24/10/2024
Le Yin et le Yang
Ce billet intimiste peut être considéré comme une suite au précédent.
Mais les différences d'opinions peuvent se poursuivre dans des dialogues assez contradictoires avec d'autres interlocuteurs dans les coalisions les plus enthousiastes. Cette semaine, daardaar.be en parlait avec le titre "voici venu le temps des premières querelles".
Dans la philosophie chinoise, "Le Yin et le Yang" sont deux catégories qui, par leur complémentarité et leur opposition, se prêtent à une première analyse de tous les phénomènes de la vie et du cosmos.
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Après les élections communales en Belgique. La question était "vous êtes-vous senti trahi ?" après les élections. Tout dépend des coalitions qui peuvent réserver des grandes surprises lors du deuxième tour des élections qui se déroule entre les partis. Rappel
.
D'où vient l'idée de faire des coalitions politiques en Belgique ?
Une coalition a permis de rompre le cordon sanitaire. Il avait tenu depuis trente ans.
L'envie m'est venue d'écrire une petite pièce de théâtre entre deux interlocuteurs que l'on associe difficilement sans faire de compromis.
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Conversation avec un interlocuteur
- J'ai envie de répondre à ton message, dans le langage habituel, par "AMEN". J'ai l'impression que tu ne connais pas mon épouse comme je la connais depuis plus de 53 ans. Je ne l'ai pas changée. Tu ne vas pas la changer, ai-je répondu._
. La santé et le bien être mental sont des sujets trop cruciaux pour répondre seulement en quatre mots. Nous sommes tous différents. Tous des empreintes digitales ambulantes avec un immunité variable face à une situation donnée, à une pensée dominante même si "Le cerveau est câblé pour obéir". Pas besoin de chercher une solution dans le magasin des Suicides. "La santé, ça n'a pas de prix" d'accord mais elle a un coût qu'il faut pouvoir assumer comme on le peut et pas toujours comme on le veut.. Le documentaire sur la santé en 2080 que je signalais, n'a pas que des côtés positifs. Son côté négatif est la perte de liberté que cela comprend. Les technologies seront là pour te forcer à garder en bonne santé. Mon épouse ne lit pas mes billets, mais on en parle et on en discute même avant leur parution. Elle me donne des idées qui ne m'avaient pas encore effleuré l'esprit avec sa vision plus conservatrice.
- Bien d'accord. Tout est lié. Tout s'enchaine parfaitement ou imparfaitement. En 2022, j'ai écrit "Noces d'or de la complémentarité". J'y ai dit que mon épouse est ma moitié et moi l'autre pour faire l'entièreté du couple. Elle est quelques fois le feu et moi, l'eau froide. Les deux sont dangereux mais chacun calme l'autre quand ils se rencontrent. Elle est le ministre de l'intérieur et moi, le ministre des affaires étrangères. On apprend beaucoup plus l'un de l'autre différent de soi. Depuis toujours, un seul principe n'a pas changé dans notre ménage. Elle est conservatrice et moi, je suis progressiste. Une pièce a un côté pile et une côté face. Elle est manuelle et je suis intello. La marche, le jogging et le vélo électrique meublent mes sorties de piment à l'extérieur avec le petit carnet prêt à se remplir à mes côtés. Toujours la tête et les jambes souvent jumelées et même juxtaposées, sans faire la course à l'échalote dans laquelle les participants se tiennent par la peau des fesses. Est-ce un goût du risque ? Mon épouse meuble sa vie avec les modes vestimentaires et en architecte d'intérieur qui change toutes les saisons avec un goût que je n'ai pas. Tu es souvent mon opposé presque en tout. Tu as une grande famille. Je n'en ai plus. Tu as peut-être la tête dirigée vers le haut et moi, penchée vers le bas. Mais nous vivons chacun très bien comme on est avec ce qui est inné et ce qui est acquis par l'expérience. Il y a trop de cultes, de croyances et par conséquence, de disciplines, qui se bousculent. Je viens d'en rencontrer en rue ce que je ne connaissais pas : le culte Antoniste. Wiki en dit : groupe religieux minoritaire, d'origine belge, fondé sous l'impulsion de Louis Antoine. Apparu au tout début de ce siècle, ce groupe a pour particularité d'avoir centré ses pratiques autour de la guérison. La succession du « prophète » de Jemeppe-sur-Meuse a été assurée par sa femme dite Mère. Il y a de quoi s'y perdre, non ?
