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17/12/2023
Faut-il se préparer à une guerre idéologique ?
La semaine dernière, j'écrivais "Réapprendre à débattre et à dialoguer".
Dans le dialogue, il était dit : " Si la vérité n'existe pas à cause de dépendances de visions personnelles c'est qu'elles sont interprétées. Les réalités non augmentées par des idées neutres n'existent plus.".
Sur ARTE, sept chapitres sont nécessaires pour raconter la guerre civile entre 1861 à 1865. Une guerre de Sécession entre yankees industrieux nordistes vs les agriculteurs sudistes dans laquelle Lincoln, Grant vs Lee se sont retrouvés au panthéons des héros de cette guerre américains. Je ne connaissais pas grand chose à ce sujet.
Cette guerre, une fois terminée, a connu le premier assassinat d'un président américain.
"Plus jamais cela" sont les trois mots habituels.
Aujourd'hui et probablement demain, une situation d'insurrection dépendent d'une accélération et de l'importance du phénomène de désaccord entre communautés et même entre personnes.
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Hier aux Etats Unis
(Chaque titre qui suit, contient le lien vers les épisodes de guerre documentée par "La guerre de Sécession")
Au Nord, une économie florissante grâce à une industrie constituée de transport, de métallurgie, et de confections textiles.
Au Sud, une société patriarcale et agrarienne fondée sur l'esclavage. Une population américaine doublée en 20 ans, avec 31 millions d'habitants en 1860. L'immigration vers cette terre promise, pour des Européens d'Angleterre d'Irlande et d'Allemagne, à la recherche de pain, de paix et de liberté qui avait fait des Etats Unis, un modèle d'application réussie de la démocratie déçue en 1848. Cette Amérique était construite en une fédération de 31 Etats "Unis" mais dans deux mondes aux antipodes l'un de l'autre avec une ligne "Mason-Dixon" avec un climat froid au Nord et au Sud, un Dixieland fournissant principalement du coton, du tabac et du riz.
Au Sud, Jefferson Davis est un planteur esclavagiste, président des États confédérés pendant la guerre civile américaine qui ne voyait que les forces et pas ses faiblesses. Il se révèle incapable de définir une stratégie pour maintenir l'indépendance de la Confédération face à l'Union plus puissante et organisée sans obtenir le soutien des puissances européennes. L'installation particulière de l'esclavage a commencé en 1619 et compte 4,5 millions de noirs.
Une croisade abolitionniste commence avec Thomas Paine, W. Lloyd Garrison. "La case l'oncle Tom" de H.B. Stove, G. Fitzhugh et John Calloun.
L'éveil de l'extrémisme en 1854, l'activisme de John Brown provoque les complots et les haines. Les élections de 1860 avec W.H.Seward hostile à l'esclavage et Lincoln remportent les élections américaines. Tout est en place en attente de l'étincelle. Le bombardement de Fort Sunter met le feu aux poudres. C'est une insurrection.
Des généraux vont se suivre de chaque côté avec 29 millions d'hommes au Nord et 6 millions au Sud. Sous la supervision de Grant, Mc Clalland, Meade vs Beauregard.
Avec "Les Nordistes produisent l'argent capitaliste et les Sudistes le dépensent" devient le slogan et accentue le clivage. Entre le Nord abolitionniste et le Sud esclavagiste, rien n'allait plus. La guerre de Sécession éclate le 12 avril 1861. Nous étions bien loin des vœux des fondateurs des Etats Unis.
En 1860, le Président Abraham Lincoln tente coûte que coûte de préserver l’unité du pays mais les États du Sud font sécession et quittent l'Union pour devenir des Confédérés.
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.En 1862, une guerre moderne éclate, et transforme la lutte de Lincoln pour préserver l'Union en une quête d'émancipation des esclaves. Les conflits politiques, la campagne désastreuse de McClellan, la bataille des navires cuirassés, la vie de camp, et les rumeurs européennes sur la restructuration de la Confédération font recette.
Le premier discours de Sherman alors qu'il pense la guerre déjà terminée : "Aucun d'entre vous ne juge la guerre plus sévèrement que moi. Nous ne pouvons pas changer le cœur du Sud, mais faire la guerre, si terrible, si inopportune, il faudra des générations avant d'y songer à nouveau".
Celui de Lincoln "Nous espérons de tout cœur en priant avec ferveur, que le terrible fléau de la guerre sera bientôt derrière nous. Mais si Dieu veut qu'il continue jusqu'à ce que les richesses accumulées par 250 années d'un travail forcé inique aient été dilapidés et que chaque goutte de sang versé par le fouet soit payé en retour par une autre, versée par l'épée, ces paroles prononcées, il y a 3000 ans retentiront de nouveau 'Les jugements du Seigneur sont tous vrais et justes'. Sans en vouloir à personne, charitables envers tous, convaincus du bien tel que Dieu nous le donne à voir, mettons tout en œuvre pour achever la tâche commencée, pensez les plaies de la nation, veillez sur celui qui a combattu, sur sa veuve et son orphelin. Faisons tout pour établir et chérir une paix juste et durable contre nous et avec les autres nations".
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Dieu l'a voulu si l'on suit les discours. Lincoln attend une victoire. L'émancipation des esclaves en dépend. Les tactiques brillantes de Jackson et Lee retardent les ambitions du président. L'invasion de Lee en septembre provoque la sanglante bataille d'Antietam.
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1863 est une année décisive pour la guerre de Sécession. Le Nord s'oppose à la Proclamation d'émancipation de Lincoln. La vie devient difficile dans les régiments et le désespoir se fait croissant au Sud. Lee envahit le Nord pour attirer Grant loin de Vicksburg, conduisant à la bataille de Gettysburg, la plus grande de l'histoire américaine.
Le Sud est à l'agonie mais résiste avec l'énergie du désespoir. Quelques triomphes sudistes relancent la bataille avec des pertes énormes en vies humaines (36600 nordistes et 260.000 Sudistes dont deux tiers sont hospitalisés ou en prison) alors que la bataille de Cold Harbor devient le piège refermé dans des tranchées, le sort de la guerre est déjà scellé. 31.000 confédérés se sont rendus.
Mais la guerre continue toujours.
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L'épisode débute en novembre 1863 après le discours célèbre de Lincoln à Gettysburg et explore le rôle des femmes comme infirmières. Après une comparaison biographique de Grant et Lee, une série extraordinaire de batailles en Virginie du Nord, de Wilderness à Petersburg, font perdre où en 30 jours, aux deux armées plus d'hommes que pendant trois années de guerre.
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L’élection présidentielle de 1864 oppose Lincoln à son ancien général en chef George McClellan. Il semble que l’enjeu soit l’avenir même de l’Union, d’autant qu’un nombre croissant de nordistes commence à rejeter la guerre. Mais trois victoires à Mobile Bay, Atlanta et Shenandoah Valley viennent opportunément au secours de Lincoln. Les rêves d’indépendance de la Confédération sont bientôt réduits à néant et Lincoln est élu nouveau président.
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Le discours d'investiture de Lincoln est lourd de découvertes et de ressentiments : "Il y a 87 ans, nos pères fondateurs donnaient naissance sur ce continent à une nouvelle nation conçue dans la liberté et fondée sur le principe que tous les hommes sont créés égaux. Nous sommes aujourd'hui, engagés dans une grande bataille civile, mettant à l'épreuve la viabilité de cette nation ou de toute autre de même nature ou de même aspiration. Nous sommes ici sur l'un des champs de bataille de cette guerre, pour faire partie de celui-ci un lieu de repos éternel pour ceux qui ont sacrifié leur vie afin que leur nation vive. Il est à la fois opportun et approprié d'agir ainsi. Mais en toute vérité, nous ne pouvons ni décider, ni consacrer ni sanctifier ce lieu. Les braves, morts ou vivants, qui se sont battus ici l'ont consacré bien au-delà de nos modestes en la nature. Le monde ne prêtera guerre attention à nos propos et oubliera vite, mais il souviendra de ce qu'ils firent ici. C'est à nous, les vivants qu'il incombe de nous consacrer à l'œuvre inachevée si noblement entamé. Il nous appartient à nous de nous consacrer au grand défi qui nous attend. Puissent ces morts là que nous rendons hommage, accroitre notre foi en la cause qui fut l'objet de leur ultime et complet dévouement. Puissions-nous être déterminé à ce qu'ils ne soient pas mort en vain. Que cette nation, sous la protection de Dieu, connaisse une renaissance de la liberté. Et que le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, ne disparaisse pas de la terre".
L’assassinat de Lincoln se produit cinq jours plus tard et remet les choses à leur place initiale entre deux camps face à face l'un de l'autre. Après les poignantes funérailles du président, la chronique raconte des derniers soubresauts de la guerre. Le livre "Ainsi meurent les tyrans" paraissait le 15 septembre 1865.
Les deux généraux principaux, Lee face à Grant, se sont rencontrés pour la première fois lors de la reddition de Lee. La reddition est la seule alternative possible pour un général et se retirer du commandement rendant la réconciliation obligatoire. Après sa capture en 1865, Davis fut accusé de trahison mais fut libéré au bout de deux ans sans avoir été jugé. Moins populaire chez les Blancs du Sud que son ancien général Robert Lee resta au Sud un symbole par son refus d'accepter la défaite et son opposition à la Reconstruction. Les rebelles d'avant, sont pourtant contraints et forcés, de devenir compatriotes, moins nombreux et moins glorieux.
A la veillée de Noël 1865, le Ku Klux Klan naissait et tout était à refaire.
Richmond est la capitale du Sud esclavagiste. La statue de général Lee trône sur la Monument avenue. Entre 2020 et 2022, 168 statues iconiques érigées pour honorer la "cause perdue" et 2093 lieux de mémoire subsistent dans le Sud confédéré ont été retirés par le "Team Henry Enterprises". Henry porte un gilet pare-balle avec une arme dissimulée en permanence en vivant avec la menace.
"Proud to be american" et "God bless America".
Les films de cette guerre civile sont très nombreux.
La liste des meilleurs films est à cette adresse.
Ils commencent d'après cette liste à sortir en 1926 par "Le mécano de la générale" avec Buster Keaton qui a été considéré comme l'un des « meilleurs films de tous les temps selon la presse » sur le site Allociné.
"Autant en emporte le vent", le film de 1939, le plus primé
"Danse avec les loups" est une adaptation du roman du même nom écrit en 1988 par Michael Blake qui dans version longue prend 236 minutes.
La liste se termine en 2017 avec "Les Proies", qui, raconte, l'histoire d'un pensionnat pour jeunes filles qui demeure totalement en dehors des conflits qui font rage jusqu'au jour où il recueille un soldat, gravement blessé. Le film a remporté le prix de la mise en scène, au Festival de Cannes.
C'est dire que le souvenir de cette guerre civile reste mijoter dans les esprits américains comme une tare indélébile.
J'ai lu le "Que sais-je" et il y est dit pour résumer la cause de cette guerre "La jeune nation américaine, puissance en devenir, ne parvient plus à contenir les antagonismes qui opposent les États du Nord, industriels, anti-esclavagistes et fidèles à l'autorité fédérale, à ceux du Sud, agricoles, esclavagistes et attachés aux droits des États".
L'esclavage a cristallisé les tensions Nord-Sud, mais il a été un prétexte, un fil rouge qui traversait les sujets de discorde : rivalité territoriale, divergences culturelles, différends économiques et politiques
Le déclenchement fut le 12 avril 1861 lorsque l'armée des États confédérés, dirigée par le général Pierre Beauregard, prend d'assaut le fort Sumter afin de déloger la garnison fédérale.
Ce sujet avait été évoqué en préambule sur agoravox.fr suivi par une préversion de mon billet précédent plus intimiste qui n'a même pas été commenté sur agoravox.fr. La fréquentation de ce billet jumelé augmente toujours. Je ne dis pas que ce sont des lecteurs de ce journal dans lequel je cherche des liens puisque ma devise est "Tout est dans tout et inversement".
Sur agoravox, un commentaire de Plus robert que Redford me paraissait intéressant : "Ce que nous nommons « Guerre de sécession » est redevable là-bas du qualificatif de « Civil War ». Pour moi, l’appellation « Guerre civile » a un sens précis : deux entités (ou plus) au sein de la même population s’opposent sur des critères variés religieux, économiques, culturels où les protagonistes sont intriqués au sein d’un même pays comme la guerre civile Espagnole, Rwandaise, Russe, guerres de religions en France, etc... Les états américains sudistes constituèrent une entité géographique relativement homogène, visant à se séparer de ceux du nord, cherchant à évoluer sur une ligne résolument différente de celle de leur adversaire. On peut ainsi parler (pour l’instant) des tentatives sécessionnistes de la Bretagne, de la Corse, de la Nouvelle Calédonie ou de la Guadeloupe, voire en Espagne, du Pays Basque ou de la Catalogne... Chacune visant à se séparer d’une contrainte centrale, prenant ainsi la responsabilité de son destin. Je vois dans ce terme "Civil War", imposé par les Vainqueurs Nordistes, une manifestation totalitaire des américains, qu’ils ont développée jusqu’à nos jours en l’amplifiant considérablement. C’est une forme de camouflage sournois visant à dominer mentalement les « sécessionnistes » en leur imposant la vision suivante : Vous n’êtes que de stupides brebis égarées, nous vous ramenons au bercail car NOUS constituons un Grand Peuple (sic). Quelle eût été l’attitude des sudistes s’ils étaient ressortis vainqueurs du conflit ? J’ai la faiblesse de croire qu’ils eussent poursuivi leur chemin à côté des Etats du Nord, en constituant une autre entité américaine. On peut rêver, non ?".
Bien sûr que l'on peut toujours rêver...
Une preuve de plus que la cause d'un événement peut apporter des effets imaginer en rêve qui engendrent de nouvelles causes parfois très graves dans une chaîne de réactions qui peut ressembler à une explosion nucléaire. Est-ce vraiment important de savoir quel est le premier neutron qui initie l'explosion ?
Dans l'histoire, presque tous les pays du monde ont été impliqués dans, au moins, une guerre.
