu sais certainement qu’une communication implique au minimum deux personnes (qui a vraiment commencé est un débat de cours d’école primaire). Donc l’égo n’a pas lieu ici. Le JE n’a pas sa place ici non plus.

- J'ai trouvé ce qui te dérangeais dans ce "JE", il s'agit d'un article qui parle de Montaigne.

- J’ai lu attentivement ce texte à propos du JE de Montaigne mais je ne suis pas convaincu que cette explication correspond à mes raisons et réactions.
Mais bon cela n’a pas beaucoup d’importance.

- Bientôt, je ferai aussi une analogie entre le 16ème siècle et le nôtre.

- Une analogie entre le 16ieme et le nôtre, n’oublie pas de parler du capitalisme…et des évolutions sociales dans nos pays européens, je pense seulement aux pays qui sont à l’origine de l’EU. Les suivants ont été intégrés n’importent comment et vite vite svp pcq le capitalisme à très bien compris ce qu’il fallait faire pour remettent les pays trop généreux du point de vue sociale et leur travailleurs aux pas. Nivellement par le bas est depuis la règle pour le meilleur d’une infime minorité.

- Le capitalisme a toujours existé, mais il était réservé au plus haut de la société.

- Le sujet n’était pas si il a toujours existé mais simplement rappeler que dans le cadre d’une analogie entre siècles, le sujet « capitalisme » a sa place.
Tu te rappelles ma lecture du livre de Michel Beaud (L’Histoire du Capitalisme de 1500 à nos jours)

- Bien sûr que le capitalisme a sa place. J'ai écrit, il y a quelques temps, deux billets sur l'Histoire des grands empires économiques" qui expliquent bien que l'idée du capitalisme est loin d'être née hier ou avant hier. Le capitalisme est né pendant l'antiquité et les prémices encore bien avant. Elle est apparue avec les pièces de monnaies. J'ai visité le Musée de la Banque nationale à Bruxelles qui était bien faites et il en est advenu ce billet "Le monétarisme vaudou". Il y a une chose que j'ai aimé, c'est que Piketti a refusé la légion d'honneur. Il est monté de plusieurs crans dans mon estime. Il y en a peu qui résistent aux honneurs. Même de grands noms des économistes se voyaient déjà et se voient encore....

- Un mot ou une phrase prise hors contexte peut mener à bien des conclusions « glissantes » et peu représentatives de la pensée de chacun. Quand les états se mettent à son service (ce qui est le cas) alors les dérapages s’accélèrent et les centaines de millions de morts s’accumulent un peu partout sans mentionnés les 5 milliards de terriens laissés pour compte des pertes!
Le capitalisme ne s’intéresse qu’à ceux qui ont un pouvoir d’achat. Que ceux-ci représentent 15% de l’humanité (la situation actuelle) ou 100% est un non paramètre pour le capitalisme. Si le politique continue d’abandonner le terrain des humains au bénéfice d’une infime minorité alors l’appauvrissement de la très large majorité continuera de s’accélérer. Cet écart devient tellement énorme que le point de basculement se rapproche à grands pas. Malheureusement cela résultera en guerres apocalyptiques avec des centaines de millions de morts. Deux camps vont s’affronter, le capitalisme qui jouera… sa survie (seul contre tous) et la presque totalité des autres humains qui auront tout perdu donc plus rien à perdre. Sur une terre ou les ressources sont limitées le capitalisme sans contre pouvoir est voué à sa propre perte. La probabilité est grande que tout cela se terminera dans la douleur et le sang avec comme conséquence possible l’extinction de la race humaine. Certains me répondront en disant « je ne serais plus de ce monde lorsque la fin sera très proche donc à chacun sa peine, celle de demain sera pour les autres ». D’autres auront un avis diamétralement opposé.

