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05/09/2020

Nini va donner de la chance ailleurs

0.PNGAnnie Cordy, surnommée Nini la Chance a tiré sa révérence à l'âge de 92 ans.

Curieux de devoir écrire un article de la sorte à son sujet à la suite du "Magasin du Suicide" car elle aimait la vie par dessus tout. 

Je n'écris pas souvent un article hommage à un artiste. Dernièrement je l'ai fait pour Guy Bedos 

Les hommages sont arrivés immédiatement après l'annonce de son décès.

Tous étaient unanimes. La question venait d'office à l'esprit "Que reste-t-il de nos idoles «belgicaines» ? La Belgique et la belgitude étaient dans ses gènes.  

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02/09/2020

Le magasin des Suicides

0.PNGIl fallait donner une suite à cette histoire de virus et de suicides de victimes consentantes à cause de la peur paralysante.
S
ujet plus sérieux et plus délicat que d'habitude dans ce blog. Plus de 600 livres traitent du suicide.
Des statistiques de taux de suicides par pays estimées par l'OMS étonnent. Ce sont souvent les pays les plus riches qui ont le taux de suicides le plus élevé. 
L
a crise du Covid-19 a eu un impact sur la santé mentale et sociale.
8
% des personnes de 18 ans et plus ont indiqué qu'elles avaient sérieusement pensé à mettre fin à leur vie au cours des 3 derniers mois, et 0,4 % ont même tenté de le faire. Impact financier important sur la vie quotidienne des Belges.
M
oins de suicides mais plus de tentatives.

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21/08/2020

La peur paralysante

pas sorti de l'auberge.PNGSur ce blog-journal, une trentaine d'articles ont entouré le Covid-19 depuis le début de 2020 jusqu'à mi-juin.
L
e dernier "Les soldes du Covid", 6ème épisode de la série "Virus blues", tentait de mettre un point final au confinement et aux règles drastiques qui ont suivi pour l'éradiquer en lui apportant les derniers développements.
R
ien n'est terminé. Des vaguelettes se sont manifestées après le tsunami inattendu de la première moitié de l'année. On n'est pas sorti de l'auberge de peur non contrôlée.

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14/08/2020

Les croyances expliquées par les maths

0.PNGLa semaine dernière il était question  de la religion "shinto".

En 2006, dans un triptyque "Le ciel pour horizon", le sujet "Pourquoi on croit en Dieu", m'avait demandé recherches et interviews de croyants pour tenter d'expliquer leur foi.

Demain, 15 août, le jour de l'Assomption de Marie...

"Après quinze siècles de recherches menées par les penseurs, les mathématiques et l'informatique disent que selon les règles de la logique, l’existence de Dieu est nécessaire pour des raisons anthropologiques, neurologiques et culturelles" dit le S&V et cela me semblait étonnant. Cartésien, serais-je passé à côté de cette explication ?

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17/07/2020

Justifier l'injustifiable

0.PNGPendant plus de 15 ans sur ce blog, mon "A propos" est assez explicite. "Apolitique" et plutôt du clan des "anywhere" et pas des "somewhere" suivant la démonstration de David Goodhart.
Ce blog n'est ni fait pour se faire des amis ni des ennemis... pas pour se faire encenser, aduler et surtout pas pour en faire de la propagande.
I
l doit être empreint d'une liberté totale, de choix des thèmes et d'expression même si cette liberté est contraire à un ensemble des lecteurs.
L
es débats entre des opinions diverses, de préférence opposées, j'adore. Mais il ne faut pas que ça tourne à l'aigre, sinon cela devient plutôt chiant comme je l'ai souvent ressenti. Les débats qui apportent une solution par consensus, compromis sans compromission, sont devenus très rares. Reconstruire durablement, l'est un peu moins, surtout quand ils se déroulent en aparté, sans ombudsman et où on y lave son linge sale en famille mais sans famille dans l'humour mis en berne. Le billet "Si tu déclines, clive et ça ira... enfin peut-être" va être mis en application dans celui-ci. Désolé, s'il peut y avoir des redites.
E
n 2008, j'ai écrit un triptyque d'articles dans le thème de la Justice.  dont le titre était "Ôte ton bandeau et ajuste ta balance". Revenir aux sources pour comprendre comment le flux arrive à la mer après le passage par de multiples méandres de vie.