Avec le Red Team, François Schuiten imagine la guerre du futur
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D'autres guerres se sont déclenchées dans le cadre d'une prise de pouvoir, très localisée et déclarées suite à une étincelle pour devenir "Une guerre civile, lorsqu'au sein d'un État, existe une lutte armée oppose les forces armées d'un État à des groupes armés identifiables, ou des groupes armés entre eux dans des combats dont l'importance et l'extension dépasse la simple révolte ou l'insurrection alors que le mot "guerre" est réservé au conflit armé international. Les premières guerres civiles modernes datent de la fin du 18ème et du 19ème siècle. Il s'agit surtout de guerres d'indépendance qui consacrent le principe de l'État-nation comme les États-Unis d'Amérique, le Mexique et la Grèce. Après une pause apparente marquée par les deux conflagrations mondiales au début du 20ème siècle. Les conflits internationaux semblent se raréfier, les guerres civiles se sont par contre multipliées après la fin de la Seconde Guerre mondiale comme les guerres d'indépendance ou de décolonisation en Indonésie de 1945 à 1949, Algérie de 1954 à1962, les guerres civile ou d'indépendance supportées ou fomentées par les États-Unis ou l'Union soviétique, des "proxy wars" plutôt que "Civil war", par procuration de la guerre froide qui permettaient à deux blocs d'assurer ou étendre leurs zones d'influence respectives comme en Grèce de 1946 à 1949, en Indochine de 1946 à 1954, en Angola de 1975 à 1992, au Mozambique de 1979 à 1992. Les guerres civiles ont été souvent à caractère ethnique ou religieux comme en Yougoslavie, au Rwanda, en Tchétchénie, apparues particulièrement dès la fin du 20ème siècle".
Entre 1861 et 1864, la guerre civile aux Etats-Unis semblait ne pas dépendre d'une différence de richesses. Le christianisme était prépondérant au Nord et au Sud. Le Nord vivait dans une période en plein développement industriel et le Sud réalisait son développement dans l'agriculture. Les raisons ont surtout été poussées par des extrémismes de tous côtés et des meneurs attisant la haine dans des populations désorientées. La volonté d'Abraham Lincoln au Nord industriel et moderniste fut de conserver l'Union des Etats membres par cette complémentarité agricole du Sudà l'opposé de son éclatement en deux confédérations. Aucun contact entre les dirigeants entre le Nord et le Sud ne s'est produit avec diplomatie. Il a fallu que les deux armées se soient retrouvées à genou, à la fin de la guerre civile pour créer un armistice forcé.
Qu'étaient les Américains à l'origine ?
Des Européens émigrés qui à cause des règles imposées dans leur pays européen d'origine sont allés voir ailleurs si ce n'étaient pas mieux de l'autre côté de l'Atlantique.
En 2010, j'écrivais "Amérique, faux rêves et vraies réalités" dans lequel une exposition rappelait que "l'Amérique c'est aussi notre histoire" en plusieurs phases d'immigration en provenance de l'Europe que la Symphonie n°9 "From the New World" de Dvorak rappelle le rêve de liberté.
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Le concept de "guerre"
Les guerres font partie de l'histoire de l'humanité depuis des millénaires.
"L'art de la Guerre", écrit par le général Sun Tsu, dont j'avais parlé dans "La stratégie du maillon faible" donne une analyse artistique et rationnelle d'une guerre intelligente par des stratégies indirectes reliée à l'économie, la ruse, la connaissance de l’adversaire et l’action psychologique entre deux adversaires de forces différences dans le but de minimiser les dégâts collatéraux pour les civils.
Aujourd'hui, il n'y a plus que les vétérans de ces guerres aux dates de commémorations qui rappellent les désastres des guerres auxquelles ils ont participé malgré eux et dont ils n'ont que des médailles à accrocher sur leur veston comme souvenirs de gloires.
Ce sont les contrastes idéologiques qui mènent de plus en plus à des clashs qui peuvent virer en guerres civiles.
Les malaises entre communautés naissent par des oppositions ethniques, politiciennes ou religieuses. Les médias ne sont pas innocents et attisent souvent les braises. L'influence extrémiste est plus forte que jamais sur les réseaux sociaux. La vie privée n'existe plus sur le Web.
Après la guerre 40-45, tous les biens immobiliers étaient démoli. Il fallait reconstruire avec les rescapés la guerre. Un avenir radieux s'annonçait dans un renouveau. Les pays qui avaient subi le plus de désastres, se sont remis plus rapidement que ceux qui en ont gardé des vestiges de l'avant-guerre. Le matérialisme et les acquisitions, rendues possibles, ont permis de créer ce que on a appelé les "Trente glorieuses". Mais, quand on a tout, on arrive à un sommet sans plus d'espoir d'obtenir plus. Les achats se sont raréfiés. Les concurrence se sont accentuées et durcies. Les grèves et les manifestations se sont accentuées aidées par les syndicats de gauche et de droite. Vivons-nous à retour à la case de départ avec de nouveaux paramètres et de nouveaux gadgets ?
L'Europe n'est pas unie. Elle est en manque d'europlanisme. Ceux qui en font partie veulent parfois en sortir et les autres veulent y entrer. Plusieurs membres de la Communauté européenne dont la Hongrie, ne respectent l'Etat de droit européen. Cette semaine, au sommet européen à Bruxelles, Victor Orban avait annoncé à son arrivée, deux points négatifs pour bloquer les pourparlers au sujet de l'aide militaire et financière envers l'Ukraine. Quiproquo et victoire à l'arraché, quand il a joué la chaise vide. Revenu à la table des négociations, il avait tout accepté. A la clé, des milliards d'euros. Chantage, marchandage, bien sûr
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Ce processus me rappelle les techniques du moindre mal de Sun Tsu. Tout s'achète, tout se vend dans notre monde dépendant du nombres de zéros derrière un chiffre significatif.
Depuis un certain temps, Poutine et d'autres dirigeants russes tentent d'envoyer à la population russe, le message que le monde est contre la Russie, dans le but de susciter la colère de son peuple vis-à-vis de l'Europe.
Les inégalités de raisonnement russe se sont creusées avec l'occidentalisme.
La complémentarité civile et le devoir civique à vivre ensemble d'une manière ou une autre, ne sont plus à l'ordre du jour.
Le conflit est idéologique entre deux Etats comme l'Ukraine et la Russie qui s'opposent sur des points existentiels et essentiels. Le conflit entre Israël et le Hamas qui s'opposent au niveau des religions et pour des possessions territoriales. J'en parlais avec humour sarcastique "Pas de boogie woogie". Qu'il y ait eu trois otages israéliens tués par l'armée israélienne par erreur, était prévisible. Dégât collatéral. Netanyahu avec son gouvernement d'extrême droite est le général en chef de cette connerie. Et il continue la guerre le "cœur brisé".
Quand je fais une connerie et je paye cash. Je ne vais pas me faire absoudre au confessionnal en demandant de me rembourser.
La diplomatie reste la seule manière de trouver la sortie de tels conflits.
Henry Kissinger qui vient de mourir à l'âge de 100 ans, a été considéré comme le diplomate du 20ème siècle. Il a écrit beaucoup de livres. Le documentaire "L'incontournable Monsieur Kissinger" qui lui est consacré, montrait, surtout la période pendant laquelle il était conseillé de Richard Nixon, comment il fallait être sous l'angle de la guerre froide Est-Ouest. Il a conseillé beaucoup d'autres présidents américains avant de prendre sa retraite. La stratégie qu'il poursuivait, bien que très amorale suivait la "Realpolitik" avec le principe de base où "la fin justifie les moyens".
Malgré le prix Nobel de la paix contesté, reçu en 1973 pour la signature des accords de Paris, il mettait un terme à la guerre du Viêtnam. Controversé, il a souvent été accusé d’avoir favorisé l’escalade du conflit.
Quel sera le diplomate au 21ème siècle ?
La diplomatie est nécessaire pour résoudre tous les cas de crises civiles par des compromis. Quand il n'y a plus que des autorités représentantes, choisi par les élections, qui ont le savoir qui apporte seulement du pouvoir, il y a un problème à la racine.
Cela me rappelle le billet "Fusion ou scission dans la gestion humaine"
La stratégie des Etats occidentaux et des sociétés privées sont équivalentes dans leur finalité dirigée par une autorité par un désir de faire grossir le PIB du pays ou de chaque citoyen, par le travail et dans des compétitions à la recherche de celui qui sera le meilleur.
N'ayant plus confiance en leur gouvernement centralisé, des Américains se sont même retirés du monde extérieur avec des réserves de nourriture et des armes pour résister en cas d'agression et en attendant une fin du monde potentielle même s'ils ne l'espèrent pas fondamentalement.
"Où va la guerre ?" Les deux verbes auxiliaires "être" et "avoir" pourraient être complémentaires.
Les rivalités poussent au radicalisme menées par des dirigeants qui y trouvent leur intérêt personnel. La guerre entre l'Ukraine et la Russie s'éternise. Si l'occident, européens américains, n'aide pas la guerre se terminera par une capitulation, un armistice comme ce fut le cas à la fin de cette guerre de Sécession dans une fausse paix dans une résistance larvée.
En temps de paix, quand on tue quelqu'un, on devient un assassin à punir de prison.
En temps de guerre, on tue mille personnes, on devient général avec des honneurs supplémentaires.
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L'homme augmenté via ChatGPT
Question 1 : que ce serait-il passé si les sudistes avaient gagné la guerre contre les nordistes à la guerre de sécession ?
Maintien de l'esclavage : L'une des principales causes de la guerre de Sécession était la question de l'esclavage. Si les États du Sud avaient gagné, il est probable que l'esclavage aurait persisté dans ces États pendant une période prolongée. Cependant, l'évolution mondiale vers l'abolition de l'esclavage aurait probablement mis la pression sur les États-Unis du Sud pour changer leur politique à un moment donné.
Division permanente : Si la Confédération avait réussi à obtenir la reconnaissance internationale et à maintenir son indépendance, les États-Unis pourraient exister sous une forme divisée, avec deux nations distinctes sur le continent nord-américain. Cela aurait des implications majeures sur la géopolitique et l'équilibre des pouvoirs dans la région.
Conséquences économiques : Les États-Unis du Sud auraient probablement développé leur propre économie, peut-être davantage axée sur l'agriculture et les plantations. Cela aurait pu influencer la croissance économique globale et la dynamique du commerce international dans la région.
Influence politique : La Confédération aurait eu une influence politique et culturelle distincte de celle des États-Unis du Nord. Cela aurait probablement conduit à des différences significatives dans les politiques nationales, les lois et les valeurs sociales entre les deux nations.
Question des droits civiques : La question des droits civiques pour les Afro-Américains aurait probablement pris une tournure différente. Si l'esclavage persistait dans les États du Sud, les luttes pour les droits civiques et l'égalité auraient été retardées et auraient peut-être pris une forme différente dans la partie nord du pays.
Impact sur les événements mondiaux ultérieurs : La victoire des États du Sud aurait eu un impact sur la façon dont les États-Unis auraient participé aux événements mondiaux ultérieurs, tels que les deux guerres mondiales. L'influence des États-Unis sur la scène internationale aurait probablement été différente.
Il est essentiel de noter que ces scénarios sont des spéculations, et de nombreuses variables auraient pu influencer le cours de l'histoire de manière imprévisible. La guerre de Sécession a eu des répercussions profondes sur le développement ultérieur des États-Unis, et son issue a eu des conséquences durables sur la nation.
Question 2 : pourquoi aujourd'hui faisons-nous la guerre pour résoudre nos problèmes ?
La guerre est souvent perçue comme un moyen de résoudre des conflits entre nations ou groupes, mais il est important de noter que cette approche est controversée et généralement considérée comme étant un dernier recours. Les raisons derrière la guerre peuvent être complexes et variées, et différentes théories et perspectives existent pour expliquer ce phénomène. Voici quelques-unes des raisons couramment avancées :
Conflits territoriaux : Les guerres peuvent éclater en raison de revendications territoriales contestées. Les nations peuvent se battre pour le contrôle d'une région ou de ressources stratégiques.
Idéologies politiques et religieuses : Les différences idéologiques, que ce soit sur le plan politique, religieux ou culturel, peuvent entraîner des conflits violents lorsque les parties impliquées ne parviennent pas à trouver un terrain d'entente pacifique.
Compétition économique : Les rivalités économiques, la recherche de ressources naturelles ou le contrôle de routes commerciales peuvent conduire à des conflits armés.
Autodéfense : Certains conflits éclatent lorsque des nations estiment qu'elles sont menacées et qu'elles doivent se défendre contre une agression réelle ou perçue.
Problèmes internes : Les tensions internes, telles que des troubles civils, des révolutions ou des guerres civiles, peuvent également conduire à des conflits armés.
Il est important de souligner que la guerre est largement critiquée en raison de ses conséquences humaines dévastatrices, de la perte de vies, des souffrances infligées aux civils et des destructions matérielles. De nombreuses personnes et organisations préconisent des solutions pacifiques aux conflits, telles que la diplomatie, la médiation et le dialogue, afin d'éviter les coûts humains et économiques élevés associés à la guerre. La prévention des conflits et la promotion de la paix sont des objectifs essentiels pour de nombreuses nations et organisations internationales.
Question 3 : Quelle est la différence entre la guerre civile américaine de 1861-1865 avec les guerres civiles d'aujourd'hui ?
La guerre civile américaine de 1861-1865 était un conflit majeur aux États-Unis entre le Nord unioniste et le Sud confédéré de prendre en compte les contextes historiques, politiques, sociaux et économiques propres à chaque situation.
Causes et contexte : La guerre civile américaine était en grande partie liée à la question de l'esclavage et à des tensions économiques et politiques profondes entre le Nord industriel et le Sud agraire. Les guerres civiles contemporaines peuvent découler de diverses causes, telles que des rivalités ethniques, religieuses, politiques, économiques ou territoriales.
Évolution du conflit : La guerre civile américaine a été caractérisée par des batailles conventionnelles entre des armées organisées, tandis que de nombreuses guerres civiles contemporaines impliquent des éléments de guérilla, de terrorisme et de conflits asymétriques.
Internationalisation : La guerre civile américaine était un conflit interne, tandis que certaines guerres civiles contemporaines peuvent être influencées par des acteurs étrangers, qu'il s'agisse d'interventions militaires, de soutien financier ou d'ingérences diplomatiques.
Technologie et communication : Les avancées technologiques ont considérablement évolué depuis la guerre civile américaine, ce qui a des implications majeures sur la nature des conflits contemporains, y compris les médias sociaux, la cyber-guerre et l'utilisation de technologies modernes dans les opérations militaires.
Droits de l'homme et normes internationales : Les guerres civiles contemporaines sont souvent évaluées à l'aune des normes internationales des droits de l'homme, avec des pressions de la part de la communauté internationale pour mettre fin aux atrocités et aux violations des droits de l'homme. Ces normes n'étaient pas aussi fortement établies pendant la guerre civile américaine.
