Pas de boogie woogie

Mon dernier billet "Sous influences convictionnelles" parlait d'une série d'influences qui modifient le sens de la vie. Cet article était lui-même précédé par la "conversion autonome de la Corée au 18ème siècle" que je terminais par "L'humour coréen vs humour français".  J'y ai essayé d'être le plus neutre possible en ne cachant pas ma mécréance. Une préversion de ce billet, envoyée sur le forum agoravox.fr, s'est terminée par un pugilat verbal en ping-pong de commentaires entre Gollum et Jonas sur la croyance et la mécréance. 

Quand j'ai écrit ce billet, je ne m'attendais pas à la nouvelle guerre qui a débuté par l'attaque du Hamas en Israël à partir de la bande de Gaza.

Difficile de placer ce billet dans la catégorie "Parodie" à la suite de ce tragique événement faisant des centaines de morts. Je ne vais pas commencer à rire mais seulement essayer de chercher à comprendre et à tenir la tête sur les épaules. 

"J'aimerais terminer sur un message d'espoir. Je n'en ai pas. En échange, est-ce que deux messages de désespoir vous irait ?" écrit Woody Allen.

Depuis, les médias et les réseaux sociaux sont occupés à chercher à comprendre et à trouver une sortie à ce conflit.

"Faites l'amour et pas la guerre", pourrais-je conclure.

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Israëliens vs Palestiniens

Encore, une fois, je vais tenter de rester neutre (ou laïc), même si la manière de faire la guerre ou tout autre nom d'un conflit, me semble totalement bestiale, tout comme celle qui se déroule en Ukraine.
Il y avait d'autres moyens par exemple dans la cyberguerre pour montrer les failles du Service secret d'Israël dans ce domaine. "Soyons concret avec le discret", billet dans lequel j'écris "La cyberguerre ne fait pas de morts mais des dégâts collatéraux et des effets retours. Dans ce théâtre des opérations, on ne connait ni les acteurs, ni la stratégie, ni les buts, si ce n'est par l'intermédiaire de sabotages ou d'espionnages". Personne n'est invulnérable.

La date du 6-7 octobre 2023 pour l'attaque du Hamas n'était pas prise au hasard.
En 1966, il y a eu Adamo qui chantait "Inch Allah".
Son texte est écrit avant la Guerre des Six Jours entre Israël et les États arabes en 1967 comme une chanson de paix. Resté 4 mois dans le Top 10 français, le titre s'est écoulé à plus de 300 000 exemplaires. D'autres versions en langues étrangères ont suivi et la chanson fut reprise en 2008.
En 1967, la chanson est interdite dans le monde arabe à cause des "sentiments pro-israéliens" dans la chanson selon la censure arabe.

 Il y a exactement 50 ans, jour pour jour la guerre du Kippour commençait.

Lundi, l'oeil dans le rétro de Pierre Marlet rappelait 6 octobre 1973 .

Les tentatives de créer la paix ont existé, mais tous ceux qui ont été les représentants de cette paix ont été assassinés comme Isaak Rabin, Sadate par des intégristes religieux.
Ce coup d'œil dans le rétro se terminait par le rappel du film "Les Aventures de Rabbi Jacob" qui sortait quelques semaines après cet événement.

De Funes avait appris à danser avant de faire sa danse mémorable.
La question que l'on peut se poser : est-il encore possible de faire un tel film vu la recrudescence des problèmes religieux dans la région moyen-orientale ?
Comme vengeance, Israël a coupé le gaz, l'eau et l'électricité à Gaza et le conflit a continué dans une oeuvre de destruction globale après l'attaque du Hamas. 

