Un 20ème anniversaire entre logophores et logorrhées

La solitude de Stéphane Rose tournée vers une intelligence artificielle pour meubler ses nuits, est un peu le problème de notre temps. On voudrait bien être ensemble, mais on ne le peut point que par des artifices.

Le 3 mars 2005, naissait mon premier billet sur "Réflexions du Miroir". C'est donc son 20ème anniversaire. Faire un bilan tous les ans n'est pas trop difficile. 

J'ai écrit un bilan de "Réflexions du Miroir" tous les cinq ans. Faire un bilan tous les ans est relativement simple. Les médias s'en chargent. Rappeler 20 ans ne l'est plus du tout. Qu'est-ce qui fut déterminant et représentatif des vingt années précédentes ?  Que sélectionner pendant ces quatre tranches de cinq ans de Réflexions du Miroir qui représentaient près de 1200 billets ?

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Prologue

J'ai survolé la lecture de vingt ans de billets en scrutant l'index de mon site. Après avoir sélectionné quelques billets qui me semblaient intéressants, j'ai dû abandonner. Je me rappelais de beaucoup de titres des billets mais un peu moins de leur contenu. J'ai dû abandonner. J'ai recommencé ma sélection en ne reprenant que les billets anniversaires qui écrivaient un bilan après chaque fin de cinq ans et j'ai ajouté quelques bilans annuels quand ils existaient et quelques autres qui me semblaient essentiels au fur et à mesure de l'écriture de ce 20ème anniversaire. 

Le sous-titre "Face au miroir, réfléchissons sur notre vie avec un peu de subjectivité dans l'objectivisme" résume le but suivi par mon site.

En 2005, l'envie d'écrire mes souvenirs mijotait déjà dans mon esprit depuis quelques temps.  J'avais besoin d'un dérivatif à la retraite pour ne pas tomber dans un vide après un trop plein. "La retraite, faut la prendre jeune. Faut surtout la prendre vivant. C'est pas dans les moyens de tout le monde", Michel Audiard. .Je n'avais jamais rien écrit de ma vie. Je ne lisais souvent que pendant la période des vacances.

Foncièrement solitaire. Plutôt théoricien que praticien. J'ai probablement été chosi pour cette fonction parce que je pouvais travailler seul. J'ai raconté mon histoire de management dans "Une semaine en nuances vert de gris". pour un manager entre le marteau et l'enclume. En 1990, j'ai accepté ce poste comme un challenge. Le n'est plus ce que désirent les jeunes d'aujourd'hui. Un jeune sur deux ne désire plus devenir manageur.

"La solitude est la première cause de l'épuisement des dirigeants. En burnout, ils n'ont pas le temps d'être malades", constate Olivier Torres. Faire la distinction entre ce qui est important et ce qui est urgent dans une matrice carré avant de prendre une décision. Des cours de management dans des cas de conflits à la recherche d'agréments quand "La technicité n'est plus seule" correspondent à des leçons de psychologie par des mises en conditions dans des situations réelles pouvaient en passant des extrêmes de conflits et de l'happycratie du bonheur jusqu'à la nausée". Le billet "Quand les livres délivrent" a été mon dérivatif après ma période active.  

Mon premier billet sur ce site "Nous sommes tous responsables" présumait de ce que je voulais écrire. Encore au boulot, je le signais encore 'L'enfoiré en service". J'avais reçu quelques encouragements pour continuer à construire ce site mais, je ne pensais pas arriver à ce 20ème anniversaire.

 J'ai parlé récemment de "Mon histoire sur les réseaux sociaux ". J'ai été sollicité par agoravox.fr pour en faire partie en tant que rédacteur suscitait une extension que je ne pensais pas au départ..

Les premières années ont été celles de l'initiation avec des tests de la toile que je ne connaissais que par l'autre bout, celle de son design et de ses application souvent offline avant de les envoyer online sur internet. 

Pendant la retraite, des concepts plus privés prenaient la relève en osant dire des choses auxquelles je ne m'attendais auparavant. Conserver l'humour via la parodie n'était pas par une forme d'optimisme, idéalisme mais celle du réalisme du pragmatique. Au départ, ce furent surtout des sujets uniques dont je parlais. Puis progressivement, je muais en sujets multiples dans un même billet pour en faire un journal personnel en suivant l'actualité par des réflexions au rythme hebdomadaire sans tirer plus vite que mon ombre comme Lucky Luck le fait dans l'actualité. "L'influence des médias et des réseaux sociaux" n'est donc pas loin.