Il est important de noter que chaque guerre civile est unique et complexe, avec des causes et des dynamiques spécifiques. Les comparaisons doivent être faites avec prudence, et il est essentiel de comprendre les nuances de chaque contexte particulier.
Ici, ChatGPT est moins bancal. Il prend des positions tout en prenant des précautions dans ses conclusions "chaque guerre civile est unique et complexe, avec des causes et des dynamiques spécifiques".
L'IA est un outil pour automatiser le plus possible. J'aime les automatisme à condition que je connaisse les sources et que je puisse reprendre la main quand cela déconne en automatique.
Ce qu'on appelle 'Intelligence artificielle" n'a rien d'artificiel. C'est une récupération des informations introduites dans les bases de données, par des hommes, articulées par des algorithmes. Tout ce qui n'est pas naturel et humain est sujet à caution et demande une analyse en points positifs et négatifs.
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Et dieu dans tout cela ?
Pour un mécréant, le fait d'écrire ce mot avec une minuscule plutôt qu'une majuscule, est très différent.
Il n'y pas d'autorité particulière qui serait supérieure à soi et qui interviendrait dans la spiritualité philosophique. Dans les discours dont j'ai fait mention dans cette histoire, la responsabilité de faire la guerre est à adresser à Dieu.
Quand j'ai écrit "Pratiquer sans croire", Arthur qui est un adepte de la religion catholique, n'a pas compris qu'il faut d'abord croire en soi pour rester responsable de ses actes, et pas chercher une autorité supérieure pour expliquer et se dédouaner de ses actes.
Le compétiteur de X/Twitter, Threads de Zuckerberg vient de commencer sa vie en Europe depuis jeudi. Les données personnelles vont encore plu voyager.
La neutralité dans un conflit local n'est quasiment plus respecté.
La brouille commence déjà en famille. Elle se poursuit dans le sport sur des terrains de foot.
Mettre sur la table la proposition d'inscrire la neutralité des fonctionnaires dans la Constitution. "La neutralité des actes administratifs et l'impartialité des fonctionnaires, c'est au cœur de notre vision de la gestion publique en toute impartialité", était demandé par certains.
Celui qui s'abstient ou refuse de prendre position dans un débat, dans un conflit opposant plusieurs personnes, plusieurs thèses, plusieurs partis dans un débat, dans une discussion, dans une querelle, neutre en politique, en morale.
Qu'est-ce qu'être neutre ?
Laïc, c'est le hic". C'est donc non neutre.
La neutralité dépend d'une série de paramètres dépendant de l'endroit où l'on nait, du climat, du comment on y enseigne et y pense.
Ce qu'on appelle 'Intelligence artificielle" n'a rien d'artificielle. C'est une récupération des informations introduites dans les bases de données, par des hommes, articulées par des algorithmes.
Je suis occupé à lire "Furie divine" de JR dos Santos.
J.R. dos Santos est portugais et est très probablement croyant. Dans son livre, des chapitres alternent avec un professeur islamique qui enseigne l'islam avec ses termes fondamentalistes et radicaux comme "kafir", "hadith", "sunna" "jahilya", "jihad"(ou guerre), "nasikh", "charia" qui doivent s'opposer aux infidèles avec la souveraineté de Allah qui est au dessus de lois humaines sans démocratie.
Des chapitres les autres, il exprime l'esprit américain et occidental qui redoute une guerre nucléaire avec les pays musulmans. Le soufi est présenté comme mystique et chaman. Les religions sont à la base été les causes des guerres en se réfugiant de l'idée de la faire "au nom de D...".
"Lorsqu'un chrétien fait la guerre, il désobéit au Christ en refusant de tendre l'autre joue et en choisissant la guerre. C'est la différence entre le christianisme et l'islam où il est dit qu'il faut obéir au Prophète qui était un chef militaire et que lui désobéir est celui qui lui désobéit. La majeur partie du Coran est composée de versets qui on trait à la guerre. L'islam est pacifique et tolérant à condition que l'on soit tous musulman. Au chapitre 48, il est écrit "Mahomet est le messager d'Allah. Ceux qui sont avec lui doivent être dur envers les mécréants et miséricordieux entre eux" . (p276)
La politique en plus de nos acquisitions scolaires avec des relations acquises dans notre environnement se définit en s'extrayant de la dépendance et de l'influence des autres.
"Et dieu dans tout cela" est une émission philosophique hebdomadaire. Il recevait Frédéric Lenoir avec son livre "L'Odyssée du sacré". "En tant qu’il est un hominidé doté d’un esprit (homo spiritus), on peut dès lors dire d’homo sapiens qu’il est un homo spiritualis : un homme spirituel » : Extrait : .l
Penser et être un "homo spiritus" est normal en soi, sans prêche d'une autorité particulière qui forcerait le bien et dénigrerait le mal pour bien vivre.
J'avais déjà parlé dans le Frédéric Lenoir, concernant un autre de ses livres "Le miracle de Spinoza" dont il fait la différence avec ses contemporains. L'histoire de Spinoza a fait écrire J.R. dos Santos, "Spinoza, l'homme qui a tué Dieu"
Une deuxième partie de l'entretien avec le physicien et philosophe, Aurélien Barrau, interrogé dans l'émission dans "Quel monde on vit.
Il n'y a ni religion, ni autorité et ni croyances qui interviennent dans ces pensées philosophique.
Le compétiteur de X/Twitter, Threads, vient de commencer sa vie en Europe depuis jeudi. Les données personnelles vont encore plus voyager.
La neutralité dans un conflit local n'est quasiment plus respecté dans les réseaux sociaux.
La brouille commence déjà en famille. Elle se poursuit dans le sport sur des terrains de foot et se termine sur son smartphone.
Mettre sur la table la proposition d'inscrire la neutralité des fonctionnaires dans la Constitution. "La neutralité des actes administratifs et l'impartialité des fonctionnaires, c'est au cœur de notre vision de la gestion publique en toute impartialité", était demandé par certains.
Celui qui s'abstient ou refuse de prendre position dans un débat, dans un conflit opposant plusieurs personnes, plusieurs thèses, plusieurs partis dans un débat, dans une discussion, dans une querelle, neutre en politique, en morale.
Qu'est-ce qu'être neutre ?
Laïc, c'est le hic". C'est donc non neutre.
La neutralité dépend d'une série de paramètres dépendant de l'endroit où l'on nait, du climat, du comment on y enseigne et y pense.
Dans le monde des jeunes enfants, il n'y a jamais de guerres. Aucun soucis. Ils peuvent pleurer quand ils ne sont pas contents, mais rigolent quelques minutes après avoir oublié la cause de leurs pleurs. C'est après que les problèmes commencent avec les radicalités malsaines.
La question n'est pas en quoi on croit, mais comment on y croit.
Le magazine "Psychologies" avec cet article sur ce que nous rapporte la maturité
..
Brussels capital of Belgium and of Europe
La Belgique est un pays très accueillant et bon enfant. En Europe, elle est devenue une plaque tournante de la drogue et fait partie des pays européens – aux côtés de l’Italie, la Suède, le Danemark et l’Autriche – dans lesquels le taux de violence criminelle par armes à feu est le plus important, d'après plusieurs études publiées par un Institut flamand en marge du lancement d’un moniteur européen des incidents liés aux armes à feu.
J'ai mis le titre de ce paragraphe en anglais car Bruxelles peut s'écrire "Brussels", Brussel" ou "Bruxelles" avec une prononciation particulière dans les trois versions.
C'est une ville très particulière qui n'est tout à fait comme les autres en Europe avec ses 184 nationalités qui y déambulent et ses 104 langues différentes qui y sont parlées avec l'anglais comme interface ou langue de secours, entre les communautés différentes. C'est une ville où j'ai l'impression de faire du tourisme à bon marché quand je me balade dans ses rues en écoutant les gens que je rencontre. Pénurie de main d'œuvre qualifiée localement qu'il faut remplacer par des travailleurs étrangers.
Les Coulisses du Pouvoir .
La rotation de société en société des jeunes, s'est révélée par une instabilité importante pour les entreprises.
C'est une ville qui a la Communauté européenne, l'OTAN et d'autres organismes internationaux en ses murs.
Le 7 décembre, une fusillade a éclaté à Bruxelles.
A cause quoi ? On ne sait pas mais on enquêtera.
A Bruxelles, toutes les croyances, les nationalités se croisent et les langues qui s'entrechoquent que l'on résout via du "globish".
"La France devient ingouvernable", entends-je.
Conjurations de contraire avec la gauche et la droite qui courent après la radicalité des extrémismes.
L'esprit nationaliste qui y règne, dit qu'il ne faut plus accepter les flux migratoires comme par le passé ce qui entraine
L'immigration est le sujet principal qui inquiète la population française et renforce l'extrême droite.
Bruxelles est opposée à cette idée.
Les migrations sont le fer de lance de notre présent et de notre futur.
L'extrême droite se produit pour échapper aux règles politiques, aux potentiels économiques avec les désirs de réserver l'endroit où l'on vit exclusivement aux autochtones qui en ressentent les effets dans leur propre vie. Cela crée du racisme sans compréhension de l'autre et de sa culture.
En Belgique, une cordon sanitaire apportait un mur contre cet extrême droite raciste.
La démocratie détient les gènes de sa propre destruction l'intermédiaire des réseaux sociaux.
Il y a une différence de concept entre le nationalisme qui finit par générer des guerres et le patriotisme.
Hannah Arendt était une franc-tireur avec cette liberté de pensée au sujet de sa condition de "réfugiée". Elle avait une pensée de la crise en voyant la politique aux prises avec la morale et la religion. Le fait d'être enseignante dans de prestigieuses universités américaines, lui donna une occasion qu'elle n'aurait pas eu en Allemagne, son pays d'origine. Son exil fut plein d'incertitude et d'angoisse que sa personnalité particulière a permis de surmonter. Son ouvrage sur le totalitarisme a nourri plusieurs réflexions politiques. Elle démontre que le politique ouvre un espace de participation illimité entre les hommes où ils sont appelés à exercer leur talent par la parole et l'argumentation libertaire sans même s'assimiler à un environnement. Ses livres "Condition de l'homme moderne" & "Le travail, l'œuvre, l'action" & "Nous autres réfugiés" s'affranchissent des concepts classiques conduisant à la disparition de la société pour créer des conditions pérennes d'un monde commun sans s'exercer dans les cadres de théoriciens de l'économie politique sous contraintes, influences et coercitions au détriment des libertés individuelles. Le métissage des cultures se construit souvent par des mariages "mixtes". Le mélange des cultures n'est-il pas la seule solution pour vivre en évitant les guerres ?
Le film « Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu » est une comédie pour se défouler
Tous métis dans le futur ?
Nous le sommes déjà, mais nous l'ignorons.
Jeudi, Laurent Hublet, fondateur de #IamBrussels 100% Bruxellois était invité jeudi pour parler de Bruxelles en commençant par la propreté extrapolée avant d'aborder d'autres domaines de la cité .
2024 pourrait être un tournant dans d'autres mondes, décrit par un français dans "2024 Année stratégique" après des élections dans beaucoup de pays importants.
Plus tard, cela devient de l'œuvre d'imagination.
Les paléontologue du futur sont nombreux.
"Ce qui nous attend" par Dominique Trinquand.
"Combien de temps ça va durer ?" par François Lenglet.
"Le monde de demain" par Pierre Servent.
"IA 2042 Dix scénarios pour notre futur" par Qiuan Chen.
Jacques Attali, l’écrivain, l’homme engagé, l’homme qui a connu les cercles du pouvoir, avait déjà écrit "Le monde. Mode d'emploi".
Dans la semaine, l'émission "Fin Mot" l'a invité pour son roman “Bienheureux soit notre monde” dans lequel il pousse des cris d'alarme dans un futur du 6 janvier 2029.
Dans "les Coulisses des pouvoir", Bertrand Henne rapporte les paroles du chef de la Défense, l'amiral Michel Hoffman qui dit que La Belgique doit se préparer à la guerre .
Hérodote.net tente d'expliquer par l'effondrement de la fécondité, le choc démographique, les lois de l'immigration qui entraine une résurgence du racisme provoquée par le choc des valeurs, la baisse du niveau éducatif et des savoirs, la désillusions de la COP28 et choc climatique.
Le tournant d'Arnaud Ruyssen présente un élément de réflexion et des grains à moudre toutes les semaines en Belgique.
On a l'impression de faire du sur-place alors que l'évolution va plus vite que la pensée humaine. C'est dur de le dire pour certains, on n'arrête pas le progrès sans contrepartie sonante et trébuchante.
C'est à partir du luxe sous la forme de bijoux et de biens immobiliers que les Bourses ont atteint un sommet. Paradoxal ?
Pas vraiment. Les taux d'intérêts étaient tellement bas qu'investir dans du durable, L'or est une valeur de refuge en période de basse conjoncture et les brillants sont éternels d'après la chanson "Diamonds are Forever"
Le paradigme du numérique avait initialisé les processus de l'Intelligence artificielle dont nous n'avons qu'une faible idée qu'elle pourrait donner de positif et de négatif.
Dans l'histoire, des civilisations sont disparues et d'autres plus résistantes sont nées.
En fait, les gens ne savent pas nécessairement où ils vont, mais, ils y vont, têtes baissées, parce qu'ils sentent qu'ils doivent y aller.
...
Et l'humour bruxellois qu'en pense-t-il ?
Pour être bien dans sa peau et dans son esprit, il faut devenir philosophe. L'homme est un animal naturellement belliqueux qui pense remédier aux problèmes du quotidien dans des batailles idéologiques qui ne finissent jamais les guerres qui se terminent toujours par des armistices avec des milliers de morts avant de retomber dans les mêmes travers et de recommencer à espérer dans un futur aléatoire à d'autres alternatives qui ne satisferont jamais tout le monde.
Pendant la vie active de management, j'ai eu des responsabilité avec charge d'âmes, avec la conscience professionnelle et à motiver les autres sans jouer comme les prétentieux qui n'étaient pas rares. On m'a envoyé au cours de "Priority management" où j'ai rencontré des personnages très élevés dans la société et qui déprimaient avec le burnout. "Le burnout est plus sociologique que psychologique" dit le sociologue Van Hulle. La course effrénée, les pressions de la compétition, les attentes élevées, les responsabilités et des rencontres avec des dictateurs en puissance. Retraité, sans famille, c'est fini. Ma manière de communiquer a changé du tout au tout dans un nouveau concept en me désintéressant de beaucoup de choses à la recherche de complémentarité d'idées avec une méfiance particulière pour ceux qui ont une volonté de l'impérieux. Aimer ce qu'on réalise, est primordial.