- Je m’attends au pire quant à ta compréhension des problèmes du Moyen-Orient, m'écrit Don Quichotte.
- Pour comprendre Israël, il faut y aller comme je l'ai fait. J'ai écrit "Un nouveau pont trop loin" à ce sujet avec en fin "En attendant, je garderai des photos du très bel aquarium maritime d'Eilat avec ses poissons de toutes les couleurs et de la beauté naturelle du désert en pensant que flotter sur la Mer Morte sans pouvoir nager n'aide pas à trouver une solution. Une nouvelle tache blanche aura pris place sur la carte du monde car j'en aurai assez d'images qui me parviennent tous les jours en transit sous l’œil impartial du satellite".
Si on n'est pas de religion juive et on ne peut parler Hébreu, il vaut mieux passer son chemin dans une autre direction. 

Attaché à ce billet, celui de Elie Barnavi "Les juif, le peuple monde" avec quelques raisons qui correspondent "la fiction féconde qui veut que nous descendions tous de Hébreux anciens et que nous soyons tous issus de Palestine est avant tout une vérité idéologique et spirituelle. Une phrase de la Bible est tirée de la bénédiction de Balaam "Am levadad ishkon" (càd "un peuple qui demeure seul"). Ce n'est pas seulement un peuple qui a été ostracisé par les autres. C'est aussi un peuple qui s'est ostracisé lui-même".

L'oeil dans le rétro avec les accords de Oslo en 1993 aurait pu régler le problème entre Israël et la Palestine si les faucons extrémistes qui des deux côtés, n'avaient pas brisé les espoirs de paix
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Samedi soir, débat Déclic avec la question "S’agit-il d’actes terroristes ou de crimes de guerre ?

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Lundi soir, au 28', autre débat avec la question "Jusqu'où peut mener cette nouvelle guerre ?" 

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 Nicolas Vandenscrick apporte "L'œil sur le monde" : 
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Leila Shaïd, ancienne déléguée générale de l'autorité palestinienne, remet les pendules à l'heure ou peut-être, l'église au milieu du village comme on dit chez les chrétiens

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Mercredi, une manifestation à Bruxelles en soutien aux otages israéliens, en parallèle à une autre pour soutenir l'autodétermination du peuple palestinien qui subit le blocus d'Israël depuis 16 ans à Gaza
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Le conflit a un enjeu territorial mais aussi un arrière-plan avec un concept identitaire religieux.
Trop penché à l'extrême-droite, le gouvernement de Benjamin Netanyahu et le leader centriste, Benny Gantz, parviennent à un accord pour un gouvernement d’union.

Installé par Israël pour empêcher les Palestiniens de franchir leur territoire, le 'mur de la honte', force les habitants de Gaza  à vivre dans un ghetto. Le mur de Berlin n'avait pas le même objectif, c'est un fait. Certains diront qu'il s'agit d'une clôture de sécurité et qu'il a déjà sauvé beaucoup de vies. Peut-être. Néanmoins, d'autres voix aux US et en Europe se sont élevées pour contester cet état de fait accompli. Rien n'y fit et il est bien là.

Comme toujours, la situation actuelle va avoir un impact sur le prix du pétrole
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Le dessous des cartes va jusqu'à dire c'est un conflit sans issue dans lequel de nouvelles alliances vont se développer

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Je me souviens encore des attentats terroristes de "Septembre noir" pendant les JO de 1972. A partir du 5 septembre, au matin, la télé repassait les images disponibles tout au long de la journée. L'opération de sauvetage montée par la police allemande tourne au fiasco. Le bilan est lourd : 17 morts. Malgré tout, les Jeux olympiques continuent. Le lendemain du drame, un hommage est rendu aux victimes et une cérémonie est organisée à la mémoire des 11 athlètes israéliens. The show must go on...
Puis, il y a eu le thriller féroce très efficace qui retrace l'opération secrète "Colère de Dieu" organisée par le Mossad, visant à assassiner un par un les organisateurs palestiniens du massacre.

