31/12/2020
2020: Annus horribilis
2019, avait été l'année à mi-chemin entre radicalisme et exorcisme pleine de souhaits lors du changement de décennie. Elle dépendait exclusivement des hommes et de leurs actions envers la nature mais dans laquelle, déjà, subsistait un arrière-goût de fin du monde.
Puis 2020, est arrivée pendant laquelle on ne savait plus où on allait, mais on y allait quand même à marche forcée et tête baissée, partagée entre doutes et dilemme, entre ordres et contrordres, entre messages officiels et officieux dans un manque croissant de liberté avec l'espoir que la pandémie se termine au plus tôt.
Ce fut une année de réflexions à la recherche de ce qui était essentiel réglé par un baromètre au curseur variable par des statistiques plombées sur des graphiques de nombres d'entrées et de sorties de l'hôpital. Dans un bal masqué qui ne fait plus rire, un alien agissant par vagues n'a reçu de réponses que par le confinement et le couvre-feu dans une solitude solidaire.
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La question devient donc "Faut-il retenir l'année 2020 malgré qu'elle a été une année historique ?"
On garde plus longtemps les bonnes nouvelles en mémoire.
Alors, les mauvaises, il vaut mieux les oublier...
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2020: une année de m**** vue par le Vif
Comme tous les ans, le Vif apporte une rétrospective sur l'année écoulée.
Cette fois, il se targue de trouver 100 notes d'espoir.
Voici les points essentiels branche par branche :
En politique, il rappelle le "miracle" belge d'un gouvernement en plein exercice qui brille par son ambition de rendre la confiance par son ouverture à la diversité et à la parité lancé comme une pionnière de crises.
En société, une mobilisation collective mélange solitude et solidarité dans un but commun à la recherche d'une mobilité réduite au minimum à cause du Covid.
Dans le monde, une espérance apportée par Joe Biden vis-à-vis du climat, du rebond des relations internationales dans un multilatéralisme, de fédéralisme et de résiliences dans une autonomie stratégique en rempart contre l'extrémisme.
Une économie basée sur le renouvelable, l'égalité sociale, le digital associé au télétravail qui rappellerait que le présentiel reste parfois superflu.
La santé remise sur ses bases, en visant les maladies du diabète de type 2, celles liées au cerveau et cardio-vasculaires avec l'allié des cellules souches et des vaccins de genre nouveau.
Dans l'environnement, le retour du sauvage et à la nature.
En sciences, arriver aux limites de la vision avec l'accélérateur de particules, dans une réduction substantielle des consommations d'énergie et la lutte contre les pandémies potentielles.
Dans les médias, par l'investissement dans l'analyse du big data par l'intelligence artificielle contre les désinformations même si le papier perd du terrain. Zoomer sur écran des millions d'informations mais aussi lire livre après livre.
La culture, délaissée cette année, dans un scénario à tiroirs à la recherche de nouveautés contre ce grand sommeil, par la musique de chambre dans un déséquilibre objectivé sous forme de streaming
Un lifestyle dans un tourisme de voyages à proximité pour un nouveau public en soutien de ce qui est local dans une mode simple, sans excentricité, dans un design plus solidaire.
Dans le sport moins spécialisé qui s'est installé avec de jeunes pousses.
Je ne reprends pas les défis qui existaient dans chacun des paragraphes. Il y a toujours des défis et des points négatifs à toutes les actions. Les laissés pour compte en prime se feront bien sans les citer.
La revue des événements internationaux, beaucoup de médias en ont fait : .
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Témoignages
On pourrait commencer pas la chanson d'Angèle : "Flou".
Flou que l'on espère au moins artistique.
1. Edgar Morin, 99 ans, dans son livre "Changeons de voie. Les leçons du coronavirus.", associe les concepts nécessaires pour trouver l'équilibre entre mondialiser et démondialiser dans une tempérance consommatrice pour pouvoir réagir à temps aux catastrophes diverses non prévisibles. Son entretien mérite d'être reproduit dans son intégralité :
2. Didier Sicard remonte aux origines du Covid-19
3. Cyril Dion au sujet de l'écologie et de la Convention citoyenne
4. Alice Zeniter, romancière, auteure de "Comme dans un empire dans un empire", tente de comprendre la crise par la démocratie
Dans les réseaux sociaux, des clans se sont formés avec des clivages souvent très extrêmes et des envies de parler en commençant par le pronom "Nous".
