15/03/2015
Et ça roule mieux en numérique?
On parlait récemment de l'automobile vue au "Consuler Electronic Show" de Las Vegas comme une "Nouvelle Reine Geek". Remontons le temps...
Retour vers le futur
L'auto connectée et intelligente est à la croisée des chemins entre auto et high-tech et mettrait fin à l'auto de papa en devenant un objet hybride.
L'Internet des objets puise sa nouvelle inspiration dans l'automobile donnant-donnant.
Hyperconnectées au projecteur laser, les voitures assureraient la sécurité au passage de piétons.
...
Les brevets en motorisation hydrogène et électrique se succèdent.
L'hydrogène alimenterait l'électricité en énergie avec une pile à combustible. L'électricité synchrone, alimentée en permanence de 154 CH par des batteries ou des piles par oxydation de l'hydrogène compressé dans un réservoir de 5 kg (comme dans la Mirai).
Le système permettrait une autonomie de 500 kms sans production de CO2, uniquement de la vapeur d'eau..
Plus de "touchscreens" sur le tableau de bord pour réveiller le fameux ordinateur de bord avec affichage digital LED.
Le toutch serait mains-libre puisqu'un capteur 3D se charge de répondre à un appel en approchant la main, à distance, avec les mêmes mouvements de rotation de la main comme sur une tablette.
La "ToutchCommand" est d'ailleurs une tablette autonome, très lisible de 10 pouces gérant climatisation, musique, massages et position du siège.
L'écran pourra afficher simultanément des fenêtres avec répertoires téléphoniques, playlists et zoomer au besoin avec deux doigts.
Espace névralgique d'infos divertissements. A l'arrière, les enfants pourront même proposer une destination de navigation au GPS au conducteur qui resterait seul maître à bord.
Dans la calandre, tout est prévu pour éviter le piéton qui traverse sur les passages cloutés ou une voiture qui prendrait sa priorité.
Le pare-chocs arrière reproduit l'ombre du passant pour dissuader le véhicule arrière d'un dépassement risqué. Tout est prévu pour organiser la recherche d'une place de parking. Quant à l'éclairage, il harmonise dynamiquement la texture avec le piéton ou l'animal qui s'aviserait à passer devant la voiture. Bizarre qu'il existe des air-bags pour protéger les passagers de la voiture et aucun pour les piétons.
La bagnole mutera grâce au numérique, qu'on se le dise.
Nous entrons par la voie royale dans le domaine de la voiture personnalisée aux habitudes de son utilisateur.
La smartwatch veille au travers du BlueLink pour commander la voiture à distance.
Soyons smart jusqu'au bout des ongles, disais-je aussi.
Il n'y a plus qu'à accélérer la sortie de ces voitures hybrides.
D'ici peu, mains sur le volant et yeux braqués sur la route ne seront même plus indispensables.
De nouveaux constructeurs de voitures s'installent sur le marché comme Google.
S'il n'y a pas de "leaks", ce soir, pour GoldenEye alias James Bond, il lui faudra retourner chez Mister Q.
Il parait que les voitures sans conducteur vont transformer nos villes:
- De nombreux parcs de stationnement disparaîtront: des véhicules autonomes chargés d'embarquer les usagers et de les conduire à la destination souhaitée, pour, ensuite, s’occuper immédiatement d’autres passagers et de grandes zones de stationnement pourraient être réaménagées.
- Plus de feux de circulation: des systèmes automatisés permettront de fluidifier le trafic des voitures autonomes aux croisements.
- Expansion des villes: les déplacements s'effectueront de manière bien plus rapide et efficace.
- Les centres commerciaux disparaîtront: les commerces pourront se relocaliser en centre ville.
- Renaissance de l’automobile: les espaces internes seront agrandis, et les passagers pourront ainsi se livrer à des activités professionnelles ou de loisirs durant leurs trajets.
Le numérique manipule des sous, de gros sous. Tout se paye.
Mais au fait, aurait-on vraiment inventé la poudre miracle pour éviter les bouchons sur les routes?
Selon les prévision pour les années 2030-40, 75% de "Google Car" ou d'autres voitures autonomes rouleraient entre 40 et 50 kms/h.
Le niveau 4 d'autonomie est déjà atteint avec un volant et des pédales devenues de simples accessoires.
Radar, camera, lidar (laser) pourraient rendre la voiture autonome et automatique par scannages de la route en temps réel en réagissant bien plus rapidement que l'homme ne pourra jamais réaliser.
Par cette voie, les spécialistes de "Navigant Research" prévoient un débit cinq fois supérieur en centre-ville.
Le GPS peut informer de la vitesse autorisée à un endroit donné. Le limitateur de vitesse de croisière sert à limiter à un maximum de vitesse. Mais aucun concepteur n'a encore osé avoir l'idée de réunir leurs fonctionnalités propres.
Le numérique s'est installé pour augmenter la sécurité, mais est-ce la panacée?
Le Science & Vie de février contient un dossier sur ce que l'on peut attendre comme développements futurs de la voiture autonome.
Les avantages et les inconvénients y étaient bien départagés.
Un rappel s'impose: la plus performante des voitures autonomes sollicite toujours l'avis de conducteur. Plus la voiture est autonome, plus il faut surveiller le conducteur pour éviter qu'il ne s'endorme au volant.
Une constatation: les logiciels devront intégrer une logique humaine donc personnalisable. Homme et technique devraient profiter du partage d'expériences.
La voiture munie d'une boîte de vitesse automatique, une affaire déjà ancienne. En Europe, s'il n'y a que 10% de voitures qui en jouissent, aux Etats Unis, c'est devenu un standard. Cela reflète les différences de cultures entre automobilistes.
De l'autre côté de l'Atlantique, on ne parle plus de vitesse entre deux villes, mais de temps pour les rejoindre.
Un article informe, qu'Apple serait en train de développer son propre véhicule sans conducteur.
"En train de...", il est vraiment comique ce titre de cet article.
La concurrence, toujours la concurrence.
Puisque la concurrence existe avec Google, des questions se posent au sujet de l'autonomie de ces petites voitures qui digèrent la route à petite vitesse: Google envisage aussi de faire de la concurrence à Uber dans le domaine de réservation de voitures au parking.
Car il faut aussi la garer, cette putain de bagnole.
Enfin, ils va falloir éviter le piratage dans nos déplacements.
Imaginons une situation "loufoque" mais "plausible" dans un futur proche.
Vous avez un ami qui vous veut un "bien fou".
Vous roulez en automatique dans un confort qui fait rêver à 50 km/h sur une route bien droite, bien calme avec des arbres sur les côtés. Votre bagnole est tout à fait autonome. Vous regardez le paysage. Tout à coup, la bagnole prend la tangente dans un virage inattendu, un écart inimaginable et vous projette contre l'un de ces arbres. Une autre voiture vous suivait avec un bon joystick et vous observait depuis un temps... Crime parfait.
Empêcher la prise de contrôle d'un véhicule nécessitera pare-feu, cryptage, anti-virus et certificat d'authenticité.
En matière de mobilité, la concurrence entre les villes pourrait être un enjeu commercial de demain.
...
Au présent
Cela me rappelle mes articles sur le sujet:
- "Mobilité contrôlée" et "Mobilité super contrôlée" en 2006
- "Auto mobile-moi, en douceur" en 2008.
- "Voiture, un actif paresseux" en 2011
Une phrase d'un des articles revient lancinante: "dans un futur pas tellement éloigné, nos petits enfants (ou les suivant) se demanderont comment il a pu être possible à leurs aïeux de prendre la route avec si peu de sécurité et autant de risques à la clé en prenant leur voiture sans l'aide de sonars évitant les collisions et les obstacles qu'ils auront, eux, alors à leur disposition".
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les progrès prêtent parfois à sourire ou pire grimacer surtout à Bruxelles:
- Les moyens pour l'atteindre sont de plus en plus engorgées.
- Les parkings, quand ils existent, commencent à en foutre plein la vue des habitants même sous-terrains.
- Les camions envahissent nos routes et quand ils se couchent sur le flanc, la route prend un temps infini pour être dégagée. La plaie de nos déplacements. Les accidents avaient diminué avant de repartir à la hausse. Accidentogènes, nos autoroutes! Au "fameux" virage du Carrefour Léonard, le cauchemar devient litanie comme mercredi dernier. Cette semaine, "Question à la Une" revenait sur le sujet dans le détail.
- Le travail à domicile, mieux accepté, s'est accru avec les possibilités de l'informatique et d'Internet. Dans une sorte de téléportation, cela ferait penser à "Home sweet work" ...
- Le parking le long des rues, cela reste un cauchemar même avec les parcmètres payés à la minute à l'aide de son smartphone.
- Le vélo a partiellement remplacé la voiture pour se rendre au travail. Nos "villo" se retrouvent plus souvent. Le vélo électrique s’immisce dans de nouvelles opportunités et les pistes cyclables se sont mieux organisées.
On apprend que les entrepreneurs flamands refusent les chantiers s'ils doivent se produire de l'autre côté de la ville de Bruxelles. Bruxelles, la capitale européenne des embouteillages!!!
Chaque navetteur y perd en moyenne 83 heures par an. Un quart en plus depuis 2012. Dans la région, 93.703 entreprises attirent 700.000 travailleurs dont la moitié habite à l'extérieur de Bruxelles. Alors, faire de la vitesse sur le Ring qui l'entoure aux heures de pointe, faut pas trop espérer.
Nos spécificités sont dignes d'une histoire belge.
Éviter les accidents, d'accord.
Éviter de les provoquer, c'est encore mieux.
Récemment, au sujet des solutions pour luter contre les excès de vitesses, Thomas, toujours lui, avait son mot humoristique sur le sujet:
- La vitesse c'est ringard, Monsieur. On a plus le temps de voir le paysage à petites vitesses.
Si dans les files, tout serait bon en définitive pour en faire un passe-temps champêtre, sur autoroutes, il faudra attendre d'autres incitants printaniers!
Le Ring, les routes qui ceinturent les villes, en principe, sont réservées aux parcours de grandes distances et contourner les villes à des vitesses supérieures.
Si ça roule déjà en numérique, on roulera encore plus dans des choix binaires dans le futur...
La crise a-telle tout changé?
Question bête, méchante. Embarrassante pour les vendeurs, même.
Mi-août 2014, on lisait: "Les voitures 'durent' plus longtemps. Depuis 20 ans, chaque année, l’âge moyen du véhicule du Belge augmente alors que les immatriculations de véhicules 'neufs' s’affichaient en croissance dans l’Union européenne".
Fin 2013, selon les chiffres de la Febiac, un véhicule immatriculé en Belgique atteignait un âge moyen de 8 ans, 1 mois et 14 jours et "seulement" de 7 ans, 10 mois et 21 jours, il y a cinq ans.
La voiture que les médias ont toujours présentée comme l'outil de la liberté, approcherait de la "vieille poubelle" française qui affichait, en 2013, 8 ans et 3 mois d’âge moyen? Non, il y a le contrôle techniques.
Mais des véhicules de plus en plus fiables et des entretiens devenus de plus en plus éloignés dans le temps. Quand le moteur, la courroie et l’embrayage tiennent, pourquoi changer? Le climat économique a bridé les achats impulsifs. (article)
Une voiture sur quatre est une voiture en leasing en Belgique.
Le parc automobile se dégraissait de ses véhicules trop polluants.
Le "turnover" rajeunissait artificiellement la "voiture belge" pendant des années et les marques automobiles ont profité du renouvellement particulièrement rapide des flottes de véhicules d’entreprise, pesant pour plus de la moitié du parc automobile.
Puis les sociétés ont demandé de prolonger la durée de leurs contrats de leasing ou renoncé à de nouvelles commandes.
La tendance découlerait aussi d’une certaine logique de l’OCDE qui estime que la Belgique ferait mieux de revoir à la baisse les avantages fiscaux liés aux voitures de société. Non seulement pour réduire les émissions de carbone et la congestion des routes, mais aussi parce que tout cela a un coût moyen de 2.763 euros de subventions par an et par véhicule.
En janvier 2015, au salon de l'auto de Bruxelles, ce fut un record, a-t-il été dit.
Tout le monde semblait content au salon considéré comme un endroit que l'on fréquente en famille.
De 10 à 30% d'acheteurs en plus, 427.000 visiteurs alors qu'il ne s'agit que d'un petit salon de l'auto, en principe réservé aux véhicules utilitaires et pas un salon de véhicules pour particuliers.
La baisse du prix du pétrole a-t-elle donné des idées de déplacements?
En grattant les statistiques de la Fédération Belge de l’Automobile, il apparaît que les Belges se laissent séduire par le lowcost lors de l'achat de leur nouveau bijou sur quatre roues.
C'est en "entrée de gamme" et "haut luxe" que le marché automobile s’est polarisé et les enseignes généralistes trinquent.
Une extension dans un palais était réservé aux "Dream cars". Un constructeur de voitures de standing annonçait 600 offres sur une seule journée. Oui, la voiture fait encore rêver. Oui, la "voiture est un actif paresseux".
En Belgique, pas ou plus de marques de voitures typiquement belges. Pourtant, le pays fabrique beaucoup de voitures... étrangères.
Il faudrait déterminer ce que l'on veut et ce qu'on peut en tant que pays européen.
Les transports en commun, la solution idéale en principe.
On apprenait que les trains pourraient augmenter leurs tarifs aux heures de pointe.
Thomas en parlait de manière humoristique en se rappelant le passé des trains et les déplacements en train aujourd'hui:
Comment faire puisque les trains et les transports en commun sont soumis aux seules règles du respect économique?
On ne sait d'où ils sortent, mais tous les médias parlent toujours de transports en communs comme la solution du déplacement de demain. A mon avis, ils doivent être des extraterrestres ou des médias qui écrivent à partir de très loin de Bruxelles.
- La route est trop peu chère, dit l'écolo.
- Il faudrait réduire les entrées la largeur des artères qui mènent dans Bruxelles, répond le socialiste.
- Il faudrait enterrer les routes sous les villes et ajouter un troisième Ring, autour de Bruxelles, comme les trois corniches à Nice, termine le libéral.
Aujourd'hui, commence la saison des F1 en Australie. Le présent se confond toujours avec le passé le plus glorieux.
...
Nostalgie du passé:
La concurrence entre les constructeurs fut rude depuis les débuts de l'histoire de l'automobile.
Celle qui a existé entre Citroen et Renault, a été épique dans la concurrence:
L’OCDE estime que la Belgique ferait mieux de revoir (à la baisse) les avantages fiscaux liés aux voitures de société.
Il existe encore des voitures de rêves qui ne font pas partie de la catégorie du rayon tout-fait.
A Liège, Jean-Paul Rosette, le Mister Carat-Duchatelet, construit des voitures de prestige sur mesure, dont le prix varie de 300.000 à un million d'euros, en fonction du blindage, du rehaussement ou de l'allongement désiré par ses clients fortunés qui se foutent parfaitement de la numéricité de leur engin.
Des voitures ancêtres avec une valeur nominale de 100.000 euros sont aussi restaurées dans leur parc.
La croissance des voitures super-luxueuses dépasse maintenant celles des voitures ordinaires d'après cet article.