"Oeil pour oeil, dent pour dent" est le principe de la loi du Talion, du latin "talis" qui signifie "tel", "pareil", "semblable", et qui consacre la réciprocité entre la peine et le crime. Une réponse équivalente à la faute, avec le châtiment équivalent à l'offense".  La loi du Talion existe L'Ancien Testament dans le "Livre de l'Exode" : "tu paieras vie pour vie, dent pour dent, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure". Un dogme clair que Jésus va adoucir dans le Nouveau Testament. 

Mission accomplie, les organisateurs de "Colère de Dieu" se séparent face aux gratte-ciels de New-York parmi lesquels les tours jumelles du World Trade Center, comme un signe que le terrorisme est sans fin. Le 11 septembre 2001 va réveiller les consciences.
Le film "Les Patriotes" se passe en 1980 et permet de comprendre comment le Mossad pratique.
Phrases chocs : "Le silence est toujours suspect. Les maisons n'ont pas de secret. La manipulation est notre métier".

Il y a des questions à se poser au sujets des services secrets du Mossad qui ont dû être prévenus de l'attaque du Hamas. Il n'y a aucun doute, le Hamas est reconnu comme une organisation terroriste reconnue comme telle. Israël doit pouvoir se défendre d'une agression mais Israël aurait dû chercher une paix durable depuis longtemps.
Les intifadas ne sont que des signes avant-coureurs d'une situation intolérable supportée par une population colonisée avec Dieu devenu le bouc-émissaire.
Que ce soit clair, je ne suis pas antisémite.
L'histoire de antisémitisme (1) remonte à l'antiquité en 38 AC à Alexandrie à cause de la jalousie des Egyptiens, ce qui crée le premier pogrom. Au 2ème siècle PC, un schisme se produit entre le judaïsme et le christianisme. Au 7ème, deuxième schisme de la chrétienté avec le prophète Mahomet qui prêche l'islam. La Bible, la Thora et le Coran définissent les règlements des trois religions monothéistes (2), (3), (4).
Depuis, des guerres de croyances et de mythes font des milliers de morts sous forme de massacres, de tortures et de pillages. L'association entre juifs et argent se cristallise. Que Israël a comme allié inconditionnel les Etats Unis, c'est tout à fait naturel vu la population américaine qui est juive. N'y a-t-il pas un lien avec un appui en arrière-plan du Hamas par la Russie ?   

Un de mes anciens amis a écrit avec le pseudo Sun Tsu. Juif, il m'a souvent fait une distinction entre les juifs de la diaspora et ceux qui sont appelés les "faucons", juifs sionistes. Le sionisme est un mouvement politique apparu dans les années 1880 au sein des communautés juives d’Europe centrale. Son nom, inventé en 1886, fait référence à Sion, une colline de la Jérusalem biblique. Il prône le retour des juifs en Terre promise, en réaction à la montée de l’antisémitisme moderne qui prétend chasser les juifs de la sphère publique.

J'ai parlé de cela en 2015 dans le billet "La stratégie du maillon faible" où le terrorisme, la Grèce et l'Ukraine apparaissaient.
Le véritable Sun Tsu laissait paraître d'être un maillon faible mais ne l'était pas. Il avait compris les finesses de l'Art de la guerre.

Histoire très simple avec deux vérités pour expliquer la situation :

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Le terme arabe « Nakba » signifie « catastrophe » ou « désastre ». Graffiti sur un mur de Nazareth en Israël. Réfugiés palestiniens lors de l'exode de 1948. Il désigne l'exil de plus de 700 000 habitants de la Palestine mandataire pendant la guerre de 1948 opposant Israël et les pays arabes voisins.

Le 20 novembre 1977, un immense espoir de paix était né avec la visite de Sadate en Israël 
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Mais, ça date... et les souvenirs ne changent rien. 