Bernard Frippiat de Orthogaffe a recherché l'origine du pronom "on"
Rester indéfini dans ses propos, permet de rester impersonnel sans prendre beaucoup de responsabilités à son compte. Le "on" n'est pas plus précis que le "nous", d'ailleurs.
Et pourquoi les extrémismes ? Réponse : .
Le débat ou parfois le combat se déroule entre conservateurs et progressistes.
Convertir de l'un dans l'autre est aussi difficile que de convertir un pessimiste en optimiste, un croyant en mécréant.
5. Pierre Wunsch, gouverneur de la Banque Nationale, dit que la crise a été bien maîtrisée en Belgique et en Europe après avoir injecté des milliards dans l'économie. Et ce ne semblait pas une métaphore.
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Réflexions du Miroir
2020, une année charnière...
Ce mot est encore bien trop faible pour l'exprimer. "La mauvaise nouvelle est que nous sommes dans la merde, la bonne, c'est que c'est ensemble" disait quelqu'un.
Certains pays ont eu un plus grand passif que d'autres. L'Argentine (), le Liban après l'explosion à Beyrouth qui demande une sérieuse dose de résilience, le Yemen en guerre...
La pandémie serait-elle le plus grand sujet de tous les temps?
Les deux guerres mondiales, la grippe espagnole de 1918, les génocides et les famines ont causé bien plus de morts que cette pandémie. Mais le Covid-19 avec ses 1,7 millions de morts dans le monde, a impacté le quotidien des gens dans presque tous les pays comme aucun autre évènement marquant ne l’a jamais fait. De plus, la pandémie ne nous a pas préparés à un handicap à long terme, complexe et multidimensionnelle qui nous attend
Libertaire, j'organise une démocratie en fonction de mon entourage immédiat avec l'humour comme cheval de bataille. Y sont sensibles, ceux qui peuvent encore rire en se brûlant. Le Covid a cassé cette perspective légale de liberté pour la plupart des gens que l'on pourrait appeler une "Covidature" et plus une démocrature. Le monde entier est entré en guerre avec un inconnu comme un alien comme s'il était venu d'une autre planète. Le contrer par un vaccin russe, chinois ou américain, ou chinois avec une liberté artificielle.
Ce matin, l'invité de la La Première, Arnaud Zachari, parlait de 2020 comme une fin du populisme, au moins temporaire, et de la reprise en main des Etats en relation avec son son livre, "Mondialisation et nationale-populisme. La nouvelle grande transformation". Trump a perdu, l'UE s'est montré très soudée dans la lutte contre le corona, le Brexit qui débouche sur un compromis .
Au lieu d'être sociologue, il existe une autre voie pour tenter de comprendre une situation donnée, celle de la psychologie dans une relation de type "un à un" dans un exercice de compréhension mutuelle. Quelqu'un m'avait écrit d'aller consulter un psychologue. J'en ai consulté plusieurs puisque le magazine "Psychologies" a été une de mes lectures mensuelles. La chercheuse en psychologie Yvonne Delevoye Turrelle affirme que "sans le lâcher-prise, personne ne peut vivre positivement ses émotions. Quand on écoute quelqu'un rire, on peut détecter son état émotionnel ".
Ce principe de veiller à l'individu n'a rien à voir avec l'amour de soi. C'est même tout le contraire mais cela permet de filtrer l'actualité à sa mesure sans la vision de groupements hétéroclites.
Josef Schovanec, dans sa dernière bulle écrit: "L'auto-confinement diffuse le mode de vie autistique". Je l'avais reprise dans son entièreté dans "Expériences humaines". Josef avait manifestement compris que la solitude était le principe de précaution principal vis-à-vis du Corona virus, précaution qui permet aussi de sortir de la peur commune et de la foule déchainée qui finit toujours par l'intensifier.
"Socialiser" est la tâche la plus difficile à concrétiser quand on se trouve dans un environnement "many to many" (relation plusieurs à plusieurs) dans lequel tout le monde veut avoir raison en se rattachant à un prophète comme un salut providentiel qui n'a, probablement, aucun autre intérêt que le sien en scannant l'opinion dans un lundi méchant.
Mais que se passe-t-il dans la tête des gens ? Des lundis méchants ?
Cette situation crée des amitiés et des inimitiés très marquées ? Ce qui a poussé certains à dénigrer ceux qui ne les correspondaient pas à leur propre marnière de penser. Dans la mêlée, tenter de rester neutre et laïque sans particularisme, peut irriter pour ne pas avoir confirmé d'avoir choisi la meilleure option des adeptes à se (hypo)thèses.