. Ca ne mord pas. C'est simplement à prendre comme un nouvel outil avec une base de données mondiales récupérées par des algorithmes. Aujourd'hui, le secteur des technologies de l'information est en crise comme le signale la patronne d'Agoria
. Après une montée en flèche, il y a toujours un retour de flamme par la brutalité d'une chute. A la retraite, vintage, je suis cette évolution à la trace. Je ne savais comment tourner la page du travail qui m'a passionné pendant tellement d'années. J'ai choisi de ne pas vivre une déroute personnelle. J'ai décidé de commencer ce que je n'avais jamais eu le temps de faire auparavant : écrire et ne pas être perdu dans la foule délirante. Mais avant cela, il faut beaucoup lire avant d'écrire la première ligne. Le forum Agoravox, voyant mon site, m'a demandé de participer. J'ai hésité puis j'ai accepté et posté mes billets en provenance de "Réflexions du Miroir" d'abord en signant L'enfoiré et, après quinze ans, sentant que que je ne pouvait plus signer de la sorte, je suis passé à Allusion, construit à partir du nom imaginaire de Alfred Lusion. Le cactus de Gaëtan de lundi était un remplacement
. Il est vrai que les indispensables inondent les cimetières avec leurs idées conservatrices.
Pour "garder la santé sur les réseaux sociaux ?", c'est ne pas se laisser influencer pas la pub et les propagandes qu'on trouve de plus en plus partout sur Internet.
Ne pas chercher à influencer moi-même et ne pas chercher des followers est une condition sine qua non. Je ne connais ni Twitter ni ce qu'il est devenu "X". Elon Musk a tué Tweeter et l'envie d'y participer depuis qu'il l'a racheté pour créer "X" en poussant le bouchon de la liberté d'expression dans ses extrêmes et sans validation. Je n'ai jamais participé à autre chose que je pouvais valider. Les élections américaine sont dans une dizaine de jours. La situation est sur le fil du rasoir entre conservateur et progressistes
.
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Pris dans un tourbillon, il y a longtemps, j'ai écrit "Tabou, casse-toi" mais il faut raison garder. Il faut des garde-fous. Nous sommes dans un tunnel dans lequel, on finit toujours par buter sur ses parois en 3d ou, en 2D, sur un billard sans trous et rebondir dans l'autre sens du Yin au Yang. Alors seulement, on sourit mais on ne rie plus. On devient sérieux quand il le faut, pour se retrouver au tribunal des mots.
Thriller basé sur des faits historiques. A la fois passionnant et bof ! Non, moi, je ne vois pas l’intérêt et le plaisir de lire de gros livres d’aventures imaginaires quand la vie quotidienne et réelle est une aventure passionnante. Moi, je vis la réalité, je n’ai pas besoin de la lire.. Pour moi, le seul livre qui vaille la peine de lire, car d’une vérité universelle, les évangiles.
.Personnellement, sans conviction, j'ai déjà voté pour tous les partis sans ceux que l'on dit extrémistes de gauche ou de droite. La comparaison entre la Grèce d'il y a dix ans et celle d'aujourd'hui, peut donner des idées comment sortir du marasme économique
.Je suis obligé de le rappeler tout se paye cash dans la vie. Tout tourne et se greffe autour de l'argent, croyants ou non croyants aux systèmes en place. Le Vatican possède des archives secrètes, la banque IOR très officielle et une ancienne banque, l'Ambrosiano, plus officieuse. Quand on découvre un poison à bord, appelé généralement corruption, il faut toujours un contre-poison. On peut vouloir faire bien et faire le mal en parallèle, alors "Woke de là ", voyons.
Responsable, je précède le verbe penser du pronom "Je" que je "pratique sans croire". Je suis "space" ou "spécial" comme dit mon épouse à chercher les poux là où ils ne sont pas apparents.