Revenons à nos moutons. Enfin, ceux que l'on tond mais qui n'ont pas la tête de moutons.
La question initiale du titre était "si ça roulait en numérique?" et surtout si cela roulait mieux.
Qu'on le veuille ou non, le numérique fait de plus en plus partie de notre vie, mais il ne faut pas trop pousser le programme dans ses boucles itératives ou itinérantes.
Comme en tout, il faut penser aux garde-fous, se garder de tout solutionisme et des dérives que le numérique pourrait apporter comme la protection des individus.
Alors, si on faisait malgré tout, un recul dans le temps?
Une promenade à bord d'un des ancêtres, dans une voiture que l'on dit de collection?
Aucun confort, aucune électronique, aucune sécurité renforcée, des bagnoles où tout est mécanique et ou l'électronique n'est pas encore apparue...
Elles ont toujours des adeptes aujourd'hui.
Ces voitures de rêves, on les appelle des ancêtres.
Alors il reste des photos (clic)
Les adeptes n'en ont cure de la vitesse et du modernisme.
Le problème serait considéré comme non-dangereux, s'ils ne partageaient pas la route avec d'autres et prenaient de circuits privés.
Un couple de voisins, à bord d'une Triumph de collection, fut victime d'une collision frontale en juin 2013 sur la levée de la Loire avec une Peugeot 308 qui avait franchi la ligne blanche. (voir l'article de presse de l'époque). De nombreuses opérations, de nombreux mois de convalescence ont été nécessaires sans jamais pouvoir restaurer ce qui pouvait encore l'être. Je ne parle pas des voitures, bien sûr.
Peut-être avaient-ils tout compris dans leur choix. Je leur dédie ce billet.
Dans un match avec le modernisme, une voiture ancienne ne fait pas le poids mais elle gagne en plaisir.
Reviendra-t-on un jour à la voiture en tant qu'outil du voyage et d’agrément et plus un engin de vitesse?
Nous sommes à l'époque de la télé-réalité et de la vitesse.
Cette semaine, ce fut le crash... en hélicoptère et la France est en deuil.
Il y a trois ans, c'était la Belgique lors de l'accident de Sierre.
Ne reste-t-il que la marche avec Marie-Hélène & Marc dans un tour plus pédestre?
Partir, se bouger, c'est toujours finir par prendre des risques et mourir un peu.
Il n'y a rien de plus dangereux que de vivre.
Ou alors, un retour sous la couette...
En 1976, Sheila chantait....
Tandis que Souchon et Voulzy roulent depuis sans raison...
L'enfoiré,
Citations:
- «Un piéton est un monsieur qui va chercher sa voiture.», Frédéric Dard
- «On appelle voiture d'occasion une voiture dont toutes les pièces font du bruit, sauf le klaxon.», Pierre Dac
- «La voiture est le troisième testicule de l'homme moderne.», Rimdelaire
...
25/03/2015: Le RER arrive. Il est presque là...
19/05/2015: La taxation des automobilistes à la belge, un serpent de mer à trois têtes
5/6/2015: La mobilité ou l'immobilité à Bruxelles, le thème humoristique d'Alex Vizorek
24/9/2015: Coup de grisou ou virus dans les moteurs VW
20/10:2015: Laurence Bibot nous parle des voitures et des embouteillages
23 juillet 2016: Le JT de France2 parle du piratage des nouvelles technologies.
12 janvier 2018: Ouverture du nouveau salon de l'automobile à Bruxelles
26 janvier 2018: La question de la voiture électrique analysée objectivement:
16 avril 2018: La voiture à hydrogène
8 juin 2018: Fabrizio Rongione par du diesel qui avec les forums font bon ménage
16 juin 2018: Le "Vingauge" appareil pour les Old-Timers 3.0 Vingauge, une start-up spécialisée dans l'
3 septembre 2018: Le bus autonome à la Grotte de Han
4 octobre 2018: Ouverture du salon mondial de l'automobile et l'histoire du premier qui remonte à 1898
21/10/2018: Les assistants vocaux débarquent dans nos voitures
17/4/2019: Les perfectionnements pour la voiture de demain
8/1/2022: Les autoroutes et les lumières
19/1/2022: Lou a été pris sans permis et le Cactus en parle
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Commentaires
Suspense à Cuba.... Là où les voitures sont d'un autre siècle...
Méfiez-vous, cela va chiffrer…
Midi zéro une, grand tralala et tout et tout !
Pied au plancher selon la tradition western-spaghetti sauce cybernétique, deux, trois et puis quatre Tatras d’attaque foncèrent sur les locaux administratifs.
Aïe, l’addition risque de ne pas se terminer dans la dentelle !
En fusèrent cinq bérets noirs qui rampèrent jusqu’aux issues, puis un sixième armé jusqu’aux dents se posta bien en vue sur le toit pour que le chef, en retrait lui, fasse le compte des sept mercenaires.
Looping grand huit, neuf secondes plus tard c’était l’ouverture de la légalité puissance dix, la porte principale de l’office venait de céder aux assauts de ce onze virtuel qui valait bien celui d’Arsenal.
Spectacle full contact.
Accouru pour assurer son rôle de douzième, voire de treizième homme, le clan des supporters, pour une fois en parfaite intelligence avec la bande de Rambo 14, encourage comme des fous.
Premier quinze de la partie, on vous laisse le temps d’apprécier.
Suspens, l’indiscutable article seize est en passe d’avoir force de loi.
Sur quoi, sinon sur le dix sept ?
Encore sous le coup des fumigènes, le tout Cojimar pleurant à chaudes larmes eut l’insigne bonheur d’entr’apercevoir Quimbombo, notre économiste mal-aimé, embastillé comme un singe de dimension derrière un hayon grillagé, direction Villa Marista, aveux et supplices garantis à tous les étages.
Votre gueule, demain cela se produira encore plus près de chez vous !
Extrait du "Radeau de l'infortune"
Écrit par : Sapanhine | 15/03/2015
Répondre à ce commentaireTout y est avec le parfum qui sort des tuilières.
Extrait ( http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2007/05/08/un-cuba-libre-por-favor.html ):
Les voitures ne courent pas les rues, elles y trottinent de peur qu'elles ne se cassent. Elles ont un âge canonique de 40-50 ans et on les entretient. Trouver les pièces de rechange est une préoccupation majeure. Véritable musée ambulant qui vaut tout de même au mieux 150 mois du salaire le plus élevé d'un médecin. La médecine est gratuite ici. Les médicaments brillent, en revanche, un peu par leur absence. Le logement est aussi un problème majeur reconnu par le régime.
Alors, on répare, on bricole et on parvient à rouler vaille que vaille. Les moyens de transports publics quand par chance, ils passent toutes les heures, on les veut les plus efficaces possible au détriment d'un confort.
Les vieilles voitures pourront espérer le succès qu'elles méritent auprès des collectionneurs? Elles font partie du patrimoine et des musées pourraient se les arracher aux enchères maintenant que l'embargo se déchire progressivement.
Écrit par : L'enfoiré | 15/03/2015
Deux questions
-pourquoi la technologie des voitures n’avance pas plus vite……….depuis le temps qu’on parle de voitures qui font tout toutes seules?
-pourquoi le look des voitures actuelles n’est -il pas plus original? Elles sont toutes faites dans le même moule juste un peu plus petites ou plus grandes?
C’est pas si compliqué!!!!!!!!
Quand on voit les ancêtres ……..quel plaisir et quelle ligne!!!!!!!!!!
Écrit par : Chantal | 15/03/2015
Répondre à ce commentaireCe sont deux bonnes questions.
Il y a eu une trois roues qui était sortie au salon.
La e-Car 333 belge électrique
http://www.moniteurautomobile.be/article/nouveaute-salon-auto-bruxelles-2015-l%27e-car-333-belge-a-3-roues--update-20394.cfm
3 roues, 300 kms d'autonomie, 3 places.
Puis comme il est dit dans l'article à Liège, la Carat-Duchatelet, du sur mesure, mais là, il faut déposer quelques tunes sur la table.
La voiture est comme tout le reste: cela marche dans le low-cost et dans le haut de gamme.
C'est la classe moyenne qui disparaît.
Alors il faut se contenter d'une caisse avec quatre roues.
Écrit par : L'enfoiré | 15/03/2015
Les voitures autonomes représentent-elles une menace pour les compagnies d’assurance?
Même si l’avènement d’un monde de voitures sans conducteur n’est peut-être pas encore pour demain, trois grandes compagnies d’assurance américaines ont fait part de leurs inquiétudes à ce propos, écrit The Guardian. Et ce n’est pas pour les raisons que l’on pourrait s’imaginer.
Ces trois compagnies ainsi qu’un constructeur de pièces automobiles ont évoqué la technologie des véhicules autonomes dans leurs de leurs rapports annuels il y a quelques semaines à la Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers.
Dans la rubrique « Facteurs à risques », les trois sociétés – Cincinnati Financial, Mercury General et Travelers Compagnies – expliquent que l’autonomisation des véhicules pourrait affecter la marche de leurs affaires. Cincinnati prévoit une « désorganisation du marché de l’assurance causées par des innovations technologiques telles que les voitures sans conducteurs susceptibles de réduire la demande des consommateurs pour des produits d’assurance ». Par ailleurs, les compagnies d’assurance ne sont pas les seules à s’inquiéter. LKQ Corp, fabricant de pièces automobiles, estime que ce type de technologie innovatrice pourrait « réduire la quantité et la gravité des accidents, ce qui aurait des conséquences négatives considérables sur le marché ».
Cependant, les experts de l’industrie automobile et du secteur de l’assurance considèrent qu’il est encore trop tôt pour que les automobilistes se réjouissent et que les compagnies d’assurance s’inquiètent. Même si plusieurs sociétés dont Google et Uber développent actuellement leur propre véhicule sans conducteur, ces nouvelles fonctionnalités de conduite offertes par les robots ne sont pas pour demain.
« Il faut beaucoup de temps pour que de nouvelles fonctionnalités de sécurité pénètrent le parc automobile car les personnes gardent longtemps leur véhicule », explique Russ Rader, porte-parole de l’nsurance Institute for Highway Safety. « Même si une nouvelle fonctionnalité est autorisée par la réglementation fédérale, il faut 30 ans pour qu’elle concerne 95% des véhicules ».
Via ce raisonnement, l’expert estime que même si le gouvernement fédéral américain adoptait en 2030 une loi qui promulgue l’autonomisation de tous les nouveaux véhicules, les voitures et camions pilotés par des humains ne disparaîtraient qu’en 2060. Selon Robert Hartwig, président de l'Insurance Information Institute, il est impossible de dire comment sera l’industrie automobile dans 10 ans et il est peu probable que les voitures autonomes apparaissent sur nos routes avant 2020.
En outre, même si les voitures sans conducteurs serait susceptibles de représenter un problème futur, il reste encore beaucoup de temps pour discuter et affiner les implications réglementaires d’assurances pour cette technologie, explique Michelle Krebs, directeur du secteur automobile pour Autotrader Group.
Néanmoins, la technologie future d’autonomisation des véhicules est déjà en train de modifier le panorama actuel. Les systèmes d’évitement des collisions tels que le freinage automatique et les dispositifs de contrôle électronique de stabilité font partie des avancées de ce type de technologie de conduite autonome. « Cette technologie a rendu les véhicules plus sûrs et a réduit le nombre d’accidents sur les routes », explique Rader qui précise que malgré tout, les compagnies d’assurance se sont adaptées à ce changement.
Le freinage automatique est une des caractéristiques qui affectent déjà le secteur de l’assurance. Les demandes d’assurance pour des blessures relatives aux collisions - celles qui sont versées aux passagers du véhicule lors d’un accident - sont nettement inférieures pour des véhicules équipées du freinage automatique car, même si l’accident n’est pas évité, la vitesse d’impact est plus faible. Pour l’heure, il n’est pas encore possible de déterminer l’efficacité des systèmes d’alertes de sortie de voie, des dispositifs anti-angle mort et d’autres fonctionnalités de sécurité.
Le fait que l’automatisation devienne la norme n’aura pas que des bons côtés pour les automobilistes, avertit Hartwig. En effet, des véhicules de plus en plus sophistiqués sont aussi plus chers à réparer. Même si le nombre d’accidents est réduit, il y aura encore des collisions et des réparations seront nécessaires.
L’année dernière, Michael Cahill, professeur de droit à la Brooklyn Law School, avait expliqué que même si le développement des voitures autonomes vise à favoriser la sécurité dans le trafic et à limiter le nombre de victimes, dans certains cas, cela pourrait également jouer au détriment des occupants du véhicule. « Quand un danger est imminent, la technologie des voitures autonomes va, pour trouver une solution, se baser en théorie sur le nombre potentiel de victimes ». Ainsi, lors de telles collisions, il y aurait moins de victimes chez les autres usagers de la route que dans la voiture autonome en cause. Selon Cahill, les algorithmes d’optimisation des voitures autonomes vont envoyer presque systématiquement les voitures robotisées dans le plus gros véhicule afin de limiter le nombre d'autres victimes.
« Nous devons insuffler de la réalité dans cela parce que la pleine autonomie n'arrivera que dans un futur éloigné. Les pierres de fondations ont été posées sur la route. Désormais, nous devons encourager les constructeurs à rendre ces fonctionnalités largement disponibles, mais nous ne devons pas trop rêver à propos des voitures sans conducteur », conclut Hartwig
http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=logistics&item=les-voitures-autonomes-representent-elles-une-menace-pour-les-compagnies-dassurance&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré. | 16/03/2015
Répondre à ce commentaire615 tués sur les routes belges en 2014
Le nombre de morts sur les routes a globalement baissé, mais a toutefois augmenté en Flandre.
Le nombre de tués sur les routes a baissé de 1,9% en 2014 par rapport à 2013, selon le baromètre de l’Institut belge pour la sécurité routière (IBSR) publié mardi. Avec 615 tués sur place, on a atteint le plus faible niveau jamais enregistré. Le nombre de morts a toutefois augmenté en Flandre et on comptabilise de plus en plus de tués dans des accidents impliquant des poids lourds, déplore l’IBSR.
En 2014, 615 personnes ont trouvé la mort sur place après un accident de la route. Si on y ajoute les personnes décédées dans les 30 jours suivant l’accident, on arrive à environ 715 morts, estime l’institut, qui ne dispose pas encore de ce dernier chiffre (il était de 724 en 2013).
Les routes flamandes les plus meurtrières de Belgique
Alors que la diminution est sensible à Bruxelles (-19%) et en Région wallonne (-9%), la situation est nettement moins positive en Flandre, où le nombre de tués sur place a augmenté de 5,7%. Avec 336 morts sur place en 2014, les routes flamandes restent les plus meurtrières du pays.
L’IBSR est également préoccupé par le nombre d’accidents graves impliquant des poids lourds: le nombre de tués sur place dans cette catégorie est passé de 84 en 2013 à 121 en 2014.
Une tendance trop faible pour atteindre les objectifs de 2020
Les nombres d’accidents corporels (41.651, soit + 0,4%) et de blessés (53.396, soit + 0,2%) sont quant à eux restés stables l’an dernier. L’IBSR relève toutefois que les accidents corporels impliquant des automobilistes de moins de 24 ans ont diminué de 6%.