J'ai pris l'habitude d'introduire dans les textes des images, des sons et des vidéos. Terminés par des citations qui, même hors contexte, pouvaient me conforter que je n'étais pas seul à avoir eu des idées similaires
Un bilan général serait de dire que j'ai eu la chance dans ma vie de passer d'une passion à une autre. D'abord la Science, puis le numérique à l'époque des années 1970 dans laquelle tout était à construire dans ce domaine et enfin la passion pour construire ce site de manière informative que l'on appelait blogs. Blogs qui n'en ont jamais été réellement selon la définition  "des articles généralement succincts, rendant compte d'une actualité autour d'une thématique particulière".

.Pas question de devenir écrivain et d'en faire un métier.  Un candide qui devait tout apprendre d'une plume qui grinçait quelques fois.
Généraliste, intello, réaliste et éclectique, je n'ai jamais cherché à obtenir des vérités trop dépendantes des détails donnés par des spécialistes. Pour paraphraser une citation de De Gaule : "Des spécialistes qui cherchent, on en trouve; des généralistes qui trouvent, on en cherche !".
L'avantage d'un site propre est de rester toujours accessible après une sélection de l'index et de pouvoir commenter bien longtemps après l'écriture d'un billet de pouvoir la complémenter avec de nouvelles actualités. Depuis ma retraite, je travaille parfois plus que pendant ma vie active. Cela commence dans mon lit à l'écoute de la radio. J'allume mon PC avant toutes choses. Je regarde les nouvelles. Je commence à écrire des petites notes pour ne pas les oublier. En matinée, je fais ma promenade de plus d'une heure en notant ce que je pense. Le reste, je fais comme tout le monde.

La différence est que ce travail est avant tout pour moi-même, pour mon plaisir et pour tenir mes neurones en fonction. Quand on écrit, il y a  déjà au moins quelqu'un qui sera content, moi-même. Depuis quelques années, je considérais ne plus pouvoir les signer comme au début de "L'enfoiré". Me semblait plus adapté la signature "Allusion", avec des "manières d'éveiller l'idée d'une chose ou d'un fait sans plus en faire expressément mention", .
Seule ma devise est restée depuis 20 ans "Tout est dans tout et inversement". Il me suffit d'avoir le but de chercher les liens dans ce "tout".
Face à l'actualité, nous sommes toujours au milieu du gué devant le fleuve de la vie. Il s'écoule dans un cycle souvent concentrique. Parti d'une source, il commence son cours comme un ru, une rivière et se termine comme un fleuve qui, au travers de ses méandres, se retrouve à son embouchure.
Il faut pouvoir remonter aux causes pour comprendre ses effets et remarquer que les causes et les effets bouclent sur elles-mêmes en retournant aux sources après évaporation dans la symphonie des éclairs partagée nuages de l'imagination.

Nous vivons ces derniers temps dans une singularité où l'argent a créé des déficits en démocratie et en justice avec un futur incertain. 

Avec des réflexion et un esprit critique, ma petite entreprise ne connait toujours pas la crise.

Si vous ne l'avez pas remarqué, ce n'est pas la lecture de textes qui prend le plus de temps et qui pourrait gêner un lecteur. C'est ce que j'ajoute à mes textes, que j'appelle "mes biscuits" sous forme de lectures, d'images, de podcasts, de vidéos, de chansons bien choisies, à cliquer et qui expriment et expliquent mieux que je ne pourrais le faire en texte. Un texte reste abstrait et dépendant d'une langue. Les artéfacts sont parfois plus importants à écouter ou à voir  en faisant grimper le compteur du temps en heures.

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2010 : 5ème année de Réflexions du Miroir 

• "Très chère originalité" 
• "Allô, Virtuel, ici, Fantôme ".
• "Les écritures et les images de la télé en parallèles"
• Echappement libre
• L'amitié, un échange de bons procédés ? ".
• Bilan : "Cinq ans déjà." 