Mon copain Alain que j'ai connu par l'intermédiaire de Agoravox, a eu deux enfants. Il m'a raconté ses démêlés avec son premier fils autiste et son deuxième fils drogué perpétuel. Il a fui ses responsabilités de père de famille pour aller courir le monde. Il n'en pouvait plus. Entre deux voyages, il passait chez moi. Quand il rencontrait son fils. Il recevait la réponse "mets ton fric sur la table et fous le camp". Sa tentative à restaurer un semblant de famille par l'intermédiaire de son petit-fils, a échoué. Il n'en a pas eu le temps. Il a fini ses jours à Madagascar. On ne peut pas dire qu'il ait eu de la chance avec ses enfants. Mais pour toi, tout s'est déroulé parfaitement et l'histoire de Alain roule sur la bosse de ton indifférence. J'ai un caractère plutôt fort. Je l'ai construit sans aucune aide parentale dans la solitude. Je n'acquisse que les lois en accord complet avec mes propres principes de solidarité à aider ceux qui en ont besoin. Mais comme toujours être trop bon, c'est finir par être trop bête. J'aurai vécu (et je vis la vie encore) avec mon épouse pour nous-même sans succession. La semaine dernière, Clément Paulin était mon invité avec ses propres idées. Les "Secrets d'écriture", une autre fois. Écrire est un travail solitaire. On sait quand on commence mais on ne sait pas quand on arrête. J'ai souvent testé d'autres interlocuteurs en cherchant où étaient leurs limites d'acceptation, leur ligne rouge à ne pas dépasser avec l'humour dans "une prise de bec". On peut très bien dialoguer sans être ami et même opposé dans certaines confrontations délicates. J'ai souvent ressenti le besoin d'avoir un ombudsman sans parti pris prêt à remettre les horloges à l'heure. Chacun ses jouets. Je ne sais si j'ai répondu à tes questions, mais ce sont les miennes. Il faudrait peut-être avoir plusieurs vies. Les interlocuteurs s'en viennent quand on ne s'y attend plus. Comme au cinéma, il y a seulement quelques erreurs de castings de départ dans le choix des interlocuteurs du film de la vie. Dans une dizaine de jours, les Etats-Unis seront au pied du mur avec un choix difficile à faire. Ce sera aussi une sorte Yin face au Yang à la sauce américaine et plus à la sauce chinoise
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C'est tellement facile de ne pas s'intégrer dans le processus que l'on décrit avec beaucoup de haine ou d'amour. L'humour n'en fait plus partie.
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A l'automne d'une vie, ce n'est pas pour rien que je préfère l'automne aux couleurs chatouillantes qui s'accompagnent facilement d'un rire convulsif.
C'est que je construit le bilan en additionnant les plus dans une colonne et les moins de l'autre. Le total des deux colonnes doit rester égal mais de signe inverse.
Comme mon site est un journal et que vous vous êtes arrivé à la fin de ce billet, je termine en parlant du film de dimanche dernier sur ARTE, "Hugo Cabret" pour prouver qu'on peut trouver un lien entre le passé et le futur au travers du présent.
C'est un film d'aventures fantastique produit et réalisé en relief par Martin Scorsese, Par certains aspects de sa vie, je m'y suis retrouvé.
Synopsis : À Paris, en 1931, Hugo Cabret, un garçon d'une dizaine d'années, vit humblement avec son père, horloger. A la suite d'un incendie causant la mort de celui-ci, orphelin, il se réfugie alors dans une gare, derrière les horloges qu'il entretient. Il tente de réparer l'automate mécanique que son père cherchait à restaurer avant sa mort, dont la vocation est d'écrire comme un robot contenant un ultime message de son père signé Georges Méliès. Pris en flagrant délit par un vieux monsieur tenant une boutique de jouets, ui confisque son carnet de croquis. Le vieux monsieur est Georges Méliès, considéré comme l'un des principaux créateurs des premiers trucages de surimpressions, de fondus, de grossissements et de rapetissements de personnages au cinéma. Il a été oublié après la guerre 14-18.
Quand à moi, la chanson de Eddy de Pretto traduit peut-être mieux mes sentiments actuels.
Le rideau de la scène du théâtre s'est refermé.
Allusion
PS : Préversion de cet article sur agoravox.fr
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25/10/2024: Sur ARTE au 28' : la sexualité des vieux
Une pièce de "La vie secrète des vieux"
26/10/2024 : Matthieu Pelletier nous parle du sophisme, procédé rhétorique, une argumentation, à la logique fallacieuse. C'est un raisonnement qui porte en lui l'apparence de la rigueur, voire de l'évidence, mais qui n'est en réalité pas valide au sens de la logique, quand bien même sa conclusion serait pourtant « vraie »
1/11/2024 : Pas beaucoup de divertissement à la télé à la télé, ce vendredi soir. Une exception que j'ai regardé bien forcé : le NRJ Music Award 2024.
Le cactus du lundi suivant en parle
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Le "Yin et le Yang" dans un couple au cinéma
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8/10 : Sur la 5.
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15/11 sur la 3. |
Publié dans Actualité, Belgique, Histoire, Intimisme, Politique | Lien permanent | Commentaires (17) |
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Commentaires
Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec est un film d'aventures fantastique français écrit, produit et réalisé par Luc Besson, sorti en 2010.
Il s’agit de l'adaptation cinématographique de la bande dessinée du même titre de Jacques Tardi (1976).
Pour connaître le futur, il est toujours préférable de tourner son regard vers le passé. L'époque actuelle que je résumerai pas globalisation, wokisme, théorie du genre, anti-spécisme, inclusivité, capitalisme dérégulé est bien decrits dans le petit opuscule de Shmuel Trigano: PETIT MANUEL DE POSTMODERNISME ILLUSTRE. Le livre est sorti en 2022. A la fin de son texte, il se pose la question suivante: La dénaturalisation de l'Homme (on est passé du droit du citoyen au droit de l'homme au sens large...) verra-t-elle le naufrage de la société? L'utopie post-démocratique, ruinera-t-elle le régime démocratique? Quel type de régime porte-t-elle? L'avenir le dira.