«Le nombre de tués est certes en diminution, mais cette tendance est trop faible pour nous permettre d’atteindre les objectifs fixés (630 tués maximum en 2015 et 420 tués maximum en 2020, NDLR). J’ai donc demandé à l’IBSR d’organiser des Etats Généraux de la Sécurité Routière fin de cette année 2015 afin de faire le point sur le chemin encore à parcourir et les moyens que nous pouvons mettre en œuvre pour y parvenir», a réagi la ministre de la Mobilité Jacqueline Galant.
http://www.lesoir.be/824045/article/actualite/belgique/2015-03-17/615-tues-sur-routes-belges-en-2014
Écrit par : L'enfoiré | 17/03/2015
Répondre à ce commentaireLa trilogie de 'Background to the futur’
revient sur nos écrans sur Club TV
dans la version 2, le scenario quittait 1985 pour atterri en 2015
nous y sommes.
Certaines réalisations sont actuelles
d’autres sont encore dane les limbes fumeuses de l’imagination.
La voiture volante
mais l’Aéro Mobile un roadster équipé d’ailes ré tractable pour échapper aux embouteillage sera présenté par une entreprise slovaque
Écrit par : L'enfoiré. | 17/03/2015
Répondre à ce commentaireLe plaisir de la conduite? Oubliez-le... Conduire devrait devenir illégal dans un avenir pas si distant, affirme le patron de Tesla
Le plaisir de la conduite ? Un concept qu’il faudra bientôt oublier, si l’on en croit Elon Musk, le CEO du constructeur automobile américain Tesla, connu pour ses voitures électriques. Au cours d’une présentation « keynote » à la conférence NVIDIA's GPU Technology de San Jose, il a affirmé que la généralisation des voitures automotrices aboutirait à l’interdiction de circulation des véhicules conventionnels.
Il a expliqué que cela se produirait parce que les avancées dans la technologie des capteurs et des logiciels rendraient les ordinateurs embarqués de ces voitures autonomes plus sûrs que les humains, ce qui signifie qu’ils seraient de bien meilleurs conducteurs. « On pourrait interdire les voitures conduites par des hommes, parce qu’elles sont trop dangereuses », a-t-il déclaré.
Musk a précisé que ce changement pourrait se produire dans un futur finalement assez proche, parce que les voitures autonomes sont déjà « un problème résolu ». Désormais, ce qui leur manque, c’est une fiabilité suffisante de leurs logiciels pour leur permettre de se conformer aux normes de sécurité requises par la réglementation.
« L’autonomie dépend d’abord du niveau de fiabilité et de sécurité qui est souhaité », a-t-il analysé, ajoutant que lorsque les voitures automotrices auront atteint le stade où elles seront plus sûres que les voitures conventionnelles, il faudra attendre environ 2 à 3 ans avant que la réglementation ne soit modifiée pour les prendre en compte.
Le CEO de Tesla a souligné que la sécurité sera l’un des éléments clés de la voiture autonome. Il pense qu’il sera peut-être possible pour des pirates de prendre le contrôle du système interne de divertissement, mais que les commandes du volant et du freinage seront contrôlées séparément, ce qui implique que le conducteur pourra en reprendre la maîtrise à tout moment, et qu’elles ne pourront pas être piratées.
Dans un tweet, Musk a affirmé que Tesla était favorable au maintien de la conduite humaine des voitures, et il a exprimé le souhait que l’on n’interdise jamais la circulation des voitures conventionnelles… Pourtant, en septembre 2013, sa firme a promis le lancement d’un modèle de voiture autonome sur 90% des distances pour 2016.
To be clear, Tesla is strongly in favor of people being allowed to drive their cars and always will be. Hopefully, that is obvious.
— Elon Musk (@elonmusk) 17 Mars 2015
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=le-plaisir-de-conduire-oubliez-le-conduire-devrait-devenir-illegal-dans-un-avenir-pas-si-distant-affirme-le-patron-de-tesla&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 20/03/2015
Répondre à ce commentaireVoici la réponse à ce qui faisait partie de l'article, mais ce n'est pas par le GPS mais par une caméra:
La fin de l'accélération? Ford ajuste automatiquement la vitesse du véhicule au maximum autorisé
Le constructeur automobile Ford a conçu sur une voiture qui peut détecter la limite de vitesse en vigueur sur la portion de route parcourue, et empêcher le conducteur d’avoir le pied trop lourd par rapport à la vitesse autorisée. La technologie du « limiteur de vitesse intelligent » sera intégrée pour la première fois dans le nouveau Ford S-Max, qui sera bientôt commercialisé en Europe.
Le limiteur de vitesse intelligent permet à une caméra montée sur le tableau de bord d’analyser l'environnement à la recherche de panneaux routiers indiquant des limites de vitesse à respecter sur la route. Lorsque le véhicule entre dans une zone limitée à 30 km/H, le système fait décélérer la voiture et applique cette limite maximale.
Le ralentissement n’est pas effectué par le freinage, mais par un changement du couple moteur, en réduisant la quantité de carburant injectée dans le moteur.
Si une brusque accélération est nécessaire, le conducteur peut désactiver le système temporairement en appuyant très fort sur la pédale d’accélérateur. Dans les descentes, lorsque la pente fait gagner de la vitesse au véhicule au point de dépasser la vitesse autorisée, le conducteur est averti par un signal sonore.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=la-fin-de-lacceleration-ford-ajuste-automatiquement-la-vitesse-du-vhicule-au-maximum-autoris&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 27/03/2015
Répondre à ce commentaireMercedes F 015, une limousine sans chauffeur
Au Consumer Electronics Show qui se tient à Las Vegas du 6 au 9 janvier, Mercedes-Benz fait sensation avec le prototype F 015 Luxury in Motion qui préfigure la Classe S de 2030. Pour les designers de la marque à l'étoile, la limousine du futur sera en rupture totale avec le modèle actuel.
Quatre places en vis-à-vis, comme dans une calèche.
Ce galet de 5,22 m de long et 1, 52 m de haut laisse entrevoir une véritable révolution. Comme la plupart des constructeurs, Mercedes avance que l'automobile du futur sera autonome, ce qui ouvre tout un champ de possibilités. Lorsque la conduite est vécue comme une contrainte, d'aucuns rêvent de la déléguer à une intelligence artificielle. Le passage au pilotage automatique sera techniquement possible et d'autant plus incontournable que les ingénieurs nous promettent un futur sans accident.
Si l'on a du mal à distinguer l'avant de l'arrière du prototype F 015, c'est sans doute parce le conducteur et le passager du premier rang peuvent faire pivoter leurs sièges de 180° pour converser avec les passagers arrière, comme dans une calèche. Renault offrait cette possibilité dès 1984 avec l'Espace, mais uniquement à l'arrêt! Comme dans un TGV, les occupants de la F 015 sont invités à se relaxer, se divertir ou travailler en roulant, sans se soucier de la circulation. La communication à bord et vers le monde extérieur est facilitée par une véritable arène numérique formée par six écrans de commande, disposés harmonieusement sur la planche de bord et les panneaux de portes. Les fonctions obéissent au doigt et aussi à l'œil.
La calandre à LED annonce la couleur. Blanche, elle signale qu'un homme est au volant, bleue qu'il a choisi de se laisser transporter. Et la F 015 est capable de se montrer tout aussi prévenante envers les piétons qui viendraient à croiser son chemin. Non seulement son laser lui permet de les détecter à temps mais, pour les aider à traverser la route, la limousine dessine, avec des LED vertes, un passage piéton virtuel sur la chaussée.
Selon ses concepteurs, la F015 montre la voie que Mercedes compte suivre à l'avenir.
Si le propriétaire de la Classe S de 2030 n'aura que rarement l'envie d'en prendre le volant, il devra quand même en faire le plein. Un plein d'hydrogène pour alimenter une pile à combustible qui fournira l'électricité nécessaire au fonctionnement des deux moteurs de 136 ch qui propulseront ses roues arrière. Ces moteurs pourront aussi être alimentés par des batteries lithium-ion, rechargeables sur secteur. L'autonomie de cet impressionnant vaisseau serait supérieure à un millier de kilomètres, dont deux cents sur la seule ressource de ses batteries. Quant aux performances, une puissance combinée de 272 ch assure un 0 à 100 km/h en seulement 6,7 secondes et une vitesse de pointe de 200 km/h. Vivement demain?
http://www.lefigaro.fr/automobile/2015/01/07/30002-20150107ARTFIG00297-mercedes-f-015-une-limousine-sans-chauffeur.php
Écrit par : L'enfoiré | 01/04/2015
Répondre à ce commentaireVotre BMW commencera à freiner votre voiture avant même que vous n'ayez vu l'obstacle
Le constructeur allemand BMW travaille sur une technologie qui permettra de corriger les erreurs humaines en situation de conduite.
Plus de 90% des accidents de la route sont dus à une erreur humaine, éventuellement liée à de l'inattention, ou une erreur de jugement dans une de situation particulière. BMW entend remédier à ce problème grâce à sa technologie « Active Assist », qui permettra d’anticiper un freinage dans les situations à risque.
Le système fait appel à des capteurs qui balaient tout autour de la voiture en permanence pour détecter les éventuels obstacles ou dangers potentiels, et qui déclenchent un freinage en douceur de la voiture, sans l'intervention du conducteur, en cas de risque de collision.
En pratique, les systèmes destinés à éviter les collisions ne sont pas nouveaux. Beaucoup de systèmes de pilotage automatique offrent une protection contre les collisions lorsque l’on se rapproche trop d’un véhicule venant de face, mais « Active Assist » prend également en compte les objets situés dans d’autres zones que l’avant. Cette technologie dresse en permanence une carte de l'entourage immédiat de la voiture.
Le constructeur travaille actuellement sur une prochaine génération, qui tiendra compte des objets en mouvement, avec des algorithmes capables non seulement de dresser la carte de leur localisation immédiate, mais aussi de celle qu’ils auront dans les instants suivants.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=votre-bmw-commencera-a-freiner-votre-voiture-avant-meme-que-vous-nayez-vu-lobstacle&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 10/04/2015
Répondre à ce commentaire'Les voitures autonomes seront monnaie courante en 2025 et détruiront des millions d’emplois'
« La plupart des personnes, y compris les experts, semblent penser que la transition vers des véhicules autonomes se fera lentement au cours des prochaines décennies et qu’il existe des obstacles importants pour une adoption généralisée. Je crois que cette technologie est sous-estimée », écrit Zack Kanter, CEO de Proforged et entrepreneur du secteur automobile, sur Quartz.
« Les voitures autonomes seront monnaie courante en 2025 et constitueront le monopole en 2030. Elles vont provoquer une disparition d’emplois sans précèdent ainsi qu’une restructuration fondamentale de notre économie. Elles permettront de résoudre une partie importante de nos problèmes environnementaux, de prévenir des dizaines de milliers de décès par an, d’économiser des millions d’heures tout en augmentant la productivité et de créer un ensemble d’industries que nous ne pouvons même pas imaginer avec notre point de vue actuel ».
Selon Kanter, cette transition a déjà lieu. Des entreprises comme Tesla et Google développent des projets de véhicules autonomes et en 2020, les premiers modèles devraient être disponibles pour le public.
« Ces innovations ne sont pas bonnes pour les concurrents retranchés comme Blockbuster, Barnes & Noble et Polaroid et il est peu probable que des grands constructeurs automobiles comme General Motors, Ford et Toyota puissent survivre. Ces entreprises produisent des millions de voitures dans des dizaines de variétés différentes pour répondre aux goûts individuels et ont beaucoup trop de frais généraux pour supporter une telle diminution spectaculaires des ventes. Je pense que la plupart d’entre-elles seront en faillite en 2030 alors que des entreprises nouvelles comme Tesla et des opérateurs comme Uber vont prospérer à l’aide d’un plus petit nombre de ventes et proposer des modèles standardisés avec moins d’options ».
Ce n’est pas un hasard si Kanter cite Uber. En effet, tout comme Zipcar et d’autres entreprises qui proposent des services similaires, Uber est en train de faire partie de la réalité quotidienne des grandes villes où les personnes se rendent compte qu’elles n’ont pas besoin d’acheter un véhicule pour se déplacer.
« Les industries auxiliaires telles que le marché de l’assurance automobile dont le chiffre d’affaires s’élève à 198 milliards de dollars, le financement de véhicules de 98 milliards de dollars, les 100 milliards de dollars de l’industrie du stationnement et le secteur des services d’après-vente automobile d’environ 300 milliards de dollars verront la demande pour leurs services s’effondrer. Nous assisterons également à l’obsolescence des sociétés de locations de voitures, des systèmes de transport public, et bon débarras, du stationnement et des excès de vitesse ».
Selon l’U.S Bureau of Labor Statistics, 915.000 personnes sont employées dans le secteur automobile. Ce secteur ainsi que celui des chauffeurs de taxi, de camions et d’autobus représentent un total de 6 millions de personnes qui se retrouveraient sans emploi dans 10 a 15 ans à cause de la prolifération des véhicules autonomes et cette liste est loin d’être exhaustive, conclut Zack Kanter.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=logistics&item=les-voitures-autonomes-seront-monnaie-courante-en-2025-et-detruiront-des-millions-demplois&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 19/05/2015
Répondre à ce commentaireSerait-ce l'une des premières voitures sans conducteur d'Uber? Les tests semblent avoir commencé
La société de mise en service avec des voitures de tourisme avec chauffeur Uber a annoncé en février l’ouverture de son Centre de Technologies Avancées à Pittsburgh (Pennsylvanie), et quelques mois plus tard, des voitures comportant le nom de cette société sur leurs portières ont été aperçues dans les rues de la même ville. Le dispositif qu’elles comportent sur le toit tend à prouver que ce ne sont pas des véhicules ordinaires. Le journal Pittsbugh Business Times est parvenu à se procurer des photos exclusives de l’une de ces voitures.
Uber vient de débuter ses propres recherches
Depuis l’annonce de l’ouverture de son laboratoire au début de cette année, Uber était restée relativement discrète sur les objectifs de ce dernier, ce que l’on peut comprendre, étant donné le nombre de ses concurrents.
« Cette voiture fait partie de l’un de nos premiers programmes de recherche portant sur la cartographie, la sécurité, et les systèmes d’autonomie », s’était contenté de dire Trina Smith, le porte-parole de la firme dans un email. Plus tard, la société a précisé qu’il ne s’agissait pas d’une voiture autonome.
Uber avait déjà annoncé qu'elle développerait des véhicules automoteurs, mais cette déclaration la mettait en concurrence directe avec Google, l’un de ses grands investisseurs. Ce dernier travaille lui-même sur le concept de la voiture sans conducteur depuis 2010 et il affirme que ses premiers modèles seront prêts pour 2020.