- Je possède un livre de "Alternatives Economiques" avec les grands auteurs de la pensée économique qui les reprend tous sans parti pris. Bien sûr qu'avoir du pouvoir d'achat change tout. L'argent est le nerf de la guerre, il y a longtemps que je le sais. Que je sais aussi, que l'informatique allait tout faire capoter au sujet des emplois disponibles. J'en étais absolument conscient que le numérique allait révolution toute la pensée. Et c'est très loin d'être fini. Ce n'est plus du travail qu'il faudra chercher, mais des moyens pour meubler son temps intelligemment. Les jeunes ont déjà partiellement compris. L'austérité, c'est le pire des maux dans un monde qui voit la croissance comme une obligation. Les centaines de millions de morts, on appelle cela des dégâts collatéraux, dans le langage ad-hoc. Tu as lu mon dernier article au sujet des idées d'Attali. Je suis désolé pour moi c'est un con avec son "Double vert". L'extinction de la race humaine? Oui, comme tu dis " « je ne serais plus de ce monde lorsque la fin sera très proche donc à chacun sa peine, celle de demain sera pour les autres ». Ce seront les machines qui prendront le pouvoir ou alors une race bien plus intelligente que nous. Je suis sûr qu'elle est occupé à se créer petit à petit.
"Just what's needed is usefull", ce qui est complètement différent comme philosophie. Au sujet de Michel Beaud, j'ai été voir, encore un vieux schnock, né en 1935. Plus beaucoup à perdre, si ce n'est pour ses enfants s'il en a. Ce que j'aimerais c'est d'avoir plus de jeunes qui parlent. Picketti dont je parlais, me parait plus indiqué.

- Il est parfois désolant de te lire avec tes avis à l’emporte pièce! Le sujet concernant Michel Beaud n’est pas lui aujourd’hui mais est un livre qu’il a publié en 1980. A l’époque il était beaucoup plus jeune que toi et moi aujourd’hui. Donc moins vieux schnok que toi et moi à l’époque. Désolé mais tes avis là c’est du n’importe quoi. Tu n’as pas lu son livre. Tu ne le connais pas. Tu lis en 3’ wikipedia et la sentence est sans appel - c’est un vieux schnock. Et les centaines de millions de morts ce sont des effets collatéraux. Point to the line. J’ose espéré que tes autres avis sur Pierre et Paul ne sont pas d’un même terreau. Ou bien tu me provoques. Si cela est le cas alors tu me désoles d’autant plus. Ce qu’ils pensent de l’état du monde tu n’en a aucune idée apparemment; C’est 100 fois pire que les avis que j’émets dans ces échanges. Et ils ne sont pas des schnok. Ce sont des prof d’université, des docteurs en Biologies, des diplômés de science Po, etc.. Des créateurs de startup!

- Sais-tu ce que j'écrirai un jour dans un article: On entend dire souvent de quelqu'un que c'est quelqu'un de conviction. Rien ne m'énerve plus surtout quand le mots est au singulier. Aimer les contradictions. Trouver la richesse dans la diversité des opinions. C'est un peu ce qui'il faudrait pouvoir faire. Chacun a reçu ses propres fondations. Soyons souple et léger. Cherchons les compromis sans compromissions. Prenons le meilleur en tout et rejetons ce qui ne parait pas judicieux. Louvoyons. Les livres ont une énorme problème: ils sont écrits à une époque précise dans un contexte précis. On oublie trop facilement les différences entre conjectures et conjonctures. Que ce soit des profs d'université, j'en ai rien à foutre. Ce sont des humains qui vivent à une époque et pas une autre. Quand je te parle hier de ZAZ, c'est pas pour parler de variété, mais pour prouver que même sans avoir eu des études de longues durées, tu peux réussir dans la vie. Qu'est-ce qui fait le bonheur? Le bonheur de la masse et des autres? Désolé, chez la plupart des gens, c'est que leur entourage leur donne envie de vivre. Je peux te donner des exemples à la pelle. Les beaux principes, les convictions j'en ai rien à cirer, s'ils n'apportent pas de solutions tangibles. Si tu avais lu mon "à propos", tu aurais pu comprendre ma technique de communication. Elle est des plus claires.