Cette année, "Woke de là", écrivais-je en février pour résumer mes sentiments.
"Influence", un mot très souvent cité dans ce billet.
Quand on voit qu'une influenceuse attire les foules sur la Grand-Place, cela frise quelque peu la connerie autorisée.
Influenceurs et influenceuses s'abstenir, donc.
Avant, je testais des programmes par des crash tests jusqu'auboutisme.
Aujourd'hui, ce sont les contacts qui subissent le processus du test de collision et de collusion.
C'est très facile de se comprendre quand on a des idées identiques. Dans le cas contraire, il faut souvent un esprit et une ambiance humoristique, parodique pour résoudre ses problèmes avec "Le Syndrome de Eriofne". Quand le test n'est pas probant et ne fonctionne pas, on passe au suivant. La solidarité, tant poussée en avant aujourd'hui, est possible, seulement quand on comprend sa finalité.
Dans un monde de brutes, il faut bien des abrutis qui les suivent ou qui les précèdent.
Le 5 décembre, je proposais dans une Saint-Nicolas pour adultes dans "Une Saint Nicolas à la belge".
Le dernier "Jeudi en prime" recevait la princesse Delphine de Saxe-Cobourg, pour parler de son incompréhension d'être restée à l'écart de la famille. Elle disait ne pas vouloir être payée par l'Etat pour ses bons offices. Qu'en ferait-elle de plus ? Elle ajoutait qu'elle ne parlait jamais de politique avec elle.
Le lendemain, vendredi, des entretiens avec le Roi Philippe ont donné "Philippe, une année avec le roi des Belges" .
Encore un élément à ajouter au dossier sur "Dix ans de règne de Philippe" lors du 21 juillet
Notre humour est souvent incompréhensible pour un Français de souche.
- Ce vendredi, Alex Vizorek était invité. Jean-Luc Foncq terminait avec sa chanson "A quoi ça sert ? ".
- La plume de Thomas Gunzig imagine être président du climat.
- Le cactus de Gaëtan prend des résolutions pour l'année prochaine.
Si on ne parvenait plus à rire de tout, ce serait vraiment la fin de ce tout.
"Après nous les mouches" est une expression belge, en 20 épisodes.
Et si c’était Adam qui avait tendu la pomme et abrégé le séjour au luxuriant jardin d’Eden ?
Pour les cadeaux de Noël, les livres de bandes dessinées sont très bien placées dans les ventes. Il en existe qui sont d'être pour enfants.
J'aurais pu terminer ce billet par la chanson de Stephan Eicher "Déjeuner en paix" avec ses paroles, mais je préfère le rappel de la théorie du mouvement qui s'impose à l'esprit dans une gymnastique du corps.
La première partie de l'entretien du physicien et philosophe, Aurélien Barrau face à la « catastrophe civilisationnelle » dans l'émission "Quel monde on vit", répond de manière assez surprenante a la situation actuelle, par la poétisation du monde
.
Son discours semble opposé au mien.
Il n'en est rien. Il est complémentaire.
La contradiction, bien loin des convictions, c'est ce que j'aime entendre.
Dans quelques jours, ce sera Noël avec les Jingle Bells.
Fin 2009, j'écrivais "Trêve des Confiseurs" Cette année-là avait été difficile.
Je l'ai relu et j'ai eu l'impression qu'on a fait du sur-place dans cycles plus ou moins concentriques.
J'aurais pu le republier aujourd'hui avec pour cette année. Deux guerres se sont seulement intégrées dans notre quotidien.
Aucun progrès.
Si vous ne savez pas encore quel cadeau original pour Noël...
"Dérive des continents" vous en donne
Allusion
...
Guy Marchand vient de disparaître à l'âge de 86 ans.
En hommage, son originalité, son irrespect permanent, je choisis :
18/12/2023 : le temps qui passe dans le rétro en s'endormant le 9 décembre et se réveiller le 20 décembre en 1582
Christine Ockrent et le sommet européen
21/12/2023 : Invité : Stéphane Dutron, patron du SGRS dés le 1er janvier 2024 parle de la sécurité
8/1/2024 : Nicolas Vadot et Kak dans un parti pris au sujet de Donald Trump. Le livre "Pièges de l'identité" est cité
10/1/2024 : Anniversaire de Kim Jung ?
22/1/2024 : Rappel de la pastille d'iode contre le nucléaire
1/2/2024 : Velibo Colic, un soldat en exil poursuivi par la guerre
9/4/2024: Le film "Glory" de 1989 passe sur notre chaine de télé Trois
Entre 1862 et 1863, du côté nordiste, le 54ème régiment du Massachusetts est la première compagnie composée de Noirs. Nommé à leur tête, le tout jeune colonel blanc Robert Gould Shaw, fils de famille anti-esclavagiste forcené, est chargé de les mener au combat.
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Commentaires
Ce dimanche sur la .2 "Illusions perdues"
Pendant la Restauration, un jeune provincial qui se rêve poète, découvre l'univers corrompu du journalisme et tente de devenir célèbre avec ses écrits;
https://www.youtube.com/watch?v=umiWu_sjRhg
Écrit par : Allusion | 17/12/2023
Répondre à ce commentaireDes familles russes défient Poutine : "Allez vous-même mourir en Ukraine !"
Depuis des semaines, les membres de Put' Domoi ('Retour à la Maison' en français), un groupe composé pour la plupart d'épouses et de mères de soldats mobilisés, réclament le retour de leurs proches, qui ont déjà longuement servi sur le front ukrainien.
Lundi, ce groupe a accusé Poutine de "pousser les gens au bord du gouffre" et a insisté pour que soit mis un terme à cette guerre que le Kremlin s'obstine toujours à appeler une "opération militaire spéciale".
"Nous, les Russes, n'avons plus le moindre espoir sous votre leadership… asseyez-vous à la table des négociations", affirme le groupe dans un message adressé au président russe.
"Vivons en paix ! Ou allez vous-même au front et mourez là-bas", ajoutent les protestataires.
Quelque 300 000 réservistes ont été récemment appelés pour renforcer les effectifs de Moscou en Ukraine dans le cadre de la mobilisation générale voulue par les autorités russes.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/des-familles-russes-d%C3%A9fient-poutine-allez-vous-m%C3%AAme-mourir-en-ukraine/ar-AA1lGCvy?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=bdee522e42c642ae8e9d24a7c8d0b79b&ei=16
Écrit par : Allusion | 19/12/2023
Répondre à ce commentaireSultan de Brunei, le plus ancien (et controversé !) monarque au monde
Depuis qu'il a annoncé début 2019 de nouvelles lois morales strictes inspirées de la charia, le sultan de Brunei est apparu sous les feux des projecteurs pour de mauvaises raisons. Le monarque absolu, au pouvoir depuis 1967, a décidé de rendre l'homosexualité et l'adultère pour les musulmans de son royaume passibles de la peine de mort.
Le sultan est l'une des personnes les plus riches du monde, mais qui est l'homme qui se cache derrière cette fabuleuse richesse et ces lois draconiennes ? Cliquez sur cette galerie pour en savoir plus sur sa fortune, sa famille et le sultanat de Brunei.
Hassanal Bolkiah, de son nom complet Hassanal Bolkiah Muizzadin Waddaulah, est le 29e sultan de Brunei.
Né le 15 juillet 1946 à Bandar Seri Begawan, la capitale du sultanat, il a succédé à son père sur le trône en 1967, à l'âge de 21 ans.
En 1984, après l'indépendance de la Grande-Bretagne (et bien qu'il soit déjà le dirigeant absolu du pays), il a également pris le poste de premier ministre de son pays.
Il est actuellement le plus ancien monarque au monde, après la mort de la reine Élisabeth II.
Outre ses fonctions de premier ministre, il est également secrétaire à la défense, trésorier, commandant suprême des forces armées, général honoraire des forces armées britanniques et indonésiennes, et amiral honoraire de la marine royale. Il s'est également nommé inspecteur général de la police royale de Brunei.
Il a été fait chevalier par la reine Élisabeth II, le sultanat de Brunei ayant été un protectorat britannique jusqu'en 1984.
Le sultan est polygame et a été marié (et divorcé) plusieurs fois. Il est cependant toujours marié à Anak Hajah Saleha (au centre). Ils se sont mariés en 1967 et ont six enfants ensemble.
De 1982 à 2003, il a également été marié à Mariam Abdul Aziz (photo). Ils ont eu quatre enfants ensemble.
En 2005, il a épousé la journaliste malaisienne Azrinaz Mazhar Hakim, dont il a divorcé cinq ans plus tard. Ils ont eu deux enfants ensemble. Elle s'est remariée depuis.
Tous les enfants du sultan ont des titres royaux. À gauche, le prince Abdul Mateen, issu de son troisième mariage. À ses côtés, le prince Abdul Malik, l'un de ses fils issus de son premier mariage.
Brunei est un pays islamique situé en Asie du Sud-Est. Riche en pétrole et en gaz, son économie est donc fortement dépendante du pétrole.
Le Brunei est actuellement le quatrième exportateur mondial de gaz naturel liquéfié, dont 90 % sont exportés vers le Japon, son principal partenaire commercial.
Contrairement à ses voisins, la Malaisie et l'Indonésie, le sultan a toujours répugné à se lancer dans le commerce du bois. Les trois quarts du sultanat sont couverts de forêts.
Dans les années 90, le sultan s'est engagé à intégrer certains éléments de la charia dans le code pénal du pays, mais cette question a ensuite disparu de l'ordre du jour. Jusqu'en 2013.
La décision du sultan a déclenché une vague d'appels au boycott de ses hôtels de luxe dans le monde entier.
De nombreuses célébrités, dont Anna Wintour, Richard Branson et Ellen DeGeneres, se sont insurgées contre cette décision.
Toutefois, c'est en 2019 qu'il a intégré les règles de la charia relatives aux châtiments corporels dans le code pénal brunéien pour tous les musulmans du pays, autorisant ainsi la mort par lapidation pour les relations homosexuelles et l'adultère, ainsi que l'amputation de la main en cas de vol.
Le Brunei est un pays majoritairement musulman. 13 % de la population est bouddhiste et 10 % chrétienne. Les célébrations de Noël sont autorisées à condition qu'elles aient lieu dans l'espace privé.
La question de savoir si la transposition de la charia dans le code pénal est un moyen d'attirer davantage d'investissements des pays musulmans de la péninsule arabe ou si elle découle d'une conviction religieuse personnelle fait l'objet de nombreuses spéculations.
Cependant, en dépit de ces retours en arrière apparemment archaïques, certaines de ses politiques ont été étonnamment modernes et progressistes.
Au Brunei, les hôpitaux et les écoles sont gratuits, les impôts sont pratiquement inexistants et les logements locatifs sont subventionnés. Cependant, 20 % de la population brunéienne vit encore sous le seuil de pauvreté. Depuis son accession au trône, le sultan a mis un point d'honneur à soutenir l'éducation en fondant la première université du pays, l'université de Brunei Darussalam, en 1985.
Le sultan de Brunei est l'un des monarques les plus riches du monde.
Hassanal Bolkiah est en fait le deuxième monarque le plus riche du monde, avec une fortune estimée entre 20 et 28 milliards de dollars.
Il possède également une vaste et luxueuse propriété.
Il réside dans le plus grand palais du monde (200 000 m²), l'Istana Nurul Iman, dont la valeur est estimée à 1,5 milliard d'euros.
Le palais a été conçu par l'architecte Philippin Leandro V. Locsin et a été achevé en 1984. Il comprend 1 788 chambres, ainsi qu'une salle de banquet pouvant accueillir 5 000 invités.
Le palais n'est ouvert au public que trois jours par an, pendant le mois sacré du Ramadan.
Il est également propriétaire de nombreux hôtels de luxe à travers le monde. Il est également propriétaire de plusieurs hôtels de luxe de la Dorchester Collection, dont les célèbres hôtels Beverly Hills et Bel-Air.
Le boycott de l'hôtel Bel-Air, soutenu par les célébrités, lui a coûté plus d'un million d'euros.
Il possède une énorme collection d'environ 5 000 voitures.
Il possède plus de 530 Mercedes-Benz, 365 Ferrari, 360 Bentley, 185 BMW, 175 Jaguar, 160 Porsche, 130 Rolls-Royce, 20 Lamborghini, 75 Aston Martin, 4 Bugatti, toute une série de motos et une Fiat 500 parce que... comme on dit en anglais "less is more" !
Enfin, pas tout à fait. Il possède également plusieurs jets privés, dont un Boeing 747 décoré de cristaux de Lalique et d'or massif.
Le sultan est également un amoureux des animaux. Il possède 200 chevaux, chacun ayant sa propre écurie climatisée.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/sultan-de-brunei-le-plus-ancien-et-controvers%C3%A9-monarque-au-monde/ss-AA1lJqM5?ocid=msedgntp&cvid=c3b9ec4a8a434d44a4cebb48d42831dd&ei=9#image=1
Écrit par : Allusion | 19/12/2023
Répondre à ce commentaireAbraham Lincoln, l'un des présidents les plus célèbres de l'histoire américaine, aurait eu un QI de 140, ce qui le place au seuil du génie. Avant sa présidence emblématique, Lincoln a appris le droit en autodidacte et est devenu un avocat prospère sans avoir fréquenté l'université.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/qi-des-pr%C3%A9sidents-des-%C3%A9tats-unis-celui-de-trump-va-vous-surprendre/ss-AA1kf28h?ocid=msedgntp&cvid=c3b9ec4a8a434d44a4cebb48d42831dd&ei=9#image=21
Écrit par : Allusion | 19/12/2023
Répondre à ce commentaireLes pays occidentaux voient le président russe Vladimir Poutine utiliser un langage de plus en plus menaçant à leur endroit. La Russie poursuit sa course à l'armement et les pays européens feraient bien de s'inquiéter, estiment certains experts.
Selon l'amiral Michel Hofman, chef d'état-major de l'armée belge, les pays européens devraient grandement se méfier des projets de Poutine.
Si l’Ukraine devait perdre la guerre en cours en Ukraine, il n’est pas inconcevable que la Russie ouvre un nouveau front, ailleurs, dans les mois ou les années qui suivront. "Nous devons être conscient que nous avons la capacité d'éviter ce sénario et montrer que nous sommes prêts à contre-attaquer si nécessaire", a déclaré le chef d'état-major de l'armée belge.