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2015, 10ème année de Réflexions du Miroir

• Home sweet home"
• "Virez-moi car j’ai péché"
• "La théorie du tout"
• "Tremblement de l'esprit"
• "Decennis horribilis"
• "La grande peur de 2012"
• Bilan : "Dix bougies d’enfoirades" 

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2020 : 15ème année de Réflexions du Miroir 

• "La stratégie du maillon faible" 
• "Le paradigme du partage" 
• "Terreur dans l'hexagone"
• "Résilience du 22 mars 2016"
• "La stratégie du cœur contre celle du cerveau ?" 
• Le Syndrome de Eriofne
• "Quand la pensée humaine s'intègre dans la machine"
•  "Où se cache le bonheur?" 
• "Les Lumières, un héritage en péril"
• "Guerre et paix des intelligences"
• "Du déluge aux collapsologues"
• Bilan : "2020: Annus horribilis"

Qui se souvient encore de Google+ ?

Lancé le 28 juin 2011 pour concurrencer Facebook, En octobre 2018, Google annonçait sa fermeture à la fin de l'été 2019. Son CEO a reconnu qu'il avait merdé. Son défaut : ses caractéristiques d'utilisation à vouloir cataloguer les utilisateurs dans des cercles, des bulles et des déclics dans lesquelles on ne sort pas. On ne s'élargit dans les connaissances d'autres domaines.

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2025 : 20ème année de Réflexions du Miroir 

Ces cinq années on vu des étapes qui ont marqué les esprits, les cœurs et les corps. Il y a exactement cinq ans, l'épidémie du Covid fut la principale préoccupation des années 2020 et 2021. Plus paré contre cet façon de vivre en s'extrayant de la foule déchainée, je tenais mes distances de 1,50 mètres avec les autres sans beaucoup de difficultés. A la recherche des raisons de l'apparition de ce virus, ressortait un animal inconnu : le pangolin. Le livre "L'injuste destin du pangolin" que j'ai dans ma bibliothèque, avait été écrit par différentes personnes, billet après billet pour suivre l'évolution du virus (extrait). Je poursuivais sur ma lancée en gardant la parodie sous le bras.

• "La vérité, ça n'existe pas"
• Faire du neuf avec du vieux (1-2)
• Faut pas prendre les cons pour des gens (1-4)
• Faut pas prendre les cons pour des gens (1-6)
• Virus blues (1-6)
• L'Hiver covidien (1-2)
• Printemps covidien 

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Le monde autour de nous

Après cinq ans, les souvenirs sont toujours vivaces par leurs retombées et la douleur de ceux qui ont perdu un proche et qui n'ont même pas pu leur dire adieu avant leur décès. Ce fut une époque pendant laquelle la population applaudissait tous les soirs, infirmières et médecins..  

• Bilan de 2021 "Serial piquouzes" 
• "Rêve d'immortalité par l'IAG? (1-2)" 
• Bilan de 2022: "Le soleil est toujours jaune"

La date du 24 février, réunit plusieurs nouvelles et rappelait des souvenirs.

C'est la troisième année après la déclaration d'une guerre dont on ne pouvait pas dire le nom, que mena la Russie de Poutine entrée en guerre en Ukraine. Celle-ci entraine toujours une peur en Europe qu'elle s'étende.

"Cette guerre, on voulait bien la gagner, à la rigueur la perdre, mais en aucun cas la faire", Michel Audiard..

L'Ukraine joue toujours le tampon avec elle pour l'Europe. Une guerre de drones avec l'IA qui permet de les rendre plus efficaces.

Macron à la rencontre de Trump ce lundi.

Le 24 février 1920 est aussi la naissance du parti NSD que Hitler avait rêvé

On apprenait les résultats des élections en Allemagne. Retour du CDU/CSU mais avec un goût amer par le Afd de l'extrême droite
. Prochain chancelier plus que probable: Friedrich Merz  

On retrouve avec la même situation de l'Allemagne divisée en deux du temps de la RFA à l'Ouest et la RDA à l'Est. Billet du début de 2011 qui opposait "Westalgie", un péril en rose et bleu " face à. "L'Est ostalgique ?".

Ferrat chantait :

Au CPAC, du 19 au 22 février, accueilli en rock star,  Trump savourait son retour au sommet lors du CPAC avec cette constatation « Je suis votre récompense » , Steve Bannon s’offre aussi un salut nazi apparent et Elon Musk y apparaît en plein délire.

"Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière", Michel Audiard.