Les chauffeurs d’Uber coûtent trop cher
Les voitures sans chauffeur permettraient à Uber d’éliminer un de ses plus gros postes de coûts: celui des chauffeurs. La firme employait 16 000 chauffeurs à travers le monde. En éliminant le chauffeur, la firme pourrait réduire le coût moyen par mile (1,6 km) de 44 cents de dollars pour une course en solo, ou de 8 cents si la voiture est partagée avec un autre passager. Le coût d'utilisation du service pourrait également chuter largement en dessous des 3 dollars par mile qu’il en coûte dans le cadre du service UberX, et même à moins de 1 dollar par mile pour le service UberPool.
Le CEO d’Uber, Travis Kalanick, avait déjà manifesté son désir de supprimer les chauffeurs de ses voitures en adoptant des voitures autonomes. Il affirme qu’il sera meilleur marché de faire appel à une voiture sans conducteur, que de posséder son propre véhicule.
Selon un analyste de Barclays, les ventes de voitures pourraient baisser de près de 40% dans les 25 prochaines années, en raison de l'émergence de l’économie du partage pour les voitures sans conducteur. On estime que le marché des véhicules automoteurs pourrait se développer de 42 milliards de dollars d’ici 2025 et que les voitures autonomes pourraient représenter un quart des ventes mondiales de véhicules d'ici 2035.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=serait-ce-lune-des-premieres-voitures-sans-conducteur-duber-les-tests-semblent-avoir-commence&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 26/05/2015
Répondre à ce commentaireLa mobilité ou l'immobilité à Bruxelles?
Le thème de réflexions humoristique de Alex Vizorek
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_le-cafe-serre-d-alex-vizorek?id=8998799&eid=5017893
Écrit par : L'enfoiré | 05/06/2015
Répondre à ce commentaire10 astuces des constructeurs automobiles pour manipuler les tests de consommation
La semaine dernière, l’organisation de défense des consommateurs Test-Achats expliquait que les chiffres des constructeurs automobiles en ce qui concerne la consommation et les émissions de leurs modèles étaient rarement exacts. Test-Achats pointait également du doigt le trucage et la manipulation des tests de consommation NEDC (nouveau cycle européen de conduite. La Dernière heure a rassemblé dix astuces des constructeurs automobiles pour manipuler les tests NEDC de consommation.
Voici ces dix trucs :
1. Le poids du modèle
Les tests de consommation des constructeurs sont réalisés à vide et qui plus est, avec le modèle le plus léger, ce qui permet de gagner jusqu’à 4,4% de la consommation finale.
2. La conduite
Il est possible de réduire la consommation en influençant les cycles moteurs, la faiblesse de l’accélération et le freinage. En outre, au sein du protocole NEDC, les accélérations réclamées par le cycle sont peu élevées : en 43 secondes, la voiture passe de 0 à 70 km/h. Par contre, la voiture la plus nerveuse peut évoluer de 0 à 100 km/h en 20 secondes. Or, la vitesse moyenne d’un trajet, en partie urbain et extra-urbain d’une distance de 11 km revient à 33 km/h avec seulement 11 secondes à une vitesse de 120 km/h, ce qui est loin de la réalité. Les constructeurs gagnent ainsi jusqu’à 3% de la consommation finale.
3. La météo
En ce qui concerne la consommation, une conduite idéale se fera avec un moteur chaud et une météo douce. Le rendement du moteur sera optimal lorsque les températures se situent entre 20 et 30 degrés Celsius. Les tests de consommation sont réalisés avec ce type de température. Or, en Europe, la moyenne des températures annuelles est de 10%. Cette astuce permet aux constructeurs de gagner jusqu’à 2,3% de la consommation finale.
4. La surpression des pneus
Une surpression des pneus en bars permet d’obtenir une plus faible résistance au roulement et de gagner jusqu’à 2,9% de la consommation finale.
5. L’utilisation d’huiles spéciales
Des constructeurs utilisent des lubrifiants « exotiques » auquel le consommateur n’a pas accès.
6. La désactivation de l’alternateur
Là encore, la consommation est manipulée car la désactivation de l’alternateur n’implique pas de recharge de la batterie lors du test.
7. L’utilisation de bandes autocollantes
Pour masquer certains interstices de la carrosserie qui ne sont pas aérodynamiques, certains constructeurs n’hésiteront pas à utiliser des bandes adhésives.
8. La manipulation des freins
Afin de diminuer la friction, certains constructeurs altèrent le contact entre les plaquettes de frein et les disques de freinage.
9. La désactivation des fonctions annexes
Des constructeurs désactivent toutes les fonctions considérées comme accessoires qu’il s’agisse de la climatisation, des sièges chauffants, du GPS ou des phares. Or, pour être représentatif d’une conduite réelle, un test comprend au moins une de ces fonctions annexes.
10. La flexibilité des tests de consommation
Ces tests offrent au constructeur la possibilité légale de réduire les résultats finaux de 4%.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=logistics&item=10-astuces-des-constructeurs-automobiles-pour-manipuler-les-tests-de-consommation&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 30/06/2015
Répondre à ce commentaireLa 'Tesla-mania' en Russie: de nombreux candidats pour une voiture qui n'est pas à vendre
Tesla, la marque de voitures électriques, n’est pas disponible en Russie, au grand dam des 100.000 Russes qui se sont abonnés sur le profil Facebook non officiel du CEO du constructeur, Elon Musk. Leur objectif? Persuader Elon Musk de commercialiser ses modèles de voitures électriques dans leur pays.
Pour le moment, les Russes fortunés qui souhaitent acquérir la berline Tesla S n’ont pas d’autre choix que de l’acheter aux États-Unis pour la bagatelle de 68.610 euros, puis de la faire rapatrier pour un coût qui peut atteindre 11.000 euros, et de payer les droits de douane correspondants, c’est-à-dire, près de 45.000 euros. Et bien entendu, ils doivent prier pour que leur jouet favori ne tombe pas en panne : le centre technique Tesla le plus proche se trouve... en Finlande, à quelque 900 km de Moscou, par exemple.
Actuellement, en Russie, on recense près de 250 voitures de la marque Tesla, et outre une série de banquiers, l'un de leurs fiers possesseurs n’est autre que Roman Abramovitch, le propriétaire du club de football Chelsea FC. Pour la plupart de ces personnes, la Tesla n’est rien de plus d'un gadget mobile, une sorte d’iPhone sur roues, comme l’explique l’un d’eux sur le site Mail & Guardian.
Sur le marché russe, Tesla pourrait écouler près de 4000 unités par an, si le constructeur s’y intéressait autant qu’il s’intéresse à la Chine. Certains sites Internet russes, dont Avto.ru, proposent la voiture en vente pour 11 millions de roubles (environ 180.000 euros).
Le fan-club russe de Tesla a écrit plusieurs fois au constructeur pour lui demander de commercialiser ses véhicules dans son pays, mais Tesla a répondu systématiquement que le développement de ses affaires en Russie n’était pas une priorité pour lui. Et bien sûr, les sanctions et les relations tendues entre la Russie et l'Occident n’arrangent rien…
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=la-tesla-mania-en-russie-de-nombreux-candidats-pour-une-voiture-qui-nest-pas-a-vendre&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 11/07/2015
Répondre à ce commentaireToyota annonce la fin de la production des moteurs essence et diesel
Le constructeur automobile japonais Toyota a annoncé qu’il avait planifié la fin de la production de moteurs diesel et essence pour 2050. Le constructeur a expliqué au quotidien économique japonais Nikkei qu’il projetait une réduction de 90% des émissions de CO2 de ses nouvelles voitures à l’horizon 2050.
“Vous pensez peut-être que 35 ans est une période très longue, mais pour un constructeur, imaginer la disparition de tous les moteurs à combustion est quelque chose d’assez extraordinaire”, a dit Kiyotaka Ise, Senior Managing Officer chez Toyota.
Selon les déclarations récentes des dirigeants de Toyota, il semble que le constructeur nippon n’ambitionne pas de se lancer dans un concept de voiture électrique uniquement alimentée au moyen d’une batterie, comme l’a fait Tesla, par exemple, mais qu’il mise davantage sur sa Mirai, une voiture à cellule d’hydrogène qu’il a lancée en décembre dernier. Toyota estime que les ventes de ce modèle pourraient atteindre les 3000 unités pour 2017, et plus de 30.000 dès 2020.
Bien sûr, Toyota base aussi ce projet sur la Prius, la voiture hybride qu’il a lancée en avant-garde en 1997, et qu’il avait écoulée à plus de 8 millions d’exemplaires en juillet dernier. La marque nippone projette de vendre 1,5 millions d'armes hybrides à partir de l'année prochaine contre 1,27 million aujourd'hui, et estime qu’il y aura un total de 15 millions de modèles hybrides Toyota sur les routes d’ici 2020 .
L'année dernière, 86% de sa production mondiale du constructeur automobile portait encore sur des moteurs conventionnels.
Tesla, qui produit déjà des voitures “propres”, bénéficie d’une avance de 35 ans sur le constructeur, mais il s’adresse à un marché beaucoup plus confidentiel. Mais Tesla mise désormais sur son futur modèle moyen de gamme, le Model 3, et il compte bien écouler 500.000 véhicules électriques par an d’ici 2020.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=toyota-annonce-la-fin-de-la-production-des-moteurs-essence-et-diesel&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 19/10/2015
Répondre à ce commentaireMise à jour 20/10:2015: Laurence Bibot nous parle des voitures et des embouteillages
http://www.rtbf.be/video/detail_le-cafe-serre-de-laurence-bibot?id=2052620
Écrit par : L'enfoiré | 20/10/2015
Répondre à ce commentaireVolkswagen est la nouvelle Grèce ...
Le tabloïd allemand Bild a rapporté lundi que le ministre allemand des Transports Alexander Dobrindt (CSU) a adressé un courrier à ses homologues de l’UE qui ouvre la porte au lancement de procédures judiciaires contre Volkswagen par chaque pays européen.
Dans cette lettre, le ministre affirme que Volkswagen a violé le droit européen, et plus particulièrement l'article 5, paragraphe 2, de la directive no. 715/2007 en équipant ses moteurs diesel d’un logiciel permettant de truquer les résultats des tests d’émission.
Selon les experts, ce courrier peut fournir une base juridique sur laquelle les autres Etats membres de l’UE pourront se fonder pour réclamer des dommages du constructeur allemand.
La ministre française de l'Ecologie Ségolène Royal a quant à elle évoqué mercredi "une forme de vol du contribuable et de l'Etat".
Dans le journal économique français Les Echos, le journaliste Jean-Marc Vittori compare la débâcle de Volkswagen avec les grands scandales récents impliquant des tricheries d’entreprises:
L’affaire de Jérôme Kerviel et de la Société Générale, pour la question de savoir si les trucages étaient le fait de quelques employés isolés, ou s’ils avaient obéi à des instructions de dirigeants;
L’affaire de l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique en 2010, pour l’ampleur grandissante des sanctions et réparations que le constructeur devra payer;
L’affaire Enron, pour le risque de disparition de la compagnie que ce scandale lui fait encourir.
Compte tenu des ordres de grandeur astronomique des chiffres en cause, il semble au journaliste que le scandale VW n’évoque pas tant le fiasco passé d’une entreprise, que les défis auxquels est confrontée la Grèce d'aujourd'hui:
Comme l’Etat grec, l’entreprise allemande a menti sur un chiffre important, visible mais non considéré comme central (déficit public d’un côté, émission d’oxydes d’azote de l’autre). Comme Athènes, Volkswagen est maintenant dans la ligne de mire des agences de notation. Ce point apparemment secondaire pour un constructeur automobile est en réalité vital, car les fabricants ont besoin d’emprunter pas cher pour financer leurs clients. L’américain General Motors a failli mourir d’une panne de crédit fin 2008, et Peugeot Citroën en 2013. Comme la Grèce, Volkswagen va manquer d’argent pour investir et donc préparer son avenir”.
Mais VW et la Grèce n’ont pas que leurs vulnérabilités en commun: elles partagent aussi la capacité de rebondir, car, comme l’a montré plusieurs fois l’histoire, “le sursaut d’orgueil peut constituer pour toute collectivité humaine un formidable aiguillon de réussite”.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=economy&item=volkswagen-est-la-nouvelle-grece&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 20/10/2015
Répondre à ce commentaireAston Martin va produire des voitures électriques
Un James Bond zéro-émissions est plus proche que vous ne le pensez : Andy Palmer, le CEO d'Aston Martin, affirme que le passage de la compagnie aux moteurs électriques est inévitable. Celle-ci préfère passer à l'électricité plutôt que de réduire la puissance de ses véhicules pour satisfaire les normes d'émissions.
"Nous sommes une compagnie qui fabrique des moteurs V12. Projetez ça dans le futur. Dois-je faire comme le reste de l'industrie et réduire la taille des moteurs? Est-ce que je vois Aston Martin avec un moteur trois cylindres? Dieu m'en garde!" a déclaré Palmer durant la conférence Bloomberg sur le Financement des Nouvelles Energies. "Il faut faire quelque chose de radical. La force électrique vous donne cette puissance. Elle vous donne ce couple."
Et d'ajouter "Je ne crois pas que James (Bond) se soucie de la provenance de la puissance, pour autant que (le véhicule) soit rapide et magnifique."
En avril 2015, Palmer avait déjà déclaré qu'Aston Martin sortirait un modèle électrique d'ici deux ou trois ans. "L'électricité nous offre les performances que nous voulons, bien que sans le bruit d'un V12 – vous aurez quelque chose qui fonctionne aussi bien pour une voiture de luxe - le silence. Et sans émissions", a-t-il déclaré.
Aston Martin ne fera pas concurrence à Tesla sur le marché des véhicules électriques, car la firme entend bien maintenir ses voitures dans le luxueux secteur des $120.000 ou plus.
Concernant le scandale VW, Palmer admet que "les clients ne vont pas nous faire confiance durant un certain temps. Cela signifie que c'est la fin du diesel."
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=aston-martin-va-produire-des-voitures-electriques&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 20/10/2015
Répondre à ce commentaireBientôt, votre voiture sera connectée à Internet... si elle ne l'est pas déjà
Selon étude au sein de 12 pays de la FIA, la Fédération internationale de l’automobile, représentée dans notre pays par Touring, 72% des automobilistes belges ne savent pas que leur véhicule est pourvu d’un dispositif de communication de données. Les nouveaux modèles de véhicules sont équipés de logiciels permettant la transmission et la réception automatique de données de et vers les constructeurs automobiles et les services de gestion des voiries, explique la FIA, citée par La Dernière Heure.
A l'avenir, tous les véhicules, qui seront connectés à internet, communiqueront sur les routes, précise Touring.
Par ailleurs, 89% des Belges souhaitent être en mesure de programmer la désactivation manuelle de la transmission de données. Deux tiers des Belges n’ont pas de problème à transmettre des données anonymes sans être rétribués.
Les objectifs de cette transmission de données sont divers : elle permet de tracer un véhicule accidenté ou de vérifier son état technique. Ces données offrent en outre la possibilité d’améliorer le flux du trafic via des informations sur les embouteillages et les obstacles routiers.
Cet emploi de données revêt un caractère positif lorsqu’il s’agit de mobilité. Cependant, si la transmission de données sert à l’envoi de publicités lorsque le conducteur est proche d’un commerce, il s’agit d’intrusion dans la vie privée, précise Touring.