Nous sommes fin 2024 et nous voyons déjà se dessiner les tendances. Montée de l'extrême-droite un peu partout. De la globalisation on est passé à un monde multipolaire (dixit Poutine: Les BRiCS contre l'Occident). Sur le plan technologique on peut constater des marches arrières. Les Smartphones seront interdits à l'école. L'Europe est envahie par les nationaliste. La troisième guerre mondiale est à nos porte (dixit Nostradamus et constat réaliste).... A suivre.
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 24/10/2024
Répondre à ce commentaireElle est mon opposé en quasiment tout.
Si je suis le Yin elle est le Yang. Si elle est le Yang, elle est le Yin.
Comme je l'ai écrit dans ce billet, je me suis reconnu dans la personnalité de Hugo Cabret.
Il n'existe pas de suite directe au roman de John Logan à l'heure actuelle. Cependant, l'auteur a écrit d'autres livres dans un style et un format similaires, tels que « Wonderstruck » et « The Marvels », mais ceux-ci ne sont pas des suites de l'histoire d'Hugo Cabret.
Je ne connaissais pas "Les Aventures extraordinaires de Adèle Blanc-Sec", mais vu la bande de lancement du film https://youtu.be/d0389lPZdGU m'apparait trèsd intéressant.
Nous sommes comme je l'écris, à l'automne de notre vie, un excellent moment pour faire le bilan de toute cette vie.
Le futur de la santé est à voir et à revoir https://auvio.rtbf.be/media/nos-futurs-2080-nos-futurs-2080-3243483
J'aime la conjugaison d'un verbe au futur antérieur.
Il m'a déjà servi lors de l'écriture de l'eBook : "Vengeance au futur antérieur"
http://vengeanceaufuturanterieur.hautetfort.com/
La vision du fuur
Écrit par : Allusion | 24/10/2024
« Pensez-vous que Donald Trump est un fasciste ? » a interrogé un journaliste de CNN. « Oui, je le pense », a répondu, sans hésitation, la démocrate. « Je crois aussi qu'il faut faire confiance aux personnes qui le connaissent le mieux, sur ce sujet », a-t-elle poursuivi. Selon Kamala Harris, plusieurs personnes ayant servi dans l'administration de Trump « l'ont toutes qualifié d'inapte et de dangereux ».
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pr%C3%A9sidentielle-am%C3%A9ricaine-kamala-harris-hausse-le-ton/ar-AA1sPoOt?ocid=winp2fp&cvid=d52d6345751b477694baf23dda290f3a&ei=15
Écrit par : Allusion | 24/10/2024
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 25/10/2024
L'histoire le prouve depuis le Maccarthisme
Ce n'est pas Kamal Harris qui le deviendrait.
J'ai regardé FR2 hier soir "Envoyé spécial".
C'était très clair.
Écrit par : Allusion | 25/10/2024
1. Objectif final
Socialisme : L'objectif du socialisme est de réduire les inégalités économiques en redistribuant les richesses et en assurant un meilleur accès aux services publics (santé, éducation, logement, etc.). Le socialisme vise une société où les moyens de production essentiels (comme les industries et les services publics) sont contrôlés ou régulés par l'État, tout en maintenant souvent certains aspects de l'économie de marché.
Communisme : Dans la vision communiste, l'objectif final est une société sans classes, sans État et sans propriété privée des moyens de production. Le communisme veut abolir complètement le capitalisme et créer une communauté où tout est partagé équitablement entre les individus, avec une propriété collective de toutes les ressources et moyens de production.
2. Propriété des moyens de production
Socialisme : Sous le socialisme, l'État (ou la collectivité) détient ou contrôle une partie des moyens de production, particulièrement les secteurs stratégiques. Cependant, certaines formes de propriété privée peuvent subsister, notamment pour les petites entreprises ou dans des économies mixtes.
Communisme : Dans une société communiste, la propriété privée des moyens de production est abolie. Toutes les ressources et entreprises sont collectivement possédées et gérées, théoriquement par les travailleurs eux-mêmes.
3. État et gouvernance
Socialisme : Le socialisme conserve l'État comme structure pour organiser la redistribution des richesses et garantir l’égalité sociale. Le socialisme démocratique, par exemple, mise sur des institutions démocratiques pour mener à bien les réformes économiques.
Communisme : Selon les théories de Marx et d’autres penseurs communistes, l’État devient inutile dans une société communiste parfaite. En effet, après une "dictature du prolétariat" transitoire, l’État est censé disparaître au profit d'une autogestion complète de la société.