Pour passer le temps en pendant à autre chose, il faut aussi apporter du pain et des jeux, "panem et circenis" comme le rappelle l'interlocuteur qui demande d'y incorporer du grand show :
Ne l'ai-je pas écrit qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien ? Il faut parfois être plus doux avec soi.
En prenant du recul de cette "annus horribilis", j'ai rompu le rythme hebdomadaire par l'écriture de 86 billets. Je ne vais pas les reprendre tous, mais certains plus centré sur la psychologie et l'humour dans le but de prendre le mal-être de la solitude - souvent le mal le plus ressenti - par la racine en tentant de comprendre mes interlocuteurs en "one by one" (un par un) plutôt que de les analyser au niveau générique et globalisé de la sociologie. Un homme quand il se retrouve en groupe, n'est déjà plus le même homme. Il prend des attitudes qu'il réprimerait parfois en se regardant ensuite dans son propre miroir.
Ce n'est que quand on a bien compris la psychologie de plusieurs personnes que l'on peut tenter d'approcher le domaine de la sociologie.
Pas à dire, mais il a fallu avoir une personnalité forte pour affronter 2020.
Pendant cette année 2020, on a vécu une philosophie d'une "guerre sainte" entre clans dirigés par le "dieu Covid".
La crise a vraiment commencé fin février. Le dieu Covid entrait en scène. Je lançais le billet "La vérité, ça n'existe pas" dans lequel, je subdivisais la vérité entre "la vérité si je peux", "la vérité si je veux", "la vérité que je ne peux pas voir", "la vérité scientifique" et "la vérité philosophique" dans lesquelles chacun devait s'adapter à sa propre croyance.
La vérité n'existe pas parce qu'elle est interprétée par chacun selon des paramètres très personnels. Celle de Trump se résume à être soit chez les loosers (perdants) soit chez les winners (gagnants). Cela veut dire que les plus faibles ont été confrontés au jeu de séduction par quelques maîtres à penser qui s'opposaient aux réalités pures er dures. Quand leurs imputations des mensonges étaient graves sans être vérifiés, cela finissait toujours par se retourner contre leurs émetteurs, il s'agissait de se faire oublier. La notion de catastrophe qui crée la peur. Le rapport entre la réalité et l'imaginaire s'est inversé.
Un point relevé dans le documentaire "Hold up" plutôt complotiste avait retenu mon attention dans les propos de Nathalie qui réagissait avec les larmes aux yeux, à la vision télévisée de Laurent Alexandre qui disait que les dieux étaient des intellos : . C'est là que se situe le grand clivage entre les populations. Ce que l'on peut voir sur un autre plan avec le livre "Les deux Clans". "Somewhere" contre "anywhere".
L'élitisme des intellos a souvent été reproché par la base. Dans tous les domaines dans une course aux étoiles dans laquelle, le premier est félicité et le dernier, presque hué, pour n'avoir pas fait suffisamment d'effort. Le sport professionnel ne fait d'ailleurs pas exception en ne désignant que le seul champion pour entrer dans l'histoire. En suivant cette logique parfois insensée, il faut être instruit par des qualifications dans le vent ou disparaitre des dans les affres des oubliés. Même si 2020, à mis un frein, l'évolution progresse exponentiellement en sourdine. Cet écrémage commence dès l'école et se poursuit à toutes les étages de la vie professionnelle jusqu'à atteindre le retraité. Ceux-ci ressemblent à des gnomes, grincheux ou gentils. Bien sûr, "les vieux ne parlent plus" mais ils n'en pensent pas moins. Chacun avec sa religion désirant une certaine attention des plus jeunes alors que ces derniers font partie d'une autre époque, en parallèle, dans un autre temps que les vieux ne comprennent pas toujours. Les "self-made men" auront parfois une longueur d'avance et le vent en poupe par leur intelligence dans l'école de la vie, plutôt que par l'usage de connaissances scolaires qui décernent de beaux diplômes mais qui n'assurent pas la réussite pour autant.
Monter au zénith, cela donne une ambition démesurée. Celle-ci finit par se cogner la tête au plafond à la suite de succès au risque de redescendre du piédestal dans les abîmes indescriptible de l'insoutenable.