Les pays européens doivent s'efforcer d'y parvenir le plus rapidement possible : "L'Europe doit se préparer de toute urgence. Ceux qui veulent la paix doivent se préparer à la guerre pour dissuader la Russie", a déclaré Hofman à la VRT NWS.
Dans le même ordre d'idée, Carsten Breuer, un officier supérieur de l’armée allemande, interrogé par le "Frankfurter Allgemeine" n'exclut pas qu'une guerre entre la Russie et le monde soit de plus en plus proche. "Nous devons savoir comment faire face à cette menace constante (…) Nous devons nous habituer à l’idée qu’un jour, nous devrons peut-être mener une guerre défensive et que nous ne pourrons plus choisir nous-mêmes de participer à une mission lointaine."
Le président américain, Joe Biden, a également mis en garde contre une éventuelle confrontation entre la Russie et l’OTAN, même si Vladimir Poutine affirme que Moscou n’aurait aucun intérêt à un tel conflit qu'il qualifie d'absurde.
Une version confirmée par l'expert en question militaire Roger Housen, dont les propos ont été recueillis par Het Laatste Nieuws : "Supposons que Poutine attaque un pays de l’Otan. Prenons un petit pays, un pays balte par exemple, pas la Roumanie ou la Pologne. Même dans ce cas de figure, cela aurait, sur le plan militaire, des conséquences importantes pour l’armée russe. Cette guerre ne se déroulera pas de la même manière qu’aujourd'hui. Contrairement à l’Ukraine, l’Otan dispose d’une puissance aérienne importante composée d’avions de chasse, ainsi que de défenses aériennes, de navires de guerre, d’armes à longue portée et de systèmes capables de mener une guerre électronique. Ce nouvel adversaire est dès lors bien différent de l’Ukraine, sa puissance militaire étant bien plus grande que celle de son ennemi actuel. Je pense que Poutine n’est pas suicidaire, il ne s’engagera de fait pas dans une guerre contre l’Otan."
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/poutine-n-est-pas-suicidaire-mais-vouloir-la-paix-c-est-pr%C3%A9parer-la-guerre/ar-AA1lMfSs?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=ac0b85f62e724ad7a244ff895541c329&ei=19
Écrit par : Allusion | 20/12/2023
Répondre à ce commentaireL’armée ukrainienne voudrait mobiliser 450.000 à 500.000 soldats de plus pour repousser l’invasion russe. Le ministre de la Défense, Rustem Umerov, a pour cela émit la volonté mercredi d’appeler les citoyens ukrainiens vivant à l’étranger à rejoindre le service militaire l’an prochain.
Les Ukrainiens entre 25 et 60 expatriés et aptes au service militaire sont priés de s’identifier auprès des centres de recrutement militaires, a annoncé le ministre dans une déclaration mercredi, publiée dans des médias allemands, dont Bild, Welt TV et Politico.
Le ministre a affirmé lancer « une invitation », mais a clarifié qu’il y aurait des sanctions envers les individus qui ne s’y soumettent pas. « Nous sommes en train de discuter ce qui se passera s’ils ne présentent pas de manière volontaire », a-t-il poursuivi.
Pour gonfler l’armée ukrainienne de près d’un demi-million de recrues, aucun cadre politique ni financier n’a encore été clarifié. Le Président ukrainien Volodymyr Zelensky a qualifié la mobilisation de « question sensible ».
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-ukraine-appelle-les-citoyens-vivant-%C3%A0-l-%C3%A9tranger-%C3%A0-rejoindre-les-rangs-de-son-arm%C3%A9e/ar-AA1lPcEV?ocid=msedgntp&cvid=bd83ca8317ef40e89b235b7b47005e75&ei=16
Écrit par : Allusion | 21/12/2023
Répondre à ce commentaireSi l’on se questionnait encore sur la probable paranoïa de Vladimir Poutine, aujourd’hui il n’est plus possible de la nier. Le psychiatre Daniel Zagury analyse son comportement…
Pour Le Journal du Dimanche, Daniel Zagury, psychiatre spécialisé en psychopathologie et psychiatrie légale, revient sur “les gesticulations haineuses” du chef de l’Etat russe. Alors qu’il se déconnecte entièrement de la réalité, Poutine tombe dans la démesure et se “lance dans une fuite en avant qui ne pourra être interrompue que par l’action extérieure”, souligne Zagury. La guerre, inévitable, étant la seule réponse à une haine intérieure profonde et sans limite.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/poutine-compl%C3%A8tement-soumis-%C3%A0-sa-m%C3%A9galomanie/ar-AA1lWeIZ?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=d094488df13241569e3bfe05bb1f184f&ei=18
Écrit par : Allusion | 23/12/2023
Répondre à ce commentaireCe 1er janvier, la Belgique prend la présidence semestrielle du Conseil de l’Union européenne. Avec les élections de juin à l’horizon, la présidence belge est la dernière de cette législature entamée en 2019, et elle a du pain sur la planche.
Écrit par : Allusion | 01/01/2024
Répondre à ce commentaireLe dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a ordonné aux plus hauts commandants de son pays d'"anéantir complètement" la Corée du Sud et les États-Unis si les deux alliés optent pour une confrontation militaire, a rapporté l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.
Le 31 décembre, Kim a rencontré plusieurs de ses commandants militaires les plus importants à Pyongyang. Le dirigeant nord-coréen a salué leurs exploits de l'année précédente et leur a fait un "discours d'encouragement".
Comme le rapporte le Pyongyang Times, après avoir remercié les commandants rassemblés pour leurs bons et loyaux services et pour leur défense du pays, Kim a fourni une analyse de la situation sécuritaire à laquelle est confrontée la Corée du Nord.
Selon le dirigeant nord-coréen, le pays est au bord d'une guerre avec les États-Unis et la Corée du Sud en raison des initiatives provocatrices des deux pays. D'où son insistance à vouloir préserver davantage la paix et la sécurité.
En outre, le dirigeant nord-coréen a rappelé la responsabilité de chacun des commandants dans la protection du pays et a assuré que le sort de la Corée du Nord était entre leurs mains, selon le Pyongyang Times.
Pour Kim Jong-Un, plus la révolution nord-coréenne avance, plus les forces extérieures, comme les États-Unis et leurs alliés, s’efforceront de la contrer. La tâche de l’armée est de bloquer de telles tentatives.
Si les États-Unis ou leurs alliés optent pour la confrontation militaire et la provocation, l'armée nord-coréenne devra « porter un coup mortel pour anéantir complètement » les pays dotés de ces armes les plus puissantes, a déclaré le dirigeant nord-coréen.
Il est difficile de déterminer si Kim a réellement fait ces affirmations, étant donné que la nouvelle a été publiée par l'agence de presse officielle du pays. Cependant, même si ce n’était pas le cas, la nouvelle peut donner une idée de la stratégie géopolitique suivie par Kim à l’heure actuelle.
La Corée du Nord a intensifié sa rhétorique guerrière ces derniers mois en réponse aux exercices militaires de plus en plus fréquents des États-Unis et de la Corée du Sud, explique le journaliste d'Associated Press Hyung-Jin Kim.
Tout au long de l’année 2023, les États-Unis et leurs alliés dans la région ont mené une série d’exercices militaires dans la péninsule coréenne, notamment l’opération Freedom Shield 23 à la mi-août et Vigilant Defenders en octobre.
À son tour, la Corée du Nord a intensifié ses tests d’armes, notamment en mettant en orbite son premier satellite espion en novembre et en testant les missiles balistiques intercontinentaux Hwasong-17 et Hwasong-18.
Selon certains experts, le ton de plus en plus provocateur de Kim et ses essais d'armements ne sont rien d'autre qu'un stratagème politique visant à accroître les tensions avec les États-Unis afin d'obtenir des concessions sur le plan politique, comme l'indique l'article d'Associated Press.
Kim "pense probablement qu'il peut utiliser les tensions accrues pour arracher des concessions aux États-Unis si l'ancien président Donald Trump remporte l'élection présidentielle de novembre", explique le journaliste Hyung-Jin Kim dans son article
Le régime de Kim a fermé la porte politique aux négociations sur la dénucléarisation, mais il pourrait proposer de freiner sa rhétorique et de geler les essais en échange d'un allègement des sanctions", a déclaré Leif-Eric Easley, professeur à l'université Ewha de Séoul.
Cependant, pour le moment, il semble que Kim n’ait aucune intention d’apaiser les tensions. Le dirigeant nord-coréen a en effet exprimé son intention de lancer d’autres satellites espions dans l’espace et de développer de nouveaux drones.
Il l'a annoncé lors de la réunion de fin d'année du Parti du travail de Corée, assurant qu'il mettrait en orbite trois satellites espions militaires, développerait des drones d'attaque et produirait davantage de matières nucléaires, selon NBC News.
Et dans les premiers jours de 2024, la tension dans la péninsule n’a absolument pas diminué. Selon des informations publiées par CNN, la Corée du Sud accuse le gouvernement de Kim Jong-Un d'avoir perpétré divers attentats vendredi 5 janvier près de la frontière maritime disputée par les deux pays.
La réponse à ces accusations ne s'est pas faite attendre. Le 7 janvier 2024, la sœur du dirigeant nord-coréen Kim Yo-jong, citée par Reuters, a déclaré : "Comme déjà indiqué, la KPA (Armée populaire coréenne, ndlr) lancera une opération militaire immédiate si l'ennemi fait la moindre provocation." Y aura-t-il alors une nouvelle escalade des hostilités entre les deux pays (et pas seulement) ? C'est ce que nous verrons.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/kim-jong-un-menace-dan%C3%A9antir-les-%C3%A9tats-unis-et-la-cor%C3%A9e-du-sud/ss-AA1mKgnu?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=27736cbddd8a47b4a912b5e6e0c14e03&ei=10#image=1
Écrit par : Allusion | 13/01/2024
Répondre à ce commentaireLe dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a déclaré que la Corée du Sud était son "principal ennemi", a dissous les agences dédiées à la réunification et a menacé d'entrer en guerre pour toute violation territoriale, "ne serait-ce que de 0,001 mm".
Mais cette rhétorique enflammée est-elle le signe d'un réel changement ?
Voici ce que l'on sait:
- Quelle est la situation ?
Après des années de détérioration de leurs relations, Pyongyang a officialisé sa position mi-janvier en menaçant d'"anéantir" le Sud en cas de guerre. Il s'agit d'un changement important, car "dans le passé, lorsqu'il y avait un risque de conflit armé, il y avait une voie de secours pour garder le contrôle, mais maintenant il n'y a plus rien de tout cela", observe Hong Min, analyste à l'Institut coréen pour l'unification nationale à Séoul.
La Corée du Nord s'est débarrassée "de tout mécanisme intercoréen visant à empêcher les conflits d'échapper à tout contrôle", ajoute-t-il. Selon lui, "le fait que le Nord qualifie le Sud de +principal ennemi+ n'est pas seulement rhétorique: les mots pourraient se transformer en action".
- Invasion de la Corée du Sud ?
Le numéro un nord-coréen a affirmé qu'il ne déclencherait pas "unilatéralement" un conflit, mais qu'il n'avait "pas non plus l'intention d'éviter une guerre".
Il a dit ne plus reconnaître la frontière maritime de facto entre les deux Corées, dénommée "Ligne de limite du nord" (NLL), et l'armée nord-coréenne a récemment organisé des exercices d'artillerie à balles réelles dans la région.
Cela a créé "une possibilité croissante d'escarmouche militaire entre les deux parties, ce qui pourrait conduire à un conflit plus large", estime encore M. Hong.
En outre, Pyongyang s'est rapproché de Moscou, y compris - selon Washington et Séoul - en lui livrant des missiles utilisés dans ses récentes attaques d'envergure sur l'Ukraine, en échange d'une aide pour son programme de satellites.
Séoul, pour sa part, a menacé de répondre "beaucoup plus fort" à toute provocation, une approche belliciste non dénuée de risques, comme l'a souligné cette semaine un éditorial du journal Hankyoreh.
"Au moment où la Corée du Nord devient de plus en plus imprudente, nous espérons que le gouvernement concentrera ses efforts... sur la gestion de cette situation", a ajouté le journal.
- Quelle est la prochaine étape ?
Selon Choi Gi-il, professeur d'études militaires à l'université de Sangji, les deux Corées ont désormais la "plus forte probabilité d'être entraînées dans un conflit armé"."Supposons qu'une future provocation du Nord fasse des victimes civiles et militaires. Nous visons le point d'origine avec des obus. Mais allons-nous également les frapper avec des moyens aériens ?", s'interroge-t-il.
En 2010, lorsque le Nord a bombardé l'île frontalière sud-coréenne de Yeonpyeong, faisant quatre morts, les avions de combat F-16 de Séoul étaient "en vol, prêts à frapper, mais le président de l'époque, Lee Myung-bak, a annulé l'opération" afin d'éviter une escalade.
"Si nous avions un incident similaire, il n'y a aucune garantie que la puissance aérienne ne sera pas utilisée, compte tenu des appels bellicistes" de l'administration sud-coréenne.Et la réplique de Pyongyang "pourrait déboucher sur une véritable guerre dans le pire des cas", déclare l'expert.
- Pas de possibilité de rapprochement ?
Les perspectives de réconciliation intercoréenne ont longtemps été sombres. Mais en qualifiant son voisin d'ennemi numéro 1, M. Kim "n'a pas seulement fermé la porte au rapprochement, il l'a cadenassée pour que les Sud-Coréens sachent clairement quelle est sa position à l'égard de leurs relations", estime Soo Kim de LMI Consulting, une ancienne analyste de la CIA.
Mais, selon elle, la nouvelle rhétorique de Pyongyang ne change pas nécessairement "le calcul de la Corée du Nord".
Pyongyang développe depuis longtemps des armes nucléaires et des missiles et M. Kim attend le moment opportun pour procéder à son septième essai nucléaire."Ces armes n'ont pas été développées du jour au lendemain, et les plans du régime de Kim pour les utiliser comme outils de coercition, de menace et de négociation sont leur modus operandi depuis des décennies", souligne l'experte.
- Quelles sont les motivations de Kim Jong Un?
La récente rhétorique de Kim Jong Un à l'égard du Sud "semble relever d'un ajustement idéologique pour la survie du régime, justifiant l'accent mis par M. Kim sur les missiles nucléaires", estime Leif-Eric Easley, professeur à l'université Ewha de Séoul.