En trois ans, depuis que Angela Merkel a cédé la place en 2021 ce fut l'au revoir  : 

• "Auf Wiedersehen Mutti"
• "Sous influences convictionnelles"
• On se demandait alors "Comment passer le réveillon vers 2024 ?"

En septembre 2023, rebelotte un réveil entre le Hamas et Israël 

• "Plus de boogie woogie" avant la prière du soir"

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Premier mois après le come back de Trump. Ce qu'on pouvait craindre pour l'Europe s'est confirmé avec quelques surprises supplémentaires.  

Donald Trump a fait écho à Napoléon Bonaparte sans le nommer : “Celui qui sauve sa patrie ne viole aucune loi”, tirée des "Maximes et pensées de Napoléon". Maxime que j'avais entendu la semaine dernière sous mon casque dans l'Epopée immersive de Napoléon. Les maîtres du monde sont toujours là. Ils ont simplement changé de nom, d'armes de destruction massive et de localisation dans l'espace avec l'envie des "Jeux de savoir ou de pouvoir" pour eux et se retrouver "Face au pouvoir de l'autorité" pour les autres.

Résumé dans ce podcast :.

Conservateurs, passéistes et nostalgiques vs progressistes... Je n'ai jamais été autre chose qu'un progressiste. Je dénigrerais mon passé internationaliste autrement.

"Passéistes vs futuristes"

"Comment convertir un conservateur en progressiste?"

Un individualisme et protectionnisme pur et dur par le support inconditionnel du seul pouvoir de l'argent. Je n'ai pas de boule de cristal, mais cela risque l'implosion. 

L'Europe a été accusée par le vice-président J.D. Vance, d'être irresponsable d'avoir instauré le trouble intérieur par son besoin de démocratie comme valeur fondamentale qui n'aurait plus aucune raison d'exister

.

Si la démocratie détient les germes de sa propre destruction, ce n'est pas une raison pour la remplacer par des autocrates zélés. 

• "OTAN suspend ton vol"
• "Rire pour résister"

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Les Belges et la Belgique dans tout cela

Sur agoravox, j'ai souvent envoyé des billets avec la Belgique comme catégorie pour faire connaitre mon pays

Je suis belge. Fier de l'être. En gros, la politique française n'est pas vraiment ma tasse de thé préférée même si j'ai des billets qui en parlent. Quatre premiers ministres 

Dernièrement, après avoir vu  la vidéo "Belgomania - Toute la Belgique qu'on aime", sur Fr3, pour m'en amuser, j'avais lancé la publication d'un vieil article "L'autodérision, un produit de la belgitude" sur agoravox.fr. Cinq jours après, le billet n'était toujours pas publié et je l'ai avorté.  Il ne faut pas oublié qu'il y a aussi des podcasts édifiants dans le cadre de "Sombre Belgique". Dans une démocratie comme la nôtre, il y a des revers à toutes les médailles. Rien n'est jamais blanc ou noir avec des nuances.

Aujourd'hui, on ne se rencontre que rarement pour discuter. C'est le Smartphone qui, principalement, fait l'intermédiaire entre deux interlocuteurs, plus entre quatre yeux.

"Mes amis, c’est mes cons à moi. C’est les cons des autres que je ne supporte pas", Michel Audiard.

« Les tigres des cafés », le collectif qui veut sauver les bars en Flandre (et bientôt en Wallonie) écrivait Daardaar.be

Le film "Je verrai toujours vos visages" sans écrans interposés, passait à la télé.

 Son thème de la justice réparatrice confronte les victimes d'infractions à leurs auteurs.

Un des derniers cactus vous explique comment on fait dans notre Pfas
Un autre dit que "L'amour est belge"

Culture en Prime invitait Helmut Lotti
Ce samedi, c'était la remise des prix du cinéma belge et "La nuit se traîne" qui se déroule à Bruxelles, a raflé dix Magritte. C'est vrai, comme Magritte, nous sommes toujours surréalistes.

Le cactus parlait de cette cérémonie avec humour 

Le dimanche, "Les Belges du bout du monde" se limitait dans une communication entre l'Italie et la Belgique. entre  le pays de Bella Vita avec le comédien, auteur, metteur en scène et traducteur Pietro Pizzuti et le designer automobile Paul Breuer à Verviers. 

Tout récemment, le film "Le Tigre et le Président" passait à la télé.