Les associations de mobilité insistent donc sur le fait que ces données doivent être administrées par l’utilisateur qui doit avoir une vue totale de celles-ci, via le dealer automobile ou via Internet.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=7-belges-sur-10-ne-savent-pas-que-leur-vehicule-est-connecte-a-internet&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 26/11/2015
Répondre à ce commentaireActuellement, près de 500 postes sont vacants dans l’industrie automobile belge
À l’heure actuelle, on dénombre 481 postes à pourvoir dans une trentaine d’entreprises de l’industrie automobile en Belgique, selon une enquête menée par Agoria, la fédération de l’industrie technologique, à la veille de l’ouverture du Salon de l’Auto. Il s’agit aussi bien d’emplois dans de grandes entreprises de production et des départements R&D que de fonctions chez des sous-traitants et équipementiers. Les candidats peuvent poser leur candidature en ligne sur www.beautomotive.be. Le fabricant de systèmes d’entraînement Punch Powertrain, le constructeur de camions Volvo Group et la société d’ingénierie Altran sont quelques-uns des employeurs à la recherche de nouveaux talents.
Pour son site de Saint-Trond, Punch Powertrain, producteur de transmissions variables et de systèmes d’entraînement hybrides pour voitures de tourisme, recrute cette année plus de 150 personnes. Chez Volvo Group aussi, il y a pour l’instant 150 postes de travail à pourvoir. « Nous avons besoin de 150 collaborateurs supplémentaires pour des fonctions d’agent de production ou de manutentionnaire de matériaux dans les différents départements de l’entreprise », explique Christian Gobert, responsable RH.
Altran, acteur mondial dans les services d’ingénierie R&D et comptant de nombreux clients dans le secteur automobile, recherche actuellement 15 ingénieurs pour des projets dans ce secteur. « Nos ingénieurs sont chargés de réaliser des projets chez les clients, notamment relatifs à la connectivité, aux logiciels embarqués, à l’optimisation des processus et au développement de produits innovants, ainsi que des projets de recherche », précise Johan Van Oefelen, Division Director du département Transport, Industry, Mobility and Electronics chez Altran.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=auto&item=actuellement-pres-de-500-postes-sont-vacants-dans-lindustrie-automobile-belge&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 14/01/2016
Répondre à ce commentaireVoitures autonomes : il y a un problème dont personne ne parle
La plupart des voitures du futur, des voitures autonomes, ressembleront à des salons sur roues, où les passagers seront confortablement installés face-à-face, et où ils pourront lire, utiliser leur tablette ou smartphone, converser … Même le chauffeur pourra tourner son siège pour interagir avec les autres voyageurs. Mais cette disposition comporte un inconvénient majeur dont personne ne parle: elle favorise le mal des transports.
Ce problème est bien connu des constructeurs, et ils l’étudient bien plus qu’ils n’en parlent… Lire et regarder vers l’arrière crée une différence entre ce que vos yeux voient et ce que votre oreille interne ressent. Le chauffeur est largement préservé de cette sensation, car il voit ce qui arrive au moment où il le ressent.
L’oreille interne est la clef du problème. Les personnes sourdes ne souffriraient pas du mal des transports, au contraire des aveugles.
La meilleure façon de combattre le mal est de se concentrer sur la route en regardant par la fenêtre, de préférence de face. Donc, l’une des solutions les plus évidentes que devraient appliquer les constructeurs serait de faire entrer le plus de lumière possible au niveau des côtés et de l’avant du véhicule, et d’arranger les sièges de façon à ce qu’ils n’obstruent pas la vue.
La réalité virtuelle
Un article publié dans Applied Ergonomics, par Diels et Jelte Bos, propose d’utiliser la réalité augmentée pour fournir des données visuelles supplémentaires : montrer la trajectoire du véhicule en mouvement aide à réduire le mal-être.
Mais toutes ces solutions ont un coût et pourraient rendre les voitures autonomes moins efficaces sur les routes. Nous serons donc peut-être confortablement installés, mais malades.
Source: https://fr.express.live/2016/04/11/les-voitures-autonomes-rendront-malades/
Écrit par : L'enfoiré | 12/04/2016
Répondre à ce commentaireLes voitures de polices les plus dingues
Lamborghini, Porsche, Ferrari, Bugatti, Chevrolet… Ces bolides d’exception servent de voiture de police dans certains pays. Certes, il est difficile de savoir s’ils parviennent à coffrer plus de criminels. Toutefois, c’est un régal pour les yeux
http://www.lesderapages.com/hot/pleins-feux-sur-les-voitures-de-patrouille-les-plus-folles-804.html?utm_content=aaw0028&utm_medium=Taboola&utm_source=Taboola&utm_term=viepratique&utm_campaign=voitures_police&utm_content=msn-be-fr#item=1
Écrit par : L'enfoiré | 26/04/2016
Répondre à ce commentaireVOLKSWAGEN - HEURS ET MALHEURS D'UN GÉANT DE L'AUTOMOBILE
Les émissions de gaz polluants concernent tout autant notre environnement que notre santé...
Début 2016 à Detroit, le Salon international de l'automobile ouvre ses portes. C'est la première fois que les nouveaux dirigeants de Volkswagen se présentent devant les acteurs majeurs du secteur automobile et la presse spécialisée nord-américaine depuis le scandale qui a éclaboussé la firme à l'automne 2015. Les arrangements de l'entreprise avec les législations européenne et américaine ne datent pourtant pas d'aujourd'hui. Contrairement aux premières déclarations imputant la fraude à une équipe restreinte d'ingénieurs, il apparaît désormais qu'il s'agissait d'une politique systématique voulue par la direction du groupe. Onze millions de véhicules sont ainsi concernés dans le monde. Depuis, l'action Volkswagen a chuté de façon vertigineuse et le montant final de l'amende infligée par les États-Unis pourrait s'élever à 45 milliards de dollars. C'est un coup dur pour l'industrie automobile allemande dans son ensemble, qui réalise près de 20 % de ses ventes à l'exportation et représente 14 % du produit national brut du pays.
Face sombre
Ce film retrace l'histoire industrielle et managériale de Volkswagen, depuis la "voiture du peuple" voulue par Hitler jusqu'au titre - brièvement conquis - de "premier constructeur automobile du monde". C'était avant l'éclatement du scandale, qui fut extrêmement dommageable pour l'entreprise, sa réputation et son chiffre d'affaires. S'appuyant sur des archives jusque-là inédites, cette enquête met en lumière la face sombre de la planète Volkswagen. Car, apprend-on, ce n'est pas la première fois que la firme de Wolfsburg se distingue par ses mensonges et ses compromissions. Les témoignages de politiques, de chercheurs, de militants de l'environnement, de journalistes et d'historiens permettent de disséquer les moyens mis en oeuvre par l'entreprise pour régner sur les marchés européen et américain.
http://www.arte.tv/guide/fr/064729-000-A/volkswagen-heurs-et-malheurs-d-un-geant-de-l-automobile?autoplay=1
Écrit par : L'enfoiré | 11/05/2016
Répondre à ce commentaire103EX : Rolls-Royce dévoile sa première voiture automotrice
Le constructeur britannique Rolls-Royce, filiale du groupe allemand BMW, vient de présenter son premier véhicule automoteur. Selon Torsten Müller-Ötvös, directeur général de Rolls-Royce, cette voiture donne un avant-goût du futur de la voiture de luxe.
Sans volant, avec une seule porte et un assistant virtuel multitâche, le véhicule marque un tournant pour la prestigieuse marque. Plusieurs fabricants de voitures ont déjà dévoilé leurs modèles autonomes, mais Rolls-Royce considère que ses clients, qui peuvent payer jusqu’à £1 million pour un véhicule, désireront une expérience de voyage luxueuse.
Le design rejette celui des “moyens de mobilité futuristiques insipides et utilitaires”, selon Torsten Müller Ötvös. Un prototype du 103EX a été révélé lors du centenaire de BMW. Ce modèle de travail peut aller à une vitesse maximale de 5 km/h et être conduit par un opérateur utilisant un téléphone portable.
Le véhicule devrait être dépourvu d’émissions et sera probablement électrique, mais Rolls-Royce avoue n’avoir aucune idée de ce qui le propulsera au moment de sa production, à la fin des années 2040.
Plus de moteur
Les occupants n’auront pas à se courber, car le toit, dessiné à l’image de “la coquille du tableau de Botticelli, “La naissance de Vénus”, leur permet de sortir debout. Un tapis rouge virtuel, réalisé au moyen de faisceaux laser, peut être déployé sur demande. Un sofa en soie fait face à un écran de 1,50 m pouvant devenir transparent.
Le moteur à 12 cylindres a disparu, remplacé par un coffre, conçu d’après les conseils du concierge de l’Hotel Dorchester de Londres, qui éjectera automatiquement les bagages à hauteur de main des porteurs.
La célèbre calandre et la statuette mascotte de la Femme Ailée (“Spirit of Ecstasy”) resteront “aussi longtemps que la société existera”.
Source: https://fr.express.live/2016/06/20/rolls-royce-devoile-sa-premiere-voiture-sans-chauffeur/
Écrit par : L'enfoiré | 04/07/2016
Répondre à ce commentaireLe JT de France2 parle du piratage des nouvelles technologies. Clic sur l'image suivante:
https://picasaweb.google.com/104191234223077588730/Videos#slideshow/6310943245738502946
Écrit par : L'enfoiré | 24/07/2016
Répondre à ce commentaireTesla dépasse les limites de ses batteries
Le constructeur automobile américain Tesla, qui fabrique des voitures électriques, a annoncé qu’il propose la voiture de production la plus rapide du monde, grâce à l’adjonction d’une batterie très puissante.
Selon Elon Musk, le CEO de Tesla, ses Model S et Model X équipés de cette nouvelle batterie de 100 kilowatt-heure peuvent parcourir une distance de 315 miles, soit plus de 500 kilomètres, avec une seule charge de batterie. Jusqu’à présent, la flotte de Tesla avait une autonomie comprise entre 210 miles et 270 miles.
Cette nouvelle batterie permet aussi à la Tesla Model S de devenir la voiture de série la plus rapide du monde. Elle serait capable de développer une accélération de 0 à 60 miles par heure (soit près de 100 km/h) en 2,5 secondes. Elon Musk concède que d’autres voitures ont déjà enregistré des accélérations plus fortes, mais il rappelle qu’il s’agit de voitures sportives élitistes qui ne sont pas vendues en grandes séries, comme des Porsche et des Ferrari.
“Pour la première fois de l’histoire la voiture de production la plus rapide du monde est électrique. Cela signale vraiment au public que le transport durable représente l’avenir”, a souligné le CEO de Tesla.
Mettre 11 kilos dans un sac qui ne peut en contenir que 10
Il explique cependant que cette nouvelle batterie est très proche de la limite absolue des possibilités offertes par les technologies actuelles : “Les ingénieurs de Tesla ont repensé les logiciels, le refroidissement, l’électronique et la disposition de la cellule pour permettre à la même batterie de gagner plus de puissance, un peu comme si l’on voulait mettre 11 kilos dans un sac qui ne peut en contenir que 10. Il devient exponentiellement plus difficile d’augmenter la densité de la puissance”.
Il a également indiqué qu’il s’attendait à produire 200 unités de ces batteries surpuissantes par semaine, et qu’elles équiperaient 10 % des modèles de la marque. Cette option sera proposée avec un supplément de 10 000 dollars pour les possesseurs d’une voiture Tesla.
Pour toutes ces raisons, Musk attend beaucoup de son usine géante (“Gigafactory”) destinée à la fabrication de batteries, actuellement en construction dans le désert du Nevada.
Source: https://fr.express.live/2016/08/24/tesla-depasse-les-limites-de-ses-batteries/
Écrit par : L'enfoiré | 25/08/2016
Répondre à ce commentaireSur sept voitures autonomes testées par le magazine Auto Plus sur un circuit fermé, une seule a réussi à tous les coups à éviter un obstacle soudain, affirme l'hebdomadaire dans son édition de vendredi.
"Conduite +autonome+ activée, la voiture devant vous fait un écart soudain pour éviter un véhicule arrêté sur la route. Comment le système va-t-il réagir?", interroge le magazine, qui a réalisé des tests sur le circuit de Montlhéry (Essonne).
"Résultats pour le moins mitigés: sur sept voitures testées, cinq échouent lamentablement et percutent l'obstacle, la 6ème (une Tesla Model S, ndlr) échoue deux fois en quatre tentatives. Seule la Mercedes Classe E, qui conserve une généreuse distance de sécurité, passe l'examen en s'arrêtant avant l'obstacle", continue Auto Plus.
L'hebdomadaire a testé, outre ces deux véhicules, l'Audi A4, la BMW Série 7, la Mercedes Classe C, la Volkswagen Passat et la Volvo S90/V90, à la fois sur circuit, dans les bouchons, et sur la route.
Verdict: "hors des embouteillages, seuls trois modèles (Mercedes Classe C et E, Tesla Model S) sont vraiment capables de s'en sortir".
C'est dans les bouchons "que ces systèmes convainquent le plus, malgré des résultats inégaux", note Auto Plus, qui ajoute que "ces systèmes ont leurs limites. Ils ont tendance à être aveuglés quand le soleil est en face et bas sur l'horizon, et laissent souvent trop peu de place aux deux-roues circulant entre deux files, ce qui vous vaudra quelques coups de klaxon énervés! Enfin, il faut parfois reprendre la main lorsqu'un véhicule vient s'insérer devant vous".
Ainsi, selon le magazine, "il manque encore quelques "briques" à l'édifice de la voiture autonome. D'une part, les capteurs actuels sont insuffisants (et) (...) n'offrent qu'une vision partielle de la route et des obstacles". Par ailleurs, "l'intelligence artificielle devra progresser, apprendre le comportement des piétons, des cyclistes et... des automobilistes humains".
"Tous ces efforts convergent vers le même objectif: offrir dès l'horizon 2020 une conduite réellement autonome, où l'on pourra quitter la route des yeux dans certaines conditions (autoroutes, voies rapides sans feux ni piétons)"
http://www.lalibre.be/economie/auto/sur-7-voitures-autonomes-une-seule-evite-un-obstacle-soudain-5800f611cd701eed8fcd0ac4.
Écrit par : L'enfoiré | 14/10/2016
Répondre à ce commentaireLes premières voitures sans conducteur seront indiscernables des voitures ordinaires
Les premières voitures sans conducteur de Volvo n’auront volontairement aucun marquage particulier, afin d’éviter que les autres conducteurs ne soient tentés de tirer avantage de la situation en conduisant de façon agressive dans leurs parages.
Cette décision, selon Erik Coelingh, spécialiste technique chez Volvo, découle du fait que le constructeur craint que les autres conducteurs soient tentés de conduire de façon erratique ou de freiner brutalement pour forcer les voitures sans conducteur à leur céder le passage.
Il a prévu leur mise en circulation en Grande-Bretagne pour l’année 2018, et compte louer 100 de ces véhicules autonomes à la ville de Londres pour un projet pilote qui devrait être lancé dans deux ans. « De l’extérieur, on ne verra pas que c’est une voiture sans conducteur », a dit M. Coelingh à The Observer.