Malgré des années de fermeture des frontières liées au Covid et de contrôles stricts sur la circulation de l'information à l'intérieur du pays, les Nord-Coréens "sont de plus en plus conscients des échecs économiques de leur pays par rapport aux réussites sud-coréennes", selon lui.
"Ainsi, M. Kim redouble de prouesses militaires contre les menaces extérieures pour asseoir sa légitimité intérieure", observe M. Easley.
Le Sud doit organiser des législatives en avril, au cours desquelles le parti conservateur du président Yoon Suk Yeol tentera de reprendre le contrôle du Parlement.
"M. Kim pourrait également essayer de punir politiquement l'administration Yoon pour sa politique à l'égard de Pyongyang avant les élections", ajoute l'analyste.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/le-dirigeant-nord-cor%C3%A9en-kim-jong-un-pr%C3%A9pare-t-il-une-guerre-cinq-choses-%C3%A0-savoir/ar-BB1gWeXb?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=981514dd6bd14ec1999d1644cb55213e&ei=13
Écrit par : Allusion | 19/01/2024
Répondre à ce commentaireL'ancien président russe Dmitri Medvedev (58 ans) qualifie l'Ukraine de "tumeur cancéreuse qui ne devrait exister sous aucune forme" selon les termes utilisés dans un message sur Telegram.
Medvedev estime que l'affrontement entre Moscou et Kiev durera "des siècles". "La probabilité d'un nouveau conflit après la guerre est de 100% (...), et ni l'UE ni l'OTAN ne pourront rien y faire", estime Dmitri Medvedev.
"Même si les Ukrainiens n'aiment pas l'Etat russe, ils se rendront compte qu'il vaut mieux que la mort", a déclaré l'ancien président russe.
"La probabilité d'un nouveau conflit est de 100%, quels que soient les documents de sécurité que l'Occident signe avec le régime fantoche de Kiev", a-t-il déclaré.
"Ni les relations de l'Ukraine avec l'UE, ni l'adhésion artificielle de ce pays à l'OTAN ne peuvent empêcher un conflit", a souligné Medvedev.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-ukraine-est-une-tumeur-canc%C3%A9reuse/ar-BB1gZsXT
Écrit par : Allusion | 20/01/2024
Répondre à ce commentaireLa radio envoie le message que les capsules d'iode sont disponibles dans les pharmacies
https://risquenucleaire.be/fr/professionnels/pharmacien
Écrit par : Allusion | 22/01/2024
Pour mener sa guerre contre l'Ukraine, le président russe continue à puiser dans les réserves fédérales russes.
Selon Bloomberg, le trésor russe serait diminué de 50%. Selon les chiffres du Ministère russe des finances, ce "trésor" serait passé de 8,9 mille milliards de roubles (un peu plus de 91 milliards d'euros) à 5 mille milliards de roubles (environ 51 milliards d'euros) depuis le lancement de la guerre à grande échelle du Kremlin en Ukraine en février 2022.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/poutine-a-d%C3%A9j%C3%A0-dilapid%C3%A9-la-moiti%C3%A9-du-tr%C3%A9sor-national-russe/ar-BB1h1Yvo?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=eb662714f1614717b835ec76015512b6&ei=6
Écrit par : Allusion | 21/01/2024
Répondre à ce commentaireDans une interview accordée à Marie Rigot et au quotidien belge La Libre, Sergueï Jirnov l’ex-espion du KGB, estime que les choses sont en train de tourner au vinaigre pour Vladimir Poutine. Morceaux choisis...
Le conflit en Ukraine est-il arrivé à un tournant ? Beaucoup parlent d'un essoufflement de l'armée de Zelensky. Un avis que ne partage pas Sergueï Jirnov.
"L’Ukraine, qui est bien moins puissante que la Russie, a résisté pendant un an supplémentaire. Ça, c’est une réussite. (...) Mais les États-Unis, la France, l’Allemagne… n’ont pas fourni les munitions qui auraient permis à l’Ukraine d’enfoncer le clou. Quand je vois les généraux français pavoiser sur les plateaux télé et estimer que les Ukrainiens ne se battent pas très bien, ça me met en colère. L’armée ukrainienne à l’heure actuelle est la première armée du monde sur le champ de bataille. Poutine ne peut rien y faire. La preuve en est qu’il est obligé de quémander des munitions à la Corée du Nord et à l’Iran. Poutine est devenu un mendiant, qui va dans toutes les dictatures du monde pour obtenir de l’aide.", explique t-il à la Libre.
Sur le plan intérieur aussi, Poutine semble perdre du terrain, selon Sergueï Jirnov, qui pointe le mécontentement croissant de la population, confronté aux pénuries, au froid et aux privations dans une Russie où l'essentiel des ressources sont utilisées pour l'effort de guerre.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/dans-un-mois-poutine-ne-sera-peut-%C3%AAtre-plus-au-kremlin/ar-BB1h4mOs?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=72b7393c722a4a3291be91a35121da40&ei=13
Écrit par : Allusion | 22/01/2024
La guerre en Ukraine ne montre aucun signe de fin, et certains se sont demandé ce qui se passerait si la Russie venait à vaincre l'Ukraine. Les uns pensent que cela pourrait conduire à une guerre plus large, tandis que d'autres ont pronostiqué quelque chose de bien pire. Si la question semble simple, les analystes estiment que la réponse ne l'est pas tant que cela.
Pour Simon Kuper, du quotidien financier britannique "Financial Times", il est presque certain que les Russes exerceraient une terrible vengeance sur les Ukrainiens sous leur contrôle. C'est d'ailleurs l'un des points sur lesquels tous les analystes s'accordent.
Les exécutions, les tortures et les déportations massives subies par les Ukrainiens dans les territoires occupés par la Russie au cours des premières semaines de la guerre ont toutes été documentées. Dans un article de décembre 2023, Simon Kuper souligne que la Russie a déjà pris sa revanche sur l'Ukraine.
Simon Kuper ajoute qu'il pourrait y avoir une montée de l'extrême droite dans certains pays si des millions d'Ukrainiens fuient leur pays vers les pays occidentaux en raison des représailles russes pour les attaques de guérilla menées par les partisans de l'Ukraine.
Une analyse des résultats de décembre 2023 a montré que la Russie transformerait l'Ukraine en un foyer permanent de troubles en Europe, selon Nico Lange, conseiller principal du groupe de réflexion sur la sécurité internationale GLOBSEC, basé en Slovaquie.
Selon le conseiller de GLOBSEC, ce qui conduirait à des représailles encore plus importantes de la part des Russes, c'est que "les forces armées ukrainiennes poursuivront leur lutte contre les envahisseurs russes, soit régulièrement, soit en tant que partisans, dans la clandestinité et par le biais d'attaques terroristes".
Selon le site d'information américain "Business Insider", ce phénomène a déjà été observé dans les territoires occupés. Ainsi, en janvier 2024, deux femmes saboteurs auraient empoisonné et tué 46 soldats russes en Crimée.
Nico Lange a ajouté que le niveau élevé de militarisation de la société ukrainienne, combiné à la perte de territoire et à l'exode massif de la population, encouragerait l'extrémisme, et a prédit le même résultat que Simon Kuper du "Financial Times".
Mais d'autres problèmes majeurs se posent au monde en cas de victoire russe, même s'il n'est pas difficile d'imaginer qu'une région aussi troublée que l'Ukraine pourrait générer davantage de conflits et finir par attirer d'autres puissances, en particulier si elle acquiert des capacités nucléaires.
Selon l'Institut pour l'étude de la guerre (un groupe de réflexion basé aux États-Unis), si la Russie battait l'Ukraine, la situation dans le monde deviendrait plus dangereuse pour un certain nombre de raisons. La résurgence du nationalisme en Russie serait l'une d'entre elles.
Une Russie enhardie par la victoire chercherait probablement à poursuivre ses politiques d'expansion aux dépens de ses voisins. L'Institut pour l'étude de la guerre a d'ailleurs souligné : "une victoire russe en Ukraine est un chemin presque garanti vers un autre Poutine ou pire".
La Russie chercherait probablement à conquérir davantage de territoires parce qu'une victoire russe en Ukraine renforcerait le sentiment nationaliste et le néo-impérialisme dans le pays, déclare Nico Lange, qui partage ce point de vue avec Simon Kuper.
Nico Lange explique également que "la Russie planifierait de nouvelles attaques militaires dans l'élan de la victoire, avec en toile de fond l'expérience que l'Occident collectif s'est assoupi face aux armes nucléaires russes et à la puissance militaire russe".
En cas de victoire russe en Ukraine, Nico Lange estime que les États baltes, ainsi que la Moldavie, la Géorgie et ce qui reste de l'Ukraine, seraient des cibles probables pour la Russie.
Nico Lange explique que "les coûts humanitaires, économiques et militaires augmenteraient rapidement, bien plus que le déficit actuel d'au moins deux pour cent des dépenses de défense en pourcentage du produit intérieur brut. En bref, personne en Europe ne serait plus en sécurité".
Adrian Karatnycky, du magazine américain "Foreign Policy", par ailleurs membre du groupe de réflexion "Atlantic Council" basé à Washington, estime qu'une victoire de la Russie en Ukraine encouragerait également les régimes autoritaires dans le monde.
Adrian Karatnycky a également souligné que les conséquences de la récente indécision occidentale avaient conduit le Venezuela à revendiquer la moitié du territoire de la Guyane. Il a ajouté que "la défaite d'un pays soutenu par l'Occident enhardirait la Russie et d'autres États révisionnistes à modifier d'autres frontières par la force".
Soulignant que les répercussions de la défaite de l'Ukraine sont encore largement inconnues, Adrian Karatnycky écrit : "bien qu'il n'y ait pas de signes d'une invasion imminente, il serait naïf de penser que d'autres pays ne surveillent pas de près la conquête du territoire ukrainien par la Russie".
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/que-se-passerait-il-si-l-ukraine-et-ses-alli%C3%A9s-perdaient-la-guerre-contre-la-russie/ss-BB1h4Xg1?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=c44a27a0bbaf439a9d522f6b162e8a6b&ei=6#image=1
Écrit par : Allusion | 23/01/2024
Répondre à ce commentaireLa divulgation par un journal de plans secrets élaborés par le gouvernement allemand en vue d'une attaque potentielle de la Russie contre l'OTAN a sonné l'alarme dans toute l'Europe et au-delà. Le sinistre scénario révèle, étape par étape, comment le président Vladimir Poutine pourrait faire dégénérer le conflit en Ukraine en une guerre mondiale en l'espace de 18 mois seulement. Il est inquiétant de constater que ces prédictions apocalyptiques font suite aux préoccupations exprimées par plusieurs dirigeants européens au sujet d'un conflit potentiel entre les forces de l'OTAN et celles de la Russie.
L'OTAN, dont le siège se trouve à Bruxelles, en Belgique, a pour objectif de garantir la liberté et la sécurité de ses membres par des moyens politiques et militaires. Mais cette liberté et cette sécurité sont actuellement menacées.
Le ministre allemand de la défense, Boris Pistorius, a récemment averti que le président russe Vladimir Poutine pourrait attaquer un pays de l'OTAN "d'ici à cinq ou huit ans". Il a fait cette terrible prédiction lors d'une interview accordée au journal berlinois Der Tagesspiegel.
Les remarques de Boris Pistorius ont coïncidé avec des mises en garde similaires du ministre suédois de la Défense civile, Carl-Oskar Bohlin, qui a déclaré que "la guerre pourrait venir en Suède".
D'autres personnalités gouvernementales se sont également exprimées et ont souligné l'évaluation fondamentale du ministre allemand de la Défense, notamment la présidente de l'Estonie, Kaja Kallas. S'adressant au journal britannique The Times, elle a déclaré : "Nos services de renseignement estiment qu'il faudra trois à cinq ans [pour que la Russie redevienne une puissance sérieuse pour l'OTAN] et cela dépend beaucoup de la manière dont nous gérons notre unité et dont nous maintenons notre position vis-à-vis de l'Ukraine. La Russie veut une pause", a-t-elle ajouté, "et cette pause doit lui permettre de rassembler ses ressources et ses forces. La faiblesse provoque les agresseurs, donc la faiblesse provoque la Russie".
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, met également en garde contre le risque réel d'une attaque russe contre les pays de l'OTAN.
La mise en garde de l'Allemagne est intervenue alors que le ministre britannique de la défense, Grant Shapps, a annoncé que le Royaume-Uni enverrait 20 000 membres de ses forces armées à l'un des plus grands exercices de l'OTAN depuis la guerre froide : "Steadfast Defender" (Défense inébranlable). Cet exercice militaire, auquel participeront 90 000 soldats, se déroulera jusqu'en mai et entraînera les troupes à repousser une invasion des forces de Poutine.
Alors que ces avertissements étaient en train d'être digérés, le journal allemand Bild a divulgué des plans secrets élaborés par le ministère allemand de la Défense. Ces documents esquissaient une vision de la manière dont l'invasion de l'Ukraine par la Russie pourrait déboucher sur un conflit à l'échelle de l'OTAN.
La Russie a envahi l'Ukraine le 24 février 2022. Selon la Mission de surveillance des droits de l'homme des Nations unies en Ukraine, au moins 10 000 civils, dont plus de 560 enfants, ont été tués et plus de 18 500 ont été blessés depuis l'attaque généralisée.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a demandé à plusieurs reprises une aide militaire accrue de la part de l'Occident. Les plans qui ont fait l'objet d'une fuite, décrits comme un "scénario d'exercice", expliquent en détail comment la Russie pourrait transformer le conflit en Ukraine en une guerre totale en l'espace de 18 mois seulement.
Selon ce scénario, intitulé "Alliance Defense 2025", le Kremlin mobiliserait 200.000 nouvelles recrues en février pour une nouvelle offensive en Ukraine. Cela permettrait à Moscou de réaliser des avancées significatives sur le terrain d'ici le mois de juin.
Profitant de ce succès, Poutine lancerait alors des cyberattaques secrètes et d'autres formes de guerre hybride contre l'Occident et l'Europe centrale et orientale et, en particulier, les pays baltes.
En incitant les minorités russophones des pays baltes à se retourner contre leurs voisins, Moscou utiliserait ensuite la crise politique en Estonie, en Lettonie et en Lituanie pour faire croire que ces minorités sont injustement visées à un point tel qu'une intervention s'impose.
En réponse, Vladimir Poutine lancerait en septembre un exercice à grande échelle appelé "Zapad 2024", auquel participeraient au moins 50 000 soldats russes en Biélorussie et dans l'ouest de la Russie.