Atteindre le plancher, par contre, après des échecs donne toujours le pouvoir de rebondir.
Les gagnants de l'année ont été principalement ceux qui se sont tournés vers l'exploitation des technologies nouvelles et des communications virtuelles de l'eCommerce soutenu par la publicité.
Avoir une stratégie de l'opposition constructive, c'est ne pas se laisser prendre par les produits miracles, c'est oser prononcer un "JE" responsable. C'est s'opposer aux flux trop tendancieux.
Pour "SurVivre aux incertitudes", "Donne-moi l'esprit" pour ne pas tomber au "Magasin des Suicides"
En musique, 2020 a été l'année Beethoven à l'occasion du 250ème anniversaire après sa naissance mais surtout par le fait que les Lumières furent sa source d'énergie pour changer le monde grâce à la compréhension, à l'esprit et au dialogue avec le but d'apporter la liberté et l'égalité entre les hommes.
Naturaliste, il a compose la Pastorale, sa sixième symphonie en donnant la clé d'interprétation psychologique de l'homme face à la nature.
L'histoire du film "Le soleil vert", d'après le scénario, se déroule en 2022 dans à peine deux ans.
La confiance en soi s'y gagne ou s'y perd.
Le problème c'est que la cupidité et l'envie de paraître dans la société, se cachent derrière de très bons sentiments dans les réseaux sociaux et dans un travail opiniâtre pour plaire par la chanson avec les problèmes actuels en se foutant du passé.
Qui sait, viendra le temps, où le travail ne sera plus considéré à sa juste valeur par les seuls efforts mais par l'intelligence des communications entre elles et pas uniquement via des engins électroniques pour donner du sens au travail chez soi en "home sweet work". Sans chef à proximité, c'est avoir plus de temps de réfléchir sur sa vie et de rêver. Le Covid-19 peut avoir apporter quelques idées neuves pendant cette pause forcée à ne plus pouvoir exercer ses activités habituelles. L'argent, lui, a pu perdre une partie de ses attraits remplacés par le troc d'idées en fonction des spécifications personnelles dans des réseaux sociaux, menés par des meneurs de bals masqués à la recherche de la "petite bête" sans évidemment la trouver puisqu'elle est restée invisible. Pour les autres, une allocation universelle permettrait de se remettre en piste pour exercer ses propres potentiels et ses talents. Le seul hic, dans ce genre d'échange, il n'y aurait pas de dimes prélevées à la source.
Le corps humain est admirablement bien construit avec les fonctions de chacun de ses organes. Il a un chef d'orchestre en réseau neuronal qui délègue ses pouvoirs mais qui s'enraille dès que l'un des organes commence à faire défaut dans sa fonction.
Mondialisme et souverainisme sont des concepts opposés et Morin a très bien compris qu'il faut trouver un équilibre entre les deux. Le Covid et les produits traversent les frontières et les hommes sont aussi du parcours pour trouver une vie meilleure dans un ailleurs même s'ils peuvent se tromper, une fois arrivés à destination.
Non, tout ceux qui se ressemblent, ne s'associent pas.
D'ailleurs, on n'apprend pas grand-chose de nouveau à mijoter dans une même cellule idéologique.
J'aime les complémentarités et Les diversité se retrouvent dans des complémentarités de cultures. Les langues sont des outils de ségrégations si on y recherche le purisme par un intégrisme.
Le Dr Zamenhof a bien ressenti le problème en inventant l'esperanto.
Je rappelle Bernard d'orthogaffe à la barre, lui qui a fait de l'orthographe son cheval de bataille.
Quand les mots sont composés, chercher leur pluriel n'est plus une sinécure.
Voyez-vous, "chez les humains, une fois ensembles, ça craint".
Tandis qu'individuellement, aujourd'hui, il n'y a plus d'éléphants qui trompent énormément.
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La pandémie serait-elle le plus grand sujet de tous les temps?
Les deux guerres mondiales, la grippe espagnole de 1918, les génocides et les famines ont causé bien plus de morts que cette pandémie. Mais le Covid-19 avec ses 1,7 millions de morts dans le monde, a impacté le quotidien des gens dans presque tous les pays comme aucun autre évènement marquant ne l’a jamais fait. De plus, la pandémie ne nous a pas préparé un handicap à long terme, complexe et multidimensionnelle qui nous attend.