- Tu parles trop souvent des autres et ce sans les connaître. Par exemple tu parles de mes expériences de conflits…..alors que je n’ai jamais mentionné quoi que ce soit sur mes sois-disant conflits que j’aurais géré d’une autre façon que toi!! Je ne sais de quoi tu parles. Mais cela n’a pas d’importance. Je n’accepte absolument pas ton agressivité quelqu’en soient les raisons que tu évoques. Qui est en bas de l’échelle n’est pas en haut et inversement. Je n’ai rien à ajouter à cette philosophie. Tu préfères l’histoire d’aujourd’hui c’est ton choix. Ce n’est pas le mien sachant que celle-ci est dictée non pas par des historiens mais par des intérêts d’aujourd’hui qui changerons demain. Ce genre de pensée en ligne avec les marées ne sont pas de grand intérêt en ce qui me concerne. Même si ta capacité littéraire de dire tout et son contraire est digne d’un agrégé en communication. Ceci est certainement une qualité primordiale de notre époque. En résumé nos points de vue sont tellement en opposition et tes sois-disant dialogues sont ou bien marqué d’une agressivité invraisemblable, ou bien tes réponses (qui n’en sont pas la plus part du temps) sont d’inviter ton interlocuteur à lire tes écrits et encore et encore. Ce que j’ai fait très souvent. Mais où trouver la réponse qui devrait faire partie d’un dialogue constructif alors la mea culpa mais j’en reconnais très peu. Au delà de l’agressivité verbale et écrite, ton autre technique de communication préférée est d’invité l’interlocuteur à te lire et relire et ce parfois plusieurs fois par email. C’est de la com, donc pas du dialogue. A mon avis.

- OK, compris. Tout n'est qu'interprétations et évaluations des choses de la vie. Bien d'accord la-dessus. Chacun vit dans ses propres chaussures, et chacun les cire ou les portes non cirées, c'est évident. Je n'ai pas eu à cirer les pompes des autres non plus. Je n'ai pas une formation de diplomate, c'est évident aussi. 40 ans de pragmatisme et de numérique, laisse des traces. Ce que j'ai ajouté hier et la vidéo de Fernand Rainaud me paraissait parfaitement dans la ligne. Ce n'est JAMAIS un dialogue en disant à l'autre, "ce que tu dis ne tient pas la route".

- Il y a plusieurs manières de dialoguer, celle que tu considères comme étant la tienne n’est plus acceptable en ce qui me concerne. Ce n’est pas la première fois que tu mentionnes adorer « prêcher le faux pour avoir le vrai et inversement », « adorer provoquer », « adorer accuser l’autre pour l’obliger à ce dévoiler », etc. Chacun a ses limites quant à la charge qu’il peut supporter. Je conçois que chacun communique comme il peut mais pour celui qui reçoit c’est difficile à supporter sur le long terme. En ce qui me concerne un STOP est indispensable.

- La manière trop sérieuse de prendre des choses, c'est fini. J'ai compris. Je fais référence avec des situations du passé, tu n'en as rien à cirer. Ok. Pas de problème. Je n'imagine pas, je prends du tangible dans mon passé et pas dans le tien. Les apartés par voie de mails, j'ai toujours essayé de les remonter avec plusieurs personnes. Souvent, elles me revenaient sans la copie des autres. Tu t'étonnes que je répète? C'est exactement la raison essentielle. On ne sait plus qui a dit quoi à qui. J'ai aussi horreur de ça. Le STOP est indispensable. Tu as absolument raison de cette manière. Il y a incompatibilité de procédés et de fonds puisque mes lectures vont actuellement du côté de Laurent Bafie et Stéphane De Groodt qui fait un aller et retour en absurdie.