Poutine peut compter sur le président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko, pour le soutien logistique, bien que les deux hommes aient longtemps entretenu des relations personnelles houleuses, au-delà de l'amitié publique. Le biélorusse est considéré comme une marionnette de Poutine, mais le Kremlin le considère comme un allié important. Dans une interview accordée en 2023, Alexandre Loukachenko aurait déclaré que "la seule erreur" commise par la Russie et la Biélorussie était "de ne pas avoir résolu cette question en 2014-2015, alors que l'Ukraine n'avait pas d'armée et n'était pas préparée".
À l'issue de "Zapad 2024", Poutine irait encore plus loin en déplaçant des troupes et des missiles de moyenne portée dans l'enclave russe de Kaliningrad.
Après les déclarations du Kremlin, Poutine s'est rendu à Kaliningrad le 25 janvier. Selon le Kremlin, les "déclarations militaristes" des pays baltes constituent un risque pour cette région qui se trouve dans une position inconfortable entre la Pologne et la Lituanie.
Pendant que les troupes russes se mettaient en position, Moscou continuait à faire des propositions à l'Occident, avec des personnalités comme Sergueï Lavrov (ministre russe des Affaires étrangères) et Sergueï Shoigu (ministre russe de la Défense, sur la photo) en insistant sur le fait que l'OTAN se préparait à attaquer la Russie et représentait une menace pour sa sécurité nationale.
Selon le gouvernement allemand, les troupes russes viseraient très probablement le stratégiquement vital corridor de Suwałki. Il s'agit d'une bande de terre située à l'intérieur de la frontière polonaise avec la Lituanie et prise en sandwich entre Kaliningrad et la Biélorussie.
Le fait que des milliers de soldats de l'OTAN, dont des soldats britanniques, soient actuellement déployés dans les pays baltes ne dissuaderait pas Poutine de tenter de bloquer le corridor de Suwałki, selon les documents divulgués.
En effet, les troupes de l'OTAN stationnées à l'intérieur et autour du corridor de Suwałki ne sont destinées qu'à servir de "fil de détente". Leur rôle principal est de retenir toute force d'invasion jusqu'à l'arrivée de l'armée principale de l'OTAN.
En décembre 2024, la machine de propagande de Moscou colporterait de fausses affirmations sur un conflit frontalier et des "émeutes avec de nombreux morts" dans le corridor de Suwałki, selon ces documents.
Tout aussi inquiétant, le Kremlin mettrait en avant des discours anti-OTAN à l'intérieur du pays, affirmant que l'organisation se préparerait à attaquer la Russie.
Après qu'il est apparu clairement que l'objectif ultime de Moscou était d'occuper le corridor de Suwałki, la Russie a attendu l'élection américaine pour entamer la deuxième phase de son plan.
En cas de défaite de Joe Biden, les États-Unis se retrouveraient effectivement sans dirigeant pendant quelques semaines. C'est à ce moment-là que Poutine commencerait son attaque sur le sol de l'OTAN, selon le scénario catastrophe. On ne sait pas exactement quelle serait la réaction de Donald Trump, qui est plutôt dubitatif vis-à-vis de l'OTAN, s'il remportait l'élection.
"Alliance Defense 2025" suggère ensuite que lors d'une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité de l'ONU, Moscou accuserait à nouveau l'Occident de se préparer à attaquer la Russie.
En mars 2025, dans un contexte de chaos et d'inquiétude accrus, le Kremlin déplacerait encore plus de troupes vers la Biélorussie et les pays baltes.
Cela conduirait à une situation où, en mai, l'OTAN n'aurait d'autre choix que d'approuver des "mesures de dissuasion crédibles" pour prévenir une invasion russe de la Pologne et des États baltes.
De manière inquiétante, à une date non divulguée appelée "Jour X", l'OTAN déploierait 300 000 soldats dans la région, dont 30 000 soldats de la Bundeswehr (forces armées allemandes), ce qui pourrait susciter un malaise tangible chez certains.
Bien que le document soit indiscutablement effrayant, un porte-parole du ministère allemand de la Défense a déclaré aux médias internationaux que le pays ne s'engageait pas sur un scénario précis. "Même s'ils sont extrêmement improbables, [les différents scénarios font] partie des activités militaires quotidiennes, en particulier dans le cadre de l'entraînement", a déclaré le porte-parole.
Pendant ce temps, l'exercice militaire "Steadfast Defender" se déroulera dans l'Atlantique Nord, en mer de Norvège et en mer Baltique. Par la suite, 90 000 soldats de l'OTAN seront déployés en Europe de l'Est du mois prochain au mois de juin, avec des chars, de l'artillerie, des hélicoptères et des parachutes.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-allemagne-en-alerte-poutine-pr%C3%A9pare-t-il-vraiment-une-attaque-contre-l-otan/ss-BB1hiq7o?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=8ca24237165942b2b6d67715755b3508&ei=10#image=1
Écrit par : Allusion | 26/01/2024
Les attaques menées par les rebelles houthis contre des navires en mer Rouge ont mis en lumière la guerre civile en cours au Yémen, qui a débuté en 2014. Une guerre civile se définit comme une guerre entre citoyens d'un même pays. Ces conflits armés non internationaux sont souvent longs et brutaux, certains s'étalant sur plusieurs décennies. La guerre civile n'est pas un phénomène nouveau. L'histoire rapporte que ce type de conflits militaires remonte à l'Antiquité.
Mais quelles sont les guerres civiles les plus meurtrières au monde ?
Guerre civile de César (49–45 av. J.-C.) Parfois appelée guerre civile romaine, cette guerre a été l'un des derniers conflits politico-militaires de la République romaine avant sa réorganisation en Empire romain. Elle a opposé deux factions dirigées respectivement par Gaius Julius Caesar et Gnaeus Pompeius Magnus (Pompée). Elle s'est terminée par une victoire césarienne et a fait plus de 15 000 morts du côté de Pompée, tandis que César n'a perdu que 200 hommes.
La guerre civile sassanide (589–591) Les dissensions entre les nobles à l'égard du règne d'Hormizd IV, le roi sassanide des rois d'Iran, ont conduit à la guerre civile sassanide. Le sentiment était réciproque : Hormizd IV n'aimait pas et se méfiait de la noblesse et en particulier de l'usurpateur Mihranide Bahram Chobin. La guerre s'est terminée par le renversement de Chobin et la restauration de la famille sassanide comme souveraine de l'Iran.
Les guerres civiles danoises (1131–1157) La longue période de guerres civiles sporadiques qu'a connue le royaume du Danemark de 1131 à 1157 a coûté la vie à de nombreuses personnes et a entraîné la mort de sept rois. La guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons (1407–1435) Une guerre de succession menée de 1146 à 1157 a finalement mis fin aux hostilités et Valdemar Ier, ayant survécu à tous ses prétendants rivaux, est devenu l'unique roi du Danemark.
La guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons est un conflit qui a opposé deux branches cadettes de la famille royale française, la maison d'Orléans (les Armagnacs) et la maison de Bourgogne (les Bourguignons), et qui s'est inscrite dans le cadre de la guerre de Cent Ans. Elle a débuté avec l'assassinat de Louis Ier, duc d'Orléans, à Paris en novembre 1407. Jean sans Peur, duc de Bourgogne, a été une autre victime importante de la guerre.
La guerre des Deux-Roses (1455–1487) La guerre des Deux-Roses est une série de guerres civiles pour le trône d'Angleterre entre les partisans de la maison de Lancastre, les Lancastriens, et les partisans de la maison d'York, les Yorkistes. Les différends ont été réglés à la bataille de Bosworth Field en 1485, lorsque Henry Tudor, de la Maison de Lancaster, a battu le roi Richard III pour monter sur le trône en tant que roi Henry VII.
La guerre d'Ōnin (1467–1477) Un différend entre un haut fonctionnaire, Hosokawa Katsumoto, et un seigneur régional, Yamana Sōzen, a dégénéré en une guerre civile d'envergure nationale qui s'est déroulée en grande partie dans la capitale impériale de Kyoto, presque entièrement détruite par les combattants au cours de conflit répétés. La guerre d'Ōnin s'est terminée sans victoire ni défaite claire et reste l'une des plus grandes guerres civiles de l'histoire du Japon.
La guerre de succession inca (1529–1532) La guerre civile inca, également connue sous le nom de guerre dynastique inca, a opposé les demi-frères Huáscar et Atahualpa pour la succession au trône de l'empire inca après la mort de leur père, Huayna Capac. Atahualpa (photo) l'a emporté et est devenu empereur, mais son règne a été de courte durée. Atahualpa a été pendu par Francisco Pizarro alors que les conquistadors espagnols mettaient à sac la ville de Cajamarca.
Les guerres de religion (1562 - 1598) Les guerres de religion françaises ont été uLes guerres de religion (1562 - 1598)une série de huit conflits entre les factions protestantes (huguenots) et catholiques en France, qui ont duré 36 ans. Entre deux et quatre millions de personnes sont mortes des suites de violences, de famines ou de maladies directement causées par le conflit avant que le roi protestant Henri IV ne se convertisse au catholicisme dans l'intérêt de la paix.
Première révolution anglaise (1642–1651) La première révolution anglaise désigne en fait un certain nombre de conflits distincts qui se sont déroulés dans le royaume d'Angleterre de 1642 à 1651. Les royalistes et les parlementaires se sont affrontés à de nombreuses reprises, notamment lors de la bataille de Naseby en 1645. La guerre a finalement été remportée par les têtes rondes de Cromwell, après quoi le roi Charles Ier a perdu la tête sur l'échafaud.
La guerre civile Choctaw (1747–1750) Peu étudiée, la guerre civile Choctaw est une période de troubles économiques et sociaux au sein du peuple Choctaw qui a dégénéré en guerre civile. Les hostilités ont éclaté entre des factions rivales au sein du peuple Choctaw au sujet des relations commerciales de la tribu avec les colons britanniques et français. En fin de compte, les relations avec les Français ont été renforcées, tandis que le commerce avec les Britanniques a été rompu.
La révolte des Taiping (1850–1864) La révolte des Taiping reste l'une des guerres civiles les plus coûteuses de l'histoire en termes de vies humaines. On estime que le conflit a fait entre 20 et 30 millions de morts, soit environ un dixième ou un vingtième de la population chinoise de l'époque.
La guerre de Sécession (1861–1865) La guerre civile américaine, l'une des plus célèbres de l'histoire, est essentiellement l'aboutissement de la lutte entre les partisans et les adversaires de l'esclavage, qui remonte à la fondation des États-Unis. La victoire de l'Union sur la Confédération a changé à jamais la composition de la nation. Au total, la guerre a fait entre 620.000 et 750.000 morts.
La guerre civile de 1891, qui a bouleversé la vie politique chilienne, a vu s'affronter les forces du congrès et celles du président, José Manuel Balmaceda, par le biais d'une confrontation entre l'armée chilienne et la marine chilienne, qui se sont rangées respectivement du côté du président et du côté du congrès. Le conflit se termine par la défaite de l'armée chilienne et des forces présidentielles, le président Balmaceda se donnant la mort.
La guerre civile russe (1917–1923) La guerre civile russe a été déclenchée par la révolution d'octobre, elle-même un moment clé de la grande révolution russe. La guerre civile a principalement opposé les "Rouges", menés par les bolcheviks, et les "Blancs", une coalition politiquement diversifiée d'anti-bolcheviks. Le conflit a entraîné la mort et la souffrance de millions de personnes, quelle que soit leur orientation politique. Sa fin a également marqué la fin de la révolution russe, qui a vu le pays abolir sa monarchie et adopter une forme de gouvernement socialiste.
La guerre civile finlandaise (1918) La guerre civile finlandaise, peu conLa guerre civile finlandaise (1918)nue, s'est déroulée du 27 janvier au 15 mai 1918 et a opposé la garde blanche à la République socialiste ouvrière de Finlande (garde rouge). Elle s'est soldée par la victoire des Blancs, qui ont ainsi gagné leur indépendance vis-à-vis de l'Empire russe.
La guerre civile irlandaise (1922–1923) La guerre civile irlandaise est un conflit acharné entre les partisans du traité anglo-irlandais (1921), qui mettait fin à la guerre d'indépendance irlandaise, et ceux qui s'opposaient au traité créant un État libre d'Irlande indépendant au sein de l'Empire britannique
La guerre civile chinoise (1927–1949) La guerre civile chinoise, qui opposait par intermittence les nationalistes chinois et les forces du parti communiste chinois, s'est achevée lorsque les nationalistes, sous la direction de Chiang Kai-shek, se sont réfugiés sur l'île de Taïwan pour y maintenir la République de Chine, tandis que les communistes, sous la direction de Mao Tsé-toung, établissaient la République populaire de Chine sur le continent. Des centaines de milliers de combattants et de civils sont morts pendant 22 ans.
Révolution constitutionnaliste (1932) Parfois également appelée guerre pauliste ou guerre civile brésilienne, la révolution constitutionnaliste a opposé la population de l'État brésilien de São Paulo au gouvernement fédéral de Getúlio Vargas. Les causes de la guerre résident dans l'équilibre traditionnel des pouvoirs entre les deux plus grands États du pays, qui s'est rompu à la suite de la dépression économique. Bien que les fédéralistes aient d'abord pris l'initiative, la plupart des autres États ont fini par se ranger du côté de São Paulo, ce qui a entraîné la victoire des rebelles. L'Ancienne République est renversée et une Assemblée constitutionnelle est élue.
La guerre d'Espagne (1936–1939) Conflit sanglant de trois ans entre nationalistes et républicains, la guerre civile espagnole a coûté la vie à environ 450 000 personnes des deux côtés de la ligne de démarcation. Elle s'est terminée par la victoire de Francisco Franco, qui a gouverné l'Espagne jusqu'à sa mort en 1975.
La guerre civile grecque (1946–1949) La guerre civile grecque a en fait éclaté en décembre 1944, entraînant les forces britanniques dans les combats à Athènes. La Grande-Bretagne s'est officiellement retirée de Grèce au début de l'année 1947, mais à ce moment-là, un soulèvement de grande ampleur, dominé par les communistes, s'est produit contre le gouvernement établi du Royaume de Grèce. Le gouvernement a fini par l'emporter, mais 158 000 personnes ont trouvé la mort dans les combats.
La guerre du Biafra (1967–1970) La guerre civile nigériane opposait le Nigeria à la République du Biafra, un État sécessionniste qui avait déclaré son indépendance du Nigeria en 1967. Il s'agissait davantage pour le gouvernement fédéral de récupérer des installations pétrolières côtières vitales que de préserver le bien-être du peuple Igbo, le groupe ethnique représenté par le Biafra. Environ 30 000 Biafrais ont été tués dans les combats proprement dits, tandis que deux millions d'autres sont morts de faim et de maladie.