Trois clichés de Israël "Dieu, Mossad et Séries"  

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Réflexions du Miroir

Dans le billet de la semaine dernière, je me posais la question : "pourquoi faut-il prier et se flageller pendant une vie tellement courte pour être en odeur de sainteté en pénitent pour des choses que je n'ai pas commises, pas diagnostiquer et pas confesser, pour les beaux yeux d'un Dieu que je n'ai jamais rencontré et obtenir une place à un paradis que je n'ai même pas rêvé ? Dès la naissance jusqu'à la mort avec le paradis, l'enfer en gardant ses responsabilités sans coupables pour autant"
Il n'y a pourtant "Pas de mal à se faire du bien?" écrivais-je en 2007.
C'est la semaine de la santé mentale comme tabou et psychiatre, Caroline Copuydt en parle :. 

Les extrémismes de tous bords et de toutes fonctions d'autorité sont à la manoeuvre.

Simone Susskind pense qu'il y a toujours des moyens de faire la paix au Moyen-Orient .

Le dernier Vif parle dans un dossier "L'horreur, la vengeance et après ?".

Mercredi, Volodymyr Zelensky était à Bruxelles et il a très bien compris les concepts humanitarisant des gens.

Alors, y en a marre d'entendre qu'on se bat pour des croyances, pour des idées opposées et pour des lopins de terres.

Ce jeudi matin, l'invité était Koert Debeuf, historien, professeur à la VUB et expert du Moyen-Orient. Il faisait l'association de ce conflit avec les attentats terroristes en Belgique et Molenbeek
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Herodote parle du "Grand jeu" moyen oriental.

Je ne vais pas enfoncer le clou par une nouvelle couche et augmenter les problèmes de la santé mentale qui prolifère "généreusement" aujourd'hui.

J'ai réduit ce genre de conflit entre peuples sous influences convictionnelles à une dispute au sein d'un couple qui s'est chamaillé pendant la journée et qui se retrouve au lit avec une envie de réconciliation. Si au matin, ce n'est pas résolu, il y aura le divorce et les visites chez les avocats qui n'attendent que les visites de leurs clients pour organiser les partages des possessions avec en regard les contrats de mariage.
En 1974, Eddy Mitchel chantait "Pas de boogie woogie avant les prières du soir ". 

 Il se coule dans la peau d'un prêtre, qui après que le souverain pontife a déclaré que « l'acte d'amour sans être marié est un péché », ce qu'il doit en faire l'annonce à ses fidèles. C'est Dieu lui-même qui au petit matin, lui est apparu en donnant la solution. Le prêtre se rend dans son église et déclare à l'assistance : "Mes bien chers frères, mes biens chères sœurs, reprenez avec moi, tous en chœurs : Ne faites pas de boogie woogie avant vos prières du soir, maintenant, l'amour est devenu péché mortel, ne provoquez votre père éternel". L'église vide, il s'interroge : « Dieu je reste seul dans ta maison. Si ton pape m'a fait perdre l'affaire, j'irai tout droit en enfer ». Persévérant, il promet d'essayer « encore à la messe de midi, le sermon du boogie woogie... ».

(*) Boogie : Style musical et de danse caractérisé par un accompagnement basé sur les accords du blues et joué en ostinato inlassablement répétés et le woogie rend créatif.

D'accord "Par devant, par derrière, tristement comme toujours" dit la "Romance du quatorze juillet", mais il faut chercher d'autres positions pour trouver son plaisir.

"Pas ce soir, chéri(e)" faudra-t-il peut être se dire en revenant d'une journée de fatigue en retrouvant l'histoire des couples des derniers siècles.

Ce dimanche matin, à Bruxelles, une promenade à vélo à partir du Rondpoint Schuman en direction de la Grand-Place jusqu'à Manneken Pis avec une Webcam plantée sur le haut du casque en gardant la basse résolution pour laisser tout incognito et ne pas troubler l'intimité des passants. RAS. (extrait après ce clic).
Rien à signaler d'autre que la récolte de fonds pour Cap48.

Constatations ?

Le cheikh Ahmed Yassine, fondateur et chef spirituel du Hamas est mort en 1999 dans une frappe aérienne. 

Les extrémismes des deux camps se sont retrouvés pour tuer le processus de processus de paix.