En janvier 1920, Paul Deschanel, est né à Bruxelles - Schaerbeek et est devenu président en France le 16 janvier 1920. Peu connu du grand public, il est entre libéralisme économique et socialisme. Face à Georges Clemenceau, considéré comme le « Père la Victoire de la Grande Guerre  ». Angoissé de ne pas pouvoir réaliser ses projets, suites aux règles pesantes de la République. Un incident de train, le fait démissionner le 21 septembre de la même année.

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Les mythes et les religions

"Le bien et le mal, une question branchée ?"

On cherche et on demande parfois "Veux-tu être mon idole ? " pour éliminer ses propres problèmes et ses tracas personnels. Enfin, pas vraiment les éliminer, mais à les transférer vers une autre entité qui va prendre la responsabilité. Il peut être représenté par un avatar dans le "Le Métavers en question" ou plus anciennement par un Dieu qui permet d'exercer, surtout en période de doute, des choses inavouables en son nom.

"Le ciel pour horizon", un billet qui m'avait demandé des mois avant d'être publié.

Une seule contrainte, après avoir choisie de l'obéir au doigt et à l'œil.

Le pape était bienvenu récemment à Bruxelles. A son retour dans l'avion, les paroles qu'il avait donné aux journaliste, l'avait fait descendre dans l'estime des croyants. 

Avoir des contraintes multiples, données en vrac à son idole divine ou profane, n'assure pas de prendre les bons chemins d'agir au nom de "xxx". Personnellement je n'ai jamais eu d'idole au dessus de ma tête. Je croyais en moi. Quand je fais des erreurs, je reste responsable. Je n'ai jamais été à la confession pour me faire pardonner par quelques prières et tout est oublié.

Les histoires de mauvais traitements de jeunes écoliers ressortent progressivement dans les échos de souvenirs et de la presse. Le dernier se trouvait dans le Paris Match, qui parlait de Notre-Dame de Betharram comme école du calvaire.  

"La Justice c'est comme la Sainte Vierge : si on ne la voit pas de temps en temps, le doute s'installe.", Michel Audiard.

Bonne nouvelle, "Le cerveau est câblé pour obéir". Obéir, se prosterner, se sacrifier devant des règles religieuses ou profanes souvent incompréhensibles pour un mécréant. Cela va dans les jours choisis de la semaine pour se reposer (vendredi pour les Musulmans, samedi pour les Juifs, dimanche pour les Chrétiens). Dans le choix de l'alimentation plus restrictif que jamais...  Pour info, à Bruxelles, on mange de l'américain en cannibale sans ce sentir cannibale...

Dieu est né à Bruxelles dans le "Tout nouveau testament".

Le malheur, c'est qu'il se sent avoir tous les droits.

Le cactus avec la voix du Pape François suite à l'opération Calice suffit-il  à le justifier.

La philosophie de Arendt « Le mal peut-être banal ou extrême, seul le bien est radical » avec son explication.

"Dieu, Darwin, tout et n'importe quoi"

J'ai bien aimé ce livre qui mélange les textes de Vinciane Despret et les images de Pierrre Kroll.

 

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Humour entre  logophores et logorrhées

Avant d'être publiés, mes billets sont triturés et restructurés dans tous les sens. Des chapitres changent de place. Des chapitres disparaissent et d'autres entrent si l'actualité le permet même en dernière minute.

 On m'avait demandé un jour, si je pouvais écrire un billet rapide. J'ai répondu un "NON" ferme et catégorique. Je suis lent. J'ai besoin de temps. Je n'aurais pas pu écrire quoique ce soit avant ma retraite.

Au niveau secondaire des études, j'ai toujours été une nullité en rédaction et en dissertation.

Sans avance à l'allumage dans le domaine de l'écriture, j'ai besoin de temps, au moins une nuit, pour réfléchir sur un sujet donné.

Je n'ai jamais écrit face à partir d'une feuille blanche.

C'est ce que je fais encore actuellement avec mon petit carnet qui ne me quitte jamais. Je rassemble toutes les idées écrites sur le terrain pendant mes promenades, mes jogging ou mes envolées à vélo. Dans ce petit carnet, cela peut dater parfois de plusieurs jours, de mois ou même d'années et dont, je déchire les feuillets ou les barre, une fois traités.     

Mes billets sont un fourre-tout dans 40 catégories différentes.  Ils se recoupent ou disjonctent séparément, c'est un signe que je doute de tout, que je n'ai ni croyance ni certitude. 

