En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En novembre 1998, sortait un numéro spécial du journal Le Soir avec le titre générique "Mémoires d'émail" dans lequel il était écrit en préambule "La ville est un lieu où l'Histoire se sédimente par couches successives qui s'inscrivent dans le tracé et le nom des rues, dans l'architecture des bâtiments et le dessin des parcs par et pourdes hommes qui sont parvenus à traverser le temps".
...
Le passé du Parc Léopold remonte au 15ème siècle. Ce parc a vu passer de grandes personnalités scientifiques dans le Lycée Émile Jacqmain.
Fondé en 1922 par Ernest Solvay et consacré à la Chimie et à la Physique, il avait réuni le grand Conseil de prestige lors du cinquième Congrès Solvay de 1927 sur le thème des électrons et des photons autour de discutions sur la mécanique quantique.
En 1930, ce Lycée s’est installé dans l’ancien institut de Physiologie.
Le 24 décembre, ce sera le 200ème anniversaire de la naissance de James Prescott Joule.
Joule était loin de penser à ses débuts qu'il serait parmi les scientifiques de renom.
Ce furent un concours de circonstance et une opportunité qui en ont décidé autrement et apportent toujours les différences entre les hommes.
Si les prénoms "James Prescott" ne sont plus dans les mémoires, son nom est passé dans une unité dérivée du Système international pour quantifier l'énergie, le travail et la quantité de chaleur.
Quant aux autres noms de la façade du bâtiment, ils sont devenus pour la plupart, des inconnus, célèbres d'un autre temps.
Plus haut, l’ancienne bibliothèque Solvay, de style éclectique, inaugurée en 1902, cache derrière une façade sobre et classique, un intérieur de style art nouveau, conçu sur deux niveaux avec un riche décor de bois précieux, mosaïques et vitraux, éclairés par une large verrière en toiture.
Mais, c'est dans la catégorie des "Visionnaires" de "Mémoires d'émail" qu'Ernest Solvay a une place de choix avec son histoire.
(Ernest Solvay, 3ème à partir de la gauche, assis).
D'après son site,le groupe Solvay, né en Belgique en 1863 compte aujourd'hui quelques 1700 collaborateurs répartis sur 5 sites industriels dont son siège social, Solvay Campus à Bruxelles où travaillent plus de 1000 personnes. Il emploie environ 24.500 personnes dans 61 pays avec un chiffre d'affaires de 10,1 milliards d'euros dont 90 % dans des activités où il figure parmi les trois premiers groupes mondiaux et développe des solutions à haute valeur ajoutée, innovantes, durables et compétitives, adaptées aux exigences de ses clients finaux dans les domaines de l'aéronautique, automobile, l'agro-alimentaire, des bâtiments et constructions, des biens de consommation et santé, d'appareils électriques et électroniques, d'énergie et environnement, d'applications industrielles.
En Belgique, la production des Peroxydes, des Polyglycérols, des Polymères spéciaux et l'extraction de calcaire, matière première pour la production de carbonate de sodium.
Depuis 2013, tous les deux ans, le prix Solvay de 300.000€, perpétue la recherche scientifique de Ernest Solvay avec l'objectif de soutenir la recherche fondamentale en chimie pour apporter des solutions aux défis les plus urgents du monde.
Cela n'empêche pas qu'à partir de 2019, 600 emplois vont disparaître dans les fonctions support dont 160 en France, 90 au Portugal et 80 au Brésil, 20 en Belgique dans le cadre d'un plan de simplification de l'organisation pour répondre aux besoins des clients, transformer son centre de recherche de Lyon en un centre de chimie avancée de classe mondiale et élargir ses capacités de recherche et d'innovation à Bruxelles.
Le nom "Solvay" ne semble donc pas prêt de s'éteindre dans les artères de Bruxelles mais l'entreprise n'a plus un Solvay à la tête de l'entreprise. C'est Jean-Pierre Clamadieu qui est président du comité exécutif et membre du conseil d'administration de Solvay depuis mai 2012.
le baron Édouard-Jean Empain (1937-2018) industriel qui a installé l'énergie nucléaire en France. (Livre : "La vie en jeu") mais qui a vu sa présidence cassée par un fait divers. Il en a compris qu'en affaire, il n'y a pas d'amis et pas d'esprit de famille. La sienne lui a fait faux bond.