4. Économie de marché vs planification
Socialisme : Le socialisme permet souvent une certaine coexistence entre l'économie de marché et la planification étatique. Par exemple, certains pays socialistes (comme la Suède ou le Danemark) combinent une économie de marché avec un haut niveau de services sociaux publics.
Communisme : Le communisme rejette le marché libre, puisqu'il considère que les échanges et la valeur des biens sont organisés selon les besoins, et non selon le profit. L’économie est complètement planifiée, et les biens sont distribués selon le principe "de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins".
5. Exemples historiques et modernes
Socialisme : Des pays comme les pays nordiques (Suède, Norvège, Danemark) sont souvent qualifiés de "sociaux-démocrates" ou "socialistes démocratiques", car ils combinent une économie de marché avec des systèmes de protection sociale très développés. D’autres, comme Cuba ou le Venezuela, sont des exemples de modèles socialistes plus centralisés.
Communisme : L'Union soviétique, la Chine maoïste, et d’autres pays ont tenté de mettre en œuvre le communisme, bien que beaucoup d’entre eux aient par la suite évolué vers des systèmes plus flexibles, comme la Chine, qui allie communisme politique et capitalisme économique.
En résumé, le socialisme et le communisme partagent des idéaux de justice sociale et d'égalité, mais le socialisme vise une société plus égalitaire tout en permettant un certain degré de propriété privée et de marché, tandis que le communisme cherche à éliminer complètement la propriété privée et à instaurer une société sans classes ni État.
Écrit par : Allusion | 25/10/2024
Trump vs Harris : pourquoi les bookmakers ont des prédictions bien différentes des sondages
Celle-ci a fait cette annonce lors d’un meeting de campagne de Donald Trump, après avoir officiellement soutenu sa candidature à l’élection présidentielle dès le mois d’août.
« C’est en raison de mon amour pour notre pays et, en particulier, en raison du leadership que le président Trump a apporté pour transformer le Parti républicain et le ramener au parti du peuple et au parti de la paix, que je suis fière de me tenir ici avec vous aujourd’hui, président Trump, et d’annoncer que je rejoins le Parti républicain », a déclaré Tulsi Gabbard lors d’un meeting à Greensboro, en Caroline du Nord, alors que Donald Trump, ravi, se trouvait quelques mètres derrière elle.
Accusée d’être appuyée par la Russie
« Je rejoins le parti du peuple, le parti de l’égalité, le parti qui a été fondé pour lutter contre l’esclavage et y mettre fin dans ce pays. C’est le parti du bon sens, et le parti dirigé par un président qui a le courage et la force de se battre pour la paix », a-t-elle poursuivi, sous les applaudissements et hourras du public, comme le rapporte le média américain The Hill.
Née dans les îles Samoa américaines, Tulsi Gabbard, aujourd’hui âgée de 43 ans, était devenue en 2012 la première personne hindoue à être élue au Congrès américain. En 2016, elle avait affiché son soutien au démocrate Bernie Sanders.
Quatre ans plus tard, elle avait choisi de ne pas se représenter pour son siège à la Chambre des représentants, préférant se joindre à la primaire démocrate très disputée, qui avait vu Joe Biden remporter l’investiture. Durant celle-ci, Hillary Clinton avait accusé Tulsi Gabbard d’être appuyée par la Russie.
En 2022, Tulsi Gabbard avait finalement quitté le Parti démocrate, devenant indépendante. Elle avait alors commencé à faire campagne pour des républicains très en vue, commentant souvent dans les médias conservateurs.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/elections-americaines/donald-trump-re%C3%A7oit-le-soutien-de-tulsi-gabbard-ancienne-candidate-%C3%A0-l-investiture-d%C3%A9mocrate/ar-AA1sMzVk?ocid=winp2fp&cvid=fa56c7e974714775a74bed86a2208c91&ei=26
Écrit par : Allusion | 25/10/2024
Répondre à ce commentairePhilippe Boulet-Gercourt
Publié le 25 octobre 2024 à 17h00, mis à jour le 25 octobre 2024 à 17h46
Après « Groundhog Day », parfaite métaphore hollywoodienne de la pandémie, le film « Gaslight », dans lequel un mari cherche à convaincre sa femme qu’elle est folle, est sans cesse invoqué pour décrire le fait d’induire grossièrement quelqu’un en erreur. Une pratique récurrente du côté de Donald Trump et de son colistier J. D. Vance en vue du scrutin du 5 novembre.
On reamarquera que Donald Trump en traitant Kamela Harris, de folle et d'hystérique pratique parfaitement le GASLIGTH. Le but étant de faire perdre confiance à l'adversaire..