La liberté de faire ce qu'on a envie a été érodée pour notre bien, en victime "volontaire" ou "involontaire" face à cet alien. Des bavures et des excès de zèle comme à Waterloo étaient prévisibles de part et d'autre d'une barrière fictive dans un concert de violences gratuites et dans un humour de plus en plus cher.
Dans ces conditions, pas sûr qu'une année serait suffisante pour arriver à un planning futur.
Kroll ne prend pas trop de risques en envoyant ses souhaits pour 2022.
Sur son bureau de dessin, Nicolas Vadot, en futurologue voit bien plus loin encore dans sa boule de cristal en imaginant naître aujourd'hui et se retrouver à 20 ans dans 20 ans.
En fin, année, il est normal d'effectuer un bilan et une faillite...
L'humanité, elle-mêm, doit-elle aussi déposer le bilan ?
C'est exactement ce qu'a imaginé Spielberg dans le film présenté dimanche sur TF1, "Ready Payer One".
Très peu pour moi, car là on entre dans un monde au bord du chaos où il faut gagner l'Oasis pour se permettre de faire ce qu'on veut.
Pour mettre tout le monde d'accord et un terme à cette année sur une note positive, les "instants de grâce" du VIF me semblent la bonne solution.
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Souhaits pour 2021
2021 n'aura pas trop de difficultés pour faire mieux que 2020.
Un souhait initial : Soyez créatif.
Rappelez-vous que la meilleure idée est celle qui n'existe pas encore.
Un créateur se veut proactif et non rétroactif.
Créez un journal qui ne veut influencer personne, qui ne veut ressembler à personne pour essentiellement le plaisir de son auteur, c'est dire qu'il doit se tromper quelques fois. Ne cherchez pas à ressembler. Personnalisez-vous.
Pensez le contraire de ce que vous imagineriez cinq minutes avant. Evadez-vous de vos habitudes. Assemblez tout et n'importe quoi. Ce ne serait pas une erreur d'appréciation des choses que de penser que c'est une erreur. Ce serait seulement une autre manière de les appréhender. Utilisez pour cela les mots ou des notes de musique pour les exprimer. Ce n'est qu'une question de vocabulaire et de mélange des sons.
Rappelez-vous de ces 4 notes de la "Symphonie du Destin" est décrite comme l'« une des œuvres les plus marquantes de l'époque » avec ses deux célèbres "pom pom pom pom" dans l'"Allegro con brio",
....et brodez, composez autre chose.
La dernière plume de Thomas Gunzig pour 2021 adresse des vœux très simples
Les psys ont été souvent sollicités en 2020, il est urgent que le sujet du bien-être personnel, vu en commun, revienne en avant plan au cœur des préoccupations futures.
Par ce billet, je remercie mes dessinateurs préférés, Bernard qui m'a appris cette "ortograf" française et ceux qui m'ont apporté des idées positives ou négatives, volontairement ou à leur insu, lecteur ou non...
La chanteuse Blanche avait gagné ses galons avec cette chanson en 2017. J'adresse mes souhaits pour 2021 avec sa chanson qui suit les lumières de la ville. Sa chanson est encore plus vraie et nécessaire aujourd'hui alors que les réseaux sociaux ont pris un détour dangereux par une tangente anxiogène.
Quant à vos souhaits, je promets de les rendre utiles.
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Nécrologie des célébrités du showbiz
Désolé d'avoir repris uniquement les plus connus alors que d'autres auraient pu faire partie de la liste.
Terry Johnes 77 ans, Michou 88 ans, Merry Higgins Clark 92 ans, Kirk Douglas 103 ans, Robert Conrad 84 ans, Max von Sydow 90 ans, Christophe 74 ans covid, Tonnie Marchall 68 ans, Suzy Delair 102 ans, Michel Piccoli 94 ans, Jean-Loup Dabadie 81 ans, Guy Bedos 85 ans, Marcel Maréchal 82 ans, Carl Reiner 98 ans, Ennio Moricone 91 ans, Zizi Jeanmaire 96 ans, Olivia de Havilland 104 ans, Trini Lopez 83 ans, Chadwick Boseman 43 ans, Annie Cordy 92 ans, Diana Rigg 82 ans, Roger Carel 93 ans, Michael Lonsdaele 89 ans, Juliet Greco 93 ans, Ronda Fleming 97 ans, Diego Maradona 60 ans, Sean Connery 90 ans, Claude Giraud 84 ans, Caroline Cellier 75 ans, Anne Sylvestre 86 ans, Claude Brasseur 84 ans, Rika Zaraï 82 ans , Tony Rice 69 ans. Pierre Cardin 98 ans, Claude Bolling 90ans, Robert Hossein 93 ans.