La guerre civile cambodgienne (1967–1975) Sur fond de guerre du Viêt Nam, la guerre civile cambodgienne a opposé les forces du Parti communiste du Kampuchéa (connu sous le nom de Khmers rouges et soutenu par le Nord-Vietnam et le Viêt-cong) aux forces gouvernementales du Royaume du Cambodge. Le conflit a conduit au génocide cambodgien, l'un des plus sanglants de l'histoire.
La guerre civile en Éthiopie (1974–1991)
La guerre civile éthiopienne a commencé en septembre 1974 lorsque le Derg marxiste a organisé un coup d'État contre l'empereur Hailé Sélassié. Elle a duré jusqu'à ce que le Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien, une coalition de groupes rebelles, renverse le gouvernement. Un demi-million de personnes ont été tuées lors des combats et 1,2 million d'autres ont succombé à la famine.
La guerre du Liban (1975–1990) La guerre civile libanaise, qui a éclaté en 1975, est un conflit armé aux multiples facettes qui a déchiré le pays et coûté la vie à environ 150.000 personnes. Les combats ont également entraîné l'exode d'un million de personnes du Liban.
La guerre civile angolaise (1975–2002) La guerre du Liban (1975–1990) L'indépendance imminente de l'Angola vis-à-vis du Portugal en 1975 a précipité une guerre civile qui, tout en étant une lutte de pouvoir entre deux anciens mouvements de guérilla anticoloniaux, s'est également transformée en une compétition de la guerre froide entre l'Union soviétique et les États-Unis. À la fin de la guerre, on estime que 500 000 à 800 000 Angolais ont été tués.
Les huit années de violence de la première guerre civile libérienne, qui a vu le renversement du président Samuel Doe par le Front patriotique national du Liberia dirigé par Charles Taylor, ont coûté la vie à au moins 200.000 personnes, y compris des civils. La deuxième guerre civile libérienne, qui a duré de 1999 à 2003, a été tout aussi brutale.
La guerre civile rwandaise (1990−1994) C'est l'une des guerres civiles les plus sauvages de l'histoire récente. Les combats qui ont eu lieu entre les forces armées rwandaises, représentant le gouvernement du pays, et les rebelles du Front patriotique rwandais (FPR) pendant la guerre civile rwandaise sont nés d'un conflit de longue date entre les groupes Hutu et Tutsi au sein de la population rwandaise. Pendant une centaine de jours, entre 500 000 et un million de Tutsis et de Hutus modérés ont été tués avant que le FPR ne remporte une victoire en demi-teinte.
La guerre civile sierra-léonaise (1991–2002) La guerre civile en Sierra Leone a commencé lorsque le Front révolutionnaire uni (RUF) de Foday Sankoh, soutenu par le chef rebelle libérien Charles Taylor et son groupe, le Front patriotique national du Liberia, a tenté de renverser le gouvernement du président Joseph Momah. La guerre a été particulièrement brutale, les deux camps étant souvent financés par les "diamants de sang" extraits grâce au travail d'esclaves.
La première guerre du Congo (1996–1997) La première guerre du Congo est considérée comme la Première Guerre mondiale de l'Afrique, en raison des tueries et des morts incessantes qui n'ont rien donné. Elle s'est déroulée principalement au Zaïre (qui a été rebaptisé République démocratique du Congo au cours du processus), avec des débordements importants au Soudan et en Ouganda. Le conflit civil a culminé avec une invasion étrangère qui a remplacé le président zaïrois Mobutu Sese Seko (photo) par le chef rebelle Laurent-Désiré Kabila. Le gouvernement instable du nouveau titulaire a ouvert la voie à la deuxième guerre du Congo de 1998 à 2003.
La guerre civile yéménite (2014–present) La guerre civile au Yémen a commencé en 2014 lorsque les forces houthies se sont emparées de la capitale Sanaa, ce qui a été suivi d'une prise de contrôle rapide du gouvernement par les Houthis. Les Houthis sont actuellement impliqués dans un nouveau conflit qui porte sur le ciblage de la navigation internationale dans la mer Rouge.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/les-guerres-civiles-les-plus-meurtri%C3%A8res-au-monde/ss-BB1h8nkT?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=78fe589c7ca2451792bd83ae3b347f59&ei=8#image=1
Écrit par : Allusion | 23/01/2024
Répondre à ce commentaireLa deuxième guerre mondiale s'est achevée en 1945 et, depuis lors, le monde n'a pas connu d'autre conflit mondial de cette ampleur. Cependant, les choses pourraient changer plus rapidement que nous ne voulons le croire.
Le tabloïd allemand Bild a divulgué un rapport confidentiel de l'armée allemande révélant que la Russie pourrait se préparer à une guerre directe contre les États membres de l'OTAN.
Le document divulgué révèle plusieurs scénarios spéculatifs, mais le plus inquiétant de ces plans hypothétiques s'intitule "Alliance Defense 2025".
Une traduction anglaise du New York Post en explique les détails : l'armée russe commencerait par une grande offensive au printemps 2024, se sentant confiante en raison de la diminution de l'aide financière occidentale à l'Ukraine.
De fait, dès février 2024, la Russie pourrait mobiliser jusqu'à 200.000 nouveaux soldats en Ukraine.
Le scénario hypothétique prévoit que Moscou ne se concentrera pas uniquement sur l'Ukraine. Le document suppose que d'ici juillet 2024, la Russie ciblera l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie avec de "graves cyberattaques".
Dans le même temps, la Russie chercherait à attiser les tensions entre ses citoyens et la population locale des pays baltes afin de préparer le terrain pour l'étape suivante.
Sous le couvert d'exercices militaires, provisoirement appelés "Zapad 2024", le document suppose que la Russie pourrait réunir environ 50 000 soldats dans l'ouest du pays et en Biélorussie.
Plus important encore, Moscou mobiliserait des troupes à Kaliningrad, une enclave russe de la mer Baltique située entre la Pologne et la Lituanie, toutes deux membres de l'OTAN.
Le document suppose qu'à partir de ce moment, le Kremlin pourrait utiliser l'excuse d'une attaque imminente de l'OTAN pour envoyer des troupes en Pologne et en Lituanie.
Le résultat final serait la prise de contrôle de la trouée de Suwałki, une bande de territoire entre la Pologne et la Lituanie qui relierait la Biélorussie (et son allié, la Russie) à Kaliningrad.
Le journal britannique The Independent souligne que, selon le rapport qui a fait l'objet d'une fuite, le Kremlin essaierait de profiter de la période de transition après l'élection présidentielle américaine de 2024 pour avoir une marge de manœuvre dans la région de la Baltique.
À l'issue d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU en janvier 2025, Poutine pourrait accuser à tort les pays occidentaux de comploter en vue de le renverser.
Sous ce prétexte, Poutine pourrait rallier des troupes en Biélorussie, puis se diriger vers la Baltique d'ici mars 2025.
Dans ce contexte, 30.000 soldats allemands seraient alors déployés pour contrer les quelque 70.000 soldats russes en Biélorussie.
L'OTAN, préoccupée par la possibilité de futures incursions russes, s'engagerait alors directement dans une confrontation entre les troupes occidentales et les militaires russes
Bien entendu, il est important de rappeler que ce scénario n'est qu'hypothétique et qu'il n'est qu'une des nombreuses pistes spéculatives que les forces armées allemandes et l'OTAN en général sont en train d'étudier, pour mieux se préparer à n'importe quelle éventualité.
Selon le New York Post, le journal Bild a contacté des sources du ministère allemand de la Défense et a obtenu la réponse suivante : "envisager différents scénarios, même s'ils sont extrêmement improbables, fait partie des activités militaires quotidiennes, en particulier dans le cadre de l'entraînement".
L'Allemagne n'est pas la seule nation concernée en Europe. Le ministre suédois de la Défense civile, Carl-Oskar Bohlin, a prévenu qu'"il pourrait y avoir une guerre en Suède" et que son intention n'était pas d'effrayer la population mais de la préparer à toute éventualité.
Par ailleurs, selon des propos rapportés par l'agence de presse russe TASS, un représentant du ministère russe des Affaires étrangères a déclaré ironiquement que les documents divulgués par Bild étaient aussi importants et pertinents que "l'horoscope de l'année dernière".
"Je ne commenterai pas ce rapport de Bild", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, en soulignant que "ces derniers temps, ce journal s'est régulièrement abaissé à publier diverses fausses nouvelles".
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/une-troisi%C3%A8me-guerre-mondiale-est-elle-imminente-c-est-ce-que-pr%C3%A9voit-l-arm%C3%A9e-allemande-d%C3%A8s-2025/ss-BB1haZSI?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=d5630b017b3a41b9869c204ca2bc317b&ei=5#image=1
Écrit par : Allusion | 28/01/2024
Igor Guirkine, le héros extrémiste de la guerre du Donbas va purger une peine de 4 ans et 11 mois pour appel à l'extrémisme.
C'est la condamnation prononcée par un tribunal de Moscou. Depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, le 24 février 2022, M. Guirkine s'est montré très critique et n'a pas hésité à affirmer que la gestion militaire pouvait être améliorée, principalement par le biais de messages acerbes sur sa chaîne Telegram.
Quelques jours avant son arrestation à l'été 2023, Guirkine a écrit sur les médias sociaux que "le pays ne survivra pas à six années supplémentaires de lâche médiocrité au pouvoir".en évoquant le président russe Vladimir Poutine qui cherche à renouveler son mandat pour six années supplémentaires.
Cette condamnation à une peine de prison ferme est une première pour la mouvance nationaliste russe. Elle s'inscrit dans une campagne de répression qui cible tous les détracteurs du Kremlin et de son offensive en Ukraine
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-ultra-nationaliste-traite-poutine-de-minable-direction-prison/ar-BB1hoiNX?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=33cccab34d2a4cfebcda3708e57e7269&ei=9
Écrit par : Allusion | 28/01/2024
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a prévenu que "la guerre n'est plus un concept du passé" en Europe, désormais entrée dans l'"ère de l'avant-guerre" selon lui, lors d'un entretien accordé à la presse européenne.
La Russie a intensifié ces dernières semaines ses frappes aériennes contre l'Ukraine, pays voisin de la Pologne. De nouvelles frappes russes massives y ont endommagé vendredi trois centrales thermiques, entraînant des coupures d'électricité dans plusieurs régions.
"Je ne veux effrayer personne mais la guerre n'est plus un concept du passé. Elle est une réalité et elle a commencé il y a plus de deux ans", avec l'invasion de l'Ukraine, a déclaré Donald Tusk à l'alliance de huit journaux européens Lena (Leading european newspaper alliance). "Le plus inquiétant en ce moment est qu'absolument tous les scénarios sont possibles. Nous n'avons pas connu une telle situation depuis 1945", a déclaré l'ancien président du Conseil européen vendredi.
"Cela semble dévastateur, surtout pour la jeune génération, mais nous devons nous habituer au fait qu'une nouvelle ère a commencé: l'ère de l'avant-guerre. Je n'exagère pas". "Si l'Ukraine perd, personne en Europe ne pourra se sentir en sécurité", a-t-il insisté.
M. Tusk - dont le pays compte parmi les plus grands soutiens de l'Ukraine, envahie par les forces russes en février 2022 - a également affirmé qu'en matière de défense l'Europe "a un long chemin à parcourir" et qu'elle devait être "indépendante et autosuffisante" dans ce domaine.
"Notre travail consiste à entretenir des relations transatlantiques quel que soit le président américain", a-t-il ajouté à l'approche de la présidentielle américaine de novembre. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, des craintes ont émergé sur une éventuelle extension du conflit à des pays frontaliers.
L'armée polonaise a indiqué dimanche qu'un missile de croisière russe lancé contre des villes situées dans l'ouest de l'Ukraine avait violé l'espace aérien polonais pendant 39 secondes.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-ancien-pr%C3%A9sident-du-conseil-europ%C3%A9en-pr%C3%A9vient-pour-lui-l-europe-est-rentr%C3%A9e-dans-l-%C3%A8re-de-l-avant-guerre/ar-BB1kMByA?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=66ead725463b44fa8f87370b252be71c&ei=8
Écrit par : Allusion | 30/03/2024
Répondre à ce commentaire"Le choix de Poutine est de nous mettre dans une logique de guerre"
Le général Michel Yakovleff, ancien vice chef d’état major de l’Otan a évoque les dernières déclarations alarmantes sur la possibilité d'un conflit en Europe
Nous avons fait semblant de croire que nous pouvions ne pas être dans cette logique de guerre, et en citant Engels, on peut dire "si tu ne t’intéresses pas à la guerre, rassure-toi, la guerre s’intéressera à toi"
Le général français le clame haut et fort: "La guerre, c’est un choix de Poutine, d’ailleurs si le chef du Kremlin décide d’arrêter cette nuit, c’est réglé, c’est la fin de la guerre"
Ce qui est terrible, c’est que la guerre et un phénomène humain, et là il y a un homme qui a mis tout son pays en trajectoire pour déclencher tout ça, sa responsabilité sera lourde (devant l'Histoire)".
Le général Yakovleff estime que des erreurs ont été faites par le passé et qu'elles nous ont menées à cette situation d'instabilité:
"Si on avait fait la guerre en 2014, ou si on avait plus aider l’Ukraine en 2014, , on n’en serait pas là, si on avait mieux réagi dans le conflit russe contre la Géorgie y compris par la menace, on n’en serait pas là, la guerre ou la menace de la guerre est vitale, le feu est le meilleur contre feu, c’est les pompiers qui disent ça"
"Arrêter la guerre, par la guerre s’il le faut, c’est ce que nous avons refusé de faire"
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/le-choix-de-poutine-est-de-nous-mettre-dans-une-logique-de-guerre/ar-BB1kNaAZ?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=cd3624feb1ef4e3bb209788b9b5760be&ei=24
Écrit par : Allusion | 30/03/2024
Le film "Glory" de 1989 passe sur notre chaine de télé Trois
Entre 1862 et 1863, du côté nordiste, le 54ème régiment du Massachusetts est la première compagnie composée de Noirs. Nommé à leur tête, le tout jeune colonel blanc Robert Gould Shaw, fils de famille anti-esclavagiste forcené, est chargé de les mener au combat.
https://youtu.be/7D_LGwaoKZY
Écrit par : Allusion | 09/04/2024
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