La décision de Volvo fait suite à une enquête réalisée par la London School of Economics et publiée ce mois-ci, qui a révélé que les conducteurs agressifs estiment qu’il est plus facile pour eux d’avoir affaire à des voitures sans conducteur, parce que celles-ci sont programmées pour ralentir automatiquement quand on leur coupe la route.
Chris Tennant de la London School of Economics, a précisé que : « Certaines personnes se disent, ‘cette voiture va ralentir automatiquement, donc je vais lui passer devant’. C’est plus facile quand il n’y a pas de conducteur humain pour faire un appel de phares ou menacer du doigt ».
Source: https://fr.express.live/2016/11/09/premieres-voitures-sans-conducteur-indiscernables/
Écrit par : L'enfoiré | 10/11/2016
Répondre à ce commentaire"Tout s'explique" : Mobilité électrique
En 1899 un Belge crée la voiture électrique la plus rapide au monde ! 120 ans plus tard, l'alternative au moteur thermique semble enfin crédible.
Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps ? Et à quoi ressemblera la voiture de demain ?
Une voiture électrique doit être rechargée. Il n'y a que 213 bornes publiques en Wallonie et 70 à Bruxelles.
La voiture électrique, un défi pour les pouvoirs publics. Les voitures électriques ne consomment
http://www.rtl.be/tv/rtltvi/replay/12-01-2017-mobilite-electrique
Écrit par : L'enfoiré | 13/01/2017
Répondre à ce commentaire"Question à la Une" parle des garagistes, des radars et pourquoi les camions menacent la sécurité
http://www.rtbf.be/auvio/detail_questions-a-la-une?id=2181753
Écrit par : L'enfoiré | 02/02/2017
Répondre à ce commentaireLove bugs parade des Coccinelles 2017
https://photos.google.com/share/AF1QipO1nGQHI_X0hMowHBbM5P4VYBWtr8yMVXQ6u797wzaNsb5Ny0aRWS_yhe3mRUBd8Q/photo/AF1QipPMn2MU9XSzQtiDcDpfXmzzIFWzufoML6KRzTbe?key=MXpoUnpoZ01aaU41VEVmZlVFdjl6cHVHY29vRGRn
Écrit par : L'enfoiré | 12/02/2017
Répondre à ce commentaireLe marché américain de l’automobile : “Je reconnais une bulle quand j’en vois une”
Le constructeur automobile américain Ford va investir 1 milliard $ au cours des cinq prochaines années dans Argo, une entreprise qui fabrique des voitures autonomes. Argo a été fondée par deux ingénieurs qui avaient débuté leur carrière chez Alphabet (Google) et Uber, où ils ont collaboré à des projets de véhicules autonomes. Bien que cet investissement fera de Ford l’actionnaire majoritaire d’Argo, les deux fondateurs devraient conserver un grand degré d’autonomie.
L’investissement indique un virage dans la stratégie Ford, qui jusqu’ici, n’avait pas vraiment développé de plans pour des véhicules autonomes en interne. Mais pour atteindre l’objectif ambitieux de développer une flotte de voitures autonomes pour assurer des courses à la manière d’Uber d’ici 2021, il était nécessaire de chercher de l’aide à l’extérieur.
La course contre la montre pour le véhicule autonome
Il est de plus en plus clair que tous les grands constructeurs automobiles sont désormais pleinement engagés dans une lutte pour le véhicule autonome ; General Motors a payé 1 milliard $ l’année dernière pour Cruise, une start-up travaillant dans le domaine des véhicules automoteurs, tandis que Toyota a mis en réserve 1 milliard $ pour investir dans la technologie des voitures sans conducteur.
Ford choisit une troisième voie et finance maintenant une start-up. Grâce à la contribution de Ford sur Argo, cette dernière pourra proposer des stock-options attractifs pour recruter 200 employés et attirer les meilleurs talents. La propriété intellectuelle développée pourra ensuite être partagée avec Ford.
Le marché automobile américain: «Je reconnais une bulle quand j’en vois une »
Bien que le marché automobile américain ait connu une belle relance au cours des dernières années pour se sortir de la crise qui avait atteint son apogée en 2010, les ventes étaient en baisse en janvier pour la première fois après six années de croissance ininterrompue. En outre, le nombre d’Américains qui détiennent un prêt sur une voiture a atteint un pic. Au total, les Américains détiennent pour la première fois 1.000 milliards de dollars de dettes à l’égard des constructeurs automobiles (tableau Elliot Wave International).
En d’autres termes, les consommateurs américains ont désormais emprunté plus de 1.000 milliards de dollars pour acheter un actif qui ne fait que se déprécier. Avant la crise financière, ce montant n’a jamais dépassé 825 milliards de dollars.
Les prêts ont aussi une durée plus longue : 67 mois en moyenne, mais parfois jusqu’à 84 mois (7 ans). 16 % ont souscrit un « Subprime Auto Loan ». Ces prêts sont accordés à des taux d’intérêt plus élevés, parce que les emprunteurs ont une mauvaise cote de crédit, ou des antécédents de défaut. Les grandes réductions qui ont été accordées en janvier pour tenter de stimuler les ventes se sont révélées infructueuses.
Source: https://fr.express.live/2017/02/14/marche-americain-automobile-ford-argo-bulle/
Écrit par : L'enfoiré | 14/02/2017
Répondre à ce commentaireLa baisse des prix des voitures de collection montre ce qui attend les marchés boursiers
L’indice du marché Hagerty, un indice représentatif de l’évolution du prix des voitures de collection ou « oldtimers » – est à son plus bas niveau en trois ans et ce n’est pas de bon augure pour les marchés boursiers, écrit Wolf Richter sur son blog, parce que cela signale que les marchés vont bientôt suivre le même chemin.
« La classe d’actifs des voitures de collection (…) est déjà confrontés à une période de baisse tranquillement mais de façon persistante, qui est comparable et d’une certaine manière, dépasse déjà, celui qu’elle avait connu au cours de la crise financière.
[…] Dans le rapport pour le mois de mais de Hagerty, (…) [L’indice] a chuté de près de 10% par raport à l’an dernier et de 14 % ou 25,8 points, par rapport à son plus haut niveau de septembre 2015. (…)
Il n’y a aucun signe de panique totale pour le moment, et il n’y a pas de crise. Des flots de liquidités sont toujours déversés dans le système. Et certaines des plus grandes banques centrales, dont la BCE et la Banque du Japon, continuent de mener leurs opérations de QE.
Les prix des voitures de collection indiquent ce que nous avons en magasin : malgré toute la liquidité et le QE, les prix ne peuvent qu’augmenter à un certain niveau, avant que les investisseurs ne commencent à se rétracter, graduellement, les uns après les autres. »
Pourquoi est-ce important ?
Les chiffres de Knight Frank montrent qu’au cours de la période 2011-2016, les classic cars offraient un rendement de 161 %. Sur une période de dix ans, ce chiffre a même grimpé jusqu’à 467 %. Il y a un an, certains observateurs estimaient que le marché semblait avoir atteint son pic.
Les prix des voitures d’époque évoluent de la même manière que d’autres investissements tels que l’immobilier et les actions. L’indice Hagerty – qui est ajusté pour l’inflation, à la différence du marché boursier – a atteint un sommet avant de commencer à décliner en avril 2008, quelques mois avant que les marchés boursiers ne connaissent le plus grand krach de l’histoire. Richter estime que le prix des oldtimers est un signe de ce qui nous attend d’autres actifs d’investissements.
Source: https://fr.express.live/2017/05/19/baisse-prix-voitures-de-collection-signe-marches-boursier/
Écrit par : L'enfoiré | 22/05/2017
Répondre à ce commentaireOuverture du nouveau salon de l'automobile à Bruxelles
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/2286991105.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 12/01/2018
Répondre à ce commentaireLa voiture du futur pourra rouler… 1,5 million de kilomètres
La voiture du futur devra être capable de parcourir une distance totale d’un million et demi de kilomètres, affirment des experts. La durabilité et la longévité seront donc des qualités primordiales pour les voitures autonomes.
En effet, une grande partie de celles-ci seront utilisées en permanence pour effectuer des courses au sein de flottes de transport. Ce critère a des implications importantes pour les constructeurs qui devront adapter leur business model en conséquence. Selon le cabinet de consultance McKinsey, une voiture du futur sur 10 vendue en 2030 sera utilisée pour effectuer du covoiturage. En conséquence, le marché des véhicules particulières devrait connaître un certain déclin.
Un usage bien plus intensif
Tous les grands constructeurs automobiles planchent sur des prototypes de voitures autonomes. Mais ils devront aussi concevoir des véhicules avec une durée de vie beaucoup plus longue. Pour certains, ce ne sera pas une inconnue : les camions longs-porteurs et les célèbres taxis londoniens sont déjà conçus pour durer au delà d’un million de kilomètres.
Actuellement, le propriétaire d’une voiture particulière la remplace après l’avoir conservée pendant dix ans, ou effectué cent cinquante mille kilomètres, en moyenne. Mais le développement des plateformes de mise en relation de voitures avec chauffeur, comme Uber, Lyft, et Didi en Chine, qui se constitueront des flottes de voitures autonomes à l’avenir, est susceptible de modifier ce modèle.
Une maintenance comparable à celle des avions
En effet, pour que ces flottes demeurent rentables, il faudra que ces voitures tolèrent un usage bien plus intensif. Selon Paul Warburton, vice-président de la division automotive du groupe japonais Fujitsu, la maintenance de ces voitures devrait devenir très comparable à celle des avions, qui peuvent parfois voler pendant 30 ans.
Cela suppose une maintenance bien plus exigeante et proactive. Certaines pièces détachées de la voiture du futur devront être repensées pour durer plus longtemps, comme les châssis et les charnières de portières. D’autres, comme les batteries, seront remplacées régulièrement, et à l’avance, pour éviter les pannes.
Cependant, cette nécessaire évolution n’a pas encore été prise en compte par les constructeurs. Le coût d’une voiture autonome est appelé à dépasser de beaucoup celui d’une voiture conventionnelle, en raison des capteurs et des technologies embarquées. Mais la prise en compte d’une durabilité supérieure est une nouvelle contrainte qui risque de pousser encore plus les prix à la hausse.
https://fr.express.live/2018/01/17/durabilite-voiture-du-futur/
Écrit par : L'enfoiré | 18/01/2018
Répondre à ce commentaireParéidolie : Pourquoi vous avez choisi ce SUV (ou toute autre voiture)
Saviez-vous que vous êtes atteint de paréidolie ? Pas de panique, on vous explique : la paréidolie, c’est la tendance à voir des visages là où il n’y en a pas. Dans les nuages, la lune, les falaises… et sur les voitures. Ce phénomène pourrait même nous aider à comprendre l’un des phénomènes les plus difficilement explicables sur le marché automobile de ces dernières décennies.
Il est prouvé que nous préférons les voitures avec des « visages », ce qui peut expliquer pourquoi les modèles les plus populaires depuis les années 1920 ont tous “deux yeux” et une “bouche centrale”, alors que les voitures “sans visage” nous inspirent de la méfiance.
La paréidolie est profondément ancrée dans la nature humaine
Cette préférence a probablement des origines évolutionnaires. Être capable de distinguer un visage humain du museau d’un redoutable prédateur dans une forêt dense et sombre était crucial pour la survie à l’époque préhistorique. Puis, lorsque les groupes humains ont commencé à entrer en contact les uns avec les autres, la capacité à décrypter les émotions, et les intentions sous-jacentes est devenue essentielle. Il fallait être capable de reconnaître l’hostilité, ou au contraire, la bienveillance. Là encore, la capacité à “lire” les visages était déterminante pour la survie et la reproduction.
Ainsi, lorsque des chercheurs ont rencontré les membres d’une tribu isolée d’Éthiopie, et qu’ils leur ont soumis des photos de voitures modernes, ils ont constaté que les sujets de leur expérience identifiaient immédiatement les “visages” des voitures, bien qu’ils n’avaient jamais rien vu de tel auparavant.
Les automobilistes veulent une voiture avec un visage
Les essais des constructeurs pour éliminer les visages des voitures, ou pour les modifier à tel point qu’ils ne sont plus immédiatement reconnaissables, se sont pour la plupart soldés par des échecs.
Récemment, le changement de style de la Tesla Model S a fait des mécontents : sa (fausse) calandre est presque inexistante, alors que nous associons la calandre d’une voiture avec sa bouche.
La préférence pour les véhicules dotés de visages peut aussi aider à comprendre la montée en popularité des véhicules utilitaires sportifs (SUV) et des Crossovers dans les années 1990. Alors que beaucoup de voitures à l’époque imitaient les Audi 5000 1984 à la moitié de visage (nez bas, phares presque inexistants…), les premiers véhicules multi-segments avaient tous de bons visages expressifs.
De nombreux acheteurs ont préféré délaisser les véhicules sans visage en faveur de ceux qui nous inspiraient les élans paréidoliques les plus lyriques.
https://fr.express.live/2018/01/26/pareidolie-influence-choix-voiture/
Écrit par : L'enfoiré | 28/01/2018
Répondre à ce commentaireLa question de la voiture électrique analysée objectivement:
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/00/02/1279266930.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 28/01/2018
Répondre à ce commentaireL'industrie pétrolière mise en danger par les bus électriques
Il y a 10 ans, personne ne croyait aux bus électriques. Aujourd'hui, la Chine en sort plus de 9.500 toutes les cinq semaines. Cette nouvelle flotte à zéro émission vient déstabiliser la demande en pétrole: il faudra environ 279.000 barils de pétrole en moins chaque jour.
Vivez la commodité d'un monte escalier. Faites un devis, c'est gratuit !
Les bus équipés de moteurs alimentés par batterie sont susceptibles de sérieusement révolutionner le transport urbain et remodeler les rapports de forces qui gèrent l'industrie de l'énergie. Et dans ce domaine, la Chine, qui est le premier pays à souffrir des émanations toxiques des moteurs à combustion fossile, arrive clairement en tête.
En 2017, la Chine comptait environ 99% des 385.000 bus électriques qui circulent sur les routes de la planète, ce qui représente 17% de la flotte totale du pays, a calculé Bloomberg New Energy Finance (BNEF). Toutes les cinq semaines, les villes chinoises produisent environ 9.500 transporteurs à zéro émission, soit l'équivalent de toute la flotte de bus de Londres, selon Transport for London. Et cette production se ressent sur la demande globale en carburant.
Consommation des bus
Les bus standards consomment 30 fois plus de carburant que les voitures de taille moyenne. Conséquence, leur impact sur la consommation d'énergie est beaucoup plus important que celui des voitures électriques produites par Tesla Inc. ou Toyota Motor Corp.
Selon les calculs de la BNEF, 1.000 bus qui roulent à l'électricité, cela représente environ 500 barils de carburant retirés du marché chaque jour. Cette année, le volume des bus qui ne dépendront pas du marché des combustibles fossiles pourrait augmenter de 37%, passant à 279.000 barils par jour la quantité de pétrole économisé chaque jour. Ce qui équivaut à la consommation quotidienne de la Grèce, estime la BNEF.