- Ils sont longs tes billets, m'a-t-on souvent répété et reproché.

- Non peut-être, ai-je répondu.

Combien de fois, n'ai-je pas  entendu cette remarque ?

Ils sont longs pour me laisser une trace du passé avec des souvenirs de manière complète et pas partielle.

 

Mes billets sont un fourre-tout dans 40 catégories différentes. Ils se recoupent ou disjonctent séparément, c'est un signe que je doute de tout, que je n'ai ni croyance ni certitude. 

- Ils sont longs tes billets, m'a-t-on souvent répété et reproché.

- Non peut-être, ai-je répondu.

Combien de fois, n'ai-je pas entendu cette remarque ?

Ils sont longs pour me laisser une trace du passé avec des souvenirs de manière complète et pas partielle.

A la question, qu'est-ce qu'un "Humour entre logophores et logorrhées ?

ChatGPT me répondait :

"C'est un excellent terrain de jeu pour l'humour, entre le logophore (celui qui porte la parole avec soin, presque solennellement) et la logorrhée (ce flot ininterrompu de mots, souvent vide de sens). On pourrait imaginer un dialogue absurde :

Le logophore : Chaque mot porte un poids, une intention. Il faut le choisir avec discernement. Un logophore prépare un discours réfléchi pendant des heures.

La logorrhée : Ah oui bien sûr, totalement d'accord, enfin pas toujours, parce que parfois on parle juste pour parler, tu vois, comme quand on remplit le silence, et d'ailleurs le silence c'est intéressant, mais bref, je disais quoi déjà ?
Le logophore : "...Rien." Son interlocuteur atteint de logorrhée répond avant même qu’il n’ait terminé sa première phrase.

Une belle métaphore de la communication moderne : entre ceux qui veulent bien dire et ceux qui veulent juste dire beaucoup. Le résultat est un combat verbal où le premier pèse chaque mot pendant que l’autre déverse des torrents incontrôlés"

Cela étant dit, il reste un fait que quand on n'est pas intéressé par un sujet, même court, cela peut paraitre très vite une logorrhée pour n'importe qui sans être généraliste pour plaire à tout le monde. 

Je suis curieux de tout et tout peut m'intéresser dans mon éclectisme théorique. mais toujours "Logorrhément vôtre". 

Je suis désolé si ce site ne correspond pas à l'ère du temps qui veut écrire des tweets limités en nombre de caractères ou de courtes phrases. 

Quand cela devient une passion, on s'en fout des opinons de ce genre.

Si mes billets sont longs à lire, ils sont encore plus longs à écrire et surtout pour rassembler toutes les notes supplémentaires qui en feront partie. Je suis pourtant sûr d'oublier certains choses qui n'ont pas atteint mon esprit à première vue. Alors, je reprends la plume avec les suites datées envoyées en commentaires avec l'actualité comme boussole comme simples suites et évolutions. C'est dire que mes billets, susceptibles d'évoluer, ne sont jamais totalement terminés. 

Nicolas Vadot et Pierre Kroll apportent leur secours du côté "dessins", un domaine dans lequel je suis une nullité. 

Sur mon site, pas de validation des commentaires. Tout ce qui n'est pas interdit, est chez moi, permis. Les trolls intelligents me poussent à réfléchir. 

Une seul restriction : pas de pub et pas d'argent compris.

L'utilisation de argent ne rend plus libre.

J'ai reçu quelques propositions de fusion avec des sites commerçants.

Ils ont tous été refusés et ils n'ont pas insisté.

Ceux qui ont tenté de forcer leurs pubs dans les commentaires, en ont été pour leur frais.

1. Quand des interlocuteurs viennent à ma rencontre, je teste leur manière de penser et de résister à l'actualité comme j'ai testé à l'époque des programmes numériques pendant 40 ans en arrivant parfois à la limite de l'acceptable. On se trompe un peu moins sur les façons de penser de son interlocuteur après des essais limites de résistance aidées par le rire.

   Penser qu'un interlocuteur est toujours prêt à en rire, c'est un leurre. Le croire, c'est se tromper fortement. Pas remarquer qu'on rit de moins en moins aujourd'hui ?

   Mon site n'est pas une tribune politique dans laquelle on déverse ses convictions politiques.

   Le pragmatisme ne permet pas d'être "Foule sentimentale" comme Souchon...