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10/07/2020

Rencontre du quatrième âge

0.PNGAlors que pour la première fois, l'économie a été dépassée par la santé, ce début de commentaire  dit "C’est inacceptable de laisser mourir des personnes âgées ainsi dans les maisons de repos. Comment notre société a-t-elle pu dégringoler aussi bas? Il y a eu, à mon sens, un côté génocidaire. Il n’y avait pas assez de protections pour les soignants, pas assez de tests pour les résidents. C’est le problème de notre société occidentale. En Afrique, on n’aurait jamais accepté de traiter les aînés comme cela. Chez nous, on ne voit plus que l’aspect économique, pas l’humain.", cela fait réfléchir sur ce qu'ont dû ressentir certains senior confinés coupés de tout, dans une maison de repos, un EHPAD comme on les appelle en France. Mercredi, Lou Colpe parlait de la situation de ces seniors dans ce genre d'établissement belge (*).
Des robots pourraient-ils apporter les compléments au personnel de ces établissements en fonctions de rôles spécifiques chez les seniors eux-mêmes quand ils vivent seuls et indépendants? 
Victor, un senior âgé de 92 ans rencontre le nouveau petit robot éducatif Buddy, de type "Homobot" qui essaye de lui faire comprendre comment il fonctionne. 
E
n 1963, Jacques Brel interprétait la chanson "Les vieux". 

Il y a presque 60 ans... Que de choses ont changé....

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03/07/2020

Les années charnières dans le monde (2)

0.PNG"Les années charnières, ce sont ces années où des gestes parfois anodins, parfois plus graves, arrivent à donner au quotidien une tout autre direction", écrit la Québécoise Marie-Josée Paquet. Ces années dites "charnières" ont inspiré beaucoup de médias et d'écrivains.
I
l y a trois mois, en pleine crise sanitaire, j'écrivais le billet "Une année charnière dans le monde (1)" au sujet de 2020. Le Covid qui a tout changé, est toujours là, bien caché. J'y parlais entre autres des chansons des Seventies. 
L
a semaine dernière, je parlais de mes jeunes années scolaires dans une sorte de pèlerinage pendant les Sixties et les Seventies.
Y
revenir s'impose de manière plus générale.
J
e ne sais quel temps de conjugaison devrais-je utiliser pour ce billet? Passé, présent ou futur? Parfois, tous les temps se bousculent dans mon esprit. Il paraît qu'à parler au présent, on rend les choses plus vivantes.

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19/06/2020

Le concept "racisme" enchaîné à tellement d'autres

0.PNGLe drame de George Floyd, étouffé par les forces de police à Minneapolis, a trouvé un écho sous forme d'une contestation mondiale dans un enchaînement de causes à effets parfois ambiguë dans ses amalgames. Un niveau extrême du rejet et la bulle explose. Tout commence par l'insécurité qui génère l'utilisation des armes aux Etats Unis, permise grâce au 2ème amendement. Ensuite, la violence et les réactions policières se font écho. Enfin, le racisme, le contexte colonial et les statues déboulonnées qui prennent le relais. Tout cela orchestré par les réseaux sociaux en arrière plan. La porte de sortie logique se trouve dans la fuite ou dans l'acceptation de la diversité et des différences du genre humain. 

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06/06/2020

Virus blues (5) : Foutre le camp

0.PNGPénurie de nouveautés dans une torpeur forcée dans un manque d'événements. Une impression de compression du monde en pleine hibernation est née pendant des mois de fausses vacances. Comme les médias, du passé pour combler les vides de nouvelles informations, je l'ai fait au travers de remakes, de vieux enregistrements.
Nous sommes arrivés en phase 3 du déconfinement et ce mois de juin
ressemble à un mois de septembre, de rentrée des classes et de reprise de certaines activités.
Ce simili-automne prématuré apporterait-il le renouveau nécessaire puisque le printemps a été bousillé par le Covid?

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22/05/2020

Virus blues (3) : Histoires tirées par les cheveux

0.PNGDepuis lundi 18, le confinement des coiffeurs est arrivé à son terme. Les coupes de cheveux, les teintures vont pouvoir reprendre de plus belle.

Le salon de coiffure, l'endroit où l'on cause et qu'on dit souvent plus de bêtises que de réalités.

Les fakenews, les rumeurs, les petites histoires vont revenir sous le masque et sous le casque. Histoires tirées pas les cheveux que l'on se raconte et qu'on oublie aussitôt.