Une remarque initiale après cet extrait de la nécrologie: un seul décès parmi eux est une suite au Covid-19.
Les autres sont morts de morts naturelles, de vieillesse ou à la suite d'une autre maladie.
En Belgique, ce lundi, a été donnée la première vaccination de manière symbolique dans trois maisons de repos pour Lucie à l'âge de 101 ans, pour Jos à l'âge de 96 ans et pour Josepha à l'âge de 102 ans. Qu'arriverait-il si l'un d'eux décède ?
Oserait-on associer son décès au vaccin qui lui a été inoculé après cela ?
Les films les plus attendus en 2021 :
Allusion
...
1/1/2021 : livre de Yaron Herman "Déclic créatif" (podcast) .
J'ai promis d'écrire @Charlotte, les paroles d'une chanson imaginaire suite à la chanson du 1er janvier.
Voici les premiers couplets:
En ce premier janvier
Je t'appelle dieu Janus
Assez roulé sur du gravier
Post horribilis annus.
Place à ce nouveau-né
Qui oublie le passé
Qui rime avec nouveautés
Qui somme d'oublier
A toi, Janus qui a deux têtes
Celle des épithètes
Et celle des esthètes
Je lance des requêtes
Assez d'épithètes de 2020
Assez de supplices,
Assez d'abysses
De confinement et de coupe-faim
Aux esthètes dans ton visage
Apporte ton plus beau ramage
Equipé par ton plumage
Sois le meilleur mage
Apporte l'imagination
Dans une boîte de passions
Assigne-toi la mission
De supprimer la soumission
Le futur et notre avenir
Ne dépendent pas de tes souvenirs
Mais de nouvelles idées
Auxquelles on n'avait pas penser
En ce premier janvier
Apporte des prospérités
N'oublie pas l'humilité
Réduis tes annuités
En véritable dieu romain
Chasse le chagrin
Du début à la fin
De cette année 2021
2/1/2021: Un retour au style et à la philosophie de Montaigne
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Commentaires
La planète commence à célébrer un Nouvel An
La planète a commencé jeudi à tourner la page de l’année 2020 marquée par la pandémie de coronavirus qui contraint des milliards de personnes à célébrer dans l’intimité et chez eux le passage au Nouvel An.
Rompus à des mois de restrictions voire de confinement en raison de la Covid-19, qui a fait au moins 1,7 million de morts dans le monde, les nouvelles vagues épidémiques obligent une majorité d’habitants à suivre les célébrations depuis leur canapé. De Sydney à Rome, ils assisteront aux feux d’artifice et aux spectacles derrière un écran de télévision ou d’ordinateur à condition que les festivités n’aient pas été annulées.
Le petit archipel des Kiribati et les îles Samoa, dans le Pacifique, ont été à 10h00 GMT les premiers à basculer en 2021, tandis que les îles inhabitées de Howland et Baker devront attendre 26 heures de plus. La Nouvelle-Zélande, où seules quelques restrictions demeurent, faisant de ce pays l’un des seuls de la planète où les habitants peuvent célébrer le passage à 2021 sans écran interposé, a suivi une heure plus tard, avec de grandes foules réunies à Auckland pour assister à un feu d’artifice.
Bien que largement épargnées par la pandémie, les nations du Pacifique connaissent un Nouvel An d’un nouveau genre en raison des mesures de fermeture des frontières, de couvre-feu et de confinement.
Un feu d’artifice à suivre depuis chez soi
A Sydney, la plus grande ville d’Australie, le célèbre feu d’artifice du Nouvel An sera tiré à 13h00 GMT au-dessus de la Baie, mais en l’absence quasi-totale de spectateurs après l’apparition d’un récent foyer de contamination dans le nord de la ville qui totalise quelque 150 cas. Même le projet d’autoriser à 5.000 personnes travaillant en première ligne dans la lutte contre l’épidémie d’y assister pour les remercier de leurs efforts a été abandonné. La plupart des habitants devront donc se contenter de le regarder à la télévision en présence d’un nombre de convives limité à cinq.
De même, c’est depuis leur salon que les Romains assisteront aux festivités qui se dérouleront au Circus Maximus, le plus ancien stade de la ville. Deux heures de spectacle sont au programme ainsi qu’une illumination des sites les plus emblématiques de la ville. La municipalité a interdit les feux d’artifice et pétards qui d’habitude résonnent dans les rues et places de la ville.