2. "Comment je suis devenu extraverti ?"

   

3. D'après le magazine Psychologies, il faut arrêter de se comparer. Pour servir l'épanouissement de l'individuel au collectif, la psychologie sociale a des buts divers  :

   1.  mieux se connaitre
   2. progresser
   3. s'inspirer
   4. se mettre en action
   5. relativiser
   6. définir des priorités
   7. s'engager
   8. ouvrir son regard
   9. accepter les différence
   10. lâcher du lest

   Les "Théories de psychologie" adaptées à la philosophie, sont devenues un luxe que Zaho de Sagazan a très bien compris dans sa chanson "Ô travers" comme ode à nos névroses.

On reste toujours enflammé pour ses passions, mais un peu moins pour ses retours de flammes.

Après 20 ans, voudrait-on que je n'ai plus d'opinions dans un champ de mines ?

Aujourd'hui, je récupère les temps perdus.

Je n'ai plus de montre en coin, j'ai du temps et je le lui ai souvent rendu dans le théâtre de l'absurde et de la parodie.

Bien sur, que c'est souvent dans la monotonie à devenir buvard de l'info que l'on devient vite bavard dans les hasards du temps et de l'espace en entendant ou mieux en écoutant un pétard lors d'une promenade pour l'analyser ou en voyant ou mieux en jetant un regard plus appuyé pour éviter les canulards pour ne pas en faire du lard.

Aujourd'hui, la fable de la "Cigale et la Fourmi" se décline en prose. Qui va rouler l'autre ou qui va aimer l'autre ?

Le passé, on ne peut le changer. Don, il ne reste qu'à "Savourer l'instant" en espérant que les beaux projets du futur deviennent réalité. 

Pour vivre plus âgé, cherchons à vivre heureux au delà de sa date péremption.

Faudra-t-il inventer un vaccin contre la démence quand on voit que les dirigeants de ce monde atteignent des âges de folie puisque les raideurs physiques se déplacent ? 

Aujourd'hui, le plus fort est le winner, demain, le looser.

Pour obtenir une aide quelconque, il faudra désormais un désastre en commun comme un incendie, une inondation pour qu'ensemble, les hommes réagissent ensemble.

Quand il y trop masochistes (il y en a plus que l'on pense), je deviens vite sadique. 

Heureusement, l'absurde ne tue pas. Etre influencé par la pub et son amie subalterne, la propagande, cela marche. Si ce n'est pas le cas, elle aurait disparu depuis longtemps. Les préjugés idéologiques dépendent de l'importance qu'on leur accorde.

Le livre de Stephan Zweig "Le monde hier" cherche la sécurité et la stabilité dans un ordre culturel donnant l'illusion de l'éternité. 

Le livre de Pierre Servent "Le monde de demain" a des citations avant chaque chapitre

• "L'âme résiste aux maux auxquels elle est préparés", Sénèque
• "Une auto-puification naturelle est nécessaire à la société ne fera que renforcer notre pays, notre solidarité, notre cohésion et notre capacité à relever n'importe quel défi", Poutine.
• "C'était un temps déraisonnable à mettre les morts à table pour construire des châteaux de sable en prenant les loups pour des chiens", Aragon  

Le diable se cache dans les détails mais pas derrière les généralités. J'ai regardé la semaine dernière le film "Douze hommes en colère". Adaptation de la pièce de théâtre écrite par Reginald Rose en 1954.

L'assuétude comme accoutumance de l'organisme aux modifications du milieu, se répercute toujours sous forme d'addictions.

Désolé de le constater, celui qui n'a jamais joué le rôle de médiateur dans la vie courante n'est pas compétent. 

Je ne sais si c'est déjà la cas, mais des logarithmes de l'IA peuvent très bien déterminer ce qui est bon de ce qui est mauvais   

C'est relativement rare de trouver des rédactions dans lequel son auteur utilise le pronom "JE". Parler de quelqu'un ou d'analyser une institution, est toujours moins risqué que de parler de soi-même. Les rédacteurs sont pressés d'avoir leurs œuvres sur antenne, mais pas pour lire celles des autres même s'ils sont sur la même ligne de penser. Ils attendent seulement les commentateurs avec impatience. 

Quand on y réfléchit avec le recul du temps, c'est "Une drôle de vie" que d'avoir un avatar virtuel qui n'a rien à voir avec la réalité.