Carnet de campagne
Dans un billet quotidien, les journalistes du « Nouvel Obs » Sarah Halifa-Legrand et Philippe Boulet-Gercourt, installés aux Etats-Unis, racontent petits et grands moments de la dernière ligne droite de la campagne avant l’« Election Day » du 5 novembre où les électeurs américains sont appelés à élire le locataire de la Maison-Blanche pour les quatre années à venir – mais aussi à renouveler le Congrès et à désigner des gouverneurs, maires et autres élus locaux.
Kamala Harris est visiblement en colère ce 17 octobre dans le Wisconsin. Le 6 janvier 2021, rappelle la candidate démocrate à la Maison-Blanche, « fut une journée d’une terrible violence. Il y a eu des attaques contre les forces de l’ordre, 140 agents des forces de l’ordre ont été blessés, certains ont été tués. Et qu’a dit Donald Trump hier soir à propos du 6-Janvier ? Il a dit que c’était “une journée d’amour”. Mais cela met en évidence quelque chose que tout le monde sait ici : le peuple américain est épuisé par son gaslighting. »
Vous pouvez répéter ? Mon traducteur automatique remplace le mot par « manœuvres d’intoxication », mais cela ne rend pas justice à gaslighting (littéralement : « allumage de lampe à gaz »), un mot qui enflamme cette campagne hautement combustible. De quoi s’agit-il ? De l’Amérique, un pays qui adore emprunter son vocabulaire et ses expressions favorites à Hollywood. Lors de la pandémie de Covid-19, tout le monde disait avoir l’impression d’être enfermé dans « Groundhog Day » (en VO, soit littéralement : « la journée de la marmotte », mais sortie en France avec le titre « Un jour sans fin »), un film de 1993 où Bill Murray se retrouvait coincé dans une journée se répétant inlassablement.
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« Gaslight » (ou « Hantise », son titre français) est plus ancien, c’est un film génial (adaptation d’une pièce de théâtre) datant de 1944 dans lequel Charles Boyer joue un charmeur rendant dingue sa femme (Ingrid Bergman) avec un raffinement de psychopathe, pour trouver et voler ses bijoux. Ses mystérieuses activités dans le grenier font baisser l’éclairage au gaz de la maison, mais le mari insiste auprès de sa femme sur le fait que les lumières ne baissent pas et qu’elle ne peut pas se fier à ses propres perceptions.
Donald Trump ne veut pas voler quelques breloques, c’est bien pire : il veut faire main basse sur le bijou de l’empire américain, sa démocratie. Et pour cela, rien de tel que le gaslighting, une pratique consistant à « tromper grossièrement quelqu’un », précise le dictionnaire Merriam-Webster qui en avait fait son « mot de l’année 2022 ». Trump, et son colistier J. D. Vance. La façon dont ce dernier s’est transformé en agneau sur des sujets comme l’avortement ou le contrôle des armes, lors du débat contre Tim Walz, a eu le don d’exaspérer le démocrate : « Vous ne pouvez pas réécrire l’histoire et essayer de nous induire en erreur sur le bilan de Donald Trump. C’est du gaslighting. C’est du gaslighting sur l’économie, la liberté de reproduction, le logement, la violence armée. » (Ce coup-ci, mon traducteur suggère « intoxication au gaz » ¯_(ツ)_/¯)
Affiche du film « Gaslight » (1944).
Affiche du film « Gaslight » (1944).
Comme le mot est tombé dans le langage populaire, il est devenu un joyeux fourre-tout linguistique, avec des acceptions à géométrie variable :
► Le simple mensonge. C’est devenu un tic : au lieu de dire « il ment », on dit ou écrit « il gaslighte » (pas facile de conjuguer en français un truc pareil, hein !). Exemples innombrables, y compris dans les médias.
► « L’acte ou la pratique consistant à tromper grossièrement quelqu’un, en particulier pour en tirer un avantage personnel. » C’est un usage « plus simple et plus large » du mot, nous dit le dictionnaire Merriam-Webster, qui s’est imposé ces dernières années. On dirait que le terme a été inventé tout spécialement pour Donald Trump ! Plus ses tromperies sont « hénaurmes », plus cela passe. Et c’est toujours pour son profit personnel.
A lire aussi
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 26/10/2024
Répondre à ce commentaireQue ceux qui s'y reconnaissent lève le doigt. https://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/Gas-lighting-cette-dangereuse-technique-de-manipulation-qui-fait-perdre-la-raison.
L'article étant lisible sur google, je vous laisse le temps de le lire.
On peut se demander si Kamela en pratiquant la contre-manipulation (on parle de point Goodwin). ne tente pas de contre manipuler. ON sait aujourd'hui que traiter quelqu'un de fasciste est une manière d'exclure tout débat. Le programme de Trump est infect (surtout le plan de l'IVG et l'écologie, l'immigration c'est plus complexe). Mais le programme de Harris n'est guère mieux. Il incite à donner des cours d'éducation sexuelle qui visent à introduire le doute sur l'identé sexuelle chez les enfants (l'appartenance à une identité sexuelle précise est un formatage social). Ce déni de la réalité est aussi une forme de gaslighting, les enfants doutant de leur appartenance biologique à leur sexe peut également les mener à la folie.