Point de basculement
"Ce segment approche du point de basculement", a déclaré Colin Mckerracher, expert en Transport du futur chez Bloomberg. "Les gouvernements municipaux du monde entier sont pris à partie pour la mauvaise qualité de l'air urbain. Cette pression ne va pas disparaître, et les ventes d'autobus électriques sont en position de bénéfices."
La Chine est en avance sur l'électrification de sa flotte parce qu'elle est le pays avec le plus gros problème de pollution au monde. Avec une population urbaine croissante et une demande énergétique galopante, les smogs légendaires de la nation ont été responsables de 1,6 million de décès en 2015, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
https://fr.express.live/2018/04/25/lindustrie-petroliere-mise-en-danger-par-les-bus-electriques?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=amazon_developpe_secretement_un_robot_domestique_la_police_allemande_renforce_ses_effectifs_avec_des_polonais_la_nouvelle_fonctionnalite_de_la_blockchain_contourner_la_censure_chinoise&utm_term=2018-04-26
Écrit par : L'enfoiré | 26/04/2018
Répondre à ce commentaireUn billet d'un autre rédacteur
"Les relations fusionnelles entre conducteur et automobile"
https://www.pierre-lannes.fr/fin-de-la-relation-fusionnelle-entre-conducteur-et-automobile/
Écrit par : L'enfoiré | 15/05/2018
Répondre à ce commentaireLe "Vingauge" appareil pour les Old-Timers 3.0 Vingauge, une start-up spécialisée dans l'installation de boitier électronique de mesures relié à des voitures ancêtres
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/00/01/3436642551.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 16/06/2018
Répondre à ce commentaire"La prochaine récession sera provoquée par une pénurie de diesel"
Les prix du pétrole pourraient encore augmenter au cours des 12 à 18 prochains mois pour atteindre 200 dollars le baril. C’est ce que l’on peut lire dans une analyse de Philip K. Verleger, qui conseille le Congrès américain sur les prix des matières premières. Verleger prédit que d'ici 2020, une pénurie de gasoil provoquera une récession économique.
“Les prix catastrophiquement élevés du pétrole vont provoquer une récession. Les prix du pétrole sur le marché vont au moins doubler. Ensuite, ‘the sky the limit' et les prix grimperont même à 400 $ le baril", découvre-t-on dans l'analyse.
Aujourd'hui, un baril de pétrole vaut entre 65 et 74 $ (entre 56 et 63 euros). D'autres analystes et observateurs soulignent également que les réserves mondiales de pétrole sont limitées et que les prix du pétrole passeront de 90 à 100 dollars le baril après le début des sanctions contre l'Iran le 4 novembre.
L'Iran n'est pas le plus gros problème des marchés pétroliers
À l'instar de la banque d'investissement Morgan Stanley, Verleger craint que les producteurs de pétrole ne soient pas suffisamment préparés à la transition vers le diesel à faible teneur en soufre, un carburant plus propre qui doit permettre de réduire les émissions de manière effective.
Selon Morgan Stanley, la mise en œuvre de règles plus strictes pour le carburant de l'industrie du transport maritime se traduira par une demande croissante de distillats moyens, ce qui augmentera la demande de pétrole brut de 1,5 million de barils par jour. Cela portera les prix du pétrole à 90 dollars le baril en 2020, a écrit la banque d'investissement plus tôt cette année.
Un nombre insuffisant de raffineries équipées pour produire des distillats moyens
Mais selon Verleger, il existe un nombre insuffisant latent de raffineries équipées pour produire ce carburant, ce qui limitera l'approvisionnement et fera augmenter les prix. Comme la majeure partie du secteur du commerce dépend toujours du diesel, cela ne pourra qu’affecter directement l'économie. Toujours selon l'analyse, la moitié des raffineries ne peuvent aujourd'hui produire du carburant conforme à la nouvelle réglementation.
Une déclaration qui a également confirmée par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans ses dernières prévisions pour 2023. “Les raffineries seront confrontées à d'énormes défis lors de la mise en œuvre des nouvelles normes en matière de soufre”, a déclaré l'AIE. Les analystes énergétiques sont également préoccupés par la transition en 2020 vers les carburants à faible émission pour les navires de mer, tels que les navires-citernes. Des effets bien plus importants que supposés
Mais Verleger prédit que les effets seront beaucoup d’autant plus grands que la demande pour le diesel augmentera. Il prédit un effondrement économique parce que le secteur pétrolier n'a pas la capacité nécessaire pour fournir plus de carburant à faible teneur en soufre à l'industrie maritime, alors qu'il doit aussi répondre aux exigences d’autres clients existants tels que les agriculteurs, les camionneurs, les chemins de fer, etc.
https://fr.express.live/2018/07/24/la-prochaine-recession-sera-provoquee-par-une-penurie-de-diesel?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_prochaine_recession_sera_provoquee_par_une_penurie_de_diesel_le_texas_va_pomper_plus_de_petrole_que_liran_et_lirak_ou_en_est_la_pilule_contraceptive_pour_les_hommes&utm_term=2018-07-24
Écrit par : L'enfoiré | 24/07/2018
Répondre à ce commentaireLes assistants vocaux débarquent dans nos voitures
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/01/02/2317772627.mp3
Écrit par : L'enfoiré | 21/10/2018
Répondre à ce commentaireVotre prochaine voiture pourrait être électrique et... chinoise
En avril dernier, 35 % des voitures électriques vendues dans le monde étaient chinoises. D'ici la fin de l'année, un million de voitures électriques devraient être écoulées dans ce pays. Par ailleurs, les constructeurs chinois de voitures électriques sont bien placés pour rivaliser avec les sociétés étrangères, écrit Quartz.
En Chine, la politique du gouvernement a réussi à susciter un important engouement pour la voiture électrique. En effet, depuis près d'une décennie, le gouvernement investit dans l'industrie des véhicules électriques et offre des incitatifs fiscaux intéressants et des subventions aux constructeurs automobiles et aux consommateurs. Par ailleurs, la Chine construit des infrastructures pour véhicules électriques sur tout son territoire et impose des restrictions en ce qui concerne la vente et l'utilisation de voitures à essence.
Par conséquent, en Chine, les véhicules électriques font maintenant partie du quotidien des citoyens, ce qui n'est pas le cas dans des pays comme les Etats-Unis.
Shenzhen
Shenzhen, l'un des pôles technologiques chinois, situé dans le sud du pays, témoigne de cette progression des véhicules électriques. Cette ville est la seule au monde à compter 100% de bus électriques. Shenzhen est également l'une des premières villes chinoises ayant comme objectif de remplacer tous les taxis à essence par de nouveaux véhicules électriques, notamment par des véhicules à batterie pure et des véhicules hybrides rechargeables. Ce n'est pas une coïncidence car Shenzhen est le siège de BYD, le deuxième constructeur mondial de véhicules électriques après Tesla.
BYD
Cette société chinoise, soutenue par Warren Buffet, a bénéficié de 590 millions de dollars de subventions des gouvernements local et central. Ce soutien a joué un rôle important dans la croissance de BYD, fabricant de batteries, devenu aujourd'hui un acteur majeur sur le marché mondial des véhicules électriques. Une autre société chinoise, Contemporary Amperex Technology (CATL), a récemment signé un contrat avec BMW et remplace maintenant Samsung en tant que fournisseur de batteries pour le géant allemand de l'automobile.
Le gouvernement chinois estime que les véhicules électriques sont une opportunité pour la Chine de dépasser ses concurrents. Le succès de ces entreprises chinoises est un signe d'espoir devenu réalité, explique Qiu Kaijun, propriétaire d'un site internet chinois consacré au secteur des véhicules électriques.
Cependant, les subventions allouées à ce secteur ne dureront pas longtemps. Dans les cinq prochaines années, la Chine prévoit d'arrêter les subventions pour les constructeurs nationaux et de relever les normes techniques. Dès lors, les constructeurs automobiles chinois devront rivaliser sur un pied d'égalité avec les sociétés étrangères telles que Tesla et Volkswagen, entreprises qui construisent toutes deux des usines en Chine.
"Après 2020, les véhicules électriques de marques étrangères grignoteront davantage les parts de marché des marques nationales. Toutefois les marques étrangères n'évinceront pas les marques de voitures chinoises", explique Qiu. "Les marques chinoises et étrangères seront plus ou moins au même niveau."
Enfin, une autre étape importante sera franchie dans un avenir proche. Les batteries seront meilleures et moins chères.
D'ici 2025, le coût d'une voiture électrique pourrait être comparable à celui d'une voiture équipée d'un moteur à combustion interne (ICE). "Et lorsque cela se produira, l'ère des voitures ICE prendra fin. Ainsi, celui qui est le mieux placé pour faire face à la concurrence sur le marché des véhicules électriques pourrait désormais dominer le marché mondial de l'automobile. Ce sera probablement encore l’Allemagne, le Japon et les États-Unis, mais la Chine figure maintenant sur cette liste", conclut Quartz.
https://fr.express.live/2018/11/16/votre-prochaine-voiture-pourrait-etre-electrique-et-chinoise
Écrit par : L'enfoiré | 19/11/2018
Répondre à ce commentaireLa fin de la voiture telle que nous la connaissons maintenant?
Les États membres de l'UE ont convenu la semaine dernière de nouvelles restrictions sur les émissions de CO2 des voitures particulières. Celles-ci devront émettre 37,5 % de CO2 en moins en 2030 par rapport à 2021.
C'est une nécessité pour atteindre les objectifs climatiques énoncés dans l'accord de Paris. Ce pourcentage doit encore être approuvé par le Parlement européen et les gouvernements nationaux, mais il s’agit généralement d’une formalité.
La puissance des lobbys du secteur automobile diminue
Les experts du secteur automobile s'accordent pour dire que cet accord indique en particulier que le pouvoir du lobby automobile allemand est de plus en plus réduit. La conclusion d'un tel accord aurait été impossible il y a seulement 5 ans. En Allemagne, le lobby automobile doit également prendre de plus en plus compte de groupes environnementaux tels que la Deutsche Umwelthilfe (DUH), qui fait partie de l'European Environmental Bureau. La DUH a déjà imposé une interdiction des voitures à moteur diesel âgées de plus de trois ans plus tôt cette année via les tribunaux de plusieurs villes.
Le DUH souhaite maintenant imposer également une limitation de vitesse sur les autoroutes allemandes. Remarquable ? Pas vraiment, car l'Allemagne est toujours le seul pays européen à ne pas avoir de directive portant sur une vitesse maximale sur les autoroutes.
L'industrie automobile est cruciale pour l'Allemagne
Même si le gouvernement allemand a instauré une limitation de vitesse de 100 km/h sur toutes les autoroutes allemandes afin d'économiser de l'énergie lors de la crise pétrolière de 1973 avec d'autres pays européens, cette règle a été levée quatre mois plus tard sous l'impulsion de la puissante association des automobilistes allemands ADAC. Jusqu'à aujourd'hui, le gouvernement allemand n'a jamais été favorable à une telle limitation de la vitesse. La raison en est évidente : une telle règle aurait des conséquences négatives majeures sur le secteur automobile allemand, secteur crucial du pays, dans lequel travaillent 830 000 personnes et qui génère 14 % du PIB allemand.
Songez à Daimler/Mercedes, Porsche, Opel, BMW, Volkswagen et Audi. Quel est l'intérêt de faire une voiture capable de rouler à 250 km/heure si la vitesse maximale autorisée n'est que de 120 km/heure ? C'est encore le pouvoir du lobby automobile allemand qui garantit à l'Allemagne de conserver cette position exceptionnelle.
Le lobby de l'environnement n'a pas de vaches sacrées
Mais le DUH se fiche des vaches sacrées. Jürgen Resch, de l'organisation, plaide désormais pour une vitesse maximale de 120 kilomètres à l'heure dans toute l'Allemagne. Il pense que la question est justifiée à l'heure actuelle, car il y a "une situation d'urgence climatique". Environ un quart de tous les gaz à effet de serre dans l'UE proviennent des voitures de tourisme et des camions.
Les chances qu'une telle règle soit adoptée au début de la prochaine décennie ne sont pas minces, étant donné que la prochaine coalition gouvernementale à Berlin sera certainement formée avec les Verts. Mais une telle mesure aura un impact énorme sur la préférence pour les voitures à moteur puissant dans le dernier pays du monde où cette puissance peut également être pleinement utilisée. [Les courses sur les autoroutes sont également très populaires de l'autre côté de nos frontières. Aux États-Unis, on vend des voyages en Allemagne où les gens peuvent louer une voiture pour traverser l’Allemagne en quelques jours, à toute vitesse sur l’autoroute].
La solution vient de ... Chine
Les organisations environnementales ne sont que modérément satisfaites de la décision de l'UE. On parle d'un "pas dans la bonne direction", mais selon elles, la réduction de 37,5 % est encore insuffisante pour atteindre les objectifs de Paris en matière de climat. Elles ne sont pas non plus satisfaites de la suppression de la sanction prévue pour le non-respect du pourcentage obligatoire de voitures fonctionnant à l'électricité. Les experts du secteur s'accordent presque pour dire que l'UE ne peut atteindre les objectifs climatiques qu'en important des véhicules électriques produits en Chine.
https://fr.express.live/2018/12/26/la-fin-de-la-voiture-telle-que-nous-la-connaissons-maintenant
Écrit par : L'enfoiré | 27/12/2018
Répondre à ce commentaireBatterie : cette percée promet de quintupler l’autonomie des véhicules électriques
La membrane utilisée permet aux batteries lithium-soufre de supporter jusqu’à 1 000 cycles de charge/décharge
Des chercheurs américains ont mis au point une membrane d’inspiration biologique permettant de décupler la durée de vie des batteries lithium-soufre, et ouvrant par conséquent la voie à leur utilisation dans les véhicules électriques.
UNE MEMBRANE EN KEVLAR RECYCLÉ
Détaillée dans la revue Nature Communications, cette avancée repose sur l’utilisation de Kevlar recyclé afin de créer un réseau de nanofibres similaire à une membrane cellulaire, permettant de résoudre les problèmes fondamentaux des prometteuses cellules lithium-soufre. Jusqu’à présent, la durée de vie de ce type de batterie (leur nombre maximal de cycles de charge/décharge) se révélait en effet insuffisante pour une utilisation commerciale dans les véhicules électriques, malgré leur capacité de stockage remarquable.
Bien que les batteries lithium-soufre soient capables de contenir jusqu’à cinq fois plus d’énergie que les omniprésentes cellules lithium-ion, l’instabilité inhérente à leurs cathodes (dont la taille varie de 78 % à chaque cycle de charge), rend leur utilisation très peu pratique dans l’électronique grand public. Ce défaut accélère également grandement leur dégradation, ce qui signifie qu’elles devraient être remplacées beaucoup plus souvent que leurs équivalents plus stables.
En raison du potentiel révolutionnaire de ce type de cellule, des instituts de recherche du monde entier s’affairent afin de rendre la technologie viable, les précédentes percées ayant porté sur l’utilisation d’une cathode flexible.