Le nom "Empain" ne se retrouve sur aucune plaque de rue à peine une villa dont j'ai parlé lors d'une visite dans "Une avenue très diplomate".
Villa qui était tombée en désuétude, vandalisée avant d'être restaurée complètement dans l'état actuel par la Fondation Boghossian en 2008 et qui, n'en a même plus que le nom. Hommages
Son histoire avec l’affaire d’enlèvement a inspiré le film " Rapt " avec Yvan Attal.
...
Conclusions et réflexions:
L'histoire d'Ernest Solvay commençait donc le 16 avril 1838 dans un petit village de Rebecq-Rognon, baigné par la Senne. Son père Alexandre Solvay, marchand de sel, négociant en savons et denrées coloniales, prit l'éducation et l'instruction de ses cinq enfants, Aurélie, Ernest, Alfred, Alphonsa et Élise, à cœur en stimulant leurs esprits par des sentences ou des maximes à méditer ensemble.
Un concours de circonstance a fait que Ernest a créé son empire en découvrant une manière simple de créer du bicarbonate de soude qui a construit sa fortune.
En homme de cœur, il s'éteint dans sa maison d'Ixelles.
De la chimie, j'en avais constitué ma formation, avec une envie initiale de l'utiliser dans sa version nucléaire.
La chimie n'a pas été ma planche de salut même si à l'époque elle était à la mode.
J'ai muté dans les technologies et les sciences numériques parce que c'était nouveau, bien plus que la chimie.
Hier, Fabrizio Rongione découvrait que sans chimie, cela coutait plus cher qu'avec:
Lundi, j'écoutais comme d'habitude la Première qui parlait de deux situations qui se contredisaient dans leurs conclusions.
Tout d'abord, il y eut la constatation que les enfants de milieux sociaux défavorisés auront peu de chance de monter dans l'échelle sociale:.
Ensuite, ce fut l'histoire du plus jeune entrepreneur belge, Hassan al Ilou qui malgré son statut d'immigré d'origine iranienne, a escaladé à l'âge de 25 ans cette échelle en moins de dix ans comme consultant en diversité:
Pour lui, la radicalisation, c'est changer les choses en apportant un "plus" à la société et pas un "moins".
Les deux options sont donc vraies et derrière ces différences que les hommes se créent des sommets ou des trous.
L'instruction et l'éducation sont privilégiés dans notre société mais cela ne promet jamais d'arriver à un sommet sans un "plus" personnel.
Si la connaissance peut s'accroître avec ses parents, l'intelligence, elle, est un bien que l'on ne se transmet pas de génération en génération.
Et parfois le QI n'est pas au rendez-vous. Alors il faut faire autre chose...
Si Thomas Gunzig a fait l'apologie de la nullité, il reste alors l'humour presque sérieux de Jannin qui fait rire pour éliminer populisme, somnambulisme et complexités...
Selon le neurologue Lionel Naccache, "le cerveau est l’organe qui nous permet de se représenter". Son livre "Parlez-vous cerveau ?". Vulgariser les connaissances relatives au principal organe du système nerveux relève d’une mission d’intérêt public. Si les neurosciences peuvent nous éclairer sur des domaines comme nos émotions, notre mémoire ou plus largement, sur la perception de ce que nous ne voyons pas, le langage qui l’explique apparait souvent encore abstrait. Podcast:
Dans le Vif de cette semaine, pour étayer son livre "L'Humanité, Apothéose ou apocalypse?", Jean-Louis Servan Scheiber est interviewé dans un article dont le titre est "L'optimisme intranquille". "L'essayiste et homme de presse français y fait la part des choses entre les acquis du progrès (recul de la pauvreté et de la violence, diffusion du savoir...), et ses risques pour l'humanité (mutations effrénées, menace de l'intelligence artificielle...). Je préfère autant me tromper en vivant bien comme philosophie. Il y a un besoin sanitaire pour chacun de s'extraire de l'actualité et de son court-termisme. Mais de voir sur plus long terme. Les journaux qui suivent l'actualité et même mon livre devra subit une mise à jour comme mot d'ordre de notre époque. La sécurité a connu une révolution. Le progrès secrète des nuisances. La prolifération des humains s'est accrue. Le socialisme a avorté. L'ennemi principal est devenu nous-mêmes.