   

Cela fait donc 20 ans que je tapote sur mon clavier et que, parfois, je bafouille dans les sujets de mes billets qui peuvent me dépasser même s'ils m'intéressent sans honte et sans reproche. Que la franchise, l'honnêteté ont fait place à l'hypocrisie et et rester "moi" même si je pouvais être en candide.

Pendant ces 20 ans, il y a aussi quelques nouvelles par une plume du clavier sous forme d'eBooks, sans prétention aucune, sans envie de les publier sur papier. 

Le dernier est en construction. Le scénario est déjà dans ma tête. Je n'ai plus qu'à... l'écrire en y ajoutant les dialogues nécessaires pour lui donner vie. Qui sait, peut-être prendrais-je aussi un rendez-vous avec l'IA.

Quand je n'ai rien à dire, je cherche et je veux que cela se sache comme Raymond Devos.

L'avantage de l'âge, c'est d'avoir en principe plus de souvenirs malgré "Les infidélités de notre mémoire"..

Aujourd'hui, Alzheimer ne m'a pas encore trouvé.

Vous dite ? "Al ? Al, comment ? "

Dernièrement, j'ai regardé le film "Mémoire effacée" 

Synopsis : Telly croit avoir eu un fils, Sam, qui serait décédé dans un crash d'avion. ... Elle s'enfuit et fait la rencontre de Ash, un ami de son présumé fils disparu. Réfugiée chez Ash, elle déchire le tapissage dans son appartement et découvre des preuves de l'existence de sa vie antérieure avec sa fille Lauren. Il se souvient d'avoir eu sa fille et permet à Telly d'échapper à la NSA. Telly et Ash se cachent Il s'agit d'une expérience organisée par un extraterrestre qui doit effacer tous ses souvenirs de beaucoup de ses cobayes mais il a raté son expérience. Telly et Ash se rencontre dans un parc avec Sam et Carine. Tout est à nouveau normal.

Qui sait, peut-être ai-je une autre vie en parallèle avec un avatar dans le Métavers ? Je préfère le Multivers correspondant à l'ensemble des univers présents concurremment, dans le cadre d'une théorie cosmologique en sortant de l'infiniment petit des "cantiques du quantique" pour entrer dans celui de l'infiniment grand.

Ils ont chacun leurs propres règles d'existence.

Mais pour cela, il faut oublier de croire pour ne plus que penser comme il est dit dans la vidéo suivante.

Combien de temps a-t-il fallu pour construire ce billet ?

C'est un peu près le même le temps qu'il a fallu pour que le fût du canon a mis pour se refroidir. : un certain temps.

Alors pour le lire, faites comme moi, prenez votre temps..

Je me suis rendu à "l'Expo des talents" dans une chapelle présentant les œuvres de  différents artistes . Quelle ne fut pas ma surprise de pouvoir mettre un casque sur la tête pour voir les planètes en espace virtuel créé par Bruno. (site de Bruno). Une chose manquait par rapport à ce que j'avais vu la semaine dernière dans l'expo NAPOLEON, L'Épopée Immersive (photos) : le son. 

Ensuite, je suis allé à une grande surface pour voir ce qui existait comme casques pour réalisation de virtuel. Nous étions déjà à la 3ème génération de plus en plus parfaite mais toujours pas de son dans les oreilles. 

Un clic sur l'image ci-dessous pour regarder les photos

Dernièrement, j'écrivais "La Diagonale des reines (1-2) au sujet du livre de Bernard Werber. J'en avais déjà parlé dans " avec le résumé "J'espère être époustouflé par ce qui se passe après la mort"

J'en avais déjà lu d'autres. J'avais parlé de lui dans "Quand les livres délivrent" 

Il vient d'être interrogé dans les "Les Petits papiers".

Il y avait quelques ressemblances avec ma manière de penser et d'écrire avec les mots choisis "comblé", "oubli", "Poutine", "vrai", "postérité".

Une différence avec lui, je ne suis qu'un écri_vain qui publie ses mini-livres sur internet et jamais sur papier. 

Prochain bilan dans cinq ans ? 

Peut-être, sera-ce le cas, si un Dieu cosmique et surtout miraculeusement plus comique, le voulait.

Allusion

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Décès de la chanteuse Roberta Flack à 88 ans

L’interprète de « Killing Me Softly With His Song »

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