L’Italie, où des photos de morgues improvisées et de soignants épuisés ont fait prendre conscience au reste de la planète de la gravité de la crise, est soumise à un confinement jusqu’au 7 janvier et à un couvre-feu à partir de 22 heures. Les fêtes du 31 sont interdites aussi bien dans les lieux publics que privés.
La police veille
De la France à la Lettonie en passant par le Brésil, des policiers et, dans certains cas, des militaires seront déployés pour veiller au respect des couvre-feux ou des interdictions de rassemblements. A Londres, durement touchée, la chanteuse américaine de 74 ans Patti Smith donnera un concert en livestream, en hommage aux soignants du NHS, le système public de santé du Royaume-Uni, décédés du Covid-19. Il sera diffusé en direct sur l’écran du Piccadilly Circus et diffusé sur YouTube.
En Russie, une dizaine de personnes ont comme chaque année nagé dans les eaux glacées du lac Baïkal en Sibérie, en bravant des températures extrêmes oscillant entre -26 et -35°C. Pour fêter le Nouvel An, ces amateurs de baignades hivernales, surnommés «morses», ont d’abord couru quelques kilomètres dans la neige, en sous-vêtements. «Aujourd’hui, l’eau est à 2°C, elle est bonne et donne la forme», a déclaré à l’AFP Andreï Bougaï après être sorti des eaux.
A Dubaï, des milliers de personnes sont attendues pour assister à un spectacle pyrotechnique et laser à Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, en dépit de nouveaux cas. Toutes les personnes devront porter un masque ou s’enregistrer à partir d’un QR code.
La peur d’une seconde vague
A Beyrouth, encore sous le choc de l’explosion meurtrière et dévastatrice du 4 août, les autorités ont également assoupli les mesures. Le couvre-feu a été repoussé à 3 heures du matin. Les bars, restaurants et boîtes de nuit ont rouvert et organisent de grandes fêtes pour le Nouvel An. Partout dans le monde, des lendemains difficiles sont redoutés.
Au Brésil, deuxième pays le plus endeuillé au mondé, des médecins craignent une nouvelle vague. Sur les réseaux sociaux, circulent des vidéos de personnes faisant la fête sans masque et la télévision a diffusé des images de policiers fermant des bars bondés de clients.
En Allemagne, dans ses vœux du Nouvel An, la chancelière Angela Merkel a prévenu que cette crise «historique» du coronavirus était appelée à se prolonger en 2021 même si le vaccin apporte de l’« espoir ».
https://www.msn.com/fr-be/actualite/monde/la-plan%C3%A8te-commence-%C3%A0-c%C3%A9l%C3%A9brer-un-nouvel-an/ar-BB1cnDkN?ocid=msedgntp
Écrit par : Allusion | 31/12/2020
Répondre à ce commentaireCes 5 secteurs économiques qui peuvent remercier 2020
Cette année 2020, tout le monde s’en souviendra. L’arrivée de la pandémie de Covid-19 a bouleversé nos habitudes et cela s’est nécessairement fait ressentir dans le monde économique. Toutefois, si certains ont de mauvais souvenirs de cette année, d’autres la conserveront en mémoire comme une année très fructueuse. Alors quels sont les secteurs gagnants de cette année 2020 ?
Les confinements imposés à cause de la pandémie de Covid-19 dans le monde n’ont pas impacté négativement tous les secteurs économiques. Certains d’entre eux en ont même bien profité, au point de faire de 2020 l’une de leurs meilleures années. Voici 5 secteurs qui garderont de bons souvenirs de ces 12 derniers mois.
1. Le commerce en ligne
Les confinements ayant fermé tous les magasins considérés comme non essentiels, certains achats devaient obligatoirement se faire en ligne. De nombreux petits commerces se sont d’ailleurs lancés en ligne pour pouvoir survivre à cette année difficile. Mais ce sont les entreprises déjà bien implantées dans le secteur qui en ont le plus profité. Car, quel que soit notre avis sur ces plateformes, quand on pense ‘commerce en ligne’, on pense forcément à Amazon ou à Alibaba. Ces deux géants du ecommerce ont battu de nombreux records cette année.