Tout concourt à nous faire prendre nos années de notre jeunesse pour préférables aux évolutions de la société dans une idéalisation qui repose sur une illusion. Non, ce n'était pas mieux avant comme le pense la maxime de Finkinkraut même si les changements avec l'accroissement de la complexité se succèdent à un rythme effréné à ne plus comprendre.
Aujourd'hui, l'impérieum financier a fait de l'argent la seule valeur mondiale, quel que soit le régime. J'ai la foi au progrès de la masse, même lent avec la conscience précieuse de la vie et de celle des autres pour devenir civilisés", assure-t-il.
Entre être riche, pointer du doigt ceux qui le sont avec dédain ou s'instruire de leurs techniques, trois visions différentes en fonction de son caractère personnel.
Cette semaine, il y a eu ce jeune qui a apostrophé Macron qui lui a ensuite donné la leçon qu'il devait d'abord avoir un diplôme avant de dire "Ça va Manu" à un président jupitérien.
Cela ne se fait pas, voyons...
Si un diplôme allait assurer la vie d'un jeune à coup sûr, cela se saurait.
Comme pour Jean-Dominique Reffait, historien et philosophe, curieusement, cela m'a aussi permis d'interpréter cette séquence autrement. J'ai aussi pensé que dans vingt ans, elle repasserait dans un talk show où il serait invité parce que il serait député, secrétaire d’État ou journaliste. Tout le monde en rirait et le vieux président Macron à la retraite confierait, comme tous les politiques qui tirent vers eux les couvertures : "Je l'ai bien aidé, regardez où il est maintenant grâce à moi !".
Bizarre que quand on n'a pas de titre pour enseigner, que quand tout est encore à démontrer au sujet de soi-même, qu'on aime donner des leçons aux jeunes... Mis quand on est snob, on le reste...
Ces histoires de grandes familles sont toutes des mémoires d'email à lire en famille mais rien de plus.
Comme disait la baron dans son interview de 2015: "Quand on crée une empire financier, on le fait pour gouverner mon entreprise et pour soi-même, mais pas pour la descendance".
J'ai aussi mon histoire familiale, bien plus banale dans ce cadre d'idée.
L'esprit de famille, on l'a ou on ne l'a pas.
Je répondais à un ami "L'esprit de famille, je ne l'ai pas reçu. Je ne l'ai pas eu. C'est aussi simple que cela. Je n'ai plus de famille et je ne m'en sens pas plus mal. J'ai réalisé ce que j'ai voulu sans entraves. Je sais que je n'aurai pas un beau-fils ou une belle-fille qui poussera dans le dos, pour recevoir mon héritage culturel ou financier. Il sera à mettre en pertes et profits.
Pour moi, ma famille, c'est n'importe qui et pas pour suivre une question d'ADN à transmettre. Mais quelqu'un peut en faire partie qui a du respect dans une relation même "si ce n'est pas avec les mêmes idées que moi dans une autre vie".
Une anecdote me servirait d'hommage.
Élevé par deux femmes, cet esprit de famille s'était déjà éteint avec ma mère puisque je n'étais pas attendu et que si je suis là, c'est par accident.
Une citation de ma grand-mère et marraine (1900-1990) me revient en mémoire: "Il n'y a pas de sots métiers. Il n'y a que de sottes gens".
Elle n'avait peut-être pas terminé ses classes de primaires à l'école, du numérique elle en ignorait jusqu'au mot, mais elle avait un don pour intéresser ses interlocuteurs.
Tout le monde écoutait ses souvenirs sans l'interrompre, y compris ma mère (1920-2008).
Toujours prête à intervenir ou à écouter pour s'instruire comme une scoute.
Résolument progressiste, ma grand-mère savait bien que l'école devrait pouvoir sortir quelqu'un de son état d"inculture.
Trop jeune, je n'avais pas saisi tous les angles cachés de ma grand-mère.
Le genre du mot "gens" ne m'était pas familier.
J'ai appris depuis que "les adjectifs ou pronoms placés avant 'gens' sont féminins. En revanche, ceux placés après sont masculins".
Elle avait donc raison.