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 26/10/2024
Répondre à ce commentaireJe viens d'écrire en donnant une réponse à Arthur au sujet de la préversion de ce billet sur Agoravos :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-yin-et-le-yang-257313#forum6772942
Ensuite je pars faire mon jogging.
Écrit par : Allusion | 26/10/2024
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 26/10/2024
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Allusion | 28/10/2024
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 28/10/2024
Répondre à ce commentaireGaslight, c'est manipuler une personne de manière à ce qu'elle doute de sa mémoire, de sa perception de la réalité ou de sa santé mentale, généralement pour des raisons malveillantes.
- Fais moi peur, demande le masochiste.
- Non, répond le sadique
Il faut choisir son camp, mazo ou sadique
Écrit par : Allusion | 06/11/2024
Le magicien dont on trouvera le portrait dans Mario et le magicien est un inquiétant hypnotiseur de foire. Il exerce sur son petit public un pouvoir comparable à celui des dictateurs sur les foules.
Aussi cette nouvelle, qui raconte des vacances familiales dans l'Italie mussolinienne, a-t-elle pu apparaître comme une satire du fascisme. Elle est, plus généralement, une interrogation sur la nature de la volonté et sur les limites de la liberté individuelle.
Les récits qui suivent l'apologue du magicien : Expériences occultes, Doux sommeil, Seize ans, entre autres, prolongent cette exploration de l'inconnu où l'auteur de La Montagne magique est vraiment dans son élément. Wikipédia: Le narrateur et sa famille passent leurs vacances à Torre di Venere d'août en septembre. Ils sont, par ce séjour, confrontés à l'Italie fasciste. La famille prévoyait un séjour calme, mais sera en réalité confrontée non seulement aux problèmes politiques vécus par l'Italie, mais également au grand nombre de touristes de la classe moyenne ayant décidé de passer leurs vacances à Torre di Venere.
La famille ressent qu'elle n'est pas la bienvenue. Au Grand-hôtel, on refuse de la servir sur la véranda éclairée, parce qu'ils sont considérés comme des étrangers. Ils finiront par changer d'hôtel après que la femme occupant la chambre voisine se sera plainte de la maladie du fils du narrateur. La famille décide de prendre une chambre à la pension Eleanora, tenue par Madame Angiolieri. La famille n'a pas réellement l'impression de vivre dans un climat propice aux vacances, bien que la nouvelle pension soit satisfaisante sur tous les points.
D'autres problèmes surviennent durant leurs vacances : la fille de 8 ans se retrouve brièvement nue sur la plage, ce qui est contraire à la morale et cause un réel tumulte sur la plage. La police vient même, et le narrateur regrette de ne pas avoir quitté Torre di Venere dès que les problèmes ont commencé.
Quand s'annonce le spectacle du magicien et prestidigitateur Cavaliere Cipolla, les enfants, enthousiasmés, souhaitent assister à la représentation. Celle-ci a lieu tard, et, bien que les parents aient des doutes quant à savoir si elle est bel et bien adaptée aux enfants, quatre billets sont achetés. Le soir de la représentation, les pêcheurs et Mario, un serveur, arrivent avec un retard considérable.
Cipolla est un homme âgé, qui apparait au public avec un fouet. Sur la scène se trouvent une petite table ronde, une bouteille de cognac et un verre.
Le narrateur et sa femme comprennent très rapidement que Cipolla n'est pas un magicien, mais un hypnotiseur remarquable. Un jeune garçon est ainsi forcé à tirer la langue de façon exagérée, puis suivent des exploits arithmétiques et des tours de cartes. Pendant un tour de carte, l'hypnotiseur en arrive à un petit duel de volonté. Dans le public, une antipathie contre lui devient claire, mais on reconnaît toujours à Cipolla une certaine reconnaissance professionnelle. Des exploits suivent encore, comme un transfert de pensée ou la découverte de certains objets.
Durant la pause, les enfants se réveillent. Les parents ne trouvent pas le courage de demander à leurs enfants de quitter la représentation et décident donc de rester. Le narrateur évoque ici l'attraction de l'étrange comme raison de rester.
Dans la deuxième partie de la représentation, presque tout le public est sous le pouvoir d'hypnose de Cipolla et le narrateur exprime un regret répété sur le fait d'être resté avec sa famille.