Amazon, eBay et AliExpress : voici le top 10 des meilleures plateformes transfrontalières
En outre, les achats en ligne sont certainement devenus une habitude qui va perdurer dans le temps, car de nouvelles personnes ont découvert ce système et sa facilité d’utilisation. Pas besoin de se déplacer en magasins, qui, s’ils sont ouverts, présentent des risques de contaminations. Il semble alors plus sûr de rester chez soi. En outre, en Belgique, il devient de plus en plus facile de commander en ligne. Avant, il fallait posséder une carte de crédit pour le moindre paiement par internet. Aujourd’hui, un bon nombre de sites accepte le système Bancontact.
2. Les nouvelles technologies
Les confinements ont obligé la population à trouver de nouvelles solutions pour travailler depuis chez soi. Le télétravail, devenu obligatoire pour de nombreux employés belges, nous a poussés vers de technologies comme les logiciels de téléconférence, les clouds ou du matériel informatique plus performants. Apple, Microsoft, Zoom, Google et bien d’autres ont été énormément sollicités pendant la crise. Un exemple : Zoom, qui propose pourtant une formule gratuite (max. 40 min et 100 invités), a vu ses ventes augmentées de plus de 300% cette année.
Au-delà des logiciels les big tech ont vu leur cote grimpé en flèche cette année. Sans y oublier Tesla qui a fait de son fondateur, Elon Musk, le 2e homme le plus riche au monde.
Les jeux vidéo
Le confinement ne rimait pas qu’avec télétravail, mais aussi avec la fin des loisirs extérieurs. Impossible d’aller au restaurant, dans un bar, dans un cinéma avec des amis ou encore d’aller faire du sport ou de visiter un musée. Tout le monde devait rester chez soi (sauf les travailleurs essentiels), il a donc fallu se trouver de nouveaux loisirs. Nombreux sont donc ceux qui ont découvert ou redécouvert les jeux vidéo. La fin de l’année 2020 a été d’ailleurs marquée par la sortie de deux consoles next-génération : la PS5 et la Xbox Series X (et sa version moins chère, la Series S).
Mais Nintendo, a également bien tiré son épingle du jeu en sortant en plein confinement Animal Crossing pour sa console Switch. Ce fut un véritable succès. La firme avait sorti la Switch Lite, beaucoup moins chère que sa grande sœur de salon. Nombreux sont donc ceux qui ont tenté d’oublier l’année 2020 en s’évadant sur leur île privée.
Le jeu Pokémon Go a également connu sa meilleure année, alors que les joueurs ne pouvaient pas sortir chasser les Pokémon dans les rues. Niantic, la firme derrière le jeu, a en effet réagi très rapidement aux mesures sanitaires. Plus besoin d’aller vers les Pokemon, ceux-ci venaient directement aux joueurs qui pouvaient rester assis confortablement dans leur canapé.
Le streaming
Ceux qui ne se tournaient pas vers les jeux vidéo pendant leur temps libre, se sont peut-être dirigés vers le streaming. Pour se changer les idées et faire passer le temps, regarder un film ou une série reste une très bonne solution. Et les plateformes de streaming en ont bien profité. Netflix reste le site le plus populaire dans le monde.
Mais de nouvelles venues ont bien l’intention de grappiller des parts de marché. C’est le cas de Disney+, qui s’est lancé aux États-Unis fin 2019 et dans le monde en 2020, en plein confinement. En un an, la plateforme avait déjà atteint les 86 millions d’abonnés. Par contre, l’entreprise Quibi, qui se lançait dans un concept de streaming uniquement sur mobile, a fait un énorme flop.
Le Bitcoin
Au début de cette année, on peut dire que le Bitcoin n’allait pas très bien. En mars, alors que la pandémie atteignait les 4 coins du monde, la cryptomonnaie ne valait plus que 3.864 dollars. Toutefois, alors que la crise ne montrait aucun signe de relance, le Bitcoin est devenu une sorte de valeur refuge. Son prix est en pleine croissance.
En cette fin décembre, son cours est monté jusqu’aux 28.000 dollars, un niveau jamais atteint depuis sa création en 2009. Cette montée s’explique par de nombreux facteurs. La crise dans un premier temps, mais également la confiance des investisseurs. En effet, de gros portefeuilles n’hésitent maintenant plus à acheter des Bitcoins. De plus, de grandes entreprises de paiement, comme PayPal, ont annoncé qu’il serait prochainement possible de payer en Bitcoin.
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Écrit par : Allusion | 05/01/2021
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