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05/05/2020

Virus blues (1) : "Le muguet masqué"

0.PNG- Bonjour. "Virus blues", un titre tout à fait dans la note de l'actualité.
- (Sourire) En effet. La semaine dernière, j'expliquais ma procédure pour écrire un eBook. Un roman reste une fiction mais s'ancre à une actualité. Dès que j'avais publié ce billet, je me suis lancé dans l'imagination de quelques idées du style des "Microfictions". Fin 2019, nous sommes sortis d'une période de relative sérénité globale dans le domaine de la santé pour tourner une page vers un nouveau monde de fragilité, impacté par ce coronavirus qui à partir de Chine, s'est mis à voyager pendant des milliers de kilomètres. Depuis, le monde a changé du tout au tout. Au passage, je vous rappelle le billet "Fricassée de virus".
- Une actualité comme celle-ci, c'est aussi une manière de marquer les souvenirs.
- Oui, mais j'ai imaginé une histoire parallèle à ces instants stratégiques pour quelqu'un qui en tirerait un profit personnel inattendu.
Qui, d'après-vous, aurait un avantage à se retrouver masqué?
- Celui ou celle qui a quelque chose à cacher. Non?
- En effet. A cacher de manière psychologique, philosophique et c'est ce que je me propose de vous raconter.

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22/04/2020

Je me fais des films (2)

0.PNGDans le premier billet "Je me fais des films", je terminais par écrire "... rien de nouveau sous le soleil confiné, rien de vraiment changé dans mes habitudes mais rien n'empêche de faire aussi des films personnels...".
Ce qu'on regarde à la télé mêlée à ce qu'on entend et vit, a parfois des continuations dans son sommeil.
Je me rappelle du billet "
Rencontre avec une bulle de savon" dans une "folle rêverie mise en boîte"...

Je me suis mis à rêver que j'étais un des virus, dont on parle tellement.

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16/04/2020

Je me fais des films (1)

0.PNGDans l'édito de mon magazine télé de la semaine dernière, je lisais: "La télévision déchaîne encore les passions. Cette vieille dame d'un âge doublement canonique a prouvé qu'elle pouvait être une compagne extraordinaire, riche attentive, passionnante même si les émissions affligeantes et les navets se comptent par milliers, même si, en cette période de confinement, les re-re-rediffusions sont légions et que les déprogrammations intempestives nous gonflent. Qu'on ne dise pas qu'il n'y a rien à la télé et qu'il n'y a que des choses qu'on n'a pas envie de regarder".

Alors, je me suis demandé si depuis le confinement, il y avait quelque chose de changé dans mes habitudes, dans le scénario "films" de mes journées.  

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03/04/2020

Solitaire vs solidaire?

2.PNGCatherine Camus a écrit "Albert Camus, Solitaire et Solidaire" dans un album-récit biographique sur la vie et l'œuvre de son père Albert Camus.

«Chaque artiste garde ainsi, au fond de lui, une source unique qui alimente pendant sa vie ce qu'il est et ce qu'il dit. [...] Pour moi, ma source est dans L'Envers et l'Endroit, dans ce monde de pauvreté et de lumière où j'ai longtemps vécu... »,  a écrit Albert Camus, dans la préface de "L'Envers et l'Endroit".
Entre 1952 et 1960, a commencé la période solitaire et solidaire de son père.

 

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01/04/2020

L' envahisseur du 1er avril va vous sauver

0.PNGUn soir, alors qu'il s'était assoupi, confiné depuis une quinzaine de jours, l'ancien informaticien Eriofne a été témoin de l'atterrissage d'une soucoupe volante.

Depuis cette nuit-là, il n'a de cesse de convaincre ses semblables que c'est peut-être un extraterrestre qui l'a immunisé contre les microbes et les virus.

Sous une apparence humaine, cet extraterrestre s'est infiltré sans masque à Bruxelles afin de nous coloniser mais aussi de nous sauver contre le coronavirus.

Pour le reconnaître, peu d'indices.

Les uns disent qu'il est un peu fou. Les autres, un peu con.