Au sommet de la manifestation, Cipolla interpelle Mario et apprend du jeune homme qu'il a précédemment manipulé que celui-ci à des problèmes de cœur à cause d'une fille nommée Silvestra. Mario semble réellement souffrir. Cipolla lui fait croire qu'il est cette fille et lui demande de l'embrasser sur la joue, ce qu'il fait. Quand Mario constate, dégouté et effrayé, dans quelle situation il se trouve, il s'enfuit de la scène, puis revient avec une arme avec laquelle il tue Cipolla.
La famille quitte précipitamment la représentation ; la mort de Cipolla est toutefois ressentie comme très libératrice chez le narrateur.
Les période de Gaslighting prépare le citoyen à la montée d'un dictateur. A nous de nous y préparer.... Quel sera celui-ci: TRUMP, POUTINE, XI_JINPING????
Écrit par : Mélusine ou la robe de Saphir | 28/10/2024
Répondre à ce commentaireLa Bible et l'Évangile sont deux concepts distincts dans le christianisme, bien qu'ils soient liés :
La Bible : C'est l'ensemble des textes sacrés du christianisme, répartis en deux grandes parties :
L'Ancien Testament (ou la Première Alliance) : Il comprend les textes religieux hébraïques (comme la Torah, les Psaumes, les Prophètes) et raconte l'histoire du peuple d'Israël, ses lois et ses relations avec Dieu. Ces textes sont aussi sacrés dans le judaïsme.
Le Nouveau Testament (ou la Nouvelle Alliance) : C'est une collection de textes spécifiquement chrétiens, qui inclut les Évangiles, les Actes des Apôtres, les Épîtres (lettres) de Paul et d'autres apôtres, ainsi que l'Apocalypse. Ces textes traitent de la vie, des enseignements et de la résurrection de Jésus-Christ et de l'expansion du christianisme.
L'Évangile : Le terme "évangile" vient du grec euaggelion, qui signifie "bonne nouvelle". Dans le Nouveau Testament, l'Évangile désigne le message de Jésus-Christ, considéré comme la "bonne nouvelle" de la rédemption et du salut. Plus précisément, on parle des quatre Évangiles canoniques — Matthieu, Marc, Luc et Jean — qui sont des livres spécifiques du Nouveau Testament. Ces textes racontent la vie, la mission, les enseignements, la mort et la résurrection de Jésus.
En résumé :
La Bible est l’ensemble des textes sacrés du christianisme (Ancien et Nouveau Testament).
L’Évangile fait référence spécifiquement aux quatre livres du Nouveau Testament qui rapportent la vie de Jésus, ainsi qu’au message de salut chrétien.
Écrit par : Allusion | 28/10/2024
Répondre à ce commentaireAvoir des amis « semblables » à soi favorise le sentiment de cohésion et de bien-être. Mais jusqu’à un certain point seulement.
Julien a grandi dans une petite commune hainuyère. Il est allé dans l’école primaire du village puis dans l’école secondaire de celui d’à-côté avant de partir à Bruxelles pour faire des études supérieures, se faire embaucher dans un grand cabinet de conseil et mener finalement la vie intense d’un cadre supérieur surbooké avec un bon niveau de vie. Si la majorité de son cercle d’amis est composée de personnes qu’il a rencontrées dans la capitale et qui évoluent, peu ou prou, dans le même milieu professionnel, il a conservé deux amis d’enfance. « Régulièrement, on va voir des matchs de foot et boire des coups ensemble », explique le presque quadragénaire. « On continue donc de s’entendre très bien mais c’est vrai qu’on n’a pas du tout les mêmes vies. Je ne sais pas si le fait d’avoir pu conserver ces deux amitiés me procure un plaisir particulier. Cela n’est pas comme cela que je me formule les choses. Mais je remarque quand même que ce n’est pas si courant que cela dans mon milieu professionnel. »
https://www.lesoir.be/633081/article/2024-10-31/pour-etre-heureux-pleinement-en-amitie-il-faut-pouvoir-diversifier-son-cercle?utm_source=a_la_une&utm_medium=newsletter_le_soir&utm_campaign=a_la_une_31102024&utm_term=pour-etre-heureux-pleinement-en-amitie-il-faut-pouvoir-diversifier-son-cercle&utm_content=Article1&m_i=nPTnRubhtfczjavvvGTMesi_Qp4fEJOkFn6Yc_zXW%2Bt5VHNoE%2BCa5L4YiCA4GhAHzfi2CO__EpKz5D1gBWLN3X3PUtA8E5nnn3&m_i=SdQL04zKYiHKzJVVjWx%2BAqVNWN6_ZfqOtJjYSj4fZRlbTNClD_GzU3Zg6AZ6gXg6t5a0vOBbtDyAIhBP%2B3fhM4bBBkofgNSSSC&M_BT=182323752210
Écrit par : Allusion | 03/11/2024
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