J'ai poursuivi ma recherche dans les étrangetés du français.
Le mot "amour", au singulier est masculin tandis qu'au pluriel, il devient féminin...
Là, je ne me rappelle pas si ma grand-mère l'avait jamais prononcé au pluriel.
Par contre, au masculin, elle l'utilisait car il m'était destiné.
Aujourd'hui, il faudrait réapprendre à apprendre pour surprendre.
... et pas seulement apprendre comme le chantait Yves Duteil
La semaine prochaine, autres découvertes lors de cette même promenade au Parc Léopold.
Le Times rapporte qu’à l’occasion de la sortie du film « L’histoire de Pi », on a réalisé un sondage sur 2.000 adultes britanniques âgés de 18 à 65 ans pour leur demander quelles étaient les choses que tout un chacun devait avoir faites pour pouvoir considérer avoir bien profité de son existence. Voici les 50 premières réponses :
Cesser de s’inquiéter des questions d’argent
Cesser de s’inquiéter de ce que pensent les autres
Partir en vacances 2 fois par an
Profiter des petits plaisirs de la vie
Se frotter à d’autres cultures
Travailler pour vivre, plutôt que de vivre pour le travail
Rembourser toutes ses dettes
Ne pas tricher avec soi-même
Se concentrer sur ce que l’on a, plutôt que sur ce que l’on n’a pas
Utiliser son argent pour s’offrir des expériences, plutôt que d’économiser pour les périodes difficiles
Passer du temps avec sa famille et ses amis
Essayer toutes sortes de nourritures
Chercher le véritable amour
Visiter au moins 25 pays
Sortir davantage
Apprendre une nouvelle langue
Etre bien vu de sa famille
Aider un membre de sa famille dans le besoin
Perdre une stone (environ 6,35 kg)
Faire comme si chaque jour était le dernier
Visiter tous les sites importants de son pays
Réserver des vacances sur un coup de tête
Se porter volontaire pour une grande cause
Se mettre au défi
Partir en safari
Dépenser une grosse somme d’argent lors d’une session de shopping pour le seul plaisir de dépenser
Apprendre à jouer d’un instrument de musique
Rester marié pendant plus de 20 ans
Laisser de l’argent pour ses petits-enfants
Fonder une famille
Gagner un salaire équivalent à plus de 1000 fois son âge
Avoir un animal domestique
Conduire un voiture très rapide
Voyager seul
Aider ses enfants à rester dans le droit chemin
Rencontrer des étrangers
Déménager loin de chez soi dans un endroit inconnu
Avoir une aventure d’une nuit
Passer son permis de conduire
Obtenir un diplôme
Sauver quelqu’un
Avoir une histoire d’amour avec une personne fantastique mais qui ne vous correspond pas
Obtenir une promotion
Atteindre le niveau professionnel que l’on s’était fixé à 40 ans
Passer une nuit complète à boire
Chanter sur scène devant une audience
Rouler un patin à un étranger
Organiser une fête surprise
Essayer une activité forte en adrénaline, comme le parachutisme
Passer du temps avec des enfants, même si ce ne sont pas les vôtres.
PFFFFFFFFf !!! personne ne refera le monde.
J’ai écouté pas mal de reportages sur Empain et franchement j’aime ce type.
Il est direct , franc , carré , et dit ce que tout le monde sait.
Le capitalisme est le seul système actuel qui tient la route pour l’être humain à son stade d’évolution actuelle.
Il explique tout quand il dit que ce n’est ni le président ni les ministres qui décident mais ceux qui ont les capitaux.
C’est la propriété privée , la rentabilité , le profit et la concurrence qui font tourner le monde.
Et je ne vois pas ce qui pourrait les remplacer.
Le reste …..c’est de l’utopie sur pattes .
Écrit par : Léopodine | 02/07/2018
Léopodine
Ca c'est une évidence
J'ai vu le documentaire en plus de son Grand oral quand ils avaient été publiés.
La tête des journalistes en 2015 était assez amusante quand Empain leur répondait.
Dans une telle entreprise, on ne fait pas de cadeau.
Albert Frère, un ferrailleur d'après lui...