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Bien sûr que je savais où mon interlocuteur voulait me mener, m’entraîner même.
C’était tellement clair, que je me devais de jouer l’enfoiré bouché.
L’humour que je voulais apporter n’était pas la voie dans laquelle il voulait aller alors que comme je l'ai dit en fin d'année, je l'adoptais. L'humour a toujours fait partie de tous mes articles dans une touche finale.
Le sérieux, je peux aussi le jouer et c’est ce que j’ai fait.
Qu'on se le dise, le capitalisme ne m'impressionne pas en tant que tel. Ses excès, oui.
J’en ai écrit quelques bouts à ce sujet avec humour dans le passé.
Mais cette fois, je ne voulais pas m'y replonger.
D'où le dialogue de sourds et mon éclectisme poussé à l'extrême.
Pardon, si cela a été considéré comme de l'insolence enfoirée.
Mon "à propos", suffisamment complet, aurait pu mettre sur la voie.
Ouvrons la parenthèse ébauchée lundi dernier et de l'histoire personnelle, une anecdote tout à fait dérisoire. En apparence...

Là aussi, il y avait des tremblements de l'esprit annonciateur d'un mini-cataclysme oral à une échelle minuscule qui ne fait pas de vagues.

Un crac entre deux personnalités de liberté d'expression avec de mini-secousses prémonitoires.

J'avais été agressif:
- La cerise sur le gâteau à « mourir de rire » dixit Charlie Hebdo. comme il le disait.

C'est certain qui dirait le contraire.
Un souvenir: "L'ami caouette" me fait la tête
....
Mamselle Leçon me traite de con...

https://www.youtube.com/watch?v=lowuIou_B8Y

Un de mes très vieux articles disait qu'il y avait du
"Prestige d'être simplement con"

http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2006/08/14/le-prestige-d-etre-simplement-con.html

Écrit par : l'enfoire | 10/01/2015

Les dernières informations de Charlie:

http://www.rtbf.be/video/detail_jt-19h30?id=1984265

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Nicolas Vadot confirme aussi que c’est en 2006 qu’il s’est rendu compte que des caricaturistes pouvaient être menacés.

« J’ai eu tendance à verser dans l’autocensure, mais aujourd’hui paradoxalement j’ai moins peur. Ce qui s’est passé cette semaine a réveillé les consciences. Quand je vois le soutien que nous recevons dans le monde entier, de la presse, des gens c’est rassurant. On s’aperçoit que le dessin politique fait partie du paysage. C’est vrai que nous faisons ce métier depuis 20 ou 30 ans et on en avait presque oublié l’utilité sociale de notre métier. Là, tout à coup, ça nous revient et c’est très rassurant pour nous. »

CQFDire

Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2015

Le bonheur et le rire étaient le sujet de l'article au départ.
Concours de circonstance, ce samedi , c’était le 70 ème anniversaire de la bonne du curée, Annie Cordy sur France2.

La chanson qui est à mettre à la fin de cette semaine de tristesse partagée et qui réveille les consciences:

Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Comme tout finira bien
Il faut profiter du jour qui vient

Quand le jour paraît, j'ouvre les volets
Pour voir le soleil dans le grand ciel bleu
Tant mieux s'il est là mais s'il n'y est pas
Je me fais mon soleil même quand il pleut
J'ai le coeur léger quelque soit la saison
Quand je chante ma chanson

Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Si ça te semble loin
Pourquoi ne pas prendre un bon jour d'avance
Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Comme tout finira bien
Il faut profiter du jour qui vient

Quand je vois certains de mes bons copains
Qui pour trois fois rien n'ont plus le moral
Je leur tends la main, je leur dis "c'est rien"
Tant que ton coeur bat ce n'est pas si mal
Pense que ce monde a était fait pour toi
Maintenant chante avec moi

Écrit par : l'enfoire | 10/01/2015

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