En 1973, le commandant Avmer Cohen, spécialiste de l'islam, a averti du danger de la situation explosive. Il était le seul à avoir pris la peine de vérifier la théologie de la Moujamanaa Islamaya. La "Dhlab al-Quria" (A l'ombre du Coran) n'a créé aucune réaction. 

En temps de pays, on tue une personne et on devient un assassin.
En temps de guerre, on en tue mille et on devient général.
Entre Dieu tout court et Allah, les chemins bifurquent avec un Messie et un Prophète comme représentant.

On cherche Roméo et Juliette en version "Moyen Orient"... 

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Un peu d'humour ?

 "Une jeune journaliste de CNN avait entendu parler d'un très, très vieux Juif qui se rendait deux fois par jour prier au Mur des Lamentations depuis toujours.
Pensant tenir un sujet, elle se rend sur place et voit un très vieil homme marchant lentement vers le mur.
Après trois quarts d'heure de prière et alors qu'il s'éloigne lentement, appuyé sur sa canne, elle s'approche pour l'interviewer :
- Excusez-moi, monsieur, je suis Rebecca Smith de CNN. Quel est votre nom ?
- Moshe Aknoun, répond-il.
- Depuis combien de temps venez-vous prier ici ?
- Plus de 50 ans.
- 50 ans !!! C'est in-cro-ya-ble !!! Et pourquoi priez-vous ?
- Je prie pour la paix entre les Chrétiens, les Juifs et les Musulmans. Je prie pour la fin de toutes les guerres et de la haine. Je prie pour que nos enfants grandissent en sécurité et deviennent des adultes responsables qui aiment leur prochain.
- Et que ressentez-vous après 50 ans de prières ?
- J'ai l'impression de parler à un mur !

Bien sûr, comme partout "les gentils parviennent à triompher" s'ils ne font pas gaffe au "théâtre des faux-gentils"

Je retourne donc à ma devise "Tout est dans tout et inversement".
Encore faut-il trouver les liens les plus ténus dans ce tout.

PS: Préversion de ce billet sur agoravox.fr

Allusion

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Un extrait des derniers sketchs de Popeck de Fini de rire, on ferme! au Théâtre de Passy

12/10/2023 : Débat entre des parlementaires belges francophones

13/10/2023 : L'œil sur l'Europe par Olivier Hanrion

13/10/2023 : Hubert Reeves est décédé

Dans les années 1970, Reeves commence à s'exprimer publiquement sur divers sujets liés, entre autres, à la physique nucléaire. C'est lors de vacances à Carry-le-Rouet, où il partage, nuit après nuit, ses connaissances en astronomie avec d'autres vacanciers, qu'il commence réellement une carrière de vulgarisateur scientifique16. À la suite de la suggestion d'une amie, il décide de mettre par écrit ses connaissances et commence la rédaction de Patience dans l'azur, dont le titre est inspiré d'un poème de Paul Valéry. Le manuscrit, refusé par une trentaine de maisons d'édition, est réécrit par Reeves avec l'aide de son ami physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, pour être finalement publié en 1981. Le livre connaît un grand succès après sa présentation à l'émission Apostrophes de Bernard Pivot17. Depuis, il s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires

14 & 15/10/2023 : "I love science Festival" à "Tour et Taxi"

Soyez curieux et voyagez au cœur des sciences à Bruxelles.
Expériences, laboratoires, animations, ateliers et expositions vous plongent dans l’univers des sciences et technologies. La cinquième édition du festival "I Love Science" est riche en stands interactifs ; de la chimie au codage, en passant par l’espace, l’intelligence artificielle, les robots et les expériences environnementales.

 11/11/2023 : trois interprétations de la situation au Proche-Orient (Tunisie, Palestine et Israëlienne) :

13/11/2023 : Cactus à la prison de Lantin

20/11/2023 : Le monde comme il va, vu par Christine Ockrent

27/11/2023 : Visite de Decroo en Israël : polémique et crise