ça c'est encore plus comique :-))
Commentaires
L'importance de l'espoir plutôt que ruminer sur ce qui ne va pas
https://www.rtbf.be/auvio/direct_week-end-premiere?lid=134394#/
Écrit par : L'enfoiré | 24/06/2018
50 choses à faire avant de mourir
Le Times rapporte qu’à l’occasion de la sortie du film « L’histoire de Pi », on a réalisé un sondage sur 2.000 adultes britanniques âgés de 18 à 65 ans pour leur demander quelles étaient les choses que tout un chacun devait avoir faites pour pouvoir considérer avoir bien profité de son existence. Voici les 50 premières réponses :
Cesser de s’inquiéter des questions d’argent
Cesser de s’inquiéter de ce que pensent les autres
Partir en vacances 2 fois par an
Profiter des petits plaisirs de la vie
Se frotter à d’autres cultures
Travailler pour vivre, plutôt que de vivre pour le travail
Rembourser toutes ses dettes
Ne pas tricher avec soi-même
Se concentrer sur ce que l’on a, plutôt que sur ce que l’on n’a pas
Utiliser son argent pour s’offrir des expériences, plutôt que d’économiser pour les périodes difficiles
Passer du temps avec sa famille et ses amis
Essayer toutes sortes de nourritures
Chercher le véritable amour
Visiter au moins 25 pays
Sortir davantage
Apprendre une nouvelle langue
Etre bien vu de sa famille
Aider un membre de sa famille dans le besoin
Perdre une stone (environ 6,35 kg)
Faire comme si chaque jour était le dernier
Visiter tous les sites importants de son pays
Réserver des vacances sur un coup de tête
Se porter volontaire pour une grande cause
Se mettre au défi
Partir en safari
Dépenser une grosse somme d’argent lors d’une session de shopping pour le seul plaisir de dépenser
Apprendre à jouer d’un instrument de musique
Rester marié pendant plus de 20 ans
Laisser de l’argent pour ses petits-enfants
Fonder une famille
Gagner un salaire équivalent à plus de 1000 fois son âge
Avoir un animal domestique
Conduire un voiture très rapide
Voyager seul
Aider ses enfants à rester dans le droit chemin
Rencontrer des étrangers
Déménager loin de chez soi dans un endroit inconnu
Avoir une aventure d’une nuit
Passer son permis de conduire
Obtenir un diplôme
Sauver quelqu’un
Avoir une histoire d’amour avec une personne fantastique mais qui ne vous correspond pas
Obtenir une promotion
Atteindre le niveau professionnel que l’on s’était fixé à 40 ans
Passer une nuit complète à boire
Chanter sur scène devant une audience
Rouler un patin à un étranger
Organiser une fête surprise
Essayer une activité forte en adrénaline, comme le parachutisme
Passer du temps avec des enfants, même si ce ne sont pas les vôtres.
https://fr.express.live/2018/06/25/50-choses-faire-avant-de-mourir?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=lalbanie_detiendrait_elle_la_cle_de_la_survie_de_la_coalition_de_merkel_larabie_saoudite_construit_une_ile_elle_sappelle_qatar_50_choses_a_faire_avant_de_mourir&utm_term=2018-06-25
Écrit par : L'enfoiré | 25/06/2018
PFFFFFFFFf !!! personne ne refera le monde.
J’ai écouté pas mal de reportages sur Empain et franchement j’aime ce type.
Il est direct , franc , carré , et dit ce que tout le monde sait.
Le capitalisme est le seul système actuel qui tient la route pour l’être humain à son stade d’évolution actuelle.
Il explique tout quand il dit que ce n’est ni le président ni les ministres qui décident mais ceux qui ont les capitaux.
C’est la propriété privée , la rentabilité , le profit et la concurrence qui font tourner le monde.
Et je ne vois pas ce qui pourrait les remplacer.
Le reste …..c’est de l’utopie sur pattes .
Écrit par : Léopodine | 02/07/2018
Ca c'est une évidence
J'ai vu le documentaire en plus de son Grand oral quand ils avaient été publiés.
La tête des journalistes en 2015 était assez amusante quand Empain leur répondait.
Dans une telle entreprise, on ne fait pas de cadeau.
Albert Frère, un ferrailleur d'après lui...
ça c'est encore plus comique :-))
Écrit par : L'enfoiré | 02/07/2018
Les commentaires sont fermés.