« Il existe un certain nombre de rapports revendiquant plusieurs centaines de cycles pour les batteries lithium-soufre, mais ce résultat est obtenu au détriment d’autres paramètres : capacité, taux de charge, résilience et sécurité », souligne Nicholas Kotov, auteur principal de la nouvelle étude. « Le défi aujourd’hui est de fabriquer une batterie supportant des centaines de cycles de charge plutôt que des dizaines et répondant à de multiples autres exigences, y compris en termes de coût. »
« OPTIMISER AU MAXIMUM LES DIFFÉRENTS ASPECTS DES BATTERIES AUTOMOBILES EST AUJOURD’HUI INDISPENSABLE »
Décrite comme « presque parfaite » par Kotov et ses collègues, la nouvelle conception permet d’améliorer significativement la capacité et l’efficacité des batteries lithium-soufre, qui s’approchent des limites théoriques pour ce type de cellules.
La durée de vie prévue de 1 000 cycles impliquerait que la batterie d’une voiture classique devrait être remplacée environ tous les 10 ans, et il s’avère que les matériaux utilisés sont également beaucoup plus abondants et moins dommageables pour l’environnement que ceux utilisés dans les batteries lithium-ion.
« Optimiser au maximum les différents aspects des batteries automobiles est aujourd’hui indispensable », estime Kotov. « C’est un peu comme la gymnastique aux Jeux olympiques, il faut être irréprochable sur tous les plans, y compris en ce qui concerne la durabilité de leur production. »
https://dailygeekshow.com/percee-batterie-lithium-soufre/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter_Journaliere_2022_01_17
Écrit par : Allusion | 18/01/2022
Répondre à ce commentaire"L’évolution de la voiture électrique" par Desmaretz Gérard
Si le premier véhicule électrique est attribué à Robert Anderson, un homme d’affaires écossais au début des années 1830, son évolution suit les découvertes des phénomènes électro-magnétiques. Au XVIII° siècle on construit des machines accumulant des charges électriques (bouteille de Leyde), l'électricité se décharge en une seule étincelle et il faut attendre la recharge avant de pouvoir en générer une nouvelle. Alessandro Volta invente en 1800 la pile composée de disques de zinc et de cuivre empilés séparés par un tissu imbibé d'une solution acide aux extrémités desquelles il recueille le passage d'un courant continu
https://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/l-evolution-de-la-voiture-245872
Écrit par : Allusion | 06/01/2023
Répondre à ce commentaireLe style affûté, les grands spoilers et les déflecteurs d'air sculptés nous font parfois croire qu'un moteur plus puissant se cache sous la voiture.
L'apparence peut être trompeuse et n'est pas toujours synonyme d'accélération ou de vitesse de pointe. Voici quelques voitures qui nous semblent plus météoriques qu'elles ne le sont :
Toyota Celica, Avec sa posture basse, son petit capot et ses lignes sculptées, la Celica a commencé sa vie avec seulement 145 ch de son moteur 1,8 litre VVT-I dérivé de Yamaha. Elle mettait 9 secondes pour atteindre 100 km/h au repos, mais devait finalement atteindre 204 km/h. Bien qu'elle ne soit pas une voiture de course, la Celica se comportait bien et était même considérée comme la voiture à traction avant la plus maniable en vente en 1999.
Mazda RX-8 De nombreuses personnes s'attendaient à ce que la RX-8 soit une machine de vitesse grâce à son agencement 2+2 funky, sa carrosserie sportive et son moteur Wankel à rotor de 1,3 litre à aspiration naturelle et à haut régime - une évolution du moteur biturbo de la RX-7. La RX-8 débarquait avec 190 ch mais peu de couple (caractéristique de la plupart des rotors), 220 Nm, en raison de l'absence de turbos, ce qui permettait de passer de 0 à 100 km/h en 7,0 secondes.
Toyota GT86. Lorsqu'elle est arrivée en 2012, la GT86 a été saluée pour sa carrosserie légère, sa propulsion et sa répartition des masses à 50/50. Elle ressemblait à une véritable voiture de sport avec ses phares avant agressifs, sa position au ras du sol et sa ligne de toit plongeante. Le moteur Boxer de 2,0 litres produisait 200 ch et 205 Nm, avec seulement 1239 kg à déplacer, mais la GT86 atteignait 100 km/h en 7,7 secondes et 220 km/h en vitesse de pointe.
En revanche, ceux qui ont opté pour la version automatique devront se contenter d'un temps de 0 à 100 km/h franchement pédestre de 8,2 secondes.
Fisker Karma L'homme qui a conçu la BMW Z8 et l'Aston Martin Vantage, Henrik Fisker, nous a offert en 2011 l'étonnante Fisker Karma. Son capot est long, elle est plus large qu'une Ferrari 360 et sa carrosserie est sculptée comme celle d'une Aston Martin Rapide, comme si elle devait rouler à plus de 300 km/heure.
Cependant, sous la carrosserie se trouvaient un moteur de 2,0 litres de 260 ch et deux moteurs électriques de 204 ch qui alimentaient les roues arrière. Cela signifie qu'en utilisant uniquement la batterie, la Karma atteindrait 100 km/h en 8,0 secondes.
Ferrari Mondial Dans les années 1980, le monde a reçu les Ferrari 308 et F40. Elles avaient toutes les caractéristiques d'une Ferrari, comme l'emblématique face avant inclinée, les bouches d'aération pour refroidir le V8 monté en position centrale et la prestance d'une supercar.
À sa sortie, le V8 de 3,0 litres ne produisait que 215 ch (205 ch en version américaine), ce qui signifiait que le 0 à 100 km/h était atteint en 8,2 secondes officielles, bien que certaines affirmations soient plus proches de 10 secondes, et que la vitesse de pointe était de 225 km/h. En 1989, Ferrari a introduit un moteur de 3,4 litres provenant de la 348, augmentant la puissance à un niveau plus respectable de 300 ch, ce qui propulsait la voiture à 100 km/h en moins de 6 secondes.
DeLorean DMC-12 La DMC-12 devait être plus légère et beaucoup plus puissante que la version de production ne l'a finalement été, car la firme a eu du mal à trouver un moteur adéquat. Le prototype était équipé d'un V6 Ford Cologne, mais il a ensuite été remplacé par un moteur Citroën quatre cylindres qui devait être turbocompressé. Malheureusement, Citroën n'a pas apprécié l'idée et a demandé à DeLorean d'aller voir ailleurs, et ils ont finalement opté pour un V6 Peugeot de 2,85 litre. Elle ressemblait à une supercar avec sa carrosserie élégante et ses portes papillon, mais avec seulement 130 ch et un poids de 1230 kg, la DMC-12 mettait 10,5 secondes pour atteindre 100 km/h. La vitesse de pointe était de 209 km/h, mais la voiture n'était pas équipée d'un moteur diesel. La vitesse maximale était de 209 km/h, bien que d'autres sources aient affirmé qu'elle ne pouvait atteindre que 169 km/h.
Honda CR-Z Lorsque Honda a présenté la CR-Z, il semblait que la possibilité d'une renaissance de la CRX classique était à l'ordre du jour.
La ligne de toit inclinée, l'aspect large et le centre de gravité bas étaient présents, mais contrairement au moteur VTEC 1,6 litre de 160 ch à 8 000 tr/mn de la CRX, un groupe motopropulseur hybride 1,4 litre de 122 ch seulement a été utilisé pour la CR-Z. Bien que la CR-Z n'ait jamais offert de sensations fortes en ligne droite, Honda l'a dotée d'une suspension plus rigide à jambes de force à l'avant et à poutres de torsion à l'arrière, ce qui en a fait une voiture agréable à conduire.
Hyundai Coupe Le Coupé était séduisant avec son profil élégant et sportif. En version de base, Hyundai visait le marché des jeunes qui souhaitaient peut-être une voiture attrayante sans la prime d'assurance élevée, mais le 1,6 litre produisait 105 ch, ce qui signifiait un 0-100 km/h en 11,5 secondes et une vitesse de pointe de 185 km/h. Le 2,0 litres était également disponible avec 142 ch, ce qui ramenait le 0-100 km/h à 9,2 secondes.
Un 2,0 litres était également disponible avec 142 ch, ce qui ramenait le 0-100 km/h à 9,2 secondes, tandis qu'un 2,7 litres V6 de 165 ch ne permettait encore qu'un 0-100 km/h en 8,2 secondes.
Ford Mustang King Cobra À la fin de la crise du carburant en 1974, Ford a décidé de lancer une nouvelle Mustang capable de concilier économie de carburant et agrément de conduite, tout en conservant la forme traditionnelle de la Mustang. Les propriétaires pouvaient donc l'acheter avec un quatre cylindres 2,3 litres de 88 ch ou un V6 2,8 litres de 105 ch, plutôt qu'avec les anciens V8 de 5,0 litres. L'option V6 permettait de passer de 0 à 100 km/h en 13 secondes et d'atteindre une vitesse de pointe de 161 km/h.
La Mustang II a été un échec et Ford a tenté de la relancer en 1975 avec un V8 de 5,0 litres, mais la puissance a dû être réduite à 130 ch pour se conformer aux nouvelles lois.
Chevrolet Camaro Auparavant, la Camaro était proposée avec un six cylindres en ligne ou un V6, aux côtés de ses homologues V8. Lorsque la troisième génération est arrivée en 1982, elle a reçu un V6 de 2,5 litres. Les modèles de la troisième génération avaient des lignes aérodynamiques inspirées des supercars et partageaient les mêmes bases que sa sœur, la Pontiac Firebird. Le moteur V6 2,5 litres de 89 ch était couplé à une boîte automatique à trois rapports dans sa version de base ; le V6 2,8 litres produisait 107 ch. Si les acheteurs souhaitaient plus de puissance, ils pouvaient opter pour les niveaux de finition Z28 ou IROC-Z.
Hyundai Veloster Hyundai a lancé le Veloster en 2012 pour concurrencer le populaire Volkswagen Scirocco. Il s'agissait d'un coupé incliné au design excentrique, avec trois portes. Bien que le Veloster ait très peu de roulis, une grande adhérence et une excellente tenue de route, le 1,6 litre ne développait que 140 ch aux roues avant, ce qui lui permettait d'atteindre 100 km/h en 10 secondes à l'arrêt.
Hyundai lui a ensuite donné une version turbo, augmentant la puissance à 185 ch, ce qui signifiait que les 100 km/h étaient atteints en un temps peu impressionnant de 8,4 secondes, et qu'il n'atteignait que 214 km/h.
Mitsubishi Eclipse Spider GS L'Eclipse Spider n'était pas aussi rapide que sa carrosserie aérodynamique ou sa position basse et large le laissaient supposer. La plupart des Eclipse précédentes étaient capables de franchir le 0 à 100 km/h en moins de 8 secondes, mais le poids supplémentaire du Spider GS signifiait que le 2,4 litres de 147 ch ne pouvait atteindre que 8,9 secondes. Les voitures produisaient 210 ch en version GTS, ce qui permettait d'atteindre le 0 à 100 km/h en 6,7 secondes.
Audi 100 Coupe S Bien qu'elle soit élégante et que son design fastback soit attrayant, la 100 Coupé S était équipée d'un quatre cylindres 1,9 litre de 110 ch qui transmettait toute la puissance aux roues avant par l'intermédiaire d'une boîte de vitesses automatique à trois rapports. La 100 Coupe S semblait plus chère qu'elle ne l'était en réalité avec sa silhouette sportive, ses quatre phares, son long capot et ses garnitures chromées. Le 0-100 km/h est atteint en 12,2 secondes.
Pontiac Fiero Sa carrosserie était celle d'une Toyota MR-2 et, sur le papier, la Fiero était considérée comme rapide ; elle était petite, légère et amusante à conduire grâce à son moteur central. Les voitures devaient également être équipées d'un moteur 1,8 litre à haut régime, mais pour des raisons de coûts, GM a opté pour un moteur 2,5 litres moins cher de 93 ch qui lui a permis d'atteindre un temps de 0 à 100 km/h de 11 secondes et une vitesse de pointe de 105 miles/h.
Les acheteurs pouvaient opter pour la variante GT, dotée d'un moteur plus puissant et d'un moteur plus puissant. Les acheteurs pouvaient opter pour la variante GT équipée d'un V6 2,8 litres plus puissant, mais qui ne produisait que 142 ch.
Mazda MX-30 Les voitures électriques offrent généralement une grande quantité de couple en une seule fois et une accélération impressionnante. La MX-30 en avait l'air avec son habitacle reculé, sa ligne de toit basse, ses feux et sa calandre agressifs, mais sa puissance n'était que de 145 ch et 270 Nm. Dans une voiture qui pèse 1 645 kg, cela signifie un sprint de 0 à 100 km/h en 10 secondes et une vitesse de pointe de 140 km/h, tout en offrant seulement 200 km d'autonomie.
Mazda MX-5 Il s'agit d'un choix pour beaucoup lorsqu'il s'agit d'une voiture de sport à petit budget ou d'une journée sur circuit, en raison de sa superbe maniabilité, due à la répartition des masses (50:50), et de sa direction précise. Les voitures ont été lancées avec un moteur atmosphérique de 115 ch qui permettait d'atteindre 100 km/h en un peu moins de 10 secondes, mais les acheteurs avaient la possibilité d'acheter plus tard un moteur de 1,8 litre qui fournissait 15 ch supplémentaires.
Les voitures de 1,8 litre étaient plus que suffisantes pour le public du MX-5, tandis que les propriétaires de 1,6 litre étaient connus pour suralimenter ou turbocompresser leur voiture afin d'obtenir plus de puissance.
Volkswagen SP2 Le Brésil manquait de voitures de sport en raison des taxes d'importation élevées et le pays possédait sa propre voiture de sport, la Puma. Volkswagen a alors développé la SP2 en interne par l'intermédiaire de sa division brésilienne pour offrir au Brésil une autre voiture de sport. À l'intérieur, elle était équipée de sièges en cuir et d'une position de conduite basse, tandis qu'à l'extérieur, sa carrosserie en acier était élégante, avec des évents arrière découpés et un long capot. Bien qu'elle ne pèse que 890 kg, la SP2 est plus lourde que la Puma et est équipée d'un moteur 1,7 litre de 75 ch, avec une vitesse de pointe de 161 km/h seulement. Ce qui aurait pu être la réponse de Volkswagen à la 911 a échoué en raison de ses piètres performances.
Mitsubishi FTO Sans le V6 2,0 litres de 197 ch, le 1,8 litre de la FTO standard ne produisait que 125 ch. À l'extérieur, elle avait toutes les caractéristiques d'une voiture de sport : de grands feux avant semblables à ceux de la 3000GT, une carrosserie aérodynamique et un aileron astucieux. Cependant, le 0-100km/h était atteint en 10 secondes et elle n'atteignait que 201km/h. Bien que cela ne soit pas considéré comme terrible pour l'époque, la Fiat Coupé 1.8 litre de 128 ch de prix similaire pouvait atteindre le 0-100km/h en moins de 10 secondes et atteignait 206km/h.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/des-voitures-qui-semblaient-rapides-mais-qui-%C3%A9taient-en-fait-plut%C3%B4t-lentes/ss-BB1iGniT?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=87fef91ec88e4ad0aca3c748725d60ce&ei=34#image=21
Écrit par : Allusion | 23/02/2024
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