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27/03/2020

Faut pas prendre les cons pour des gens (4)

0.PNGOn parle de "Blog", c'est un site web, là où on écrit des articles personnels, rendant compte d'une actualité autour d'un sujet donné ou d'une profession.  Dans ce but, on utilise ses  mémoires.
Des mémoires qu'on oublient aussi vite que les polémiques, parce que c'est toujours du "First in, First out" et qu'il faut la libérer du trop plein de mémoire.
L'intelligence, on en a ou pas mais on l'ajoute à ses connaissances innées ou acquises en transitant par le cerveau ou par le microbiote.
Notre complexité, elle, n'a parfois d'égale que nos conneries que l'on répète à l'infini.
Pourtant, il existe un organisme unicellulaire qui n'est ni un animal, ni une plante, ni un champignon et que l'on appelle le "Blob" dont l'étude passionne les chercheurs scientifiques (dont je suis l'ombre d'un passé).
C'est donc un génie sans cerveau mais qui n'écrit malheureusement pas ses mémoires.

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26/03/2020

Faut pas prendre les cons pour des gens (3)

0.PNGHier, je parlais d'un contact avec un autre interlocuteur par email. Mais sur les réseaux sociaux, la vie n'est pas plus un long fleuve tranquille. La vie sur Internet est un "subset" de la vie réelle où, si elle se déroule souvent avec des petits mots doux, ce n'est pas toujours le cas.
-Oui, t'as qu'à choisir tes contacts et tes amis. Tu n'as que ce que tu recherches. Et quand tu remarques que cela ne marche pas, coupe la communication et les ponts, dit une voix.
- Bien sûr, c'est une solution, mais c'est aussi une petite lâcheté que je n'ai pas. Quand je faisais partie d'un forum à part entière, j'avais pris l'habitude de répondre à tous les commentaires. Quand on écrit avec ses tripes, il faut accepter la critique. Il y a une condition à cela, c'est qu'il faut savoir un peu plus à qui on parle et aussi savoir ce qui est critiqué et dénigrer autrement que par une idée générale. Ce n'est pas non plus un livre qu'on achète en librairie. Il y a une suite à donner idée par idée.

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25/03/2020

Faut pas prendre les cons pour des gens (2)

0.PNG- Guy, depuis lundi, t'as pété un câble, ou quoi ?
- Oui mais non, ce n'est pas un câble mais plusieurs... J'avais déjà déblayé le terrain dans "du symbole à la pratique des communications", mais hier, j'ai seulement poussé le bouchon un peu plus loin. Dans cette rubrique "Faut pas prendre les cons pour des gens", où le politiquement correct est enfant non admis et où je demande à ceux qui veulent y jouer d'apporter de nouveaux câbles car il faut pas non plus prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages...
Le type de "clown loyal" pullule sous nos latitudes. Et vous allez m'aider à les éradiquer en résistant aux petites religions de gauche, de droite, d'en haut et d'en bas, comme cible dans cette rubrique où la parodie et l'humour sont de rigueur. A situations exceptionnelles, solutions exceptionnelles. Oui, il faut aimer son âge même si dans le confinement, on trouve toujours des finement cons. Hier, le JT terminait par ça Corona suite (n+1):podcast. S'il y a (n+1) c'est qu'il y a une suite (n+2).

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24/03/2020

Faut pas prendre les cons pour des gens (1)

0.PNGBonjour à tous et toutes (ou vice versa) confinés,
Nous sommes en période de confinement à cause de ce putain de virus
à couronne de laurier en fantôme masqué.
On nous a mis en prison, privé de liberté, avec comme les vrais prisonniers, une promenade dans la cour de la prison qui est seulement, dans ce cas, étendue à un kilomètre à la ronde pour seule différence.
Ce matin, j'ai entendu qu'il y avait des bandes dessinées avec ce titre.

Alors, m'est tout de suite revenu des souvenirs...

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20/03/2020

Faire du neuf avec du vieux (2-2)

0.PNGUne guerre bactériologique mondiale a été déclarée.
Cela me rappelle les Armes Bactériologiques et Nucléaires (ABN), les guerres qui étaient présentées aux miliciens de mon époque des années 60-70 auxquelles il fallait se prémunir.
La manière de sortir d'une crise sanitaire et existentielle autant dépendante de la manière dont un groupe sociologique pourrait réagir ou un individu pour lui-même, y ressemble.
Dans ce cas-ci, ce sont les contacts physiques qu'il faut éradiquer.
L'Italie a commencé son calvaire  le 21 février et est devenu le foyer de cette guerre bactériologique suivi par l'Espagne.
Je n'ose pas imaginer ce qui se serait passé à l'époque pendant la laquelle Internet n'existait pas.
Les contacts virtuels avec l'inventivité de chacun restent les seuls moyens de communiquer dans la durée pour résister même s'ils sont symboliques.
Mot d'ordre rester chez soi. Soyez solitaire et solidaire.
 

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